Gageons déjà que la productivité est très faible avec Windows, au vu de
l'imcompétence des piou-piou, ils vont pas être dans la merde avec
Linux
Ca va être un plaisir de les foir faire des FSCK pour rétablir (peut
être) le système de fichiers, ou encore pester contre les documents
imcompatibles entre OpenOffice et Office
Gageons que ces "immenses" économies vont couter plus de 100 fois les
simples système Windows
tu peux donner ta propre définition de informaticien dans ta phrase ci-avant ?
Ici, pour faire trivial,
Ou, pour faire approximatif et erroné.
Les gens qui écrivent du code.
Tu confonds avec les développeurs.
-- Nicolas S.
Nicolas S.
SL a écrit:
comme tu le sait les sociétés qui les ont promus ne sont pas pilotées par des informaticiens.
S'ils sont promus, c'est qu'ils plaisent aux clients. Le problème en informatique, c'est que certaines notions de bases, pourtant décisives, dépassent de loin les connaissances des clients.
-- Nicolas S.
SL <nospam@nospam.fr> a écrit:
comme
tu le sait les sociétés qui les ont promus ne sont pas pilotées par
des informaticiens.
S'ils sont promus, c'est qu'ils plaisent aux clients. Le problème en
informatique, c'est que certaines notions de bases, pourtant décisives,
dépassent de loin les connaissances des clients.
comme tu le sait les sociétés qui les ont promus ne sont pas pilotées par des informaticiens.
S'ils sont promus, c'est qu'ils plaisent aux clients. Le problème en informatique, c'est que certaines notions de bases, pourtant décisives, dépassent de loin les connaissances des clients.
-- Nicolas S.
SL
Le 07-02-2008, Sylvain a écrit :
mettons, ils sont développés dans des communautés absolument non liées à l'informatique ... euh, ce sont quand même des /logiciels/ que des /développeurs/ /codent/ hein ?
Oui, et l'aspect codage n'est qu'une composante assez périphérique dans la question de la définition d'instrument de travail à usage généraliste.
veux-tu nous indiquer que des applis puissent être codées par des personnes n'ayant ni une longue expérience pratique, ni un apprentissage académique en info, ni une profession (un "statut social" (c)) liée à l'informatique ??
Non, pas du tout ! :-)
Le 07-02-2008, Sylvain <noSpam@mail.net> a écrit :
mettons, ils sont développés dans des communautés absolument non liées à
l'informatique ... euh, ce sont quand même des /logiciels/ que des
/développeurs/ /codent/ hein ?
Oui, et l'aspect codage n'est qu'une composante assez périphérique dans
la question de la définition d'instrument de travail à usage
généraliste.
veux-tu nous indiquer que des applis puissent être codées par des
personnes n'ayant ni une longue expérience pratique, ni un apprentissage
académique en info, ni une profession (un "statut social" (c)) liée à
l'informatique ??
mettons, ils sont développés dans des communautés absolument non liées à l'informatique ... euh, ce sont quand même des /logiciels/ que des /développeurs/ /codent/ hein ?
Oui, et l'aspect codage n'est qu'une composante assez périphérique dans la question de la définition d'instrument de travail à usage généraliste.
veux-tu nous indiquer que des applis puissent être codées par des personnes n'ayant ni une longue expérience pratique, ni un apprentissage académique en info, ni une profession (un "statut social" (c)) liée à l'informatique ??
Non, pas du tout ! :-)
SL
Le 07-02-2008, Hugolino a écrit :
Ce que toi tu ne comprends pas, c'est que le pékin moyen qui n'y connait rien en info mais qui croit s'y connaître va faire des choix non pertinents pour gérer ses données, comme par exemple: * 160 pages d'une généalogie tapée dans *un* seul fichier Word (j'aurais du lui dire de faire des sauvegardes au format texte en attendant la catastrophe) * une collection de Vinyls complète numérisée en wma (jamais entendu parlé du flac ou du mp3 ?) * 10 000 photos numériques gérées par un petit logiciel d'album sympatique mais maintenu par un seul développeur. J'en passe et des meilleures...
Eh oui, on connait ces histoires qui sont un véritable scandale pour les hommes de l'art, mais de vagues annecdotes dans l'ensemble des bénéfices que les utilisateurs tirent de ces outils.
D'accord pour dire que les critères ne sont pas les mêmes selon qu'on est ou pas un professionnel, mais il n'en reste pas moins qu'il y a quelques notions fondamentales comme la perénité des données qui ne s'invente pas. Et faire croire au neuneu qu'il peut se dispenser de ces notions peut être très profitable pour les éditeurs... et cruel pour les Mme Michu.
Globalement l'utilité de disposer de ces outils, avec leur faiblesse, est immensément supérieure pour le grand public à l'utilité de disposer d'outil sans ergonomie grand public, même s'ils sont impeccable réalisés et conçu d'un point de vue technique. Avec un peu de chance, on aura droit bientôt au meilleur des deux mondes.
Le 07-02-2008, Hugolino <hugolino@free.fr> a écrit :
Ce que toi tu ne comprends pas, c'est que le pékin moyen qui n'y connait
rien en info mais qui croit s'y connaître va faire des choix non
pertinents pour gérer ses données, comme par exemple:
* 160 pages d'une généalogie tapée dans *un* seul fichier Word (j'aurais
du lui dire de faire des sauvegardes au format texte en attendant la
catastrophe)
* une collection de Vinyls complète numérisée en wma (jamais entendu
parlé du flac ou du mp3 ?)
* 10 000 photos numériques gérées par un petit logiciel d'album
sympatique mais maintenu par un seul développeur.
J'en passe et des meilleures...
Eh oui, on connait ces histoires qui sont un véritable scandale pour les
hommes de l'art, mais de vagues annecdotes dans l'ensemble des bénéfices
que les utilisateurs tirent de ces outils.
D'accord pour dire que les critères ne sont pas les mêmes selon qu'on
est ou pas un professionnel, mais il n'en reste pas moins qu'il y a
quelques notions fondamentales comme la perénité des données qui ne
s'invente pas. Et faire croire au neuneu qu'il peut se dispenser de
ces notions peut être très profitable pour les éditeurs... et cruel
pour les Mme Michu.
Globalement l'utilité de disposer de ces outils, avec leur faiblesse,
est immensément supérieure pour le grand public à l'utilité de disposer
d'outil sans ergonomie grand public, même s'ils sont impeccable réalisés
et conçu d'un point de vue technique. Avec un peu de chance, on aura
droit bientôt au meilleur des deux mondes.
Ce que toi tu ne comprends pas, c'est que le pékin moyen qui n'y connait rien en info mais qui croit s'y connaître va faire des choix non pertinents pour gérer ses données, comme par exemple: * 160 pages d'une généalogie tapée dans *un* seul fichier Word (j'aurais du lui dire de faire des sauvegardes au format texte en attendant la catastrophe) * une collection de Vinyls complète numérisée en wma (jamais entendu parlé du flac ou du mp3 ?) * 10 000 photos numériques gérées par un petit logiciel d'album sympatique mais maintenu par un seul développeur. J'en passe et des meilleures...
Eh oui, on connait ces histoires qui sont un véritable scandale pour les hommes de l'art, mais de vagues annecdotes dans l'ensemble des bénéfices que les utilisateurs tirent de ces outils.
D'accord pour dire que les critères ne sont pas les mêmes selon qu'on est ou pas un professionnel, mais il n'en reste pas moins qu'il y a quelques notions fondamentales comme la perénité des données qui ne s'invente pas. Et faire croire au neuneu qu'il peut se dispenser de ces notions peut être très profitable pour les éditeurs... et cruel pour les Mme Michu.
Globalement l'utilité de disposer de ces outils, avec leur faiblesse, est immensément supérieure pour le grand public à l'utilité de disposer d'outil sans ergonomie grand public, même s'ils sont impeccable réalisés et conçu d'un point de vue technique. Avec un peu de chance, on aura droit bientôt au meilleur des deux mondes.
SL
Le 07-02-2008, Nicolas S. a écrit :
SL a écrit:
tu peux donner ta propre définition de informaticien dans ta phrase ci-avant ?
Ici, pour faire trivial,
Ou, pour faire approximatif et erroné.
Si tu as quoi que ce soit de substantiel à dire, ne te gêne surtout pas ; l'opposition connaître le fonctionnement / ne pas le connaître est celle qui compte pour le propos ; tu pourrais t'épargner le ridicule de ces pinaillages formels puérils.
Le 07-02-2008, Nicolas S. <ni.s-factice@laposte.net> a écrit :
SL <nospam@nospam.fr> a écrit:
tu peux donner ta propre définition de informaticien dans ta phrase
ci-avant ?
Ici, pour faire trivial,
Ou, pour faire approximatif et erroné.
Si tu as quoi que ce soit de substantiel à dire, ne te gêne surtout
pas ; l'opposition connaître le fonctionnement / ne pas le connaître
est celle qui compte pour le propos ; tu pourrais t'épargner le ridicule
de ces pinaillages formels puérils.
tu peux donner ta propre définition de informaticien dans ta phrase ci-avant ?
Ici, pour faire trivial,
Ou, pour faire approximatif et erroné.
Si tu as quoi que ce soit de substantiel à dire, ne te gêne surtout pas ; l'opposition connaître le fonctionnement / ne pas le connaître est celle qui compte pour le propos ; tu pourrais t'épargner le ridicule de ces pinaillages formels puérils.
SL
Le 07-02-2008, Nicolas S. a écrit :
SL a écrit:
comme tu le sait les sociétés qui les ont promus ne sont pas pilotées par des informaticiens.
S'ils sont promus, c'est qu'ils plaisent aux clients. Le problème en informatique, c'est que certaines notions de bases, pourtant décisives, dépassent de loin les connaissances des clients.
Ce que tu n'as pas compris c'est que l'informatique grand public tout entière est construite sur l'absence d'expertise des utilisateurs ; même si avoir un expert sous la main pour se faire éclairer peut être éventuellement utile (s'il est capable de se mettre à la place d'un utilisateur, ce qui n'est pas son boulot, et même là l'utilité globale n'est peut être pas significative), toute l'informatique grand public est construite pour se passer de cette expertise qui serait beaucoup trop chère et limiterait drastiquement la diffusion et l'utilisation des outils ; donc c'est le public qui juge, selon ses critères, et c'est au fond très bien comme ça, pour autant que l'informatique doive être grand public. Par rapport à la prise en compte des besoins des utilisateurs grand public, la prise en compte de l'excellence technique est d'un enjeu quasi-nul pour une telle application de l'informatique.
Ça fait quinze fois que je répète cela et j'ai assez perdus de temps sur cette question avec les zélotes dans ton genre qui en viennent à jugent de l'ordre du monde à partir de leur point de vue d'informaticien.
Le 07-02-2008, Nicolas S. <ni.s-factice@laposte.net> a écrit :
SL <nospam@nospam.fr> a écrit:
comme
tu le sait les sociétés qui les ont promus ne sont pas pilotées par
des informaticiens.
S'ils sont promus, c'est qu'ils plaisent aux clients. Le problème en
informatique, c'est que certaines notions de bases, pourtant décisives,
dépassent de loin les connaissances des clients.
Ce que tu n'as pas compris c'est que l'informatique grand public tout
entière est construite sur l'absence d'expertise des utilisateurs ;
même si avoir un expert sous la main pour se faire éclairer peut être
éventuellement utile (s'il est capable de se mettre à la place d'un
utilisateur, ce qui n'est pas son boulot, et même là l'utilité globale
n'est peut être pas significative), toute l'informatique grand public
est construite pour se passer de cette expertise qui serait beaucoup
trop chère et limiterait drastiquement la diffusion et l'utilisation des
outils ; donc c'est le public qui juge, selon ses critères, et c'est au
fond très bien comme ça, pour autant que l'informatique doive être grand
public. Par rapport à la prise en compte des besoins des utilisateurs
grand public, la prise en compte de l'excellence technique est d'un
enjeu quasi-nul pour une telle application de l'informatique.
Ça fait quinze fois que je répète cela et j'ai assez perdus de temps sur
cette question avec les zélotes dans ton genre qui en viennent à jugent
de l'ordre du monde à partir de leur point de vue d'informaticien.
comme tu le sait les sociétés qui les ont promus ne sont pas pilotées par des informaticiens.
S'ils sont promus, c'est qu'ils plaisent aux clients. Le problème en informatique, c'est que certaines notions de bases, pourtant décisives, dépassent de loin les connaissances des clients.
Ce que tu n'as pas compris c'est que l'informatique grand public tout entière est construite sur l'absence d'expertise des utilisateurs ; même si avoir un expert sous la main pour se faire éclairer peut être éventuellement utile (s'il est capable de se mettre à la place d'un utilisateur, ce qui n'est pas son boulot, et même là l'utilité globale n'est peut être pas significative), toute l'informatique grand public est construite pour se passer de cette expertise qui serait beaucoup trop chère et limiterait drastiquement la diffusion et l'utilisation des outils ; donc c'est le public qui juge, selon ses critères, et c'est au fond très bien comme ça, pour autant que l'informatique doive être grand public. Par rapport à la prise en compte des besoins des utilisateurs grand public, la prise en compte de l'excellence technique est d'un enjeu quasi-nul pour une telle application de l'informatique.
Ça fait quinze fois que je répète cela et j'ai assez perdus de temps sur cette question avec les zélotes dans ton genre qui en viennent à jugent de l'ordre du monde à partir de leur point de vue d'informaticien.
SL
Le 07-02-2008, Patrice Karatchentzeff a écrit :
En effet, des informaticiens ont contribué à tout cela (et non pas, comme tu le dis, ils ont réalisés cela comme s'ils en étaient collectivement, en tant que groupe social, les seuls auteurs) ; mais ça ne les autorisent absolument pas à échapper au jugement des utilisateurs. C'est comme ça dans toute les professions, mon pauvre.
Et alors ? Le jugement d'un utilisateur n'a aucune importance puisque ce n'est pas le débat.
Mais si. Le débat pourrait assez exactement être défini comme portant sur le statut des jugements des utilisateurs.
On parle de celui qui est le mieux placé pour choisir un outil je te rappelle... et je me vois mal faire le tour des secrétaires pour savoir quoi installer sur une machine...
Par contre, leur avis d'utilisateur m'intéressent ensuite.
Comme source d'information.
Comme l'intervenant auquel je viens de répondre, tu exposes bien crûment ton corporatisme et ta prétention à échapper à toute critique et à tout jugement de l'extérieur au nom de la valeur supposée de la contribution de ton groupe professionnel.
N'importe quoi. Comme la plupart des informaticiens, j'ai fait de l'informatique tout petit et j'ai appris sur le tas... et je n'ai même pas d'études supérieures en info... alors, les critiques...
Je n'ai pas parlé d'étude.
Le 07-02-2008, Patrice Karatchentzeff <p.karatchentzeff@free.fr> a écrit :
En effet, des informaticiens ont contribué à tout cela (et non pas,
comme tu le dis, ils ont réalisés cela comme s'ils en étaient
collectivement, en tant que groupe social, les seuls auteurs) ; mais
ça ne les autorisent absolument pas à échapper au jugement des
utilisateurs. C'est comme ça dans toute les professions, mon pauvre.
Et alors ? Le jugement d'un utilisateur n'a aucune importance puisque
ce n'est pas le débat.
Mais si. Le débat pourrait assez exactement être défini comme portant
sur le statut des jugements des utilisateurs.
On parle de celui qui est le mieux placé pour choisir un outil je te
rappelle... et je me vois mal faire le tour des secrétaires pour
savoir quoi installer sur une machine...
Par contre, leur avis d'utilisateur m'intéressent ensuite.
Comme source d'information.
Comme l'intervenant auquel je viens de répondre, tu exposes bien
crûment ton corporatisme et ta prétention à échapper à toute critique
et à tout jugement de l'extérieur au nom de la valeur supposée de la
contribution de ton groupe professionnel.
N'importe quoi. Comme la plupart des informaticiens, j'ai fait de
l'informatique tout petit et j'ai appris sur le tas... et je n'ai même
pas d'études supérieures en info... alors, les critiques...
En effet, des informaticiens ont contribué à tout cela (et non pas, comme tu le dis, ils ont réalisés cela comme s'ils en étaient collectivement, en tant que groupe social, les seuls auteurs) ; mais ça ne les autorisent absolument pas à échapper au jugement des utilisateurs. C'est comme ça dans toute les professions, mon pauvre.
Et alors ? Le jugement d'un utilisateur n'a aucune importance puisque ce n'est pas le débat.
Mais si. Le débat pourrait assez exactement être défini comme portant sur le statut des jugements des utilisateurs.
On parle de celui qui est le mieux placé pour choisir un outil je te rappelle... et je me vois mal faire le tour des secrétaires pour savoir quoi installer sur une machine...
Par contre, leur avis d'utilisateur m'intéressent ensuite.
Comme source d'information.
Comme l'intervenant auquel je viens de répondre, tu exposes bien crûment ton corporatisme et ta prétention à échapper à toute critique et à tout jugement de l'extérieur au nom de la valeur supposée de la contribution de ton groupe professionnel.
N'importe quoi. Comme la plupart des informaticiens, j'ai fait de l'informatique tout petit et j'ai appris sur le tas... et je n'ai même pas d'études supérieures en info... alors, les critiques...
Je n'ai pas parlé d'étude.
Matthieu Clavier
On 2008-02-07, Emmanuel Florac wrote:
Le Thu, 07 Feb 2008 17:39:18 +0000, Benjamin FRANCOIS a écrit :
Je te conseille de faire une rapide comparaison mysql / postgresql afin de te forger ta propre opinion. En ce qui me concerne, je trouve postgresql plus rapide à mettre en oeuvre, mieux foutu, plus facile d'utilisation, plus rapide que mysql, bref, mieux en tout. Et j'insiste, surtout sur la mise en oeuvre.
Oui, mais comme tous les miquets codent avec des mysqlismes partout....
+2 (1 pour chacun de ces deux avis).
La quantité de bétises écrites en PHP/Mysql ... ça me donne le vertige. J'en viens meme à apprécier le discours des dév java, c'est dire.
-- Matthieu Clavier
On 2008-02-07, Emmanuel Florac <eflorac@imaginet.fr> wrote:
Le Thu, 07 Feb 2008 17:39:18 +0000, Benjamin FRANCOIS a écrit :
Je te conseille de faire une rapide comparaison mysql / postgresql afin de
te forger ta propre opinion. En ce qui me concerne, je trouve postgresql
plus rapide à mettre en oeuvre, mieux foutu, plus facile d'utilisation,
plus rapide que mysql, bref, mieux en tout. Et j'insiste, surtout sur la
mise en oeuvre.
Oui, mais comme tous les miquets codent avec des mysqlismes partout....
+2 (1 pour chacun de ces deux avis).
La quantité de bétises écrites en PHP/Mysql ... ça me donne le vertige.
J'en viens meme à apprécier le discours des dév java, c'est dire.
Le Thu, 07 Feb 2008 17:39:18 +0000, Benjamin FRANCOIS a écrit :
Je te conseille de faire une rapide comparaison mysql / postgresql afin de te forger ta propre opinion. En ce qui me concerne, je trouve postgresql plus rapide à mettre en oeuvre, mieux foutu, plus facile d'utilisation, plus rapide que mysql, bref, mieux en tout. Et j'insiste, surtout sur la mise en oeuvre.
Oui, mais comme tous les miquets codent avec des mysqlismes partout....
+2 (1 pour chacun de ces deux avis).
La quantité de bétises écrites en PHP/Mysql ... ça me donne le vertige. J'en viens meme à apprécier le discours des dév java, c'est dire.
-- Matthieu Clavier
Benjamin FRANCOIS
SL s'est exprimé en ces termes:
Eh oui, on connait ces histoires qui sont un véritable scandale pour les hommes de l'art, mais de vagues annecdotes dans l'ensemble des bénéfices que les utilisateurs tirent de ces outils.
C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce que Word lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Avec un peu de chance, on aura droit bientôt au meilleur des deux mondes.
Via la génération spontanée du code dont tu nous vantes les mérites depuis plusieurs posts, manifestement.
-- When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
SL s'est exprimé en ces termes:
Eh oui, on connait ces histoires qui sont un véritable scandale pour les
hommes de l'art, mais de vagues annecdotes dans l'ensemble des bénéfices
que les utilisateurs tirent de ces outils.
C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce que Word
lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Avec un peu de chance, on aura
droit bientôt au meilleur des deux mondes.
Via la génération spontanée du code dont tu nous vantes les mérites
depuis plusieurs posts, manifestement.
--
When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
Eh oui, on connait ces histoires qui sont un véritable scandale pour les hommes de l'art, mais de vagues annecdotes dans l'ensemble des bénéfices que les utilisateurs tirent de ces outils.
C'est clair que le bédouin qui paume toute sa généalogie parce que Word lui corromp son .doc, ce n'est qu'une vague anecdote.
Avec un peu de chance, on aura droit bientôt au meilleur des deux mondes.
Via la génération spontanée du code dont tu nous vantes les mérites depuis plusieurs posts, manifestement.
-- When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
Benjamin FRANCOIS
SL s'est exprimé en ces termes:
Ce que tu n'as pas compris c'est que l'informatique grand public tout entière est construite sur l'absence d'expertise des utilisateurs;
Et une énorme partie des problèmes rencontrés par l'informatique grand public, virus et spam en tête, proviennent de l'expertise autoproclamée de ces mêmes utilisateurs.
Ça fait quinze fois que je répète cela et j'ai assez perdus de temps sur cette question avec les zélotes dans ton genre qui en viennent à jugent de l'ordre du monde à partir de leur point de vue d'informaticien.
Il est en effet évident qu'un point de vue d'informaticien est le plus mauvais à entendre dans un débat traitant d'informatique.
-- When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
SL s'est exprimé en ces termes:
Ce que tu n'as pas compris c'est que l'informatique grand public tout
entière est construite sur l'absence d'expertise des utilisateurs;
Et une énorme partie des problèmes rencontrés par l'informatique grand
public, virus et spam en tête, proviennent de l'expertise autoproclamée
de ces mêmes utilisateurs.
Ça fait quinze fois que je répète cela et j'ai assez perdus de temps sur
cette question avec les zélotes dans ton genre qui en viennent à jugent
de l'ordre du monde à partir de leur point de vue d'informaticien.
Il est en effet évident qu'un point de vue d'informaticien est le plus
mauvais à entendre dans un débat traitant d'informatique.
--
When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
Ce que tu n'as pas compris c'est que l'informatique grand public tout entière est construite sur l'absence d'expertise des utilisateurs;
Et une énorme partie des problèmes rencontrés par l'informatique grand public, virus et spam en tête, proviennent de l'expertise autoproclamée de ces mêmes utilisateurs.
Ça fait quinze fois que je répète cela et j'ai assez perdus de temps sur cette question avec les zélotes dans ton genre qui en viennent à jugent de l'ordre du monde à partir de leur point de vue d'informaticien.
Il est en effet évident qu'un point de vue d'informaticien est le plus mauvais à entendre dans un débat traitant d'informatique.
-- When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.