Comment pensez-vous que Google peut vous proposer en quelques secondes l'identification de sites pertinents d'une de vos requêtes et que les FAI ne pourraient faire de reconnaissance textuelle. Franchement, cela ne tient pas debout !"
Comment pensez-vous que Google peut vous proposer en quelques secondes
l'identification de sites pertinents d'une de vos requêtes et que les FAI
ne pourraient faire de reconnaissance textuelle. Franchement, cela ne
tient pas debout !"
Comment pensez-vous que Google peut vous proposer en quelques secondes l'identification de sites pertinents d'une de vos requêtes et que les FAI ne pourraient faire de reconnaissance textuelle. Franchement, cela ne tient pas debout !"
Le jeudi 15 janvier 2004 à 10:54:00, Ronano a écrit :
Il se trouve que Brain Damage a formulé :
Jean Dionis du Séjour (UDF) : "Les FAI se calmeront" http://www.journaldunet.com/chat/retrans/040114_dionisdusejour.shtml
[...]
Mais par contre: "Personne ne croira que le service qualité de Wanadoo, par exemple, ne saura pas faire la différence entre un travail universitaire sur le révisionnisme et un site de propagande nazie."
Le service qualité de Wanadoo est certainement plus compétent que l'Université elle-même... qui a su en son temps donner une mention "très bien" pour un certain mémoire sur Paul Rassinier :-(
(résumé de l'histoire ici : http://www.monde-diplomatique.fr/2000/01/RIPOLL/13372)
Ewcia
-- Niesz !
Le jeudi 15 janvier 2004 à 10:54:00, Ronano a écrit :
Il se trouve que Brain Damage a formulé :
Jean Dionis du Séjour (UDF) : "Les FAI se calmeront"
http://www.journaldunet.com/chat/retrans/040114_dionisdusejour.shtml
[...]
Mais par contre:
"Personne ne croira que le service qualité de Wanadoo, par exemple, ne
saura pas faire la différence entre un travail universitaire sur le
révisionnisme et un site de propagande nazie."
Le service qualité de Wanadoo est certainement plus compétent que
l'Université elle-même... qui a su en son temps donner une mention
"très bien" pour un certain mémoire sur Paul Rassinier :-(
(résumé de l'histoire ici :
http://www.monde-diplomatique.fr/2000/01/RIPOLL/13372)
Le jeudi 15 janvier 2004 à 10:54:00, Ronano a écrit :
Il se trouve que Brain Damage a formulé :
Jean Dionis du Séjour (UDF) : "Les FAI se calmeront" http://www.journaldunet.com/chat/retrans/040114_dionisdusejour.shtml
[...]
Mais par contre: "Personne ne croira que le service qualité de Wanadoo, par exemple, ne saura pas faire la différence entre un travail universitaire sur le révisionnisme et un site de propagande nazie."
Le service qualité de Wanadoo est certainement plus compétent que l'Université elle-même... qui a su en son temps donner une mention "très bien" pour un certain mémoire sur Paul Rassinier :-(
(résumé de l'histoire ici : http://www.monde-diplomatique.fr/2000/01/RIPOLL/13372)
Ewcia
-- Niesz !
Bruno Cinelli
"Jean-Yves Bernier" a écrit...
> Les robots pouvant détecter les extensions (mp3, mpeg...)
Ajouter le .jpg pour les photos pédophiles.
Oui, mais dans ce cas, les hébergeurs seront amenés à contrôler humainement tous les sites Internet, ce qui est donc impossible.
-- Bruno Cinelli
"Jean-Yves Bernier" <grokub@pescadoo.net> a écrit...
> Les robots pouvant détecter les extensions (mp3, mpeg...)
Ajouter le .jpg pour les photos pédophiles.
Oui, mais dans ce cas, les hébergeurs seront amenés à contrôler humainement
tous les sites Internet, ce qui est donc impossible.
> Les robots pouvant détecter les extensions (mp3, mpeg...)
Ajouter le .jpg pour les photos pédophiles.
Oui, mais dans ce cas, les hébergeurs seront amenés à contrôler humainement tous les sites Internet, ce qui est donc impossible.
-- Bruno Cinelli
Ewa (siostra Ani) N.
Le jeudi 15 janvier 2004 à 12:18:50, Laurent Wacrenier a écrit :
Roland Garcia écrit:
Pourquoi donc légiférer l'impossible ? À quand une loi pour interdire aux chevaux de voler ou pour limiter le poid des communications téléphonique ?
"Etat de l'art", "gestion en bon père de famille" sont des notions élémentaires du droit commun.
L'état de l'art est à peu près nul en la matière.
On ne peut pas dire ça, il y a des travaux en cours mais par exemple la recherche des images par son contenu est très insatisfaisante en "l'état de l'art" actuel et, à vrai dire, on ne sait pas trop comment s'y prendre pour l'améliorer
Cf par exemple le démo on ligne à l'Inria : http://www-rocq.inria.fr/imedia/ikona.html
Ewcia
-- Niesz !
Le jeudi 15 janvier 2004 à 12:18:50, Laurent Wacrenier a écrit :
Roland Garcia <roland-garcia@wanadoo.fr> écrit:
Pourquoi donc légiférer l'impossible ?
À quand une loi pour interdire aux chevaux de voler ou pour limiter le
poid des communications téléphonique ?
"Etat de l'art", "gestion en bon père de famille" sont des notions
élémentaires du droit commun.
L'état de l'art est à peu près nul en la matière.
On ne peut pas dire ça, il y a des travaux en cours mais par exemple
la recherche des images par son contenu est très insatisfaisante en "l'état
de l'art" actuel et, à vrai dire, on ne sait pas trop comment s'y
prendre pour l'améliorer
Cf par exemple le démo on ligne à l'Inria :
http://www-rocq.inria.fr/imedia/ikona.html
Le jeudi 15 janvier 2004 à 12:18:50, Laurent Wacrenier a écrit :
Roland Garcia écrit:
Pourquoi donc légiférer l'impossible ? À quand une loi pour interdire aux chevaux de voler ou pour limiter le poid des communications téléphonique ?
"Etat de l'art", "gestion en bon père de famille" sont des notions élémentaires du droit commun.
L'état de l'art est à peu près nul en la matière.
On ne peut pas dire ça, il y a des travaux en cours mais par exemple la recherche des images par son contenu est très insatisfaisante en "l'état de l'art" actuel et, à vrai dire, on ne sait pas trop comment s'y prendre pour l'améliorer
Cf par exemple le démo on ligne à l'Inria : http://www-rocq.inria.fr/imedia/ikona.html
Ewcia
-- Niesz !
Laurent Wacrenier
Bruno Cinelli écrit:
Pourquoi donc légiférer l'impossible ?
L'objectif est de légiférer un texte durablement. "Il ne faut jamais dire jamais". Cependant, je ne vois pas comment un robot pourrait déceler une infraction éditoriale (entendue au sens large : écrits et photos...), même dans un avenir lointain, mais sait-on jamais. Les hébergeurs devront donc par mesure de sécurité, utiliser des techniques actuelles sans effet pour démontrer devant le juge, en cas de litige, qu'ils ont agi dans les règles de l'art.
Vu le débit de loi de ces derniers temps, celà m'étonnerait que ce soit la raison. Lorsque qu'il sera possible de faire quelque chose à ce sujet, il est possible que la loi soit inadaptée.
Il y a cependant quelque chose que je ne comprends pas. Les robots pouvant détecter les extensions (mp3, mpeg...), pourquoi la commission (parce que les députés ne font que reprendre ses amendements) n'a-t-elle pas rajouté aux trois infractions la prévention des délits de contrefaçon ? Non seulement cette disposition aurait été applicable et suivie d'effet, mais en plus elle aurait satisfait les industries du disque...
Un écrit révisioniste ou une image pédophile peut être reconnue (par un humain) pour telle sans autre information exterieure. Ce n'est que simplement impossible à faire chez un hébgergeur.
Pour qu'il y ait contrefaçon, il faut qu'il y ai un ayant droit et que ce dernier conteste la publication. Pour une recherche de contrefaçon, il faut croiser les données éditer avec les droits d'auteur. C'est doublement impossible car c'est en plus basé sur des faits inconnus ou ça oubligerait l'hébergeur à s'immisser dans les contrat que son client a avec des tiers.
Bruno Cinelli <bruno.nospam@lexretis.com> écrit:
Pourquoi donc légiférer l'impossible ?
L'objectif est de légiférer un texte durablement. "Il ne faut jamais dire
jamais". Cependant, je ne vois pas comment un robot pourrait déceler une
infraction éditoriale (entendue au sens large : écrits et photos...), même
dans un avenir lointain, mais sait-on jamais. Les hébergeurs devront donc
par mesure de sécurité, utiliser des techniques actuelles sans effet pour
démontrer devant le juge, en cas de litige, qu'ils ont agi dans les règles
de l'art.
Vu le débit de loi de ces derniers temps, celà m'étonnerait que ce
soit la raison. Lorsque qu'il sera possible de faire quelque chose à
ce sujet, il est possible que la loi soit inadaptée.
Il y a cependant quelque chose que je ne comprends pas. Les robots pouvant
détecter les extensions (mp3, mpeg...), pourquoi la commission (parce que
les députés ne font que reprendre ses amendements) n'a-t-elle pas rajouté
aux trois infractions la prévention des délits de contrefaçon ? Non
seulement cette disposition aurait été applicable et suivie d'effet, mais en
plus elle aurait satisfait les industries du disque...
Un écrit révisioniste ou une image pédophile peut être reconnue
(par un humain) pour telle sans autre information exterieure.
Ce n'est que simplement impossible à faire chez un hébgergeur.
Pour qu'il y ait contrefaçon, il faut qu'il y ai un ayant droit et que
ce dernier conteste la publication. Pour une recherche de contrefaçon,
il faut croiser les données éditer avec les droits d'auteur. C'est
doublement impossible car c'est en plus basé sur des faits inconnus ou
ça oubligerait l'hébergeur à s'immisser dans les contrat que son
client a avec des tiers.
L'objectif est de légiférer un texte durablement. "Il ne faut jamais dire jamais". Cependant, je ne vois pas comment un robot pourrait déceler une infraction éditoriale (entendue au sens large : écrits et photos...), même dans un avenir lointain, mais sait-on jamais. Les hébergeurs devront donc par mesure de sécurité, utiliser des techniques actuelles sans effet pour démontrer devant le juge, en cas de litige, qu'ils ont agi dans les règles de l'art.
Vu le débit de loi de ces derniers temps, celà m'étonnerait que ce soit la raison. Lorsque qu'il sera possible de faire quelque chose à ce sujet, il est possible que la loi soit inadaptée.
Il y a cependant quelque chose que je ne comprends pas. Les robots pouvant détecter les extensions (mp3, mpeg...), pourquoi la commission (parce que les députés ne font que reprendre ses amendements) n'a-t-elle pas rajouté aux trois infractions la prévention des délits de contrefaçon ? Non seulement cette disposition aurait été applicable et suivie d'effet, mais en plus elle aurait satisfait les industries du disque...
Un écrit révisioniste ou une image pédophile peut être reconnue (par un humain) pour telle sans autre information exterieure. Ce n'est que simplement impossible à faire chez un hébgergeur.
Pour qu'il y ait contrefaçon, il faut qu'il y ai un ayant droit et que ce dernier conteste la publication. Pour une recherche de contrefaçon, il faut croiser les données éditer avec les droits d'auteur. C'est doublement impossible car c'est en plus basé sur des faits inconnus ou ça oubligerait l'hébergeur à s'immisser dans les contrat que son client a avec des tiers.
Roland Garcia
Bruno Cinelli a écrit :
Il y a cependant quelque chose que je ne comprends pas. Les robots pouvant détecter les extensions (mp3, mpeg...), pourquoi la commission (parce que les députés ne font que reprendre ses amendements) n'a-t-elle pas rajouté aux trois infractions la prévention des délits de contrefaçon ? Non seulement cette disposition aurait été applicable et suivie d'effet pour prévenir la diffusion de fichiers contrefaits, mais en plus elle aurait pleinement satisfait les industries du disque...
L'obligation *spécifique* de surveillance admise par la directive européenne est déjà d'interprétation *restrictive*, là on commence à toucher au *général* .
Roland Garcia
Bruno Cinelli a écrit :
Il y a cependant quelque chose que je ne comprends pas. Les robots pouvant
détecter les extensions (mp3, mpeg...), pourquoi la commission (parce que
les députés ne font que reprendre ses amendements) n'a-t-elle pas rajouté
aux trois infractions la prévention des délits de contrefaçon ? Non
seulement cette disposition aurait été applicable et suivie d'effet pour
prévenir la diffusion de fichiers contrefaits, mais en
plus elle aurait pleinement satisfait les industries du disque...
L'obligation *spécifique* de surveillance admise par la directive
européenne est déjà d'interprétation *restrictive*, là on commence à
toucher au *général* .
Il y a cependant quelque chose que je ne comprends pas. Les robots pouvant détecter les extensions (mp3, mpeg...), pourquoi la commission (parce que les députés ne font que reprendre ses amendements) n'a-t-elle pas rajouté aux trois infractions la prévention des délits de contrefaçon ? Non seulement cette disposition aurait été applicable et suivie d'effet pour prévenir la diffusion de fichiers contrefaits, mais en plus elle aurait pleinement satisfait les industries du disque...
L'obligation *spécifique* de surveillance admise par la directive européenne est déjà d'interprétation *restrictive*, là on commence à toucher au *général* .
Roland Garcia
Bruno Cinelli
"Laurent Wacrenier" <lwa@ teaser . fr> a écrit...
> Il y a cependant quelque chose que je ne comprends pas. Les robots
pouvant
> détecter les extensions (mp3, mpeg...), pourquoi la commission (parce
que
> les députés ne font que reprendre ses amendements) n'a-t-elle pas
rajouté
> aux trois infractions la prévention des délits de contrefaçon ? Non > seulement cette disposition aurait été applicable et suivie d'effet,
mais en
> plus elle aurait satisfait les industries du disque...
Un écrit révisioniste ou une image pédophile peut être reconnue (par un humain) pour telle sans autre information exterieure. Ce n'est que simplement impossible à faire chez un hébgergeur.
Je crois qu'il y a une confusion entre les articles, j'en ai parlé dans une autre contribution...
La directive communautaire prévoit deux types de surveillance : la surveillance a posteriori et la surveillance a priori.
La surveillance a posteriori : - Directive : aucune obligation générale de surveillance. - Projet de loi : aucune obligation générale de surveillance.
La surveillance a priori : - Directive : obligation facultative de surveillance - Projet de loi : obligation de surveiller pour prévenir 3 infractions.
Donc l'hébergeur n'a pas faire le tour de ses sites pour vérifier s'il n'y a pas des photos pédophiles, d'écrits racistes etc. En revanche, il doit faire son maximum, avec l'aide des techniques actuelles, pour empêcher la diffusion. C'est donc de la surveillance par filtrage. Et ce que je disais, c'est que les robots ne parviendront jamais à détecter des contenus éditoriaux illicites (photos ou écrits). En revanche, agir dans les règles de l'art, c'est détecter les identifiants tendancieux afin de contrôler le contenu du site, c'est détecter les fichiers avec certaines extensions (vidéos).
Pour qu'il y ait contrefaçon, il faut qu'il y ai un ayant droit et que ce dernier conteste la publication. Pour une recherche de contrefaçon, il faut croiser les données éditer avec les droits d'auteur.
Tout à fait, et là est le danger du projet LEN. Sur ce point précis de la connaissance effective du délit par l'hébergeur. Et sur ce point précis qu'il faut lutter afin de revenir sur le régime actuel (nécessité d'une intervention judiciaire).
-- Bruno Cinelli
"Laurent Wacrenier" <lwa@ teaser . fr> a écrit...
> Il y a cependant quelque chose que je ne comprends pas. Les robots
pouvant
> détecter les extensions (mp3, mpeg...), pourquoi la commission (parce
que
> les députés ne font que reprendre ses amendements) n'a-t-elle pas
rajouté
> aux trois infractions la prévention des délits de contrefaçon ? Non
> seulement cette disposition aurait été applicable et suivie d'effet,
mais en
> plus elle aurait satisfait les industries du disque...
Un écrit révisioniste ou une image pédophile peut être reconnue
(par un humain) pour telle sans autre information exterieure.
Ce n'est que simplement impossible à faire chez un hébgergeur.
Je crois qu'il y a une confusion entre les articles, j'en ai parlé dans une
autre contribution...
La directive communautaire prévoit deux types de surveillance : la
surveillance a posteriori et la surveillance a priori.
La surveillance a posteriori :
- Directive : aucune obligation générale de surveillance.
- Projet de loi : aucune obligation générale de surveillance.
La surveillance a priori :
- Directive : obligation facultative de surveillance
- Projet de loi : obligation de surveiller pour prévenir 3 infractions.
Donc l'hébergeur n'a pas faire le tour de ses sites pour vérifier s'il n'y a
pas des photos pédophiles, d'écrits racistes etc. En revanche, il doit faire
son maximum, avec l'aide des techniques actuelles, pour empêcher la
diffusion. C'est donc de la surveillance par filtrage. Et ce que je disais,
c'est que les robots ne parviendront jamais à détecter des contenus
éditoriaux illicites (photos ou écrits). En revanche, agir dans les règles
de l'art, c'est détecter les identifiants tendancieux afin de contrôler le
contenu du site, c'est détecter les fichiers avec certaines extensions
(vidéos).
Pour qu'il y ait contrefaçon, il faut qu'il y ai un ayant droit et que
ce dernier conteste la publication. Pour une recherche de contrefaçon,
il faut croiser les données éditer avec les droits d'auteur.
Tout à fait, et là est le danger du projet LEN. Sur ce point précis de la
connaissance effective du délit par l'hébergeur. Et sur ce point précis
qu'il faut lutter afin de revenir sur le régime actuel (nécessité d'une
intervention judiciaire).
> Il y a cependant quelque chose que je ne comprends pas. Les robots
pouvant
> détecter les extensions (mp3, mpeg...), pourquoi la commission (parce
que
> les députés ne font que reprendre ses amendements) n'a-t-elle pas
rajouté
> aux trois infractions la prévention des délits de contrefaçon ? Non > seulement cette disposition aurait été applicable et suivie d'effet,
mais en
> plus elle aurait satisfait les industries du disque...
Un écrit révisioniste ou une image pédophile peut être reconnue (par un humain) pour telle sans autre information exterieure. Ce n'est que simplement impossible à faire chez un hébgergeur.
Je crois qu'il y a une confusion entre les articles, j'en ai parlé dans une autre contribution...
La directive communautaire prévoit deux types de surveillance : la surveillance a posteriori et la surveillance a priori.
La surveillance a posteriori : - Directive : aucune obligation générale de surveillance. - Projet de loi : aucune obligation générale de surveillance.
La surveillance a priori : - Directive : obligation facultative de surveillance - Projet de loi : obligation de surveiller pour prévenir 3 infractions.
Donc l'hébergeur n'a pas faire le tour de ses sites pour vérifier s'il n'y a pas des photos pédophiles, d'écrits racistes etc. En revanche, il doit faire son maximum, avec l'aide des techniques actuelles, pour empêcher la diffusion. C'est donc de la surveillance par filtrage. Et ce que je disais, c'est que les robots ne parviendront jamais à détecter des contenus éditoriaux illicites (photos ou écrits). En revanche, agir dans les règles de l'art, c'est détecter les identifiants tendancieux afin de contrôler le contenu du site, c'est détecter les fichiers avec certaines extensions (vidéos).
Pour qu'il y ait contrefaçon, il faut qu'il y ai un ayant droit et que ce dernier conteste la publication. Pour une recherche de contrefaçon, il faut croiser les données éditer avec les droits d'auteur.
Tout à fait, et là est le danger du projet LEN. Sur ce point précis de la connaissance effective du délit par l'hébergeur. Et sur ce point précis qu'il faut lutter afin de revenir sur le régime actuel (nécessité d'une intervention judiciaire).
-- Bruno Cinelli
chunter
Salut,
Bruno Cinelli wrote:
Il y a cependant quelque chose que je ne comprends pas. Les robots pouvant détecter les extensions (mp3, mpeg...), pourquoi la commission (parce que les députés ne font que reprendre ses amendements) n'a-t-elle pas rajouté aux trois infractions la prévention des délits de contrefaçon ? Non seulement cette disposition aurait été applicable et suivie d'effet pour prévenir la diffusion de fichiers contrefaits, mais en plus elle aurait pleinement satisfait les industries du disque...
En quoi ca aiderait a la lutte contre les contrefacons ?
Tous les mpeg ou mp3 ne sont pas illegaux et rien n'empeche de nommer un morceau de musique qu'on a compose du nom d'un tube connu ou une video personnelle du titre d'un film conu. Ou inversement une oeuvre contrefaite d'un nom quelquonque.
De plus une extension de fichier ne signifie pas grand chose, car rien n'empeche de la changer.
-- Bruno Cinelli
Bye Chunter
Salut,
Bruno Cinelli wrote:
Il y a cependant quelque chose que je ne comprends pas. Les robots pouvant
détecter les extensions (mp3, mpeg...), pourquoi la commission (parce que
les députés ne font que reprendre ses amendements) n'a-t-elle pas rajouté
aux trois infractions la prévention des délits de contrefaçon ? Non
seulement cette disposition aurait été applicable et suivie d'effet pour
prévenir la diffusion de fichiers contrefaits, mais en
plus elle aurait pleinement satisfait les industries du disque...
En quoi ca aiderait a la lutte contre les contrefacons ?
Tous les mpeg ou mp3 ne sont pas illegaux et rien n'empeche de nommer un
morceau de musique qu'on a compose du nom d'un tube connu ou une video
personnelle du titre d'un film conu. Ou inversement une oeuvre
contrefaite d'un nom quelquonque.
De plus une extension de fichier ne signifie pas grand chose, car rien
n'empeche de la changer.
Il y a cependant quelque chose que je ne comprends pas. Les robots pouvant détecter les extensions (mp3, mpeg...), pourquoi la commission (parce que les députés ne font que reprendre ses amendements) n'a-t-elle pas rajouté aux trois infractions la prévention des délits de contrefaçon ? Non seulement cette disposition aurait été applicable et suivie d'effet pour prévenir la diffusion de fichiers contrefaits, mais en plus elle aurait pleinement satisfait les industries du disque...
En quoi ca aiderait a la lutte contre les contrefacons ?
Tous les mpeg ou mp3 ne sont pas illegaux et rien n'empeche de nommer un morceau de musique qu'on a compose du nom d'un tube connu ou une video personnelle du titre d'un film conu. Ou inversement une oeuvre contrefaite d'un nom quelquonque.
De plus une extension de fichier ne signifie pas grand chose, car rien n'empeche de la changer.
-- Bruno Cinelli
Bye Chunter
Brain Damage
Francois Petillon wrote:
On Thu, 15 Jan 2004 11:01:44 +0000, Laurent Wacrenier wrote:
Il existe des "moyens logiciels puissants" pour ce rôle, parait-il.
Doivent-ils respecter les robot.txt ?
Oui sinon ils sont hors la loi.
Francois Petillon wrote:
On Thu, 15 Jan 2004 11:01:44 +0000, Laurent Wacrenier wrote:
Il existe des "moyens logiciels puissants" pour ce rôle, parait-il.