Mais on peut très bien vivre dans une banlieue dite "défavorisée"...
J'en suis témoin.
Mais on peut très bien vivre dans une banlieue dite "défavorisée"...
J'en suis témoin.
Mais on peut très bien vivre dans une banlieue dite "défavorisée"...
J'en suis témoin.
Sauf qu'une politique de tolérance zéro organisé par M. Bloomberg et ses
prédécésseurs ont rendu New-York une villa très sûr. Ce n'est plus les
années 80'
Sauf qu'une politique de tolérance zéro organisé par M. Bloomberg et ses
prédécésseurs ont rendu New-York une villa très sûr. Ce n'est plus les
années 80'
Sauf qu'une politique de tolérance zéro organisé par M. Bloomberg et ses
prédécésseurs ont rendu New-York une villa très sûr. Ce n'est plus les
années 80'
Je n'ai jamais dit celà. Je dis juste que les criminels sont des
personnes humaines et que rien ne peut justifier la torture ou
d'autres moyens du même acabit.
Donc, leur système judiciaire n'est pas meilleur que le notre, en
dépit du fait qu'il n'y a aucun pays au monde avec autant de gens en
prison. (voir les rapports d'Amnesty International ou de Human Rights
Watch pour les chiffres précis).
C'est partiellement vrai. La prison permet d'éloigner un temps des
personnes qui se révèlent dangereuse pour la cohésion de la société.
Mais, si on ne les relache jamais ou si on les relache sans suivi,
elle ne fait qu'agraver le mal. Il est clair, par exemple, que la
prison préventive est le meilleur moyen de transformer de petits
délinquants en criminels. En effet, un gamin qui vole une mobilette
et se retrouve 6 mois, voire un an en préventive s'aperçoit vite
qu'il n'aurait pas écopé de plus en faisant un plus gros coup. Et en
cotoyant en prison de vrais criminels, il apprend la "vraie" grande
délinquance. La conclusion est que la préventive (qui est, dans son
principe même, contraire aux bases du droit français, d'ailleurs) est
un moyen de se voiler la face mais ne fait qu'agraver les problèmes.
Pensez aux victimes d'abord ;)
Et tu crois que le fait de mettre en taule des innocents ou un gamin
qui a sauté par dessus les tourniquets SNCF arrange le traitement des
victimes ?
Ce sont des problèmes qui n'ont pas de rapport direct. Que
la justice française ai besoin de mieux traiter les victimes, ce
n'est pas un scoop: son but a toujours, jusqu'à aujourd'hui, de
s'occuper des conséquences des actes malveillants sur la société, non
pas de réparer un quelconque préjudice (c'est une notion assez
récente, en France).
Mais le fait de mettre n'importe qui en prison
n'a aucune incidence sur les victimes de ces actes.
Par contre, un
suivi des anciens criminels, un travail de réinsertion (après un
passage en prison, si on l'estime nécessaire) est un moyen prouvé
d'éviter, ou au moins de réduire, la récidive. Un suivi mental des
criminels serait aussi bienvenu: on estime que 25 à 30 % des
prisonniers français auraient besoin de soin. Ce n'est pas en les
mettants en prison et en les relachants quelques années plus tard
qu'on contribue à rétablir leur santé mentale. Encore une fois, je ne
dis pas que la prison n'est pas nécessaire. Je dis juste qu'elle
n'est en aucun cas la solution ultime à nos problèmes de société et
qu'il faudrait appliquer les sanctions et les soins éventuels avec un
minimum de discernement.
Je n'ai jamais dit celà. Je dis juste que les criminels sont des
personnes humaines et que rien ne peut justifier la torture ou
d'autres moyens du même acabit.
Donc, leur système judiciaire n'est pas meilleur que le notre, en
dépit du fait qu'il n'y a aucun pays au monde avec autant de gens en
prison. (voir les rapports d'Amnesty International ou de Human Rights
Watch pour les chiffres précis).
C'est partiellement vrai. La prison permet d'éloigner un temps des
personnes qui se révèlent dangereuse pour la cohésion de la société.
Mais, si on ne les relache jamais ou si on les relache sans suivi,
elle ne fait qu'agraver le mal. Il est clair, par exemple, que la
prison préventive est le meilleur moyen de transformer de petits
délinquants en criminels. En effet, un gamin qui vole une mobilette
et se retrouve 6 mois, voire un an en préventive s'aperçoit vite
qu'il n'aurait pas écopé de plus en faisant un plus gros coup. Et en
cotoyant en prison de vrais criminels, il apprend la "vraie" grande
délinquance. La conclusion est que la préventive (qui est, dans son
principe même, contraire aux bases du droit français, d'ailleurs) est
un moyen de se voiler la face mais ne fait qu'agraver les problèmes.
Pensez aux victimes d'abord ;)
Et tu crois que le fait de mettre en taule des innocents ou un gamin
qui a sauté par dessus les tourniquets SNCF arrange le traitement des
victimes ?
Ce sont des problèmes qui n'ont pas de rapport direct. Que
la justice française ai besoin de mieux traiter les victimes, ce
n'est pas un scoop: son but a toujours, jusqu'à aujourd'hui, de
s'occuper des conséquences des actes malveillants sur la société, non
pas de réparer un quelconque préjudice (c'est une notion assez
récente, en France).
Mais le fait de mettre n'importe qui en prison
n'a aucune incidence sur les victimes de ces actes.
Par contre, un
suivi des anciens criminels, un travail de réinsertion (après un
passage en prison, si on l'estime nécessaire) est un moyen prouvé
d'éviter, ou au moins de réduire, la récidive. Un suivi mental des
criminels serait aussi bienvenu: on estime que 25 à 30 % des
prisonniers français auraient besoin de soin. Ce n'est pas en les
mettants en prison et en les relachants quelques années plus tard
qu'on contribue à rétablir leur santé mentale. Encore une fois, je ne
dis pas que la prison n'est pas nécessaire. Je dis juste qu'elle
n'est en aucun cas la solution ultime à nos problèmes de société et
qu'il faudrait appliquer les sanctions et les soins éventuels avec un
minimum de discernement.
Je n'ai jamais dit celà. Je dis juste que les criminels sont des
personnes humaines et que rien ne peut justifier la torture ou
d'autres moyens du même acabit.
Donc, leur système judiciaire n'est pas meilleur que le notre, en
dépit du fait qu'il n'y a aucun pays au monde avec autant de gens en
prison. (voir les rapports d'Amnesty International ou de Human Rights
Watch pour les chiffres précis).
C'est partiellement vrai. La prison permet d'éloigner un temps des
personnes qui se révèlent dangereuse pour la cohésion de la société.
Mais, si on ne les relache jamais ou si on les relache sans suivi,
elle ne fait qu'agraver le mal. Il est clair, par exemple, que la
prison préventive est le meilleur moyen de transformer de petits
délinquants en criminels. En effet, un gamin qui vole une mobilette
et se retrouve 6 mois, voire un an en préventive s'aperçoit vite
qu'il n'aurait pas écopé de plus en faisant un plus gros coup. Et en
cotoyant en prison de vrais criminels, il apprend la "vraie" grande
délinquance. La conclusion est que la préventive (qui est, dans son
principe même, contraire aux bases du droit français, d'ailleurs) est
un moyen de se voiler la face mais ne fait qu'agraver les problèmes.
Pensez aux victimes d'abord ;)
Et tu crois que le fait de mettre en taule des innocents ou un gamin
qui a sauté par dessus les tourniquets SNCF arrange le traitement des
victimes ?
Ce sont des problèmes qui n'ont pas de rapport direct. Que
la justice française ai besoin de mieux traiter les victimes, ce
n'est pas un scoop: son but a toujours, jusqu'à aujourd'hui, de
s'occuper des conséquences des actes malveillants sur la société, non
pas de réparer un quelconque préjudice (c'est une notion assez
récente, en France).
Mais le fait de mettre n'importe qui en prison
n'a aucune incidence sur les victimes de ces actes.
Par contre, un
suivi des anciens criminels, un travail de réinsertion (après un
passage en prison, si on l'estime nécessaire) est un moyen prouvé
d'éviter, ou au moins de réduire, la récidive. Un suivi mental des
criminels serait aussi bienvenu: on estime que 25 à 30 % des
prisonniers français auraient besoin de soin. Ce n'est pas en les
mettants en prison et en les relachants quelques années plus tard
qu'on contribue à rétablir leur santé mentale. Encore une fois, je ne
dis pas que la prison n'est pas nécessaire. Je dis juste qu'elle
n'est en aucun cas la solution ultime à nos problèmes de société et
qu'il faudrait appliquer les sanctions et les soins éventuels avec un
minimum de discernement.
Autrement dit, si je te comprends bien, c'est le genre de mesure qui revi ent
exactement au même, pour parler sous, que de taxer les entreprises en q uestion
et de filer le produit de cette taxe à la recherche, la seule différe nce étant
que l'entreprise sait assurément que ses sous sont allés à telle ou telle
recherche.
Il me semblait que le vrai problème était que tout le monde,
entreprise et particuliers est écrasé de taxes, et que ça paralyse complètement
l'économie.
Même l'exemple des pays nordiques a prouvé que la seule solution
est de diminuer drastiquement le nombre de fonctionnaires (il a été d ivisé par
2 en Finlande) pour faire des économies, réduire les taxes et investi r dans
les secteurs où cet investissement est utile. Devant les départs mass ifs à la
retraîte dans la fonction publique, il me semble que procéder à cet te
opération pourrait être indolore, si on n'écoutait pas les différ ents
clientélismes.
Exemple typique, quand on a supprimé les frontières entre pays
europééns, on n'a pas supprimé la douane, on lui a trouvé une nou velle
mission, lutter contre le grand fantasme des français, le trafic de dro gue.
Tout ça c'est de l'argent jeté par les fenêtres, sans parler de l'a tteinte aux
libertés. La collecte et le contrôle de l'impôt sur le revenu coute presque
autant que ce qu'il rapporte, et crée des situations dans lesquelles
la moitié des foyers fiscaux ne payent absolument rien (certes parcequ' ils ont
peu de revenu), tandis que d'autres sont spoliés de plus de la moitié de
leur revenu, ce qui crée inévitablement des ressentiments phénomé naux.
On
ne coupe plus les têtes des aristocrates, on se contente de raccourcir leur
portefeuille. L'enseignement primaire et secondaire est la machine avec
le rendement thermodynamique le plus faible de la galaxie. On y emploie
une armée de professeurs, "la plus nombreuse derrière l'armée rouge ",
tous a priori hyper qualifiés pour ne pas dire totalement surqualifié s, tout
ça pour former des générations d'illettrés, comme on peut le cons tater chaque
jour sur ce groupe.
Le ministère de l'agriculture compte plus de
fonctionnaires qu'il n'y a de paysans en France, d'aprés ce qu'on m'a r aconté.
Autrement dit, si je te comprends bien, c'est le genre de mesure qui revi ent
exactement au même, pour parler sous, que de taxer les entreprises en q uestion
et de filer le produit de cette taxe à la recherche, la seule différe nce étant
que l'entreprise sait assurément que ses sous sont allés à telle ou telle
recherche.
Il me semblait que le vrai problème était que tout le monde,
entreprise et particuliers est écrasé de taxes, et que ça paralyse complètement
l'économie.
Même l'exemple des pays nordiques a prouvé que la seule solution
est de diminuer drastiquement le nombre de fonctionnaires (il a été d ivisé par
2 en Finlande) pour faire des économies, réduire les taxes et investi r dans
les secteurs où cet investissement est utile. Devant les départs mass ifs à la
retraîte dans la fonction publique, il me semble que procéder à cet te
opération pourrait être indolore, si on n'écoutait pas les différ ents
clientélismes.
Exemple typique, quand on a supprimé les frontières entre pays
europééns, on n'a pas supprimé la douane, on lui a trouvé une nou velle
mission, lutter contre le grand fantasme des français, le trafic de dro gue.
Tout ça c'est de l'argent jeté par les fenêtres, sans parler de l'a tteinte aux
libertés. La collecte et le contrôle de l'impôt sur le revenu coute presque
autant que ce qu'il rapporte, et crée des situations dans lesquelles
la moitié des foyers fiscaux ne payent absolument rien (certes parcequ' ils ont
peu de revenu), tandis que d'autres sont spoliés de plus de la moitié de
leur revenu, ce qui crée inévitablement des ressentiments phénomé naux.
On
ne coupe plus les têtes des aristocrates, on se contente de raccourcir leur
portefeuille. L'enseignement primaire et secondaire est la machine avec
le rendement thermodynamique le plus faible de la galaxie. On y emploie
une armée de professeurs, "la plus nombreuse derrière l'armée rouge ",
tous a priori hyper qualifiés pour ne pas dire totalement surqualifié s, tout
ça pour former des générations d'illettrés, comme on peut le cons tater chaque
jour sur ce groupe.
Le ministère de l'agriculture compte plus de
fonctionnaires qu'il n'y a de paysans en France, d'aprés ce qu'on m'a r aconté.
Autrement dit, si je te comprends bien, c'est le genre de mesure qui revi ent
exactement au même, pour parler sous, que de taxer les entreprises en q uestion
et de filer le produit de cette taxe à la recherche, la seule différe nce étant
que l'entreprise sait assurément que ses sous sont allés à telle ou telle
recherche.
Il me semblait que le vrai problème était que tout le monde,
entreprise et particuliers est écrasé de taxes, et que ça paralyse complètement
l'économie.
Même l'exemple des pays nordiques a prouvé que la seule solution
est de diminuer drastiquement le nombre de fonctionnaires (il a été d ivisé par
2 en Finlande) pour faire des économies, réduire les taxes et investi r dans
les secteurs où cet investissement est utile. Devant les départs mass ifs à la
retraîte dans la fonction publique, il me semble que procéder à cet te
opération pourrait être indolore, si on n'écoutait pas les différ ents
clientélismes.
Exemple typique, quand on a supprimé les frontières entre pays
europééns, on n'a pas supprimé la douane, on lui a trouvé une nou velle
mission, lutter contre le grand fantasme des français, le trafic de dro gue.
Tout ça c'est de l'argent jeté par les fenêtres, sans parler de l'a tteinte aux
libertés. La collecte et le contrôle de l'impôt sur le revenu coute presque
autant que ce qu'il rapporte, et crée des situations dans lesquelles
la moitié des foyers fiscaux ne payent absolument rien (certes parcequ' ils ont
peu de revenu), tandis que d'autres sont spoliés de plus de la moitié de
leur revenu, ce qui crée inévitablement des ressentiments phénomé naux.
On
ne coupe plus les têtes des aristocrates, on se contente de raccourcir leur
portefeuille. L'enseignement primaire et secondaire est la machine avec
le rendement thermodynamique le plus faible de la galaxie. On y emploie
une armée de professeurs, "la plus nombreuse derrière l'armée rouge ",
tous a priori hyper qualifiés pour ne pas dire totalement surqualifié s, tout
ça pour former des générations d'illettrés, comme on peut le cons tater chaque
jour sur ce groupe.
Le ministère de l'agriculture compte plus de
fonctionnaires qu'il n'y a de paysans en France, d'aprés ce qu'on m'a r aconté.
C'est qualque chose que tu peux faire en situation de plein emploi, pas
quand le chôamge est à plus de 10%. Une fonction publique nombreuse
est un élément de relance keynésienne.
C'est qualque chose que tu peux faire en situation de plein emploi, pas
quand le chôamge est à plus de 10%. Une fonction publique nombreuse
est un élément de relance keynésienne.
C'est qualque chose que tu peux faire en situation de plein emploi, pas
quand le chôamge est à plus de 10%. Une fonction publique nombreuse
est un élément de relance keynésienne.
Arnaud wrote:Exemple de mesure d'incitation (grosso modo) : si une entreprise verse
x% de son bénéfice avant impôts à un organisme de recherche public,
son impôts est diminué du même montant.
Autrement dit, si je te comprends bien, c'est le genre de mesure qui revient
exactement au même, pour parler sous, que de taxer les entreprises en question
et de filer le produit de cette taxe à la recherche, la seule différence étant
que l'entreprise sait assurément que ses sous sont allés à telle ou telle
recherche. Il me semblait que le vrai problème était que tout le monde,
entreprise et particuliers est écrasé de taxes, et que ça paralyse complètement
l'économie. Même l'exemple des pays nordiques a prouvé que la seule solution
est de diminuer drastiquement le nombre de fonctionnaires (il a été divisé par
2 en Finlande) pour faire des économies, réduire les taxes et investir dans
les secteurs où cet investissement est utile. Devant les départs massifs à la
retraîte dans la fonction publique, il me semble que procéder à cette
opération pourrait être indolore, si on n'écoutait pas les différents
clientélismes. Exemple typique, quand on a supprimé les frontières entre pays
europééns, on n'a pas supprimé la douane, on lui a trouvé une nouvelle
mission, lutter contre le grand fantasme des français, le trafic de drogue.
Tout ça c'est de l'argent jeté par les fenêtres, sans parler de l'atteinte aux
libertés. La collecte et le contrôle de l'impôt sur le revenu coute presque
autant que ce qu'il rapporte, et crée des situations dans lesquelles
la moitié des foyers fiscaux ne payent absolument rien (certes parcequ'ils ont
peu de revenu), tandis que d'autres sont spoliés de plus de la moitié de
leur revenu, ce qui crée inévitablement des ressentiments phénoménaux. On
ne coupe plus les têtes des aristocrates, on se contente de raccourcir leur
portefeuille. L'enseignement primaire et secondaire est la machine avec
le rendement thermodynamique le plus faible de la galaxie. On y emploie
une armée de professeurs, "la plus nombreuse derrière l'armée rouge",
tous a priori hyper qualifiés pour ne pas dire totalement surqualifiés, tout
ça pour former des générations d'illettrés, comme on peut le constater chaque
jour sur ce groupe. Le ministère de l'agriculture compte plus de
fonctionnaires qu'il n'y a de paysans en France, d'aprés ce qu'on m'a raconté.
Arnaud <alebret@gmail.com> wrote:
Exemple de mesure d'incitation (grosso modo) : si une entreprise verse
x% de son bénéfice avant impôts à un organisme de recherche public,
son impôts est diminué du même montant.
Autrement dit, si je te comprends bien, c'est le genre de mesure qui revient
exactement au même, pour parler sous, que de taxer les entreprises en question
et de filer le produit de cette taxe à la recherche, la seule différence étant
que l'entreprise sait assurément que ses sous sont allés à telle ou telle
recherche. Il me semblait que le vrai problème était que tout le monde,
entreprise et particuliers est écrasé de taxes, et que ça paralyse complètement
l'économie. Même l'exemple des pays nordiques a prouvé que la seule solution
est de diminuer drastiquement le nombre de fonctionnaires (il a été divisé par
2 en Finlande) pour faire des économies, réduire les taxes et investir dans
les secteurs où cet investissement est utile. Devant les départs massifs à la
retraîte dans la fonction publique, il me semble que procéder à cette
opération pourrait être indolore, si on n'écoutait pas les différents
clientélismes. Exemple typique, quand on a supprimé les frontières entre pays
europééns, on n'a pas supprimé la douane, on lui a trouvé une nouvelle
mission, lutter contre le grand fantasme des français, le trafic de drogue.
Tout ça c'est de l'argent jeté par les fenêtres, sans parler de l'atteinte aux
libertés. La collecte et le contrôle de l'impôt sur le revenu coute presque
autant que ce qu'il rapporte, et crée des situations dans lesquelles
la moitié des foyers fiscaux ne payent absolument rien (certes parcequ'ils ont
peu de revenu), tandis que d'autres sont spoliés de plus de la moitié de
leur revenu, ce qui crée inévitablement des ressentiments phénoménaux. On
ne coupe plus les têtes des aristocrates, on se contente de raccourcir leur
portefeuille. L'enseignement primaire et secondaire est la machine avec
le rendement thermodynamique le plus faible de la galaxie. On y emploie
une armée de professeurs, "la plus nombreuse derrière l'armée rouge",
tous a priori hyper qualifiés pour ne pas dire totalement surqualifiés, tout
ça pour former des générations d'illettrés, comme on peut le constater chaque
jour sur ce groupe. Le ministère de l'agriculture compte plus de
fonctionnaires qu'il n'y a de paysans en France, d'aprés ce qu'on m'a raconté.
Arnaud wrote:Exemple de mesure d'incitation (grosso modo) : si une entreprise verse
x% de son bénéfice avant impôts à un organisme de recherche public,
son impôts est diminué du même montant.
Autrement dit, si je te comprends bien, c'est le genre de mesure qui revient
exactement au même, pour parler sous, que de taxer les entreprises en question
et de filer le produit de cette taxe à la recherche, la seule différence étant
que l'entreprise sait assurément que ses sous sont allés à telle ou telle
recherche. Il me semblait que le vrai problème était que tout le monde,
entreprise et particuliers est écrasé de taxes, et que ça paralyse complètement
l'économie. Même l'exemple des pays nordiques a prouvé que la seule solution
est de diminuer drastiquement le nombre de fonctionnaires (il a été divisé par
2 en Finlande) pour faire des économies, réduire les taxes et investir dans
les secteurs où cet investissement est utile. Devant les départs massifs à la
retraîte dans la fonction publique, il me semble que procéder à cette
opération pourrait être indolore, si on n'écoutait pas les différents
clientélismes. Exemple typique, quand on a supprimé les frontières entre pays
europééns, on n'a pas supprimé la douane, on lui a trouvé une nouvelle
mission, lutter contre le grand fantasme des français, le trafic de drogue.
Tout ça c'est de l'argent jeté par les fenêtres, sans parler de l'atteinte aux
libertés. La collecte et le contrôle de l'impôt sur le revenu coute presque
autant que ce qu'il rapporte, et crée des situations dans lesquelles
la moitié des foyers fiscaux ne payent absolument rien (certes parcequ'ils ont
peu de revenu), tandis que d'autres sont spoliés de plus de la moitié de
leur revenu, ce qui crée inévitablement des ressentiments phénoménaux. On
ne coupe plus les têtes des aristocrates, on se contente de raccourcir leur
portefeuille. L'enseignement primaire et secondaire est la machine avec
le rendement thermodynamique le plus faible de la galaxie. On y emploie
une armée de professeurs, "la plus nombreuse derrière l'armée rouge",
tous a priori hyper qualifiés pour ne pas dire totalement surqualifiés, tout
ça pour former des générations d'illettrés, comme on peut le constater chaque
jour sur ce groupe. Le ministère de l'agriculture compte plus de
fonctionnaires qu'il n'y a de paysans en France, d'aprés ce qu'on m'a raconté.
Toute ressemblance avec la vague de battonites qui frappe la france est
totalement fortuite.
La politique «tolérance 0» s'attaque aux symptômes. Et aussi, je ne
pense pas que la violence soit une réponse à la violence, plutôt son
moteur.
Toute ressemblance avec la vague de battonites qui frappe la france est
totalement fortuite.
La politique «tolérance 0» s'attaque aux symptômes. Et aussi, je ne
pense pas que la violence soit une réponse à la violence, plutôt son
moteur.
Toute ressemblance avec la vague de battonites qui frappe la france est
totalement fortuite.
La politique «tolérance 0» s'attaque aux symptômes. Et aussi, je ne
pense pas que la violence soit une réponse à la violence, plutôt son
moteur.
Mais Keynes se trompait !
C'est l'offre qui crée la demande pas l'inverse.
Mais Keynes se trompait !
C'est l'offre qui crée la demande pas l'inverse.
Mais Keynes se trompait !
C'est l'offre qui crée la demande pas l'inverse.
Mais Keynes se trompait !
C'est l'offre qui crée la demande pas l'inverse.
La poule, l'oeuf, toussa...
Ca dépend complètement du type de bien ou de service.
Et Laffer (qui a récupéré les idées de Say) s'opposait à Keynes
pour des raisons théoriques, pas empiriques.
Mais Keynes se trompait !
C'est l'offre qui crée la demande pas l'inverse.
La poule, l'oeuf, toussa...
Ca dépend complètement du type de bien ou de service.
Et Laffer (qui a récupéré les idées de Say) s'opposait à Keynes
pour des raisons théoriques, pas empiriques.
Mais Keynes se trompait !
C'est l'offre qui crée la demande pas l'inverse.
La poule, l'oeuf, toussa...
Ca dépend complètement du type de bien ou de service.
Et Laffer (qui a récupéré les idées de Say) s'opposait à Keynes
pour des raisons théoriques, pas empiriques.