Des pointures de la veille =E9conomique, parle d'un retard du =E0 un Etat
centralis=E9, et =E0 un corporatisme(Jacobinisme), qui entrave le bon
d=E9veloppement de nouvelle technologie!
D'autre ajoute, une administration et un secteur priv=E9 qui travail dos
=E0 dos et non main dans la main !
Quels sont les autres raison =E0 votre avis de ce retard ?
(Dans le LL)!
il y a personne qui connait le numero de telephone ou l'email du commissaire en charge de la recherche et de l'industrie a l'union europeenne
-- _/°< coin
Stephane TOUGARD
Blaise Potard wrote:
Tu pourrais donner des exemples de politique monetaire contradictoire ? Et bien, la £ivre qui baisse, alors que l'uro monte, par exemple. Je ne
D'accord, t'es de mauvaise foi. Je comprends mieux.
Il est tres clair que quand on parle de l'economie de l'Europe, on parle de la zone Euro. Surtout lorsqu'en plus on parle des consequences de cette economie sur la France, pays DANS la zone Euro.
L'Inde est la plus grande démocratie au monde, et à part leurs différents avec le Pakistan et leur problème de natalité, c'est un des pays qui monte le plus actuellement. L'économie est florissante, l'évolution des mentalités se fait à vitesse grand V, etc; tout ça dans un pays qui a à peine plus de 50 ans.
Oui oui, vas-y, visite, fais du business avec eux, regarde ce qu'on entend par economie "florissante", ensuite tu reviendras nous en parler.
L'Inde, ca ressemble plus a l'economie sauvage, un respect des droits de l'homme dont la morale est on ne peut plus elastique, des infrastructures qui ressemblent a celles d'un pays Africain en guerre pdt une journee de greve generalisee ...
-- http://www.unices.org Les meilleurs modules de Perl http://www.unices.org/photo/ 270 photos de Singapour, Sydney et Seoul http://artlibre.org/ Free Art License
Blaise Potard wrote:
Tu pourrais donner des exemples de politique monetaire contradictoire ?
Et bien, la £ivre qui baisse, alors que l'uro monte, par exemple. Je ne
D'accord, t'es de mauvaise foi. Je comprends mieux.
Il est tres clair que quand on parle de l'economie de l'Europe, on parle
de la zone Euro. Surtout lorsqu'en plus on parle des consequences de
cette economie sur la France, pays DANS la zone Euro.
L'Inde est la plus grande démocratie au monde, et à part leurs
différents avec le Pakistan et leur problème de natalité, c'est un des
pays qui monte le plus actuellement. L'économie est florissante,
l'évolution des mentalités se fait à vitesse grand V, etc; tout ça dans
un pays qui a à peine plus de 50 ans.
Oui oui, vas-y, visite, fais du business avec eux, regarde ce qu'on
entend par economie "florissante", ensuite tu reviendras nous en parler.
L'Inde, ca ressemble plus a l'economie sauvage, un respect des droits de
l'homme dont la morale est on ne peut plus elastique, des
infrastructures qui ressemblent a celles d'un pays Africain en guerre
pdt une journee de greve generalisee ...
--
http://www.unices.org Les meilleurs modules de Perl
http://www.unices.org/photo/ 270 photos de Singapour, Sydney et Seoul
http://artlibre.org/ Free Art License
Tu pourrais donner des exemples de politique monetaire contradictoire ? Et bien, la £ivre qui baisse, alors que l'uro monte, par exemple. Je ne
D'accord, t'es de mauvaise foi. Je comprends mieux.
Il est tres clair que quand on parle de l'economie de l'Europe, on parle de la zone Euro. Surtout lorsqu'en plus on parle des consequences de cette economie sur la France, pays DANS la zone Euro.
L'Inde est la plus grande démocratie au monde, et à part leurs différents avec le Pakistan et leur problème de natalité, c'est un des pays qui monte le plus actuellement. L'économie est florissante, l'évolution des mentalités se fait à vitesse grand V, etc; tout ça dans un pays qui a à peine plus de 50 ans.
Oui oui, vas-y, visite, fais du business avec eux, regarde ce qu'on entend par economie "florissante", ensuite tu reviendras nous en parler.
L'Inde, ca ressemble plus a l'economie sauvage, un respect des droits de l'homme dont la morale est on ne peut plus elastique, des infrastructures qui ressemblent a celles d'un pays Africain en guerre pdt une journee de greve generalisee ...
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remy
"Richard Delorme" a écrit dans le message de news:42a5c8ca$0$301$
plus je reflechis plus je trouve ma boutade de moins en moins stupide il y a personne qui connait le numero de telephone ou l'email du commissaire en charge de la recherche et de l'industrie a l'union europeenne
je croix surtout qu'il et temp pour moi de rallume ma tele sur tf1
by by remy
"Richard Delorme" <abulmo@nospam.fr> a écrit dans le message de
news:42a5c8ca$0$301$7a628cd7@news.club-internet.fr...
plus je reflechis plus je trouve ma boutade de moins en moins stupide
il y a personne qui connait le numero de telephone ou l'email
du commissaire en charge de la recherche et de l'industrie
a l'union europeenne
"Richard Delorme" a écrit dans le message de news:42a5c8ca$0$301$
plus je reflechis plus je trouve ma boutade de moins en moins stupide il y a personne qui connait le numero de telephone ou l'email du commissaire en charge de la recherche et de l'industrie a l'union europeenne
je croix surtout qu'il et temp pour moi de rallume ma tele sur tf1
by by remy
pehache
Laurent BERNE wrote:
Quand on voit le fric que ca coute un élève en enseignement scientifique.. Tout ça pour faire un(e) instit dont le plus haut nive au de math qu'il enseignera ne dépassera la division.
Sans compter que l'instit ainsi formé a par conséquent un salaire de prof, et non pas le salaire des anciens instits, donc coute bien plus cher, mais en même temps sera rapidement dégouté de son boulot qui ne correspo nd en rien à sa formation, et deviendra aigri, ou cherchera à changer de boulot.
Je pense personnellement qu'il y a effectivement un problème fondamental dans le recrutement des professeurs des écoles et des professeurs de collèges, dans le sens où le critère principal de sélection continue de porter avant tout sur les connaissances, bien plus que sur les qualités pédagogiques ou tout simplement la (réelle) motivation pour exercer le métier d'enseignant. Combien je vois de gens autour de moi qui se dirigent vers ce métier en ayant autant de prédispositions pour l'exercer que moi pour jouer du violon (càd aucune).
Par contre, je vois dans ton discours une dévalorisation étonnante du métier de professeur des écoles. Je ne trouve pas fondamentalement anormal de recruter au niveau licence, non pas parce qu'il faut un niveau de connaissance de licence pour être prof des écoles, mais parce qu'en atteignant ce niveau on montre (en principe) qu'on a la tête bien faite et que l'on sait raisonner. Le niveau bac, aujourd'hui c'est quoi ? Pas grand-chose... De même, sur le salaire, je ne trouve pas du tout que les professeurs des écoles soient trop payés au regard de leur mission. Enseigner en école demande autant de capacités -peut-être même plus à mon avis- que pour enseigner en collège, et il me semble tout à fait normal que les profs des écoles soient traités au même niveau que les profs de collège.
Plus généralement c'est toute la fonction publique qui est surqualifi ée, ce qui augmente grandement le mécontentement des fonctionnaires, mais vraisemblablement pas le rendement. Par exemple quand tu vois que des licenciés en droit deviennent simple gendarme, pour faire le guet au pi ed d'un radar le long des nationales, je ne suis pas sûr que ce soit un bon emp loi des deniers publics.
Là par contre je te suis à 100%
Malheureusement je ne vois pas de solution à ce problème tant que le privé ne fournira pas des postes *beaucoup* mieux payés aux diplômés que dan s le public, comme c'était le cas autrefois, avant que le privé ne prolé tarise complètement les ingénieurs - voire refuse radicalement d'engager des docteurs. La cause principale de la "fuite des cerveaux", c'est là qu'i l faut la chercher, pour le moment.
Quand on voit le fric que ca coute un élève en enseignement
scientifique.. Tout ça pour faire un(e) instit dont le plus haut nive au
de math qu'il enseignera ne dépassera la division.
Sans compter que l'instit ainsi formé a par conséquent un salaire de prof,
et non pas le salaire des anciens instits, donc coute bien plus cher, mais
en même temps sera rapidement dégouté de son boulot qui ne correspo nd en rien à
sa formation, et deviendra aigri, ou cherchera à changer de boulot.
Je pense personnellement qu'il y a effectivement un problème
fondamental dans le recrutement des professeurs des écoles et des
professeurs de collèges, dans le sens où le critère principal de
sélection continue de porter avant tout sur les connaissances, bien
plus que sur les qualités pédagogiques ou tout simplement la
(réelle) motivation pour exercer le métier d'enseignant. Combien je
vois de gens autour de moi qui se dirigent vers ce métier en ayant
autant de prédispositions pour l'exercer que moi pour jouer du violon
(càd aucune).
Par contre, je vois dans ton discours une dévalorisation étonnante du
métier de professeur des écoles. Je ne trouve pas fondamentalement
anormal de recruter au niveau licence, non pas parce qu'il faut un
niveau de connaissance de licence pour être prof des écoles, mais
parce qu'en atteignant ce niveau on montre (en principe) qu'on a la
tête bien faite et que l'on sait raisonner. Le niveau bac, aujourd'hui
c'est quoi ? Pas grand-chose... De même, sur le salaire, je ne trouve
pas du tout que les professeurs des écoles soient trop payés au
regard de leur mission. Enseigner en école demande autant de
capacités -peut-être même plus à mon avis- que pour enseigner en
collège, et il me semble tout à fait normal que les profs des écoles
soient traités au même niveau que les profs de collège.
Plus généralement c'est toute la fonction publique qui est surqualifi ée, ce
qui augmente grandement le mécontentement des fonctionnaires, mais
vraisemblablement pas le rendement. Par exemple quand tu vois que des
licenciés en droit deviennent simple gendarme, pour faire le guet au pi ed d'un
radar le long des nationales, je ne suis pas sûr que ce soit un bon emp loi des
deniers publics.
Là par contre je te suis à 100%
Malheureusement je ne vois pas de solution à ce problème tant que le privé ne
fournira pas des postes *beaucoup* mieux payés aux diplômés que dan s le
public, comme c'était le cas autrefois, avant que le privé ne prolé tarise
complètement les ingénieurs - voire refuse radicalement d'engager des
docteurs. La cause principale de la "fuite des cerveaux", c'est là qu'i l faut
la chercher, pour le moment.
Quand on voit le fric que ca coute un élève en enseignement scientifique.. Tout ça pour faire un(e) instit dont le plus haut nive au de math qu'il enseignera ne dépassera la division.
Sans compter que l'instit ainsi formé a par conséquent un salaire de prof, et non pas le salaire des anciens instits, donc coute bien plus cher, mais en même temps sera rapidement dégouté de son boulot qui ne correspo nd en rien à sa formation, et deviendra aigri, ou cherchera à changer de boulot.
Je pense personnellement qu'il y a effectivement un problème fondamental dans le recrutement des professeurs des écoles et des professeurs de collèges, dans le sens où le critère principal de sélection continue de porter avant tout sur les connaissances, bien plus que sur les qualités pédagogiques ou tout simplement la (réelle) motivation pour exercer le métier d'enseignant. Combien je vois de gens autour de moi qui se dirigent vers ce métier en ayant autant de prédispositions pour l'exercer que moi pour jouer du violon (càd aucune).
Par contre, je vois dans ton discours une dévalorisation étonnante du métier de professeur des écoles. Je ne trouve pas fondamentalement anormal de recruter au niveau licence, non pas parce qu'il faut un niveau de connaissance de licence pour être prof des écoles, mais parce qu'en atteignant ce niveau on montre (en principe) qu'on a la tête bien faite et que l'on sait raisonner. Le niveau bac, aujourd'hui c'est quoi ? Pas grand-chose... De même, sur le salaire, je ne trouve pas du tout que les professeurs des écoles soient trop payés au regard de leur mission. Enseigner en école demande autant de capacités -peut-être même plus à mon avis- que pour enseigner en collège, et il me semble tout à fait normal que les profs des écoles soient traités au même niveau que les profs de collège.
Plus généralement c'est toute la fonction publique qui est surqualifi ée, ce qui augmente grandement le mécontentement des fonctionnaires, mais vraisemblablement pas le rendement. Par exemple quand tu vois que des licenciés en droit deviennent simple gendarme, pour faire le guet au pi ed d'un radar le long des nationales, je ne suis pas sûr que ce soit un bon emp loi des deniers publics.
Là par contre je te suis à 100%
Malheureusement je ne vois pas de solution à ce problème tant que le privé ne fournira pas des postes *beaucoup* mieux payés aux diplômés que dan s le public, comme c'était le cas autrefois, avant que le privé ne prolé tarise complètement les ingénieurs - voire refuse radicalement d'engager des docteurs. La cause principale de la "fuite des cerveaux", c'est là qu'i l faut la chercher, pour le moment.
Idem
copie sur fr.education.divers
-- pehache
talon
pehache wrote:
Par contre, je vois dans ton discours une dévalorisation étonnante du métier de professeur des écoles.
Ce n'était pas du tout mon intention. J'ai eu un instituteur à l'ancienne, sorti de l'école normale avec son bac, et il faisait trés bien son travail. Je suis sorti de l'école primaire en sachant lire écrire et compter (bien mieux que maintenant ... avec la fuite du temps). Je persiste à penser que l'on n'en demande guère plus, mais qu'il faudrait que ça au moins soit assuré, et que pour celà il n'y a pas besoin du niveau licence, loin de là. De la même façon j'ai vu une étudiante de notre labo, normalienne agrégée, docteur, avec un postdoc, être affectée dans un *collège* de banlieue. Sans aucun esprit de dévalorisation, j'estime que c'est se foutre du monde. Sans vouloir polémiquer sur les salaires trop peu élevés des gens (tout le monde veut être mieux payé), employer des gens beaucoup trop qualifiés dans une fonction, avec le salaire afférent, c'est gacher l'argent public, de plusieurs manières, la plus pernicieuse étant qu'on dilapide ce qui a été investi dans leur formation.
--
Michel TALON
pehache <pehache_bidon@hotmail.com> wrote:
Par contre, je vois dans ton discours une dévalorisation étonnante du
métier de professeur des écoles.
Ce n'était pas du tout mon intention. J'ai eu un instituteur à
l'ancienne, sorti de l'école normale avec son bac, et il faisait trés bien son
travail. Je suis sorti de l'école primaire en sachant lire écrire et compter
(bien mieux que maintenant ... avec la fuite du temps). Je persiste à penser
que l'on n'en demande guère plus, mais qu'il faudrait que ça au moins soit
assuré, et que pour celà il n'y a pas besoin du niveau licence, loin de là.
De la même façon j'ai vu une étudiante de notre labo, normalienne
agrégée, docteur, avec un postdoc, être affectée dans un *collège* de
banlieue. Sans aucun esprit de dévalorisation, j'estime que c'est se foutre
du monde. Sans vouloir polémiquer sur les salaires trop peu élevés des gens
(tout le monde veut être mieux payé), employer des gens beaucoup trop
qualifiés dans une fonction, avec le salaire afférent, c'est gacher
l'argent public, de plusieurs manières, la plus pernicieuse étant qu'on
dilapide ce qui a été investi dans leur formation.
Par contre, je vois dans ton discours une dévalorisation étonnante du métier de professeur des écoles.
Ce n'était pas du tout mon intention. J'ai eu un instituteur à l'ancienne, sorti de l'école normale avec son bac, et il faisait trés bien son travail. Je suis sorti de l'école primaire en sachant lire écrire et compter (bien mieux que maintenant ... avec la fuite du temps). Je persiste à penser que l'on n'en demande guère plus, mais qu'il faudrait que ça au moins soit assuré, et que pour celà il n'y a pas besoin du niveau licence, loin de là. De la même façon j'ai vu une étudiante de notre labo, normalienne agrégée, docteur, avec un postdoc, être affectée dans un *collège* de banlieue. Sans aucun esprit de dévalorisation, j'estime que c'est se foutre du monde. Sans vouloir polémiquer sur les salaires trop peu élevés des gens (tout le monde veut être mieux payé), employer des gens beaucoup trop qualifiés dans une fonction, avec le salaire afférent, c'est gacher l'argent public, de plusieurs manières, la plus pernicieuse étant qu'on dilapide ce qui a été investi dans leur formation.
--
Michel TALON
pehache_bidon
Michel Talon wrote:
Ce n'était pas du tout mon intention. J'ai eu un instituteur à l'ancienne, sorti de l'école normale avec son bac, et il faisait trés bien son
travail. Je suis sorti de l'école primaire en sachant lire écrire et compter (bien mieux que maintenant ... avec la fuite du temps). Je persiste à penser que l'on n'en demande guère plus, mais qu'il faudrait que ça au moins soit assuré, et que pour celà il n'y a pas besoin du niveau licence, loin de là. De la même façon j'ai vu une étudiante de notre labo, normalienne agrégée, docteur, avec un postdoc, être affectée dans un *collège* de banlieue. Sans aucun esprit de dévalorisation, j'estime que c'est se foutre du monde. Sans vouloir polémiquer sur les salaires trop peu élevés des gens (tout le monde veut être mieux payé), employer des gens beaucoup trop qualifiés dans une fonction, avec le salaire afférent, c'est gacher l'argent public, de plusieurs manières, la plus pernicieuse étant qu'on dilapide ce qui a été investi dans leur formation.
Le bac d'il y a 40 ans correspondait à mon avis à un niveau supérieur au bac d'aujourd'hui. On peut peut-être dicuster sur la nécessité d'aller jusqu'au niveau licence pour le recrutement, mais je suis assez persuadé d'un autre côté que le niveau bac ne signifie plus grand-chose. Et de toutes façons même si on économisait un an ou deux sur le niveau de recrutement, je ne pense pas qu'il est souhaitable d'économiser sur le salaire des profs des écoles. Je ne dis pas qu'ils ne sont pas assez payés actuellement, mais qu'il n'y a pas de raison valable qu'ils soient moins payés que les profs de collège.
Je dis ça sans parti-pris corporatiste, car je n'ai aucun prof des écoles parmi mes proches.
Sur le reste je te l'ai dit, je suis d'accord.
pehache
-- Posté via http://www.webatou.net/ Usenet dans votre navigateur ! Complaints-To:
Michel Talon wrote:
Ce n'était pas du tout mon intention. J'ai eu un instituteur à
l'ancienne, sorti de l'école normale avec son bac, et il faisait trés bien
son
travail. Je suis sorti de l'école primaire en sachant lire écrire et compter
(bien mieux que maintenant ... avec la fuite du temps). Je persiste à penser
que l'on n'en demande guère plus, mais qu'il faudrait que ça au moins soit
assuré, et que pour celà il n'y a pas besoin du niveau licence, loin de là.
De la même façon j'ai vu une étudiante de notre labo, normalienne
agrégée, docteur, avec un postdoc, être affectée dans un *collège* de
banlieue. Sans aucun esprit de dévalorisation, j'estime que c'est se foutre
du monde. Sans vouloir polémiquer sur les salaires trop peu élevés des gens
(tout le monde veut être mieux payé), employer des gens beaucoup trop
qualifiés dans une fonction, avec le salaire afférent, c'est gacher
l'argent public, de plusieurs manières, la plus pernicieuse étant qu'on
dilapide ce qui a été investi dans leur formation.
Le bac d'il y a 40 ans correspondait à mon avis à un niveau supérieur au
bac d'aujourd'hui. On peut peut-être dicuster sur la nécessité d'aller
jusqu'au niveau licence pour le recrutement, mais je suis assez persuadé
d'un autre côté que le niveau bac ne signifie plus grand-chose. Et de
toutes façons même si on économisait un an ou deux sur le niveau de
recrutement, je ne pense pas qu'il est souhaitable d'économiser sur le
salaire des profs des écoles. Je ne dis pas qu'ils ne sont pas assez payés
actuellement, mais qu'il n'y a pas de raison valable qu'ils soient moins
payés que les profs de collège.
Je dis ça sans parti-pris corporatiste, car je n'ai aucun prof des écoles
parmi mes proches.
Sur le reste je te l'ai dit, je suis d'accord.
pehache
--
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Ce n'était pas du tout mon intention. J'ai eu un instituteur à l'ancienne, sorti de l'école normale avec son bac, et il faisait trés bien son
travail. Je suis sorti de l'école primaire en sachant lire écrire et compter (bien mieux que maintenant ... avec la fuite du temps). Je persiste à penser que l'on n'en demande guère plus, mais qu'il faudrait que ça au moins soit assuré, et que pour celà il n'y a pas besoin du niveau licence, loin de là. De la même façon j'ai vu une étudiante de notre labo, normalienne agrégée, docteur, avec un postdoc, être affectée dans un *collège* de banlieue. Sans aucun esprit de dévalorisation, j'estime que c'est se foutre du monde. Sans vouloir polémiquer sur les salaires trop peu élevés des gens (tout le monde veut être mieux payé), employer des gens beaucoup trop qualifiés dans une fonction, avec le salaire afférent, c'est gacher l'argent public, de plusieurs manières, la plus pernicieuse étant qu'on dilapide ce qui a été investi dans leur formation.
Le bac d'il y a 40 ans correspondait à mon avis à un niveau supérieur au bac d'aujourd'hui. On peut peut-être dicuster sur la nécessité d'aller jusqu'au niveau licence pour le recrutement, mais je suis assez persuadé d'un autre côté que le niveau bac ne signifie plus grand-chose. Et de toutes façons même si on économisait un an ou deux sur le niveau de recrutement, je ne pense pas qu'il est souhaitable d'économiser sur le salaire des profs des écoles. Je ne dis pas qu'ils ne sont pas assez payés actuellement, mais qu'il n'y a pas de raison valable qu'ils soient moins payés que les profs de collège.
Je dis ça sans parti-pris corporatiste, car je n'ai aucun prof des écoles parmi mes proches.
Sur le reste je te l'ai dit, je suis d'accord.
pehache
-- Posté via http://www.webatou.net/ Usenet dans votre navigateur ! Complaints-To:
Blaise Potard
pehache wrote:
Le bac d'il y a 40 ans correspondait à mon avis à un niveau supérieur au bac d'aujourd'hui.
Moi j'irai même jusqu'à dire que le bac d'il y a 40 ans correspondait à un niveau supérieur aux licences d'aujourd'hui. Quand je vois que l'on donne la licence d'informatique (en tout cas ici) à des gens incapables d'inverser une matrice 2 x 2...
Le bac d'il y a 40 ans correspondait à mon avis à un niveau supérieur au
bac d'aujourd'hui.
Moi j'irai même jusqu'à dire que le bac d'il y a 40 ans correspondait à
un niveau supérieur aux licences d'aujourd'hui. Quand je vois que l'on
donne la licence d'informatique (en tout cas ici) à des gens incapables
d'inverser une matrice 2 x 2...
Le bac d'il y a 40 ans correspondait à mon avis à un niveau supérieur au bac d'aujourd'hui.
Moi j'irai même jusqu'à dire que le bac d'il y a 40 ans correspondait à un niveau supérieur aux licences d'aujourd'hui. Quand je vois que l'on donne la licence d'informatique (en tout cas ici) à des gens incapables d'inverser une matrice 2 x 2...
Le bac d'il y a 40 ans correspondait à mon avis à un niveau supérieur au bac d'aujourd'hui.
Ben non !
Moi j'irai même jusqu'à dire que le bac d'il y a 40 ans correspondait à un niveau supérieur aux licences d'aujourd'hui. Quand je vois que l'on donne la licence d'informatique (en tout cas ici) à des gens incapables d'inverser une matrice 2 x 2...
Mais oui mais oui. C'est ce qu'on dit quand on ne sait plus de quoi on parle. Faut se tenir au courant gros lard !
Blaise Potard wrote:
pehache wrote:
Le bac d'il y a 40 ans correspondait à mon avis à un niveau
supérieur au bac d'aujourd'hui.
Ben non !
Moi j'irai même jusqu'à dire que le bac d'il y a 40 ans correspondait
à un niveau supérieur aux licences d'aujourd'hui. Quand je vois que
l'on donne la licence d'informatique (en tout cas ici) à des gens
incapables d'inverser une matrice 2 x 2...
Mais oui mais oui. C'est ce qu'on dit quand on ne sait plus
de quoi on parle. Faut se tenir au courant gros lard !
Le bac d'il y a 40 ans correspondait à mon avis à un niveau supérieur au bac d'aujourd'hui.
Ben non !
Moi j'irai même jusqu'à dire que le bac d'il y a 40 ans correspondait à un niveau supérieur aux licences d'aujourd'hui. Quand je vois que l'on donne la licence d'informatique (en tout cas ici) à des gens incapables d'inverser une matrice 2 x 2...
Mais oui mais oui. C'est ce qu'on dit quand on ne sait plus de quoi on parle. Faut se tenir au courant gros lard !