> Michel Talon a formulé la demande :
> P4nd1-P4nd4 <P4nd1-P4nd4@.net> wrote:
>>
>> Extra comme exemple, des gens qui n'ont pas a se faire chier tout les
>> jours et qui se font payer comme des fonctionnaires !
>
> Etant moi même physicien, je te crache à la gueule, et j'espère que ton
> patron te fera chier de plus en plus jusqu'à ce que tu en crèves. Tu ne
> mérites rien de plus car tu as une mentalité d'esclave.
Bonjour,
Voici ma réponse officiel à ce Monsieur Talon, qui cherche à m'imposer
sa manière de voir, son dogme, après qu'il m'ait fait part de quelques
éléments personnels cités ci-dessus
Premièrement
Sa manière de s'exprimer, qui traduit seulement la haine et la violence
d'une très grande frustration personnelle
Deuxièmement
Sa perception des travailleurs, qui se lèvent tôt et triment pour
bosser, en priant chaque jour de garder leurs emplois
Troisièmement
Sa vision élitiste et dénigrante des "gens qui ne sont pas à son
niveau"
Moi je pense que
- Les chercheurs sont par définition inutile, car chercher ne sert à
rien. Il faut des "trouveurs", qui seraient eux bien plus utile à la
société
- Ces personnes ponctionnent de l'argent publique alors que nos caisses
sont vides
- Cet argent serait bien mieux dépensé dans l'éducation et pour toutes
les familles qui n'arrivent plus à tourner. A l'heure des coupes de
budget dans le social et des chômeurs, bref
- Le salaire de ce Monsieur devrait correspondre à ses résultats, et
pas au temps passé à ce secouer le noeud avec un système d'exploitation
qui existe déjà en plus de 300 versions. On descendrait probablement à
environ 50 Euros par mois, ce qui serait acceptable pour la société
Pour résumer:
Voici le profil type de l'utilisateur Linux, juste payé pour s'écouter
parler et distraire les "grandes gens", payé pour passer son temps à
faire des "Installations" et "Autres Experiences des plus
passionnantes"
Merci de confirmer qu'un cafard, au moins ca s'écrase
--
P4nd1-P4nd4 vous salue, et annonce que le petit ourson possède
désormais son blog
p4nd1-p4nd4.over-blog.com
Le 28/04/2010 13:13, Patrice Karatchentzeff a écrit :
N'importe quoi : les fonctions régaliennes sont au contraire très basiques : c'est la sécurité du citoyen et la justice.
Et encore, la sécurité pourrait très bien être assurée par des agents privés.
Déjà répondu plus haut : rien ne s'y oppose en théorie : les fonctions régaliennes peuvent être effectuées par n'importe qui, du moment que la direction et la vérification soit toujours du domaine de l'État.
Le 28/04/2010 13:13, Patrice Karatchentzeff a écrit :
N'importe quoi : les fonctions régaliennes sont au contraire très
basiques : c'est la sécurité du citoyen et la justice.
Et encore, la sécurité pourrait très bien être assurée par des agents
privés.
Déjà répondu plus haut : rien ne s'y oppose en théorie : les fonctions
régaliennes peuvent être effectuées par n'importe qui, du moment que
la direction et la vérification soit toujours du domaine de l'État.
Le 28/04/2010 13:13, Patrice Karatchentzeff a écrit :
N'importe quoi : les fonctions régaliennes sont au contraire très basiques : c'est la sécurité du citoyen et la justice.
Et encore, la sécurité pourrait très bien être assurée par des agents privés.
Déjà répondu plus haut : rien ne s'y oppose en théorie : les fonctions régaliennes peuvent être effectuées par n'importe qui, du moment que la direction et la vérification soit toujours du domaine de l'État.
Et tu retombes dans les travers de la 3ème république avec une direction de l'état tellement dissolu qu'elle est incapable de faire le moindre choix ou d'avoir la moindre réactivité.
L'Allemagne semble fonctionner pourtant.
L'Allemagne a un gouvernement fédéral.
Pas seulement. C'est leur mentalité qui est différente. Je vois mal une grande coalition en France (UMP+PS par ex.). Leur politiciens ne sont pas des anges non plus, mais il semble qu'ils se soucient un peu plus de l'intérêt général que par chez nous.
L'UMP *est* une grande coalition.
-- Toxico Nimbus
Le 28/04/2010 18:45, Jo Kerr a écrit :
Il se trouve que Toxico Nimbus a formulé :
Le 27/04/2010 20:16, Pierre P a écrit :
Et tu retombes dans les travers de la 3ème république avec une
direction
de l'état tellement dissolu qu'elle est incapable de faire le moindre
choix ou d'avoir la moindre réactivité.
L'Allemagne semble fonctionner pourtant.
L'Allemagne a un gouvernement fédéral.
Pas seulement. C'est leur mentalité qui est différente.
Je vois mal une grande coalition en France (UMP+PS par ex.). Leur
politiciens ne sont pas des anges non plus, mais il semble qu'ils se
soucient un peu plus de l'intérêt général que par chez nous.
Et tu retombes dans les travers de la 3ème république avec une direction de l'état tellement dissolu qu'elle est incapable de faire le moindre choix ou d'avoir la moindre réactivité.
L'Allemagne semble fonctionner pourtant.
L'Allemagne a un gouvernement fédéral.
Pas seulement. C'est leur mentalité qui est différente. Je vois mal une grande coalition en France (UMP+PS par ex.). Leur politiciens ne sont pas des anges non plus, mais il semble qu'ils se soucient un peu plus de l'intérêt général que par chez nous.
L'UMP *est* une grande coalition.
-- Toxico Nimbus
remy
Pierre P a écrit :
C'est là qu'on fini tous par se rejoindre. C'est un comble de travailler et d'être pauvre. Parce que c'est bien la situation actuelle du système. Pour des raisons dites de solidarité, nos politiques font leur clientélisme sur le dos des contribuables/entreprises qui ne peuvent plus créer de richesse tant c'est devenu énorme et incontrolable.
je vais probablement tu faire hurler, mais je ne suis pas d'accord le système actuel est la conséquence logique de la dé-régularisat ion des marchés induite par la globalisation des mêmes marchés
en gros, et pour faire simple, le plus fort a gagné et les autres sont dans la merde
je suis pour plus de politique parce que
1 le politique on le contrôle en théorie 2 son rôle ou sa fonction s'apparente à de la régulation
je m'explique, pour faire simple ,à force cela ne va vouloir plus rien dire ,mais bon, en gros ,le politique a complètement abandonné la sphère économique et c'est un non sens
comment gérer la cité sans avoir une influence sur sa principale activité
une boite c'est fait pour faire du fric, je n'y vois aucun problème, c'est son rôle, sa raison d'être, sa principale activité, elle ne f ait que son boulot
les délocalisations ne sont qu'un processus naturel lié à sa survie , le politique lui subit et gère les conséquences
par exemple, la délocalisation de l'outil de production, pour moi, induit ,une perte de compétitivité par rapport à l'innovation, mais la boite qui délocalise elle n'en a rien à foutre, elle vit dans le pré sent et elle n'a pas le choix
un autre exemple, la net économie, sa marge se fait sur une réduction des frais de fonctionnent, elle ne redistribue pas via son réseau comme
le transport routier, construction ,entretien des locaux ,frais de fonctionnement,et salaires des employés de la boite ,etc
elle est dans son rôle, elle fait du fric, je n'y trouve rien à redir e
un petit dernier, la financiarisation des revenus même topo, pourquoi je me compliquerai la vie à créer un produit ou une filièr e quand je peux gagner plus, avec moins de contraintes, ne pas le faire est un non sens pour une grosse boite, par exemple renault ou autres, il n'y a pas que les banques qui font du fric en bourse
en économie, je suis persuadé que l'on ne peut pas dissocier les part ies de l'ensemble, le simple fait de le faire casse les interactions induites et ténues qui font que l'ensemble tient à peu près la rout e, par contre on peut faire du fric en cassant justement ses liens induits par les interactions et c'est justement là que pour moi le politique doit rentrer en scène
la difficulté réside comme dab dans le juste milieu, un politique qui régule n'est pas un politique qui conditionne
et pour revenir in charte ,microsoft capte toute la redistribution liée à l'économie des os ou applicatifs sans Microsoft linux 'exist erait pas ou ne serait pas aussi abouti
et pour finir une petite parabole : le politique ne doit pas imposer un os il doit favoriser la création d'un marché des os en gros voilà o ù je situe la régulation je ne veux pas vous démoraliser, mais la merde se ne sont pas se qui l'engendre qui la mange comme d'hab exemple la grèce
le politique n'est plus un gestionnaire de la cité mais un pompier qui n'a plus d'eau
remy
Pierre P a écrit :
C'est là qu'on fini tous par se rejoindre.
C'est un comble de travailler et d'être pauvre.
Parce que c'est bien la situation actuelle du système.
Pour des raisons dites de solidarité, nos politiques font leur
clientélisme sur le dos des contribuables/entreprises qui ne peuvent
plus créer de richesse tant c'est devenu énorme et incontrolable.
je vais probablement tu faire hurler, mais je ne suis pas d'accord
le système actuel est la conséquence logique de la dé-régularisat ion
des marchés induite par la globalisation des mêmes marchés
en gros, et pour faire simple, le plus fort a gagné et les autres sont
dans la merde
je suis pour plus de politique parce que
1 le politique on le contrôle en théorie
2 son rôle ou sa fonction s'apparente à de la régulation
je m'explique, pour faire simple ,à force cela ne va vouloir plus rien
dire ,mais bon, en gros ,le politique a complètement abandonné la
sphère économique et c'est un non sens
comment gérer la cité sans avoir une influence sur sa principale
activité
une boite c'est fait pour faire du fric, je n'y vois aucun problème,
c'est son rôle, sa raison d'être, sa principale activité, elle ne f ait
que son boulot
les délocalisations ne sont qu'un processus naturel lié à sa survie ,
le politique lui subit et gère les conséquences
par exemple, la délocalisation de l'outil de production, pour moi,
induit ,une perte de compétitivité par rapport à l'innovation, mais la
boite qui délocalise elle n'en a rien à foutre, elle vit dans le pré sent
et elle n'a pas le choix
un autre exemple, la net économie, sa marge se fait sur une réduction
des frais de fonctionnent, elle ne redistribue pas via son réseau
comme
le transport routier, construction ,entretien des locaux ,frais de
fonctionnement,et salaires des employés de la boite ,etc
elle est dans son rôle, elle fait du fric, je n'y trouve rien à redir e
un petit dernier, la financiarisation des revenus même topo,
pourquoi je me compliquerai la vie à créer un produit ou une filièr e
quand je peux gagner plus, avec moins de contraintes, ne pas le faire
est un non sens pour une grosse boite, par exemple renault ou autres, il
n'y a pas que les banques qui font du fric en bourse
en économie, je suis persuadé que l'on ne peut pas dissocier les part ies
de l'ensemble, le simple fait de le faire casse les interactions
induites et ténues qui font que l'ensemble tient à peu près la rout e,
par contre on peut faire du fric en cassant justement ses liens induits
par les interactions et c'est justement là que pour moi le politique
doit rentrer en scène
la difficulté réside comme dab dans le juste milieu, un politique
qui régule n'est pas un politique qui conditionne
et pour revenir in charte ,microsoft capte toute la redistribution
liée à l'économie des os ou applicatifs sans Microsoft linux 'exist erait
pas ou ne serait pas aussi abouti
et pour finir une petite parabole : le politique ne doit pas imposer un
os il doit favoriser la création d'un marché des os en gros voilà o ù je
situe la régulation je ne veux pas vous démoraliser, mais la merde se ne
sont pas se qui l'engendre qui la mange comme d'hab exemple la grèce
le politique n'est plus un gestionnaire de la cité mais un pompier
qui n'a plus d'eau
C'est là qu'on fini tous par se rejoindre. C'est un comble de travailler et d'être pauvre. Parce que c'est bien la situation actuelle du système. Pour des raisons dites de solidarité, nos politiques font leur clientélisme sur le dos des contribuables/entreprises qui ne peuvent plus créer de richesse tant c'est devenu énorme et incontrolable.
je vais probablement tu faire hurler, mais je ne suis pas d'accord le système actuel est la conséquence logique de la dé-régularisat ion des marchés induite par la globalisation des mêmes marchés
en gros, et pour faire simple, le plus fort a gagné et les autres sont dans la merde
je suis pour plus de politique parce que
1 le politique on le contrôle en théorie 2 son rôle ou sa fonction s'apparente à de la régulation
je m'explique, pour faire simple ,à force cela ne va vouloir plus rien dire ,mais bon, en gros ,le politique a complètement abandonné la sphère économique et c'est un non sens
comment gérer la cité sans avoir une influence sur sa principale activité
une boite c'est fait pour faire du fric, je n'y vois aucun problème, c'est son rôle, sa raison d'être, sa principale activité, elle ne f ait que son boulot
les délocalisations ne sont qu'un processus naturel lié à sa survie , le politique lui subit et gère les conséquences
par exemple, la délocalisation de l'outil de production, pour moi, induit ,une perte de compétitivité par rapport à l'innovation, mais la boite qui délocalise elle n'en a rien à foutre, elle vit dans le pré sent et elle n'a pas le choix
un autre exemple, la net économie, sa marge se fait sur une réduction des frais de fonctionnent, elle ne redistribue pas via son réseau comme
le transport routier, construction ,entretien des locaux ,frais de fonctionnement,et salaires des employés de la boite ,etc
elle est dans son rôle, elle fait du fric, je n'y trouve rien à redir e
un petit dernier, la financiarisation des revenus même topo, pourquoi je me compliquerai la vie à créer un produit ou une filièr e quand je peux gagner plus, avec moins de contraintes, ne pas le faire est un non sens pour une grosse boite, par exemple renault ou autres, il n'y a pas que les banques qui font du fric en bourse
en économie, je suis persuadé que l'on ne peut pas dissocier les part ies de l'ensemble, le simple fait de le faire casse les interactions induites et ténues qui font que l'ensemble tient à peu près la rout e, par contre on peut faire du fric en cassant justement ses liens induits par les interactions et c'est justement là que pour moi le politique doit rentrer en scène
la difficulté réside comme dab dans le juste milieu, un politique qui régule n'est pas un politique qui conditionne
et pour revenir in charte ,microsoft capte toute la redistribution liée à l'économie des os ou applicatifs sans Microsoft linux 'exist erait pas ou ne serait pas aussi abouti
et pour finir une petite parabole : le politique ne doit pas imposer un os il doit favoriser la création d'un marché des os en gros voilà o ù je situe la régulation je ne veux pas vous démoraliser, mais la merde se ne sont pas se qui l'engendre qui la mange comme d'hab exemple la grèce
le politique n'est plus un gestionnaire de la cité mais un pompier qui n'a plus d'eau
remy
talon
Patrice Karatchentzeff wrote:
de marché. Ce n'est pas compatible : le meilleur exemple est FT et l'ouverture au marché des télécommunications (par contre, on peut discuter du fait que les télécommunications soit une fonction
Prenons un autre exemple similaire, les routes. Tu remarqueras que les ponts et chaussées sont en France une institution étatique depuis le temps des rois, et avec un assez bon résultat, c'est le moins qu'on puisse dire. Maintenant rien n'empêche de faire des routes privées et de poser un péage. En fait c'est exactement ce qui se passe avec les autoroutes. Est-ce que tu en déduis que les routes devraient être exclusivement du domaine de l'initiative privée? Je suis sûr qu'on n'aurait certainement pas un réseau aussi fin dans ce cas ... Le fait qu'il existe en France une Education Nationale gratuite jusqu'à et y compris les études supérieures me semble aussi une bonne chose. Si tu devais payer 40K euros par an pour envoyer tes enfants à la fac, comme à Princeton ou Harvard je voudrais voir ta tête. Là encore tout dépend de savoir où on s'arrête, et en particulier est-il normal de payer des profs pour se tenir devant des élèves qui n' écoutent pas un mot du cours, voire même filent un coup de couteau au prof. Il est dans la nature des choses que les enseignants demandent toujours plus de "moyens", de postes, etc. pour se livrer à un travail totalement inutile. C'est le rôle des choix politiques d'arbitrer et de couper les crédits quelque part. La solution ne peut pas être de dépenser toujours plus sans compter et d'augmenter les impôts sans limite en faisant "payer les riches", c'est à dire toi et moi.
de marché. Ce n'est pas compatible : le meilleur exemple est FT et
l'ouverture au marché des télécommunications (par contre, on peut
discuter du fait que les télécommunications soit une fonction
Prenons un autre exemple similaire, les routes. Tu remarqueras que les
ponts et chaussées sont en France une institution étatique depuis le
temps des rois, et avec un assez bon résultat, c'est le moins qu'on
puisse dire. Maintenant rien n'empêche de faire des routes privées et de
poser un péage. En fait c'est exactement ce qui se passe avec les
autoroutes. Est-ce que tu en déduis que les routes devraient être
exclusivement du domaine de l'initiative privée? Je suis sûr qu'on
n'aurait certainement pas un réseau aussi fin dans ce cas ...
Le fait qu'il existe en France une Education Nationale gratuite jusqu'à
et y compris les études supérieures me semble aussi une bonne chose. Si
tu devais payer 40K euros par an pour envoyer tes enfants à la fac,
comme à Princeton ou Harvard je voudrais voir ta tête. Là encore tout
dépend de savoir où on s'arrête, et en particulier est-il normal de
payer des profs pour se tenir devant des élèves qui n' écoutent pas un
mot du cours, voire même filent un coup de couteau au prof. Il est dans
la nature des choses que les enseignants demandent toujours plus de
"moyens", de postes, etc. pour se livrer à un travail totalement
inutile. C'est le rôle des choix politiques d'arbitrer et de couper les
crédits quelque part. La solution ne peut pas être de dépenser toujours
plus sans compter et d'augmenter les impôts sans limite en faisant
"payer les riches", c'est à dire toi et moi.
de marché. Ce n'est pas compatible : le meilleur exemple est FT et l'ouverture au marché des télécommunications (par contre, on peut discuter du fait que les télécommunications soit une fonction
Prenons un autre exemple similaire, les routes. Tu remarqueras que les ponts et chaussées sont en France une institution étatique depuis le temps des rois, et avec un assez bon résultat, c'est le moins qu'on puisse dire. Maintenant rien n'empêche de faire des routes privées et de poser un péage. En fait c'est exactement ce qui se passe avec les autoroutes. Est-ce que tu en déduis que les routes devraient être exclusivement du domaine de l'initiative privée? Je suis sûr qu'on n'aurait certainement pas un réseau aussi fin dans ce cas ... Le fait qu'il existe en France une Education Nationale gratuite jusqu'à et y compris les études supérieures me semble aussi une bonne chose. Si tu devais payer 40K euros par an pour envoyer tes enfants à la fac, comme à Princeton ou Harvard je voudrais voir ta tête. Là encore tout dépend de savoir où on s'arrête, et en particulier est-il normal de payer des profs pour se tenir devant des élèves qui n' écoutent pas un mot du cours, voire même filent un coup de couteau au prof. Il est dans la nature des choses que les enseignants demandent toujours plus de "moyens", de postes, etc. pour se livrer à un travail totalement inutile. C'est le rôle des choix politiques d'arbitrer et de couper les crédits quelque part. La solution ne peut pas être de dépenser toujours plus sans compter et d'augmenter les impôts sans limite en faisant "payer les riches", c'est à dire toi et moi.
--
Michel TALON
Stephane CARPENTIER
Professeur Méphisto wrote:
Le Wed, 28 Apr 2010 17:34:44 -0400, Dellara a écrit :
fondement
tiens, encore un scatopornographe aux oreilles internationales !
Et à tendance sadique.
Professeur Méphisto wrote:
Le Wed, 28 Apr 2010 17:34:44 -0400, Dellara a écrit :
fondement
tiens, encore un scatopornographe aux oreilles internationales !
Stephane CARPENTIER , dans le message <4bd7428b$0$32096$, a écrit :
Je fais surtout l'hypothèse que l'ascension dans un parti est à peu prêt la même que dans une grosse entreprise.
Pour certains partis c'est peut-être vrai. Certainement pas pour to us.
Je parle des partis dans lesquels le leader peut avoir une chance de se faire élire.
talon
Patrice Karatchentzeff wrote:
Pierre P a écrit :
> mais vouloir parler d'égalité en parlant d'égalité du % > d'imposition, moi c'est pas évident.
Personne ne parle d'un taux fixe mais que tout le monde participe. C'est une question de principe et d'équité.
Ce n'est pas politiquement correct, mais je pense que l'égalité du taux d'imposition est la seule chose équitable. En particulier prétendre imposer le riche à 40% tandis que le pauvre est imposé à 0% me paraît le comble de l'iniquité. Le résultat est que le pauvre demande toujours plus à l'état vu que ça ne lui coute rien, tandis que le riche prend la poudre d'escampette. Pour moi la progressivité est le comble de l'inéquité et de l'inefficacité économique. C'est tellement vrai que quand Rocard a introduit la CSG, il a créé un impôt exactement proportionnel, à un taux modéré (12% environ) et contre lequel personne ne proteste tellement. Or il rapporte bien plus que l'impôt sur le revenu. C'est évidemment pour ça que les connards qui préparent le projet économique du parti socialiste veulent réintégrer la CSG dans l'impôt sur le revenu pour le rendre progressif. Il ne seront heureux que quand tout le monde sera au smic ou au chomdu vivant au crochet de l'état, c'est à dire sous leur dépendance. Le fait que les jeunes médecins ne veulent plus s'installer en libéral (et gagner un bon revenu) mais devenir salariés (avec un salaire modeste) ça ne les interpelle pas?
> mais vouloir parler d'égalité en parlant d'égalité du %
> d'imposition, moi c'est pas évident.
Personne ne parle d'un taux fixe mais que tout le monde participe.
C'est une question de principe et d'équité.
Ce n'est pas politiquement correct, mais je pense que l'égalité du taux
d'imposition est la seule chose équitable. En particulier prétendre
imposer le riche à 40% tandis que le pauvre est imposé à 0% me paraît le
comble de l'iniquité. Le résultat est que le pauvre demande toujours
plus à l'état vu que ça ne lui coute rien, tandis que le riche prend la
poudre d'escampette. Pour moi la progressivité est le comble de
l'inéquité et de l'inefficacité économique. C'est tellement vrai que
quand Rocard a introduit la CSG, il a créé un impôt exactement
proportionnel, à un taux modéré (12% environ) et contre lequel personne
ne proteste tellement. Or il rapporte bien plus que l'impôt sur le
revenu. C'est évidemment pour ça que les connards qui préparent le
projet économique du parti socialiste veulent réintégrer la CSG dans
l'impôt sur le revenu pour le rendre progressif. Il ne seront heureux
que quand tout le monde sera au smic ou au chomdu vivant au crochet de
l'état, c'est à dire sous leur dépendance. Le fait que les jeunes
médecins ne veulent plus s'installer en libéral (et gagner un bon
revenu) mais devenir salariés (avec un salaire modeste) ça ne les
interpelle pas?
> mais vouloir parler d'égalité en parlant d'égalité du % > d'imposition, moi c'est pas évident.
Personne ne parle d'un taux fixe mais que tout le monde participe. C'est une question de principe et d'équité.
Ce n'est pas politiquement correct, mais je pense que l'égalité du taux d'imposition est la seule chose équitable. En particulier prétendre imposer le riche à 40% tandis que le pauvre est imposé à 0% me paraît le comble de l'iniquité. Le résultat est que le pauvre demande toujours plus à l'état vu que ça ne lui coute rien, tandis que le riche prend la poudre d'escampette. Pour moi la progressivité est le comble de l'inéquité et de l'inefficacité économique. C'est tellement vrai que quand Rocard a introduit la CSG, il a créé un impôt exactement proportionnel, à un taux modéré (12% environ) et contre lequel personne ne proteste tellement. Or il rapporte bien plus que l'impôt sur le revenu. C'est évidemment pour ça que les connards qui préparent le projet économique du parti socialiste veulent réintégrer la CSG dans l'impôt sur le revenu pour le rendre progressif. Il ne seront heureux que quand tout le monde sera au smic ou au chomdu vivant au crochet de l'état, c'est à dire sous leur dépendance. Le fait que les jeunes médecins ne veulent plus s'installer en libéral (et gagner un bon revenu) mais devenir salariés (avec un salaire modeste) ça ne les interpelle pas?
PK
--
Michel TALON
Stephane CARPENTIER
Doug713705 wrote:
Dans fr.comp.os.linux.debats Stephane CARPENTIER nous expliquait:
Ce serait peut-être une bonne chose à long terme. Pas parce qu'i l redresserait la France, mais parce qu'il y aurait peut-être une lu tte armée qui changerait radicalement le gouvernement.
C'est tout le problème. J'espère que tu te rends compte quand même de l'horreur de la sit uation.
Oui.
On arrive au point où des gens d'ordinaire sensés vont choisir consciement (enfin, je ne suis pas sûr que tous se rendent compte) de prendre les armes.
Oui.
Putain, la vie n'est pas un jeu vidéo !!!
Non, la révolution Française a eu lieu avant l'arrivée des jeux v idéos. Elle ne s'est pas faite dans la joie et la bonne humeur.
Dans l'article 2 de la déclaration des droits de l'hoopme : http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/dudh/1789.asp
Tu crois que ceux qui ont écrit la « résistance à l'oppression » pensaient à une pétition en ligne sur Internet ?
Doug713705 wrote:
Dans fr.comp.os.linux.debats Stephane CARPENTIER nous expliquait:
Ce serait peut-être une bonne chose à long terme. Pas parce qu'i l
redresserait la France, mais parce qu'il y aurait peut-être une lu tte
armée qui changerait radicalement le gouvernement.
C'est tout le problème.
J'espère que tu te rends compte quand même de l'horreur de la sit uation.
Oui.
On arrive au point où des gens d'ordinaire sensés vont choisir
consciement (enfin, je ne suis pas sûr que tous se rendent compte) de
prendre les armes.
Oui.
Putain, la vie n'est pas un jeu vidéo !!!
Non, la révolution Française a eu lieu avant l'arrivée des jeux v idéos.
Elle ne s'est pas faite dans la joie et la bonne humeur.
Dans l'article 2 de la déclaration des droits de l'hoopme :
http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/dudh/1789.asp
Tu crois que ceux qui ont écrit la « résistance à l'oppression » pensaient
à une pétition en ligne sur Internet ?
Dans fr.comp.os.linux.debats Stephane CARPENTIER nous expliquait:
Ce serait peut-être une bonne chose à long terme. Pas parce qu'i l redresserait la France, mais parce qu'il y aurait peut-être une lu tte armée qui changerait radicalement le gouvernement.
C'est tout le problème. J'espère que tu te rends compte quand même de l'horreur de la sit uation.
Oui.
On arrive au point où des gens d'ordinaire sensés vont choisir consciement (enfin, je ne suis pas sûr que tous se rendent compte) de prendre les armes.
Oui.
Putain, la vie n'est pas un jeu vidéo !!!
Non, la révolution Française a eu lieu avant l'arrivée des jeux v idéos. Elle ne s'est pas faite dans la joie et la bonne humeur.
Dans l'article 2 de la déclaration des droits de l'hoopme : http://www.assemblee-nationale.fr/histoire/dudh/1789.asp
Tu crois que ceux qui ont écrit la « résistance à l'oppression » pensaient à une pétition en ligne sur Internet ?
