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Inscrivons, inscrivons

188 réponses
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jr
"Le collectif «Osez le féminisme!» a réclamé vendredi l’inscription du
féminicide dans le code pénal, dénonçant un système législatif
défaillant, alors que de nombreuses femmes continuent de mourir
assassinées par des hommes."

Je trouve de plus en plus qu'on devrait inscrire le chauvicide, le
petitbedonicide dans le code pénal, et le Ricide (les gens dont le nom
commence par R.)

--
http://rouillard.org/bd.jpg

10 réponses

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dmkgbt
Thomas wrote:

Dominique de Corse a exposé le 25/11/2014 :
> jr wrote:
>
>> Dominique de Corse wrote:
>>> jr wrote:
>
>>>> Non, vous observez "pratiquants" et vous inférez "doués". Je vous la
>>>> refais: il y a bien plus de Marseillais doués pour la pétanque que
>>>> d'Inuits.
>>>
>>> Heu...écrire " il y a bien plus de Marseillais que d'Inuits doués pour
>>> la pétanque" ne serais pas plus conforme à ce que vous vouliez dire?
>>
>> Il y a bien plus de Marseillais doués pour la pétanque que d'Inuits doués
>> pour la pétanque.
>
> Notez néanmoins qu'il y a probablement plus de Marseillais doués pour la
> pétanque que d'Inuits. (*)

> (*) Vu les populations respectives :-)

Cette analogie est en effet doublement stupide puisqu'en plus, elle
trouve le moyen de comparer des populations de tailles très
différentes.

150 000 Inuits au total. Bravo l'artiste.



Ceci dit, vous ne pécisez pas combien de ces Inuits sont doués pour la
pétanque, ni si les femmes Inuits sont moins douées ou plus douées que
les hommes Inuits pour la pétanque.

Je me demande aussi combien de Marseillaises sont douées pour le
machonnage des peaux de phoques et combien d'Inuites savent servir un
pastis ou une anisette.

--
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dmkgbt
Thomas wrote:

Dominique de Corse a exposé le 25/11/2014 :
> Thomas wrote:
>
>> Dominique de Corse a exprimé :
>>> Thomas wrote:
>>>
>>>
>>>> Oui ça m'arrive tout le temps de découvrir des gens ou des mouvements
>>>> incohérents, merci de le rappeler gros ballot.
>>>
>>> Parce que votre réflexion est limitée aux apparences, petit ballotin.
>>
>> Vous confondez facilement apparences et observations.
>
> Ne me faites pas crédit de vos propres défauts.
> Vos "observations" sont biaisées par vos préjugés.

Ah merci, il me manquait le troisième: "préjugés". Avec "stéréotypes"
et "clichés", ça vous constelle tout un papotage féministe et fumiste.


> Au lieu d'examiner tous les faits et d'en tirer une conclusion, vous
> prenez une hypothèse de départ ( les femmes sont moins doués que les
> hommes en maths) et vous ne retenez _que_ les faits qui confirment votre
> hypothèse.

Certainement pas. La preuve, c'est que vous ne trouvez pas les faits
qui _infirment_ ces observations en béton.



Parce que je n'en cherche pas vraiment, j'avoue : c'est d'un ennui
total.
Je trouve que mettre les mâles et les femelles d'une même espèce en
compétition pour savoir qui, en moyenne, est meilleur en maths ou en
dessin, ça n'a, au fond, aucun intérêt et que c'est même d'une
imbécillité crasse.

L'essentiel c'est que chacun et chacune se voit reconnaître le droit de
faire ce qui lui plaît et pas ce qu'un Thomas ou un religieux ou un
dictateur quelconque a décidé.

L'essentiel c'est aussi qu'à travail égal, le salaire soit égal et que
personne ne puisse impunément frapper, torturer, séquestrer une autre
personne.

Et ça, en France, c'est déjà circonscrit par des lois.
Il suffit de veiller à ce qu'elles soient appliquées et tout ira bien.

Le reste n'est que billevesées pour passer le temps.

C'est votre problème
récurrent, ma chérie, vous n'avez rien à répondre.



Peut-on - doit-on - répondre à la bêtise?

D'où vos techniques éculées consistant à préférer en permanence les
chicaneries sur des sujets connexes et insignifiants.



Le problème, c'est que je suis trop intelligente pour vous :-)

--
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dmkgbt
Thomas wrote:

jr avait prétendu :
> Thomas wrote:
>> Après mûre réflexion, jr a écrit :
>>> Thomas wrote:
>>>> jr a exposé le 24/11/2014 :
>>>>> Thomas wrote:
>>>>>> jr a présenté l'énoncé suivant :
>>>>>>> Thomas wrote:
>>>>>>>>>>>>> Vous allez découvrir un truc: envoyer tel ou tel au fond de la
>>>>>>>>>>>>> mine >>>>>>>>>>> ne
>>>>>>>>>>> relève pas de la psychologie de bobos du XXIème siècle, mais
>>>>>>>>>>> d'un >>>>>>>>> souci d'efficacité industrielle. On envoyait donc
>>>>>>>>>>> les plus forts >>>>>>>>> >>>>>>> physiquement, les plus forts
>>>>>>>>>>> psychologiquement. Ce qui fait >>>>>>>>> très, très >>>>>>> vite
>>>>>>>>>>> le tri entre hommes et femmes.
>>
>>
>>>>>>>>>>>>>> Et pour être bien sûr de tout ça, on /interdisait/ de faire le
>>>>>>>>>>>>>> >>>>>>>>>>>>
>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> contraire. >> Comme ça même pas besoin de faire le
>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> tri.
>>
>>
>>
>>>>>>>>>>>> Parallèlement, hommes et femmes considéraient qu'il était moins
>>>>>>>>>>>> grave >>>>>>>> pour > les enfants en bas âge d'être orphelins de
>>>>>>>>>>>> père que de mère. >>>>>>>> Mais rien de tel que de couper au bon
>>>>>>>>>>>> endroit, mon gros lapin.
>>>>>>>>>> 1874 : Interdiction du travail des enfants de moins de 13 ans.
>>>>>>>>>> Une interdiction en rien destinée à /brimer/ les moins de 13 ans,
>>>>>>>>>> gros >>>>>> >> niais.
>>>>>>>>>> Oui, à protéger les mineurs comme on disait protéger les femmes,
>>>>>>>>>> >>>>>>>> forcément mineures, de leurs propres errements.
>>>>>>>> Militez pour le rétablissement de la semaine des 45 heures, ducon.
>>>>>>>> C'est une insupportable infantilisation des travailleurs. Hors sujet,
>>>>>>>> dugland.
>>>>>> Votre problème de neuneu, c'est que vous n'arrivez pas à admettre que
>>>> l'interdiction de faire travailler des femmes au fond des mines puisse
>>>> être une mesure de protection des femmes.
>>>
>>> Bien au contraire, c'est exactement ce que je dis, eh ahuri.
>>
>> Certainement pas, faux jeton. Cf votre "pour être bien sûr de tout ça"
>> encore visible.
>
> On protégeait les femmes comme on protège sa bagnole en la mettant au
> garage.

Et ce n'est pas ce que vous disiez.



Sissi.
On enferme la femme à la maison "pour son propre bien" parce qu'elle est
incapable et on la surveille étroitement pour qu'elle n'aille pas
dévoyer le réceptable sacré de la semence de son homme.

--
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dmkgbt
Thomas wrote:

Il se trouve que Dominique de Corse a formulé :
> Thomas wrote:
>
>> Dominique de Corse a formulé la demande :
>>> Thomas wrote:
>>>
>>>
>>>> Parallèlement, hommes et femmes considéraient qu'il était moins grave
>>>> pour les enfants en bas âge d'être orphelins de père que de mère.
>>>>
>>>> Mais rien de tel que de couper au bon endroit, mon gros lapin.
>>>
>>> Et c'est pour leur éviter d'être orphelins qu'ils les envoyaient pousser
>>> des wagonnets au fond de la mine...
>>
>> C'est pour leur éviter d'être tués que ce travail a été interdit.
>
> Oui, mais après les avoir employés comme bétail et sur la pression
> d'adultes extérieurs au monde de la mine.
> Les patrons mâles des entreprises minières ont hautement protesté contre
> ces "lois scélérates" qui les privaient de main d'œuvre à bon marché et
> facile à remplacer.

Sources ? "Les" patrons mâles, avez-vous dit...



Trouvez moi une patronne d'entreprise minière au XIXème siècle...
Ou une patronne de filature (où par contre vous trouverez jusqu'à 70%
d'ouvrières et d'efants)

Sur le travail des enfants et des femmes dans les mines, relisez
Germinal : Zola travaillait sur fiches et sur ses propres constatations.

Sur le travail des femmes et la "morale", sur le travail des enfants,
sur ce qui amenait à la prostitution, relisez Les Misérables de Victor
Hugo. Vous vous souvenez de la raison qui oblige Fantine à abandonner
Cosette aux Thénardier puis à se prostituer pour payer sa pension?

------
Le père Madeleine demandait aux hommes de la bonne volonté, aux femmes
des mœurs pures, à tous de la probité. Il avait divisé les ateliers afin
de séparer les sexes et que les filles et les femmes pussent rester
sages. Sur ce point, il était inflexible. C'était le seul où il fût en
quelque sorte intolérant.
...
Bref, on sut que Fantine avait un enfant. « Ce devait être une espèce de
fille.» Il se trouva une commère qui fit le voyage de Montfermeil, parla
aux Thénardier, et dit à son retour : « Pour mes trente-cinq francs,
j'en ai eu le cœur net. J'ai vu l'enfant ! »
...

Fantine était depuis plus d'un an à la fabrique, lorsqu'un matin la
surveillante de l'atelier lui remit, de la part de M. le maire,
cinquante francs, en lui disant qu'elle ne faisait plus partie de
l'atelier et en l'engageant, de la part de M. le maire, à quitter le
pays.
------------


Sur le travail des femmes et des enfants, encore, lisez la seconde œuvre
d'Hector Malot dont on ne connait bien souvent que le Sans Famille.
Lisez donc En Famille, ça se passe dans la Somme, du côté de Flixecourt,
là où les grands patrons des filatures et des tissages exploitaient des
milliers de femmes et d'enfants.


> D'ailleurs, au XXIème siècle, les entreprises qui délocalisent dans les
> pays émergeants ne sont pas si regardant.
> Là encore, il faut une pression extérieure à leur petit monde pour
> retirer les marchés aux entreprises locales qui exploitent des enfants.
>
> Et, sur le travail des enfants dans le monde agricole, vous n'ignorez
> pas que les vacances scolaires d'été ont été une concession aux paysans
> pour que leurs enfants puissent travailler aux champs au lieu de "perdre
> leur temps" à l'école?

Ça les empêchait d'aller à l'école 9 mois par an comme de nos jours ?



"Au XIXè siècle, le travail des enfants , la dispersion de l'habitat, la
distance de l'habitation de l'enfant à l'école, l'idée paysanne que
l'instruction est un luxe inutile, l'extrême pauvreté des parents
« indigents » constituent des obstacles réels à la scolarisation de tous
les enfants
...
Beaucoup de parents n'envoient pas leurs enfants à l'école car ces
derniers travaillent à l'usine, gardent les troupeaux ou sont loués
comme domestiques, employés ou pâtres. Comme le rappelle un rapport
rédigé par un inspecteur d'Académie du Cher en novembre1839 «... les
cultivateurs et fermiers ont trop besoin de leurs enfants pour les
envoyer à l'école (…) et les faire instruire à leurs dépends... ». La
scolarisation et le travail des enfants s'excluent donc
mutuellement .
Ce besoin de main d'œuvre gratuite n'empêche pas toujours la
scolarisation mais s'oppose à une fréquentation régulière. On peut
parler de désertion des classes durant l'été et plus généralement
pendant les périodes de travaux agricoles (vendanges d'automne...).
Sachant que les enfants quittent très tôt l'école, dès leur première
communion vers 11 ou 12 ans, la durée de scolarité se trouve alors très
réduite, ce qui limite les progrès de l'alphabétisation.
....
Les lois Ferry de 1881, 1882 et 1886 qui décrètent que l'école primaire
publique doit être gratuite, laïque et obligatoire jusqu'à l'âge de 13
ans ne provoquent pas un afflux massif de nouveaux élèves dans les
classes. Ces lois ne peuvent supprimer subitement toutes les causes de
la non-scolarisation qui se prolongent longtemps après, en particulier à
la campagne, mais allongent la durée de la scolarité des élèves,
permettant ainsi un enseignement plus efficace. Par contre, la loi sur
l'obligation scolaire du 28 mars 1882 marque un réel changement dans la
scolarisation des enfants ouvriers : l'embauche d'un enfant à l'usine
est rendue plus compliquée et les patrons préfèrent y renoncer."

<http://www.archives18.fr/article.php?larefH4&titre=fiche-2-l-enfance-a-l-ecole>

NB spécifique "filles" :
"Le nombre d'écoles de filles ne s'accroît que lentement : la loi Guizot
se préoccupe uniquement de l'instruction des garçons et abandonne
l'enseignement primaire féminin aux écoles privées tenues par des
religieuses."
...
"Selon un rapport rédigé par un inspecteur d'Académie du Cher sur la
situation des écoles de filles durant l'année scolaire 1851-1852,
«... les événements de ces dernières années ont montré que (…) pour
avoir un jour des hommes religieux et honnêtes, il fallait préparer à la
famille une mère pieuse qui élevât saintement et sagement ces
enfants... »"



C'était pour faire bouffer tout le monde, pardi.



Plait-il?
Pour faire bouffer quoi à qui?

Une petite bourgeoise du XXIème siècle très prématurément mise en retraite
a certes beaucoup de mal à comprendre.



Vous croyez m'insulter mais comme vous ne savez pas qui je suis ni d'où
je viens, vos inventions à mon propos ne rabaissent que vous.

--
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foo
On 25/11/2014 15:59, Dominique de Corse wrote:
Trouvez moi une patronne d'entreprise minière au XIXème siècle...
Ou une patronne de filature (où par contre vous trouverez jusqu'à 70%
d'ouvrières et d'efants)



Il faut qu'un historien romancier les sorte de la poussière locale où
elles ont vécu pour que certaines d'entre elles arrivent jusqu'à nous.
Séverine Laveyssade, Maître de forge.
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alain
Thomas wrote:

jr a exposé le 25/11/2014 :
> Thomas wrote:
>> Dominique de Corse a exprimé :
>>> Thomas wrote:
>>>
>>>
>>>> Oui ça m'arrive tout le temps de découvrir des gens ou des mouvements
>>>> incohérents, merci de le rappeler gros ballot.
>>>
>>> Parce que votre réflexion est limitée aux apparences, petit ballotin.
>>
>> Vous confondez facilement apparences et observations.
>> Vous avez pris ce tic des féministes, qui consiste à qualifier de
>> "stéréotype" ce qui est solidement vérifié, et à croire intelligent le
>> seul fait de réfuter des évidences.
>>
>> Quand j'énonce par exemple qu'il y a bien plus d'hommes doués pour les
>> mathématiques que de femmes douées en mathématiques, j'ai d'innombrables
>> observations pour étayer ce fait.
>
>
> Non, vous observez "pratiquants" et vous inférez "doués".

Non, j'observe "testés". N'en déplaise à l'ex-enseignant fumiste.


> Je vous la
> refais: il y a bien plus de Marseillais doués pour la pétanque que
> d'Inuits.

En France, filles et garçons vivent dans la même société, et ont accès
aux mêmes programmes éducatifs depuis des générations.




Vivant dès leur premier jour dans un environnement affectif, éducatif,
de loisirs, d'habillement, d'ameublement différent, détail sans
conséquence sans doute.

Alain




Il en est de
même pour quasiment tous les pays de l'OCDE. Et les tests PISA
reprennent régulièrement les mêmes conclusions.
Avatar
Thomas
Dominique de Corse a pensé très fort :
Thomas wrote:

Dominique de Corse a exposé le 25/11/2014 :
Thomas wrote:

Dominique de Corse a exprimé :
Thomas wrote:


Oui ça m'arrive tout le temps de découvrir des gens ou des mouvements
incohérents, merci de le rappeler gros ballot.



Parce que votre réflexion est limitée aux apparences, petit ballotin.



Vous confondez facilement apparences et observations.



Ne me faites pas crédit de vos propres défauts.
Vos "observations" sont biaisées par vos préjugés.



Ah merci, il me manquait le troisième: "préjugés". Avec "stéréotypes"
et "clichés", ça vous constelle tout un papotage féministe et fumiste.


Au lieu d'examiner tous les faits et d'en tirer une conclusion, vous
prenez une hypothèse de départ ( les femmes sont moins doués que les
hommes en maths) et vous ne retenez _que_ les faits qui confirment votre
hypothèse.



Certainement pas. La preuve, c'est que vous ne trouvez pas les faits
qui _infirment_ ces observations en béton.



Parce que je n'en cherche pas vraiment, j'avoue : c'est d'un ennui
total.



Voilà, elle avoue.
Pauvre désoeuvrée.
Avatar
Thomas
Herisson grognon a couché sur son écran :
Thomas wrote:

jr a exposé le 25/11/2014 :
Thomas wrote:
Dominique de Corse a exprimé :
Thomas wrote:


Oui ça m'arrive tout le temps de découvrir des gens ou des mouvements
incohérents, merci de le rappeler gros ballot.



Parce que votre réflexion est limitée aux apparences, petit ballotin.



Vous confondez facilement apparences et observations.
Vous avez pris ce tic des féministes, qui consiste à qualifier de
"stéréotype" ce qui est solidement vérifié, et à croire intelligent le
seul fait de réfuter des évidences.

Quand j'énonce par exemple qu'il y a bien plus d'hommes doués pour les
mathématiques que de femmes douées en mathématiques, j'ai d'innombrables
observations pour étayer ce fait.




Non, vous observez "pratiquants" et vous inférez "doués".



Non, j'observe "testés". N'en déplaise à l'ex-enseignant fumiste.


Je vous la
refais: il y a bien plus de Marseillais doués pour la pétanque que
d'Inuits.



En France, filles et garçons vivent dans la même société, et ont accès
aux mêmes programmes éducatifs depuis des générations.




Vivant dès leur premier jour dans un environnement affectif, éducatif,
de loisirs, d'habillement, d'ameublement différent, détail sans
conséquence sans doute.



Sans doute, oui. Sinon, on attend impatiemment vos travaux.
Avatar
Thomas
Dominique de Corse a présenté l'énoncé suivant :
Thomas wrote:

Il se trouve que Dominique de Corse a formulé :
Thomas wrote:

Dominique de Corse a formulé la demande :
Thomas wrote:


Parallèlement, hommes et femmes considéraient qu'il était moins grave
pour les enfants en bas âge d'être orphelins de père que de mère.

Mais rien de tel que de couper au bon endroit, mon gros lapin.



Et c'est pour leur éviter d'être orphelins qu'ils les envoyaient pousser
des wagonnets au fond de la mine...



C'est pour leur éviter d'être tués que ce travail a été interdit.



Oui, mais après les avoir employés comme bétail et sur la pression
d'adultes extérieurs au monde de la mine.
Les patrons mâles des entreprises minières ont hautement protesté contre
ces "lois scélérates" qui les privaient de main d'½uvre à bon marché et
facile à remplacer.



Sources ? "Les" patrons mâles, avez-vous dit...



Trouvez moi une patronne d'entreprise minière au XIXème siècle...



Bouchée, et de mauvaise foi, en plus...

"Les" patrons mâles, qu'elle disait.
Avatar
Anne G
Le 25/11/14 03:55, Thomas a écrit :

papotage



C'est tellement vous !