Franchement je jette l'éponge ! Après avoir perdu beaucoup dessus, j'arrête
c'est fini, je retourne sous Microsoft ... à vie !
Trop galère, ca marche toujours chez les autres mais jamais chez soi.
Trop de temps passé dessus pour essayer de résoudre des problèmes
(nombreux), et plus assez de temps pour réèllement travailler avec son
ordinateur.
Avec Windows j'ai jamis eu ce genre de c..., j'installe un soft en 5/5, je
brache un truc et hop ca se met en place tout de suite. Je vais sur internet
et vas-y envoies le Flash, je lis du multimédia, du Real, du wmv ... Royal
!!!
Linux c'est pas pour moi, pas assez productif !
Pas vraiment de bons logiciels, ni de jeux à mettre dedans à part le Gimp,
mais le Gimp on l'a sous Windows et en toute dernière version.
La sécurité sous Linux est ausssi fragile que sous Windows, franchement faut
arrêter les mythos qui disent le contraire.
Trop de distributions sous Linux, trop de configuration et d'incompatibilité
entre toutes.
Les dépendances des logiciels c'est trop galère un véritable bourbier quand
il en manque une.
Les navigateurs internet soud Linux ne remplaceront jamais la qualité d'un
bon vieux IE.
Beaucoup trop d'islamiques du logiciel libre pour vous insulter de "troll"
ou "bleu-bitte" tout ça parceque vous osez dire que linux c'est pas au
point.
Beaucoup trop de publicité mensongère autour de la qualité de certains
logiciels libre, bn'hésitant pas à comparer leurs m... à des softs de pro.
Je dirais même : à quoi ça rime que l'on s'escrime, après tout préférer l'os à bilou n'est pas un crime.
Jolie , très jolie
R.V. Gronoff
Donc, après une série de crises de sueurs froides, Linux => poubelle.
Vive le logiciel libre. Vive le logiciel libre sous Windows.
voila que vous comprenez que la question n est pas le choix "absolue" de linux ou windows
Linux doit marcher sur des machines au hardware simple et de préférence à partir d'un dd vierge. Comme qqn l'a dit plus haut, pour un serveur, Unix a des outils puissants et sûr qui conviennent parfaitement. Pour l'utilisateur final, malgré des installeurs à l'allure coquette, c'est (presque) toujours source de crises insurmontables.
De plus, il y a le paradoxe insoluble qui consiste à vouloir faire tourner avec du code free des périphériques commerciaux dont les techniques de fabrications peuvent être éludées par l'analyse du driver. Il serait inconséquent de demander à des fabricants, donc des commerçants, de distribuer des drivers open-source puisque celà ouvrirait leurs secrets de fabrication à la concurrence.
Mon idée:
- qu'à chaque sortie d'une distro Linux soit publiée une liste exhaustive des périphs compatibles ainsi que certains autres périphs testés et incompatibles ou nécessitant l'ajout d'un driver propriétaire. Exemple: sous MDK10, mon modem Bewan USB est bien détecté, mais mon profil de configuration (PPPoe, VPI=8, VCI5) n'est pas proposé. Je n'ai aucune idée de la marche à suivre pour reconfigurer ensuite mon modem, et je ne risque pas de trouver la solution puisque je n'ai pas accès au net! Enfin, si, j'ai bien un accès... sous Windows.
- que l'installeur utilise un langage clair: "disque dur 1, partition 1, type [NTFS, FAT, Unix, etc.]" au lieu de hda1, etc. et détecte tous les OS déjà installés, même sur des partoches mickey mouse (Powerquest Bootmagic y arrive bien, lui).
Donc, après une série de crises de sueurs froides, Linux => poubelle.
Vive le logiciel libre.
Vive le logiciel libre sous Windows.
voila que vous comprenez que la question n est pas le choix "absolue"
de linux ou windows
Linux doit marcher sur des machines au hardware simple et de préférence
à partir d'un dd vierge.
Comme qqn l'a dit plus haut, pour un serveur, Unix a des outils
puissants et sûr qui conviennent parfaitement.
Pour l'utilisateur final, malgré des installeurs à l'allure coquette,
c'est (presque) toujours source de crises insurmontables.
De plus, il y a le paradoxe insoluble qui consiste à vouloir faire
tourner avec du code free des périphériques commerciaux dont les
techniques de fabrications peuvent être éludées par l'analyse du driver.
Il serait inconséquent de demander à des fabricants, donc des
commerçants, de distribuer des drivers open-source puisque celà
ouvrirait leurs secrets de fabrication à la concurrence.
Mon idée:
- qu'à chaque sortie d'une distro Linux soit publiée une liste
exhaustive des périphs compatibles ainsi que certains autres périphs
testés et incompatibles ou nécessitant l'ajout d'un driver propriétaire.
Exemple: sous MDK10, mon modem Bewan USB est bien détecté, mais mon
profil de configuration (PPPoe, VPI=8, VCI5) n'est pas proposé. Je
n'ai aucune idée de la marche à suivre pour reconfigurer ensuite mon
modem, et je ne risque pas de trouver la solution puisque je n'ai pas
accès au net! Enfin, si, j'ai bien un accès... sous Windows.
- que l'installeur utilise un langage clair: "disque dur 1, partition 1,
type [NTFS, FAT, Unix, etc.]" au lieu de hda1, etc. et détecte tous les
OS déjà installés, même sur des partoches mickey mouse (Powerquest
Bootmagic y arrive bien, lui).
Donc, après une série de crises de sueurs froides, Linux => poubelle.
Vive le logiciel libre. Vive le logiciel libre sous Windows.
voila que vous comprenez que la question n est pas le choix "absolue" de linux ou windows
Linux doit marcher sur des machines au hardware simple et de préférence à partir d'un dd vierge. Comme qqn l'a dit plus haut, pour un serveur, Unix a des outils puissants et sûr qui conviennent parfaitement. Pour l'utilisateur final, malgré des installeurs à l'allure coquette, c'est (presque) toujours source de crises insurmontables.
De plus, il y a le paradoxe insoluble qui consiste à vouloir faire tourner avec du code free des périphériques commerciaux dont les techniques de fabrications peuvent être éludées par l'analyse du driver. Il serait inconséquent de demander à des fabricants, donc des commerçants, de distribuer des drivers open-source puisque celà ouvrirait leurs secrets de fabrication à la concurrence.
Mon idée:
- qu'à chaque sortie d'une distro Linux soit publiée une liste exhaustive des périphs compatibles ainsi que certains autres périphs testés et incompatibles ou nécessitant l'ajout d'un driver propriétaire. Exemple: sous MDK10, mon modem Bewan USB est bien détecté, mais mon profil de configuration (PPPoe, VPI=8, VCI5) n'est pas proposé. Je n'ai aucune idée de la marche à suivre pour reconfigurer ensuite mon modem, et je ne risque pas de trouver la solution puisque je n'ai pas accès au net! Enfin, si, j'ai bien un accès... sous Windows.
- que l'installeur utilise un langage clair: "disque dur 1, partition 1, type [NTFS, FAT, Unix, etc.]" au lieu de hda1, etc. et détecte tous les OS déjà installés, même sur des partoches mickey mouse (Powerquest Bootmagic y arrive bien, lui).
Vincent Bernat
OoO Lors de la soirée naissante du dimanche 22 août 2004, vers 18:45, Laurent BERNE disait:
La localisation. Mais encore ? Unicode, UTF-8/16/32 et toussa ?
Je vois pas où c'est un problème ?
Non, non, quelles sont les facilitées offertes par Windows pour permettre la localisation, notamment la traduction des applications dans la langue de l'utilisateur ? -- panic("Unable to find empty mailbox for aha1542.n"); 2.2.16 /usr/src/linux/drivers/scsi/aha1542.c
OoO Lors de la soirée naissante du dimanche 22 août 2004, vers 18:45,
Laurent BERNE <laurent.berneRETIRER-CECI@laposte.net> disait:
La localisation.
Mais encore ? Unicode, UTF-8/16/32 et toussa ?
Je vois pas où c'est un problème ?
Non, non, quelles sont les facilitées offertes par Windows pour
permettre la localisation, notamment la traduction des applications
dans la langue de l'utilisateur ?
--
panic("Unable to find empty mailbox for aha1542.n");
2.2.16 /usr/src/linux/drivers/scsi/aha1542.c
OoO Lors de la soirée naissante du dimanche 22 août 2004, vers 18:45, Laurent BERNE disait:
La localisation. Mais encore ? Unicode, UTF-8/16/32 et toussa ?
Je vois pas où c'est un problème ?
Non, non, quelles sont les facilitées offertes par Windows pour permettre la localisation, notamment la traduction des applications dans la langue de l'utilisateur ? -- panic("Unable to find empty mailbox for aha1542.n"); 2.2.16 /usr/src/linux/drivers/scsi/aha1542.c
Raphaël \SurcouF\ Bordet
Linux doit marcher sur des machines au hardware simple et de préféren ce à partir d'un dd vierge.
Simple ? Tu veux sans doute dire standard ou conforme aux normes ?
[...]
De plus, il y a le paradoxe insoluble qui consiste à vouloir faire tourner avec du code free des périphériques commerciaux dont les techniques de fabrications peuvent être éludées par l'analyse du dr iver. Il serait inconséquent de demander à des fabricants, donc des commerçants, de distribuer des drivers open-source puisque celà ouvrirait leurs secrets de fabrication à la concurrence.
De quelques fabriquants seulement: nvidia par exemple. Tous les fabriquants ne sont pas aussi ouvertement favorables à Linux et aux Logiciels Libres. Ils laissent simplement les développeurs se débrouiller. Et je préfère encore ça plutôt qu'ils pondent des pi lotes complètement propriétaires et pas forcément stables (et qui rendent l eur installation encore moins "convivial" que le reste). Le projet Linux et ses développeurs n'ont jamais attendu le moindre geste de la part des fabricants sinon qu'ils dévoilent au moins le moyen de profiter au maximum du périphérique. Quant aux technologies soit-disant secrètes ou ayant besoin d'être protégées... Vu que le marché ne leur laisse guère plus de 6 mois p our vivre avant de se voir dépasser complètement par un nouveau (ce n'est pas moi qui ait sorti cette loi, ce sont eux qui la poussent) produit, ils pourraient au moins dévoiler les spécifications au bout d'un an ou deux: ce n'est pas trop demander...
Mon idée:
- qu'à chaque sortie d'une distro Linux soit publiée une liste exhaustive des périphs compatibles ainsi que certains autres périphs testés et incompatibles ou nécessitant l'ajout d'un driver propriét aire. Exemple: sous MDK10, mon modem Bewan USB est bien détecté, mais mon profil de configuration (PPPoe, VPI=8, VCI5) n'est pas proposé. J e n'ai aucune idée de la marche à suivre pour reconfigurer ensuite mon modem, et je ne risque pas de trouver la solution puisque je n'ai pas accès au net! Enfin, si, j'ai bien un accès... sous Windows.
Les modems USB sont l'exemple typique du non-respect des normes à outrance dans le monde du matériel. Les premiers "heureux" possesseurs de l'Alcatel SpeedTouch USB et d'une carte mère à chipset VIA sauront d e quoi je veux parler. Quant à Linux, il supporte largement plus de périphériques que n'en supporte Windows à chaque version. J'ai toujours une vieille carte son ISA toujours supportée par Linux mais plus sous Windows depuis longtemps. Je concède que l'ISA, c'est quand même vieux et merdique en comparaison du PCI mais c'était un bel exemple. Parce qu'elle fonctionne quand même, hein. Ce serait donc plutôt une liste exhaustive non pas de s périphériques supportés par Linux, mais des périphériques qu'on appellera "exotiques" posant des problèmes pour diverses raisons. Et ces périphériques tapissent généralement déjà bien des sites web sur le sujet, il suffit de se baisser sur Google pour en voir un. J'admets que ça n'a rien d'officiel vis-à-vis d'une distribution, mais à moins qu'elle n'en décide autrement, ça ne le sera jamais.
- que l'installeur utilise un langage clair: "disque dur 1, partition 1, type [NTFS, FAT, Unix, etc.]" au lieu de hda1, etc. et détecte tous les OS déjà installés, même sur des partoches mickey mouse (Powerques t Bootmagic y arrive bien, lui).
Quel est la dernière version des distributions que tu as utilisé dernièrement ? Rares sont celles qui n'y parviennent pas, à présent.
-- Raphaël 'SurcouF' Bordet
# | http://www.debianfr.net
Linux doit marcher sur des machines au hardware simple et de préféren ce
à partir d'un dd vierge.
Simple ? Tu veux sans doute dire standard ou conforme aux normes ?
[...]
De plus, il y a le paradoxe insoluble qui consiste à vouloir faire
tourner avec du code free des périphériques commerciaux dont les
techniques de fabrications peuvent être éludées par l'analyse du dr iver.
Il serait inconséquent de demander à des fabricants, donc des
commerçants, de distribuer des drivers open-source puisque celà
ouvrirait leurs secrets de fabrication à la concurrence.
De quelques fabriquants seulement: nvidia par exemple.
Tous les fabriquants ne sont pas aussi ouvertement favorables à Linux et
aux Logiciels Libres. Ils laissent simplement les développeurs se
débrouiller. Et je préfère encore ça plutôt qu'ils pondent des pi lotes
complètement propriétaires et pas forcément stables (et qui rendent l eur
installation encore moins "convivial" que le reste).
Le projet Linux et ses développeurs n'ont jamais attendu le moindre
geste de la part des fabricants sinon qu'ils dévoilent au moins le moyen
de profiter au maximum du périphérique.
Quant aux technologies soit-disant secrètes ou ayant besoin d'être
protégées... Vu que le marché ne leur laisse guère plus de 6 mois p our
vivre avant de se voir dépasser complètement par un nouveau (ce n'est
pas moi qui ait sorti cette loi, ce sont eux qui la poussent) produit,
ils pourraient au moins dévoiler les spécifications au bout d'un an ou
deux: ce n'est pas trop demander...
Mon idée:
- qu'à chaque sortie d'une distro Linux soit publiée une liste
exhaustive des périphs compatibles ainsi que certains autres périphs
testés et incompatibles ou nécessitant l'ajout d'un driver propriét aire.
Exemple: sous MDK10, mon modem Bewan USB est bien détecté, mais mon
profil de configuration (PPPoe, VPI=8, VCI=35) n'est pas proposé. J e
n'ai aucune idée de la marche à suivre pour reconfigurer ensuite mon
modem, et je ne risque pas de trouver la solution puisque je n'ai pas
accès au net! Enfin, si, j'ai bien un accès... sous Windows.
Les modems USB sont l'exemple typique du non-respect des normes à
outrance dans le monde du matériel. Les premiers "heureux" possesseurs
de l'Alcatel SpeedTouch USB et d'une carte mère à chipset VIA sauront d e
quoi je veux parler.
Quant à Linux, il supporte largement plus de périphériques que n'en
supporte Windows à chaque version. J'ai toujours une vieille carte son
ISA toujours supportée par Linux mais plus sous Windows depuis
longtemps. Je concède que l'ISA, c'est quand même vieux et merdique en
comparaison du PCI mais c'était un bel exemple. Parce qu'elle fonctionne
quand même, hein. Ce serait donc plutôt une liste exhaustive non pas de s
périphériques supportés par Linux, mais des périphériques qu'on
appellera "exotiques" posant des problèmes pour diverses raisons.
Et ces périphériques tapissent généralement déjà bien des sites web sur
le sujet, il suffit de se baisser sur Google pour en voir un.
J'admets que ça n'a rien d'officiel vis-à-vis d'une distribution, mais à
moins qu'elle n'en décide autrement, ça ne le sera jamais.
- que l'installeur utilise un langage clair: "disque dur 1, partition 1,
type [NTFS, FAT, Unix, etc.]" au lieu de hda1, etc. et détecte tous les
OS déjà installés, même sur des partoches mickey mouse (Powerques t
Bootmagic y arrive bien, lui).
Quel est la dernière version des distributions que tu as utilisé
dernièrement ? Rares sont celles qui n'y parviennent pas, à présent.
Linux doit marcher sur des machines au hardware simple et de préféren ce à partir d'un dd vierge.
Simple ? Tu veux sans doute dire standard ou conforme aux normes ?
[...]
De plus, il y a le paradoxe insoluble qui consiste à vouloir faire tourner avec du code free des périphériques commerciaux dont les techniques de fabrications peuvent être éludées par l'analyse du dr iver. Il serait inconséquent de demander à des fabricants, donc des commerçants, de distribuer des drivers open-source puisque celà ouvrirait leurs secrets de fabrication à la concurrence.
De quelques fabriquants seulement: nvidia par exemple. Tous les fabriquants ne sont pas aussi ouvertement favorables à Linux et aux Logiciels Libres. Ils laissent simplement les développeurs se débrouiller. Et je préfère encore ça plutôt qu'ils pondent des pi lotes complètement propriétaires et pas forcément stables (et qui rendent l eur installation encore moins "convivial" que le reste). Le projet Linux et ses développeurs n'ont jamais attendu le moindre geste de la part des fabricants sinon qu'ils dévoilent au moins le moyen de profiter au maximum du périphérique. Quant aux technologies soit-disant secrètes ou ayant besoin d'être protégées... Vu que le marché ne leur laisse guère plus de 6 mois p our vivre avant de se voir dépasser complètement par un nouveau (ce n'est pas moi qui ait sorti cette loi, ce sont eux qui la poussent) produit, ils pourraient au moins dévoiler les spécifications au bout d'un an ou deux: ce n'est pas trop demander...
Mon idée:
- qu'à chaque sortie d'une distro Linux soit publiée une liste exhaustive des périphs compatibles ainsi que certains autres périphs testés et incompatibles ou nécessitant l'ajout d'un driver propriét aire. Exemple: sous MDK10, mon modem Bewan USB est bien détecté, mais mon profil de configuration (PPPoe, VPI=8, VCI5) n'est pas proposé. J e n'ai aucune idée de la marche à suivre pour reconfigurer ensuite mon modem, et je ne risque pas de trouver la solution puisque je n'ai pas accès au net! Enfin, si, j'ai bien un accès... sous Windows.
Les modems USB sont l'exemple typique du non-respect des normes à outrance dans le monde du matériel. Les premiers "heureux" possesseurs de l'Alcatel SpeedTouch USB et d'une carte mère à chipset VIA sauront d e quoi je veux parler. Quant à Linux, il supporte largement plus de périphériques que n'en supporte Windows à chaque version. J'ai toujours une vieille carte son ISA toujours supportée par Linux mais plus sous Windows depuis longtemps. Je concède que l'ISA, c'est quand même vieux et merdique en comparaison du PCI mais c'était un bel exemple. Parce qu'elle fonctionne quand même, hein. Ce serait donc plutôt une liste exhaustive non pas de s périphériques supportés par Linux, mais des périphériques qu'on appellera "exotiques" posant des problèmes pour diverses raisons. Et ces périphériques tapissent généralement déjà bien des sites web sur le sujet, il suffit de se baisser sur Google pour en voir un. J'admets que ça n'a rien d'officiel vis-à-vis d'une distribution, mais à moins qu'elle n'en décide autrement, ça ne le sera jamais.
- que l'installeur utilise un langage clair: "disque dur 1, partition 1, type [NTFS, FAT, Unix, etc.]" au lieu de hda1, etc. et détecte tous les OS déjà installés, même sur des partoches mickey mouse (Powerques t Bootmagic y arrive bien, lui).
Quel est la dernière version des distributions que tu as utilisé dernièrement ? Rares sont celles qui n'y parviennent pas, à présent.
-- Raphaël 'SurcouF' Bordet
# | http://www.debianfr.net
Alibaux Virgile
c'est open source et non gratuit, faut pas tout mélanger. et puis "cher" ne veut pas dire "bien", ça c'est ce que voudrait nous faire croire des boites comme Microsoft mais ce n'est pas le cas, loin de là.
Tu travailles dans le commerce? Non parce que les choses chèrs et bien sont bien plus présente que les choses pas chèrs et bien.. Tout a un coût dans ce monde, je dis pas que ca existe pas, mais c'est tout de même assez râre.
(Les systemes d'exploitations linux il y a une économie derrière, il ne faut pas l'oublier non plus).
a+
-- Virgile Alibaux
c'est open source et non gratuit, faut pas tout mélanger. et puis "cher"
ne veut pas dire "bien", ça c'est ce que voudrait nous faire croire des
boites comme Microsoft mais ce n'est pas le cas, loin de là.
Tu travailles dans le commerce?
Non parce que les choses chèrs et bien sont bien plus présente que les
choses pas chèrs et bien..
Tout a un coût dans ce monde,
je dis pas que ca existe pas, mais c'est tout de même assez râre.
(Les systemes d'exploitations linux il y a une économie derrière, il ne faut
pas l'oublier non plus).
c'est open source et non gratuit, faut pas tout mélanger. et puis "cher" ne veut pas dire "bien", ça c'est ce que voudrait nous faire croire des boites comme Microsoft mais ce n'est pas le cas, loin de là.
Tu travailles dans le commerce? Non parce que les choses chèrs et bien sont bien plus présente que les choses pas chèrs et bien.. Tout a un coût dans ce monde, je dis pas que ca existe pas, mais c'est tout de même assez râre.
(Les systemes d'exploitations linux il y a une économie derrière, il ne faut pas l'oublier non plus).
a+
-- Virgile Alibaux
Luc
Je ne doute pas que tu n'ais aucun problème dans ton utilisation personnelle de Linux. Il n'en reste pas moins que tous les périphérique ne sont pas aussi bien supportés sous Linux que sous Windows... ce qui peut entrainer de nombreux désagréments pour l'utilisateur. Pour ma part j'ai eu droit au modem ADSL, à ma carte mère MSI et à mon scanner HP (ce dernier n'étant toujours pas résolu) Je pense qu'il ne faut surtout pas masquer la réalité des difficultés potentielles car à force de dire que tout est simple sous linux, cela peut entrainer des réactions de rejet comme celles de notre ami ci-dessus. Cordialement Luc mykey wrote:
Luc a saisi sur ce dernier post:
C'est vrai qu'utiliser Linux aujourd'hui suppose d'avoir une liaison internet permanente et de passer un temps non négligeable à chaque opération d'installation/configuration.
Je ne passe pas beaucoup de temps à configurer, encore moins à installer. Seulement au début quand j'avais adopté Linux, maintenant ce ne sont plus que des cas classiques. Et d'ailleurs j'utilise Linux depuis début Mai 2004. Donc tu peux voir en combien de temps je me suis adapté.
Salut, Mike M.
Je ne doute pas que tu n'ais aucun problème dans ton utilisation personnelle
de Linux. Il n'en reste pas moins que tous les périphérique ne sont pas
aussi bien supportés sous Linux que sous Windows... ce qui peut entrainer
de nombreux désagréments pour l'utilisateur. Pour ma part j'ai eu droit au
modem ADSL, à ma carte mère MSI et à mon scanner HP (ce dernier n'étant
toujours pas résolu)
Je pense qu'il ne faut surtout pas masquer la réalité des difficultés
potentielles car à force de dire que tout est simple sous linux, cela peut
entrainer des réactions de rejet comme celles de notre ami ci-dessus.
Cordialement
Luc
mykey wrote:
Luc a saisi sur ce dernier post:
C'est vrai qu'utiliser Linux aujourd'hui suppose d'avoir une liaison
internet permanente et de passer un temps non négligeable à chaque
opération d'installation/configuration.
Je ne passe pas beaucoup de temps à configurer, encore moins à installer.
Seulement au début quand j'avais adopté Linux, maintenant ce ne sont plus
que des cas classiques. Et d'ailleurs j'utilise Linux depuis début Mai
2004. Donc tu peux voir en combien de temps je me suis adapté.
Je ne doute pas que tu n'ais aucun problème dans ton utilisation personnelle de Linux. Il n'en reste pas moins que tous les périphérique ne sont pas aussi bien supportés sous Linux que sous Windows... ce qui peut entrainer de nombreux désagréments pour l'utilisateur. Pour ma part j'ai eu droit au modem ADSL, à ma carte mère MSI et à mon scanner HP (ce dernier n'étant toujours pas résolu) Je pense qu'il ne faut surtout pas masquer la réalité des difficultés potentielles car à force de dire que tout est simple sous linux, cela peut entrainer des réactions de rejet comme celles de notre ami ci-dessus. Cordialement Luc mykey wrote:
Luc a saisi sur ce dernier post:
C'est vrai qu'utiliser Linux aujourd'hui suppose d'avoir une liaison internet permanente et de passer un temps non négligeable à chaque opération d'installation/configuration.
Je ne passe pas beaucoup de temps à configurer, encore moins à installer. Seulement au début quand j'avais adopté Linux, maintenant ce ne sont plus que des cas classiques. Et d'ailleurs j'utilise Linux depuis début Mai 2004. Donc tu peux voir en combien de temps je me suis adapté.
Salut, Mike M.
Laurent BERNE
Non, non, quelles sont les facilitées offertes par Windows pour permettre la localisation, notamment la traduction des applications dans la langue de l'utilisateur ? Toutes les informations liés à la localisation sont disponibles
facilement via l'API Win32(pays, langue, charset, temps local,fuseau horaire ...) et peuvent être modifiées par cette même API. Bien sur, on a accès aussi de la même manière aux paramètres régionnaux (les différents formats monètaires, décimaux et cie) en vigueur sur la machine ce qui fait que le logiciel sait (si le programmeur y a penser bien sur) si 2,000 veut dire deux mille sur un ordi américain ou deux virgule zéro sur un clavier français. Il peux même reparamétrer les variables locales pour sa seule application (par contre il se démerde pour sauvegarder ses propres paramètres.)
Ensuite, il y a une palanquées de controles fournis par le système (calendrier, boite de dialogue d'enregistrement, d'ouverture, de connection encapsulation d'IE, boites de dialogues modales..). On a pas besoin de les traduire.. elle s'execute dans la langue du système. Par exemple, si dans une fenêtre j'ai le controle calendrier.. J'ai tous les jours de la semaine en français. Les bouton "ok, annuler" sont forcément traduits par "ok, cancel" (et si c'est pas le cas, c'est que le programmeur a refait lui même ses propres boites de dialogues.. y'en a qui sont assez maso pour le faire..). Idem pour les messages d'erreur d'ailleurs. En règle général.. du moment que c'est fourni par le système, c'est traduit.
Pour la traduction même du soft.. y'a plusieurs écoles.. le fichier xml, la DLL de resources, la base de registre. Tout dépend dès le départ de la volonté du programmeur si il veut internationaliser son application et par qui. En tout cas, y'a possibilité de rajouter des traductions sans recompiler le soft et les changer à la volée (par exemple Firefox..) A noter quand même que Microsoft fourni même un parseur XML dans windows qui n'est pas trop mauvais.
Et bien sur il y a une foultitude de lib, certaines libres, d'autre payantes qui te prémachent le travail.. mais bon, faut aimer.
Enfin bon, rien de transcendant ni unique.. Mais rien d'absent non plus. Encore une fois.. tout dépend la volonté du programmeur dès le départ où si il doit faire une traduction à l'arrache..
-- Ce n'est pas parce que tu touches le fond que tu dois t'arrêter de creuser
Non, non, quelles sont les facilitées offertes par Windows pour
permettre la localisation, notamment la traduction des applications
dans la langue de l'utilisateur ?
Toutes les informations liés à la localisation sont disponibles
facilement via l'API Win32(pays, langue, charset, temps local,fuseau
horaire ...) et peuvent être modifiées par cette même API.
Bien sur, on a accès aussi de la même manière aux paramètres régionnaux
(les différents formats monètaires, décimaux et cie) en vigueur sur la
machine ce qui fait que le logiciel sait (si le programmeur y a penser
bien sur) si 2,000 veut dire deux mille sur un ordi américain ou deux
virgule zéro sur un clavier français.
Il peux même reparamétrer les variables locales pour sa seule
application (par contre il se démerde pour sauvegarder ses propres
paramètres.)
Ensuite, il y a une palanquées de controles fournis par le système
(calendrier, boite de dialogue d'enregistrement, d'ouverture, de
connection encapsulation d'IE, boites de dialogues modales..). On a pas
besoin de les traduire.. elle s'execute dans la langue du système.
Par exemple, si dans une fenêtre j'ai le controle calendrier.. J'ai
tous les jours de la semaine en français. Les bouton "ok, annuler"
sont forcément traduits par "ok, cancel" (et si c'est pas le cas, c'est
que le programmeur a refait lui même ses propres boites de dialogues..
y'en a qui sont assez maso pour le faire..). Idem pour les messages
d'erreur d'ailleurs. En règle général.. du moment que c'est fourni par
le système, c'est traduit.
Pour la traduction même du soft.. y'a plusieurs écoles.. le fichier
xml, la DLL de resources, la base de registre. Tout dépend dès le
départ de la volonté du programmeur si il veut internationaliser son
application et par qui. En tout cas, y'a possibilité de rajouter des
traductions sans recompiler le soft et les changer à la volée (par
exemple Firefox..)
A noter quand même que Microsoft fourni même un parseur XML dans
windows qui n'est pas trop mauvais.
Et bien sur il y a une foultitude de lib, certaines libres, d'autre
payantes qui te prémachent le travail.. mais bon, faut aimer.
Enfin bon, rien de transcendant ni unique.. Mais rien d'absent non
plus. Encore une fois.. tout dépend la volonté du programmeur dès le
départ où si il doit faire une traduction à l'arrache..
--
Ce n'est pas parce que tu touches le fond que tu dois t'arrêter de
creuser
Non, non, quelles sont les facilitées offertes par Windows pour permettre la localisation, notamment la traduction des applications dans la langue de l'utilisateur ? Toutes les informations liés à la localisation sont disponibles
facilement via l'API Win32(pays, langue, charset, temps local,fuseau horaire ...) et peuvent être modifiées par cette même API. Bien sur, on a accès aussi de la même manière aux paramètres régionnaux (les différents formats monètaires, décimaux et cie) en vigueur sur la machine ce qui fait que le logiciel sait (si le programmeur y a penser bien sur) si 2,000 veut dire deux mille sur un ordi américain ou deux virgule zéro sur un clavier français. Il peux même reparamétrer les variables locales pour sa seule application (par contre il se démerde pour sauvegarder ses propres paramètres.)
Ensuite, il y a une palanquées de controles fournis par le système (calendrier, boite de dialogue d'enregistrement, d'ouverture, de connection encapsulation d'IE, boites de dialogues modales..). On a pas besoin de les traduire.. elle s'execute dans la langue du système. Par exemple, si dans une fenêtre j'ai le controle calendrier.. J'ai tous les jours de la semaine en français. Les bouton "ok, annuler" sont forcément traduits par "ok, cancel" (et si c'est pas le cas, c'est que le programmeur a refait lui même ses propres boites de dialogues.. y'en a qui sont assez maso pour le faire..). Idem pour les messages d'erreur d'ailleurs. En règle général.. du moment que c'est fourni par le système, c'est traduit.
Pour la traduction même du soft.. y'a plusieurs écoles.. le fichier xml, la DLL de resources, la base de registre. Tout dépend dès le départ de la volonté du programmeur si il veut internationaliser son application et par qui. En tout cas, y'a possibilité de rajouter des traductions sans recompiler le soft et les changer à la volée (par exemple Firefox..) A noter quand même que Microsoft fourni même un parseur XML dans windows qui n'est pas trop mauvais.
Et bien sur il y a une foultitude de lib, certaines libres, d'autre payantes qui te prémachent le travail.. mais bon, faut aimer.
Enfin bon, rien de transcendant ni unique.. Mais rien d'absent non plus. Encore une fois.. tout dépend la volonté du programmeur dès le départ où si il doit faire une traduction à l'arrache..
-- Ce n'est pas parce que tu touches le fond que tu dois t'arrêter de creuser