On Wed, 26 Oct 2005 22:00:23 +0200, Jerome Lambert wrote:
> C'est dans ces cas-là qu'on se dit que les noyaux
> patchés/burnés/hackés par les distributions à tendance commerciale ont
> parfois du bon...
Au moins dans l'intention, ces patchs ont pour but d'améliorer le kernel.
Je me demande d'ailleurs pourquoi les mainteneurs du kernel n'adoptent pas
ces patches quand il s'avèrent utiles. Ben oui, si le patch existe et
est appliqué c'est qu'il n'est pas dans le mainline... Ou alors c'est
parceque les patcheurs ne proposent pas au mainline?
Le problème n'est pas que les choix sont faciles ou difficiles à faire, le problème est que ça divise par 2 la "force de travail" des développeurs qui créent des logiciels, et que ça n'apporte *RIEN* que de la confusion aux utilisateurs.
Et le nombre des distributions, ça pose un peu le même problème non ?
A ton avis?
A mon avis oui : le nombre des distributions est une des choses que je déteste le plus dans linux et qui me détourne de ce système. Je trouve que ces intermédiaires ont pris linux en otage, qu'ils font beaucoup de gâchi en effet en segmentant les développements, qu'ils introduisent de la concurrence entre eux sur la base d'éléments de design, de customisation ou de user-friendlyness, donc qu'ils contribuent énormément à la windowisation, en plus j'ai toujours trouvé contradictoire l'idée de distribution pour un os de bricoleur : d'un côté on est censé savoir paramétrer le système soit-même, de l'autre il y a une pléthore de distributions qui se justifient toutes par le fait d'être un poil plus près que sa voisinne de ce que veux tel type d'utilisateur. La majorité des utilisateurs sauraient aboutir au même résultat eux même non ? Et pourquoi ne pas développer des scripts de configuration sur la base d'un système commun plutôt que des distributions indépendante qui gèrent chacune des collections de package, dont les binaires sont incompatibles, etc. etc., et donc qui cherchent à se créer une clientèles captives ? C'est ça qui est désespérant : voir des équipes concurrentes effectuer exactement le même travail de patchage, versionning, suivi, packaging, etc. etc. Il y a une estimation de la proportion du développement dans Linux qui va aux distributions ?
Je ne comprends pas pourquoi linus Torvalds s'est désintéressé de cette question.
Pendant un moment cette diversité est utile, ça permet de tester plusieurs stratégies et de voir ce qui marche. Dans le modèle commercial, les échecs sont sanctionnés par la disparition des plus mauvais (du moins en théorie). Dans le système libre en fait il n'y a pas une telle "lutte pour la vie", ce qui crée un réél problème, à mon avis.
Oui, c'est exactement ce que j'ai répondu à Nicolas Georges qui invoquait les régulations du marché pour justifier la diversité de distributions.
SL <nospam@nospam.com> wrote:
Le problème n'est pas que les choix sont faciles ou difficiles à
faire, le problème est que ça divise par 2 la "force de travail" des
développeurs qui créent des logiciels, et que ça n'apporte *RIEN*
que de la confusion aux utilisateurs.
Et le nombre des distributions, ça pose un peu le même problème non ?
A ton avis?
A mon avis oui : le nombre des distributions est une des choses que je
déteste le plus dans linux et qui me détourne de ce système. Je trouve
que ces intermédiaires ont pris linux en otage, qu'ils font beaucoup
de gâchi en effet en segmentant les développements, qu'ils
introduisent de la concurrence entre eux sur la base d'éléments de
design, de customisation ou de user-friendlyness, donc qu'ils
contribuent énormément à la windowisation, en plus j'ai toujours
trouvé contradictoire l'idée de distribution pour un os de bricoleur :
d'un côté on est censé savoir paramétrer le système soit-même, de
l'autre il y a une pléthore de distributions qui se justifient toutes
par le fait d'être un poil plus près que sa voisinne de ce que veux
tel type d'utilisateur. La majorité des utilisateurs sauraient aboutir
au même résultat eux même non ? Et pourquoi ne pas développer des
scripts de configuration sur la base d'un système commun plutôt que
des distributions indépendante qui gèrent chacune des collections de
package, dont les binaires sont incompatibles, etc. etc., et donc qui
cherchent à se créer une clientèles captives ? C'est ça qui est
désespérant : voir des équipes concurrentes effectuer exactement le
même travail de patchage, versionning, suivi, packaging, etc. etc. Il
y a une estimation de la proportion du développement dans Linux qui va
aux distributions ?
Je ne comprends pas pourquoi linus Torvalds s'est désintéressé de
cette question.
Pendant un moment cette diversité est utile, ça permet de tester
plusieurs stratégies et de voir ce qui marche. Dans le modèle
commercial, les échecs sont sanctionnés par la disparition des plus
mauvais (du moins en théorie). Dans le système libre en fait il n'y
a pas une telle "lutte pour la vie", ce qui crée un réél problème, à
mon avis.
Oui, c'est exactement ce que j'ai répondu à Nicolas Georges qui
invoquait les régulations du marché pour justifier la diversité de
distributions.
Le problème n'est pas que les choix sont faciles ou difficiles à faire, le problème est que ça divise par 2 la "force de travail" des développeurs qui créent des logiciels, et que ça n'apporte *RIEN* que de la confusion aux utilisateurs.
Et le nombre des distributions, ça pose un peu le même problème non ?
A ton avis?
A mon avis oui : le nombre des distributions est une des choses que je déteste le plus dans linux et qui me détourne de ce système. Je trouve que ces intermédiaires ont pris linux en otage, qu'ils font beaucoup de gâchi en effet en segmentant les développements, qu'ils introduisent de la concurrence entre eux sur la base d'éléments de design, de customisation ou de user-friendlyness, donc qu'ils contribuent énormément à la windowisation, en plus j'ai toujours trouvé contradictoire l'idée de distribution pour un os de bricoleur : d'un côté on est censé savoir paramétrer le système soit-même, de l'autre il y a une pléthore de distributions qui se justifient toutes par le fait d'être un poil plus près que sa voisinne de ce que veux tel type d'utilisateur. La majorité des utilisateurs sauraient aboutir au même résultat eux même non ? Et pourquoi ne pas développer des scripts de configuration sur la base d'un système commun plutôt que des distributions indépendante qui gèrent chacune des collections de package, dont les binaires sont incompatibles, etc. etc., et donc qui cherchent à se créer une clientèles captives ? C'est ça qui est désespérant : voir des équipes concurrentes effectuer exactement le même travail de patchage, versionning, suivi, packaging, etc. etc. Il y a une estimation de la proportion du développement dans Linux qui va aux distributions ?
Je ne comprends pas pourquoi linus Torvalds s'est désintéressé de cette question.
Pendant un moment cette diversité est utile, ça permet de tester plusieurs stratégies et de voir ce qui marche. Dans le modèle commercial, les échecs sont sanctionnés par la disparition des plus mauvais (du moins en théorie). Dans le système libre en fait il n'y a pas une telle "lutte pour la vie", ce qui crée un réél problème, à mon avis.
Oui, c'est exactement ce que j'ai répondu à Nicolas Georges qui invoquait les régulations du marché pour justifier la diversité de distributions.
SL
Michel Talon, dans le message <dk65dh$agp$, a écrit :
Au bout de combien d'années? Tandis que si les sous ne rentrent pas, la faillite n'attend pas des années.
C'est vrai. Ce qui fait qu'avec le modèle commercial, une distribution médiocre se cassera effectivement rapidement la gueule, c'est mieux. Mais d'un autre côté, une distribution de qualité, mais inhabituelle et qui tarde à trouver son public se cassera aussi la gueule. Cette fois-ci, c'est moins bien.
Vous changez d'argument ; en plus je ne suis pas du tout d'accord avec ça : je trouve que d'une certaine façon le libre génère aussi un énorme conformisme et pose également des freins au développements de produits très aventureux. Vu que la croissance est fonction du nombre de soutiens de développeur puis d'usager, on dépend directement d'un consensus. On voit le résultat avec les produits mortellement consensuels qui sont de plus en plus la norme (Firefox, etc.)
Michel Talon, dans le message <dk65dh$agp$1@asmodee.lpthe.jussieu.fr>, a
écrit :
Au bout de combien d'années? Tandis que si les sous ne rentrent pas, la
faillite n'attend pas des années.
C'est vrai. Ce qui fait qu'avec le modèle commercial, une distribution
médiocre se cassera effectivement rapidement la gueule, c'est mieux. Mais
d'un autre côté, une distribution de qualité, mais inhabituelle et qui tarde
à trouver son public se cassera aussi la gueule. Cette fois-ci, c'est moins
bien.
Vous changez d'argument ; en plus je ne suis pas du tout d'accord avec
ça : je trouve que d'une certaine façon le libre génère aussi un
énorme conformisme et pose également des freins au développements de
produits très aventureux. Vu que la croissance est fonction du nombre
de soutiens de développeur puis d'usager, on dépend directement d'un
consensus. On voit le résultat avec les produits mortellement
consensuels qui sont de plus en plus la norme (Firefox, etc.)
Michel Talon, dans le message <dk65dh$agp$, a écrit :
Au bout de combien d'années? Tandis que si les sous ne rentrent pas, la faillite n'attend pas des années.
C'est vrai. Ce qui fait qu'avec le modèle commercial, une distribution médiocre se cassera effectivement rapidement la gueule, c'est mieux. Mais d'un autre côté, une distribution de qualité, mais inhabituelle et qui tarde à trouver son public se cassera aussi la gueule. Cette fois-ci, c'est moins bien.
Vous changez d'argument ; en plus je ne suis pas du tout d'accord avec ça : je trouve que d'une certaine façon le libre génère aussi un énorme conformisme et pose également des freins au développements de produits très aventureux. Vu que la croissance est fonction du nombre de soutiens de développeur puis d'usager, on dépend directement d'un consensus. On voit le résultat avec les produits mortellement consensuels qui sont de plus en plus la norme (Firefox, etc.)
SL
Michel Talon, dans le message <dk629f$99v$, a écrit :
Dans le système libre en fait il n'y a pas une telle "lutte pour la vie", ce qui crée un réél problème, à mon avis.
Bien sûr que si : si une distribution est pourrave, elle n'aura quasiment aucun utilisateur, et les mainteneurs finiront par l'abandonner.
Le régime de la concurrence produit des sélections ou certains disparaissent ; non seulement on ne peut pas transposer ce système au libre, mais en plus la sélection dans un régime concurrentiel n'a rien à voir avec le fait d'être "pourrave" ou pas. Des projets de qualités, où avec des utilisateurs, ou réussissant à payer ses salariés, ou avec une raison économique, etc., s'effondrent.
Bref entre "abandonner une distribution parce qu'elle est pourrave" et "sélection par la concurrence", il n'y a absolument rien à voir.
Il y a aussi l'investissement idéologique et passionnel sur chaque distribution : souvent une rationnalité de type économique, quelle qu'elle soit, n'a de toute évidence plus grand rôle dans les énergies consacrées à un projet... Ce côté passionnel de l'attachement aux distribution est complètement catastrophique je trouve.
Michel Talon, dans le message <dk629f$99v$1@asmodee.lpthe.jussieu.fr>, a
écrit :
Dans le système libre en fait il n'y a pas une telle "lutte pour la
vie", ce qui crée un réél problème, à mon avis.
Bien sûr que si : si une distribution est pourrave, elle n'aura
quasiment aucun utilisateur, et les mainteneurs finiront par
l'abandonner.
Le régime de la concurrence produit des sélections ou certains
disparaissent ; non seulement on ne peut pas transposer ce système au
libre, mais en plus la sélection dans un régime concurrentiel n'a rien
à voir avec le fait d'être "pourrave" ou pas. Des projets de qualités,
où avec des utilisateurs, ou réussissant à payer ses salariés, ou avec
une raison économique, etc., s'effondrent.
Bref entre "abandonner une distribution parce qu'elle est pourrave" et
"sélection par la concurrence", il n'y a absolument rien à voir.
Il y a aussi l'investissement idéologique et passionnel sur chaque
distribution : souvent une rationnalité de type économique, quelle
qu'elle soit, n'a de toute évidence plus grand rôle dans les énergies
consacrées à un projet... Ce côté passionnel de l'attachement aux
distribution est complètement catastrophique je trouve.
Michel Talon, dans le message <dk629f$99v$, a écrit :
Dans le système libre en fait il n'y a pas une telle "lutte pour la vie", ce qui crée un réél problème, à mon avis.
Bien sûr que si : si une distribution est pourrave, elle n'aura quasiment aucun utilisateur, et les mainteneurs finiront par l'abandonner.
Le régime de la concurrence produit des sélections ou certains disparaissent ; non seulement on ne peut pas transposer ce système au libre, mais en plus la sélection dans un régime concurrentiel n'a rien à voir avec le fait d'être "pourrave" ou pas. Des projets de qualités, où avec des utilisateurs, ou réussissant à payer ses salariés, ou avec une raison économique, etc., s'effondrent.
Bref entre "abandonner une distribution parce qu'elle est pourrave" et "sélection par la concurrence", il n'y a absolument rien à voir.
Il y a aussi l'investissement idéologique et passionnel sur chaque distribution : souvent une rationnalité de type économique, quelle qu'elle soit, n'a de toute évidence plus grand rôle dans les énergies consacrées à un projet... Ce côté passionnel de l'attachement aux distribution est complètement catastrophique je trouve.
Jerome Lambert
Jerome Lambert , dans le message , a (...)
SUSE vs RedHat étant plus pertinent, d'autre part pose-toi la question à l'envers: tu peux aisément déterminer ce qui fait que Woody Allen n'est pas Tim Burton, ou ce qui fait que Linux n'est pas Windows.
Et entre Renault et Citroën ? Entre MacDo et Quick ? Entre Ariel et Bonux ? Entre...
Sur le plan automobile puisque tu en parles, la fusion Daimler/Chrysler fait en sorte que les Chrysler sont actuellement des Mercedes recarossées, ou que les Jaguar, Volvo et Ford sont toutes issues des mêmes plate-formes (une Jaguar X-Type est techniquement une Ford Mondeo dont on a changé l'écusson, et sur le même principe une Volvo S40 est une Ford Focus). De même, comme tu parles d'Ariel et Bonux, je te conseille, lors de ton prochain passage en supermarché, de vérifier la provenance des différents produits. Tu constateras que p.ex. Ace, Axion, Ariel, Bonux et Dash sont en fait le même produit en provenance de Procter&Gamble, dont on a juste changé la présentation. Je crois au contraire que les industriels, eux, ont compris que la dispertion était nuisible, et se sont lancés dans une grande phase de fusion/rachats pour rationnaliser l'offre, chose que n'ont pas compris certains tenants du libre.
(...)
ce qui fait que ces deux distributions sont rigoureusement identiques entre elles, à quelques babioles visuelles près...
Si vraiment elles sont si proches, elles finiront vraissemblablement par fusionner.
Mais rien que le fait que *deux* équipes aient fait *exactement* le même boulot est amha idiot. Que la deuxième se soit jointe à la première, ou collabore activement à l'originale, pourquoi pas, mais il y a là une démarche qui m'échappe.
Jerome Lambert , dans le message <3sniqrFoumsfU1@individual.net>, a
(...)
SUSE vs RedHat
étant plus pertinent, d'autre part pose-toi la question à l'envers: tu
peux aisément déterminer ce qui fait que Woody Allen n'est pas Tim
Burton, ou ce qui fait que Linux n'est pas Windows.
Et entre Renault et Citroën ? Entre MacDo et Quick ? Entre Ariel et Bonux ?
Entre...
Sur le plan automobile puisque tu en parles, la fusion Daimler/Chrysler
fait en sorte que les Chrysler sont actuellement des Mercedes
recarossées, ou que les Jaguar, Volvo et Ford sont toutes issues des
mêmes plate-formes (une Jaguar X-Type est techniquement une Ford Mondeo
dont on a changé l'écusson, et sur le même principe une Volvo S40 est
une Ford Focus).
De même, comme tu parles d'Ariel et Bonux, je te conseille, lors de ton
prochain passage en supermarché, de vérifier la provenance des
différents produits. Tu constateras que p.ex. Ace, Axion, Ariel, Bonux
et Dash sont en fait le même produit en provenance de Procter&Gamble,
dont on a juste changé la présentation.
Je crois au contraire que les industriels, eux, ont compris que la
dispertion était nuisible, et se sont lancés dans une grande phase de
fusion/rachats pour rationnaliser l'offre, chose que n'ont pas compris
certains tenants du libre.
(...)
ce qui fait que ces deux distributions sont rigoureusement
identiques entre elles, à quelques babioles visuelles près...
Si vraiment elles sont si proches, elles finiront vraissemblablement par
fusionner.
Mais rien que le fait que *deux* équipes aient fait *exactement* le même
boulot est amha idiot. Que la deuxième se soit jointe à la première, ou
collabore activement à l'originale, pourquoi pas, mais il y a là une
démarche qui m'échappe.
SUSE vs RedHat étant plus pertinent, d'autre part pose-toi la question à l'envers: tu peux aisément déterminer ce qui fait que Woody Allen n'est pas Tim Burton, ou ce qui fait que Linux n'est pas Windows.
Et entre Renault et Citroën ? Entre MacDo et Quick ? Entre Ariel et Bonux ? Entre...
Sur le plan automobile puisque tu en parles, la fusion Daimler/Chrysler fait en sorte que les Chrysler sont actuellement des Mercedes recarossées, ou que les Jaguar, Volvo et Ford sont toutes issues des mêmes plate-formes (une Jaguar X-Type est techniquement une Ford Mondeo dont on a changé l'écusson, et sur le même principe une Volvo S40 est une Ford Focus). De même, comme tu parles d'Ariel et Bonux, je te conseille, lors de ton prochain passage en supermarché, de vérifier la provenance des différents produits. Tu constateras que p.ex. Ace, Axion, Ariel, Bonux et Dash sont en fait le même produit en provenance de Procter&Gamble, dont on a juste changé la présentation. Je crois au contraire que les industriels, eux, ont compris que la dispertion était nuisible, et se sont lancés dans une grande phase de fusion/rachats pour rationnaliser l'offre, chose que n'ont pas compris certains tenants du libre.
(...)
ce qui fait que ces deux distributions sont rigoureusement identiques entre elles, à quelques babioles visuelles près...
Si vraiment elles sont si proches, elles finiront vraissemblablement par fusionner.
Mais rien que le fait que *deux* équipes aient fait *exactement* le même boulot est amha idiot. Que la deuxième se soit jointe à la première, ou collabore activement à l'originale, pourquoi pas, mais il y a là une démarche qui m'échappe.
Benjamin FRANCOIS
Michel Talon s'est exprimé en ces termes:
Corel Linux était commercial. Gentoo pourrait n'intéresser que 100 personnes sur terre et continuer indéfiniment.
Stampede Linux n'était pas commercial. Qui s'en souvient encore ?
http://www.stampede.org/news.php3
-- <reidman> why is there an ad for Windows Media Player on the Apple Quicktime site?? <|Dan|> god only knows why <|Dan|> and he's laughing
Michel Talon s'est exprimé en ces termes:
Corel Linux était commercial. Gentoo pourrait n'intéresser que 100 personnes
sur terre et continuer indéfiniment.
Stampede Linux n'était pas commercial. Qui s'en souvient encore ?
http://www.stampede.org/news.php3
--
<reidman> why is there an ad for Windows Media Player on the Apple Quicktime
site??
<|Dan|> god only knows why
<|Dan|> and he's laughing
Corel Linux était commercial. Gentoo pourrait n'intéresser que 100 personnes sur terre et continuer indéfiniment.
Stampede Linux n'était pas commercial. Qui s'en souvient encore ?
http://www.stampede.org/news.php3
C'est un cas particulier, puisqu'il y a eu une fuite de développeurs vers Gentoo. On peut dire la même chose pour la distribution Enoch, d'ailleurs.
tpg
Jerome Lambert writes:
Le tant décrié format rpm est au coeur des distributions majeures que sont RedHat, SUSE et Mandriva, et il semble qu'OpenOffice 2 ne soit disponible via le site officiel que sous ce format, en lieu et place du traditionnel .tar.gz.
Décrié par qui ? Et pourquoi ? La plupart des récriminations que j'ai lues étaient bidons.
D'un autre côté, des distributions comme Mandrake ou Fedora ont eu des commentaires assassins sur leur stabilité, leur rapidité ou leurs (manque de) fonctionnalités, et pourtant elles connaissent un beau succès.
Une fois encore, entre les soi-disant "tests" qui se bornent à raconter la procédure d'install et à lister les menus de Gnome/KDE et les guéguerres de boutonneux « ma distrib est mieux que la tienne, nananère », « même pas vrai », ... y'a pas beaucoup d'information pertinente sur le sujet. Si ce n'est qu'il y a des gens qui utilisent ces distribs et que chez eux ça marche. Et puis s'il y a des bugs, y'a des updates pour ça.
-- You're a ha-a-a-ard man, McGee!
Jerome Lambert <jerome.lambert@swing.be> writes:
Le tant décrié format rpm est au coeur des distributions majeures que
sont RedHat, SUSE et Mandriva, et il semble qu'OpenOffice 2 ne soit
disponible via le site officiel que sous ce format, en lieu et place
du traditionnel .tar.gz.
Décrié par qui ? Et pourquoi ? La plupart des récriminations que
j'ai lues étaient bidons.
D'un autre côté, des distributions comme Mandrake ou Fedora ont eu des
commentaires assassins sur leur stabilité, leur rapidité ou leurs
(manque de) fonctionnalités, et pourtant elles connaissent un beau
succès.
Une fois encore, entre les soi-disant "tests" qui se bornent à
raconter la procédure d'install et à lister les menus de Gnome/KDE et
les guéguerres de boutonneux « ma distrib est mieux que la tienne,
nananère », « même pas vrai », ... y'a pas beaucoup d'information
pertinente sur le sujet. Si ce n'est qu'il y a des gens qui utilisent
ces distribs et que chez eux ça marche. Et puis s'il y a des bugs,
y'a des updates pour ça.
Le tant décrié format rpm est au coeur des distributions majeures que sont RedHat, SUSE et Mandriva, et il semble qu'OpenOffice 2 ne soit disponible via le site officiel que sous ce format, en lieu et place du traditionnel .tar.gz.
Décrié par qui ? Et pourquoi ? La plupart des récriminations que j'ai lues étaient bidons.
D'un autre côté, des distributions comme Mandrake ou Fedora ont eu des commentaires assassins sur leur stabilité, leur rapidité ou leurs (manque de) fonctionnalités, et pourtant elles connaissent un beau succès.
Une fois encore, entre les soi-disant "tests" qui se bornent à raconter la procédure d'install et à lister les menus de Gnome/KDE et les guéguerres de boutonneux « ma distrib est mieux que la tienne, nananère », « même pas vrai », ... y'a pas beaucoup d'information pertinente sur le sujet. Si ce n'est qu'il y a des gens qui utilisent ces distribs et que chez eux ça marche. Et puis s'il y a des bugs, y'a des updates pour ça.