> Michel Talon a formulé la demande :
> P4nd1-P4nd4 <P4nd1-P4nd4@.net> wrote:
>>
>> Extra comme exemple, des gens qui n'ont pas a se faire chier tout les
>> jours et qui se font payer comme des fonctionnaires !
>
> Etant moi même physicien, je te crache à la gueule, et j'espère que ton
> patron te fera chier de plus en plus jusqu'à ce que tu en crèves. Tu ne
> mérites rien de plus car tu as une mentalité d'esclave.
Bonjour,
Voici ma réponse officiel à ce Monsieur Talon, qui cherche à m'imposer
sa manière de voir, son dogme, après qu'il m'ait fait part de quelques
éléments personnels cités ci-dessus
Premièrement
Sa manière de s'exprimer, qui traduit seulement la haine et la violence
d'une très grande frustration personnelle
Deuxièmement
Sa perception des travailleurs, qui se lèvent tôt et triment pour
bosser, en priant chaque jour de garder leurs emplois
Troisièmement
Sa vision élitiste et dénigrante des "gens qui ne sont pas à son
niveau"
Moi je pense que
- Les chercheurs sont par définition inutile, car chercher ne sert à
rien. Il faut des "trouveurs", qui seraient eux bien plus utile à la
société
- Ces personnes ponctionnent de l'argent publique alors que nos caisses
sont vides
- Cet argent serait bien mieux dépensé dans l'éducation et pour toutes
les familles qui n'arrivent plus à tourner. A l'heure des coupes de
budget dans le social et des chômeurs, bref
- Le salaire de ce Monsieur devrait correspondre à ses résultats, et
pas au temps passé à ce secouer le noeud avec un système d'exploitation
qui existe déjà en plus de 300 versions. On descendrait probablement à
environ 50 Euros par mois, ce qui serait acceptable pour la société
Pour résumer:
Voici le profil type de l'utilisateur Linux, juste payé pour s'écouter
parler et distraire les "grandes gens", payé pour passer son temps à
faire des "Installations" et "Autres Experiences des plus
passionnantes"
Merci de confirmer qu'un cafard, au moins ca s'écrase
--
P4nd1-P4nd4 vous salue, et annonce que le petit ourson possède
désormais son blog
p4nd1-p4nd4.over-blog.com
de marché. Ce n'est pas compatible : le meilleur exemple est FT et l'ouverture au marché des télécommunications (par contre, on peut discuter du fait que les télécommunications soit une fonction
Prenons un autre exemple similaire, les routes. Tu remarqueras que les ponts et chaussées sont en France une institution étatique depuis le temps des rois, et avec un assez bon résultat, c'est le moins qu'on puisse dire.
C'est *exactement* mon propos. L'État se doit d'apporter à ses membres la liberté (ici de circuler) et s'y emploie de la façon (normalement la plus) idoine.
Maintenant rien n'empêche de faire des routes privées et de poser un péage. En fait c'est exactement ce qui se passe avec les autoroutes.
Pas tout à fait : il s'agit d'une concession : l'autoroute appartient officiellement à l'État. Mais ne chipotons pas : ça ne change pas grand chose dans les faits.
Est-ce que tu en déduis que les routes devraient être exclusivement du domaine de l'initiative privée? Je suis sûr qu'on n'aurait certainement pas un réseau aussi fin dans ce cas ...
Curieusement conclusion alors même que je soutenais le contraire. La condition initiale, c'est la liberté (de circuler) : l'État s'y emploie de la manière la plus adroite. L'État est capable de faire et entretenir des routes secondaires donc le fait. Il n'est pas capable de faire de grands axe alors ils sous-traitent à ceux qui peuvent le faire en contre-partie d'une concession.
Résultat : l'action régalienne de l'État s'est appliquée aux mieux des contribuables.
Bon, je reconnais, c'est très théorique pour les autoroutes, vues comment ces dernières contournent la loi et surtout ont reçu une rallonge de la concession... mais c'est la fonction de vérification qui échoue là et l'État qui abandonne sa souveraineté et son devoir envers le contribuable...
Le fait qu'il existe en France une Education Nationale gratuite jusqu'à et y compris les études supérieures me semble aussi une bonne chose. Si tu devais payer 40K euros par an pour envoyer tes enfants à la fac, comme à Princeton ou Harvard je voudrais voir ta tête.
Pourquoi basculer de tout à tout sans nuance ? Crois-tu vraiment qu'il n'existe que le modèle socialiste français et le modèle libéraliste américain sans nuances intermédiaires ?
Admettons pour le débat que « l'éducation » soit du domaine régalien. Ne penses-tu pas que la part exorbitante de nos impôts qui la finance ne se transférera pas ? Si ce n'est plus l'État qui doit directement payer pour cela - et seulement vérifier - ce n'est plus le même tarif...
Et là, on a toutes les nuances de possibilités pour l'usager (qui existent d'ailleurs aujourd'hui de toute façon).
Là encore tout dépend de savoir où on s'arrête, et en particulier est-il normal de payer des profs pour se tenir devant des élèves qui n' écoutent pas un mot du cours, voire même filent un coup de couteau au prof.
Ne considérant pas « l'éducation » comme une fonction régalienne, je te dirai que dans ton exemple, la seule fonction régalienne de violée est la sécurité. Si l'État assurait correctement cette fonction, ce problème ne se poserait pas. Tes profs pourraient tranquillement débiter leur cours à une classe d'élèves endormis, comme cela se pratique depuis des lustres.
de marché. Ce n'est pas compatible : le meilleur exemple est FT et
l'ouverture au marché des télécommunications (par contre, on peut
discuter du fait que les télécommunications soit une fonction
Prenons un autre exemple similaire, les routes. Tu remarqueras que
les ponts et chaussées sont en France une institution étatique
depuis le temps des rois, et avec un assez bon résultat, c'est le
moins qu'on puisse dire.
C'est *exactement* mon propos. L'État se doit d'apporter à ses membres
la liberté (ici de circuler) et s'y emploie de la façon (normalement
la plus) idoine.
Maintenant rien n'empêche de faire des routes privées et de poser un
péage. En fait c'est exactement ce qui se passe avec les autoroutes.
Pas tout à fait : il s'agit d'une concession : l'autoroute appartient
officiellement à l'État. Mais ne chipotons pas : ça ne change pas
grand chose dans les faits.
Est-ce que tu en déduis que les routes devraient être exclusivement
du domaine de l'initiative privée? Je suis sûr qu'on n'aurait
certainement pas un réseau aussi fin dans ce cas ...
Curieusement conclusion alors même que je soutenais le contraire. La
condition initiale, c'est la liberté (de circuler) : l'État s'y
emploie de la manière la plus adroite. L'État est capable de faire et
entretenir des routes secondaires donc le fait. Il n'est pas capable
de faire de grands axe alors ils sous-traitent à ceux qui peuvent le
faire en contre-partie d'une concession.
Résultat : l'action régalienne de l'État s'est appliquée aux mieux des
contribuables.
Bon, je reconnais, c'est très théorique pour les autoroutes, vues
comment ces dernières contournent la loi et surtout ont reçu une
rallonge de la concession... mais c'est la fonction de vérification
qui échoue là et l'État qui abandonne sa souveraineté et son devoir
envers le contribuable...
Le fait qu'il existe en France une Education Nationale gratuite
jusqu'à et y compris les études supérieures me semble aussi une
bonne chose. Si tu devais payer 40K euros par an pour envoyer tes
enfants à la fac, comme à Princeton ou Harvard je voudrais voir ta
tête.
Pourquoi basculer de tout à tout sans nuance ? Crois-tu vraiment qu'il
n'existe que le modèle socialiste français et le modèle libéraliste
américain sans nuances intermédiaires ?
Admettons pour le débat que « l'éducation » soit du domaine régalien.
Ne penses-tu pas que la part exorbitante de nos impôts qui la finance
ne se transférera pas ? Si ce n'est plus l'État qui doit directement
payer pour cela - et seulement vérifier - ce n'est plus le même
tarif...
Et là, on a toutes les nuances de possibilités pour l'usager (qui
existent d'ailleurs aujourd'hui de toute façon).
Là encore tout dépend de savoir où on s'arrête, et en particulier
est-il normal de payer des profs pour se tenir devant des élèves qui
n' écoutent pas un mot du cours, voire même filent un coup de
couteau au prof.
Ne considérant pas « l'éducation » comme une fonction régalienne, je
te dirai que dans ton exemple, la seule fonction régalienne de violée
est la sécurité. Si l'État assurait correctement cette fonction, ce
problème ne se poserait pas. Tes profs pourraient tranquillement
débiter leur cours à une classe d'élèves endormis, comme cela se
pratique depuis des lustres.
de marché. Ce n'est pas compatible : le meilleur exemple est FT et l'ouverture au marché des télécommunications (par contre, on peut discuter du fait que les télécommunications soit une fonction
Prenons un autre exemple similaire, les routes. Tu remarqueras que les ponts et chaussées sont en France une institution étatique depuis le temps des rois, et avec un assez bon résultat, c'est le moins qu'on puisse dire.
C'est *exactement* mon propos. L'État se doit d'apporter à ses membres la liberté (ici de circuler) et s'y emploie de la façon (normalement la plus) idoine.
Maintenant rien n'empêche de faire des routes privées et de poser un péage. En fait c'est exactement ce qui se passe avec les autoroutes.
Pas tout à fait : il s'agit d'une concession : l'autoroute appartient officiellement à l'État. Mais ne chipotons pas : ça ne change pas grand chose dans les faits.
Est-ce que tu en déduis que les routes devraient être exclusivement du domaine de l'initiative privée? Je suis sûr qu'on n'aurait certainement pas un réseau aussi fin dans ce cas ...
Curieusement conclusion alors même que je soutenais le contraire. La condition initiale, c'est la liberté (de circuler) : l'État s'y emploie de la manière la plus adroite. L'État est capable de faire et entretenir des routes secondaires donc le fait. Il n'est pas capable de faire de grands axe alors ils sous-traitent à ceux qui peuvent le faire en contre-partie d'une concession.
Résultat : l'action régalienne de l'État s'est appliquée aux mieux des contribuables.
Bon, je reconnais, c'est très théorique pour les autoroutes, vues comment ces dernières contournent la loi et surtout ont reçu une rallonge de la concession... mais c'est la fonction de vérification qui échoue là et l'État qui abandonne sa souveraineté et son devoir envers le contribuable...
Le fait qu'il existe en France une Education Nationale gratuite jusqu'à et y compris les études supérieures me semble aussi une bonne chose. Si tu devais payer 40K euros par an pour envoyer tes enfants à la fac, comme à Princeton ou Harvard je voudrais voir ta tête.
Pourquoi basculer de tout à tout sans nuance ? Crois-tu vraiment qu'il n'existe que le modèle socialiste français et le modèle libéraliste américain sans nuances intermédiaires ?
Admettons pour le débat que « l'éducation » soit du domaine régalien. Ne penses-tu pas que la part exorbitante de nos impôts qui la finance ne se transférera pas ? Si ce n'est plus l'État qui doit directement payer pour cela - et seulement vérifier - ce n'est plus le même tarif...
Et là, on a toutes les nuances de possibilités pour l'usager (qui existent d'ailleurs aujourd'hui de toute façon).
Là encore tout dépend de savoir où on s'arrête, et en particulier est-il normal de payer des profs pour se tenir devant des élèves qui n' écoutent pas un mot du cours, voire même filent un coup de couteau au prof.
Ne considérant pas « l'éducation » comme une fonction régalienne, je te dirai que dans ton exemple, la seule fonction régalienne de violée est la sécurité. Si l'État assurait correctement cette fonction, ce problème ne se poserait pas. Tes profs pourraient tranquillement débiter leur cours à une classe d'élèves endormis, comme cela se pratique depuis des lustres.
mais vouloir parler d'égalité en parlant d'égalité du % d'imposition, moi c'est pas évident.
Personne ne parle d'un taux fixe mais que tout le monde participe. C'est une question de principe et d'équité.
Ce n'est pas politiquement correct, mais je pense que l'égalité du taux d'imposition est la seule chose équitable. En particulier prétendre imposer le riche à 40% tandis que le pauvre est imposé à 0% me pa raît le comble de l'iniquité. Le résultat est que le pauvre demande toujour s plus à l'état vu que ça ne lui coute rien, tandis que le riche pr end la poudre d'escampette. Pour moi la progressivité est le comble de l'inéquité et de l'inefficacité économique. C'est tellement vra i que quand Rocard a introduit la CSG, il a créé un impôt exactement proportionnel, à un taux modéré (12% environ) et contre lequel pe rsonne ne proteste tellement. Or il rapporte bien plus que l'impôt sur le revenu. C'est évidemment pour ça que les connards qui préparent l e projet économique du parti socialiste veulent réintégrer la CSG d ans l'impôt sur le revenu pour le rendre progressif. Il ne seront heureux que quand tout le monde sera au smic ou au chomdu vivant au crochet de l'état, c'est à dire sous leur dépendance. Le fait que les jeunes médecins ne veulent plus s'installer en libéral (et gagner un bon revenu) mais devenir salariés (avec un salaire modeste) ça ne les interpelle pas?
ça existe ,l'on apelle cela la tva, si je suppose que les riches achètent la même chose que les pauvres ,les impôts sur le revenu n' est pas la principale source de revenu de l'état, c'est un pis aller de communicant cathodique je parle des tranches hautes
par contre, le fameux bouclier lui est une position de principe qui sclérose toute évolution du système comme par exemple les retraites
on ne peut pas trouver du fric ailleurs, et c'est qui, qui va payer ?
mais vouloir parler d'égalité en parlant d'égalité du %
d'imposition, moi c'est pas évident.
Personne ne parle d'un taux fixe mais que tout le monde participe.
C'est une question de principe et d'équité.
Ce n'est pas politiquement correct, mais je pense que l'égalité du taux
d'imposition est la seule chose équitable. En particulier prétendre
imposer le riche à 40% tandis que le pauvre est imposé à 0% me pa raît le
comble de l'iniquité. Le résultat est que le pauvre demande toujour s
plus à l'état vu que ça ne lui coute rien, tandis que le riche pr end la
poudre d'escampette. Pour moi la progressivité est le comble de
l'inéquité et de l'inefficacité économique. C'est tellement vra i que
quand Rocard a introduit la CSG, il a créé un impôt exactement
proportionnel, à un taux modéré (12% environ) et contre lequel pe rsonne
ne proteste tellement. Or il rapporte bien plus que l'impôt sur le
revenu. C'est évidemment pour ça que les connards qui préparent l e
projet économique du parti socialiste veulent réintégrer la CSG d ans
l'impôt sur le revenu pour le rendre progressif. Il ne seront heureux
que quand tout le monde sera au smic ou au chomdu vivant au crochet de
l'état, c'est à dire sous leur dépendance. Le fait que les jeunes
médecins ne veulent plus s'installer en libéral (et gagner un bon
revenu) mais devenir salariés (avec un salaire modeste) ça ne les
interpelle pas?
ça existe ,l'on apelle cela la tva, si je suppose que les riches
achètent la même chose que les pauvres ,les impôts sur le revenu n' est
pas la principale source de revenu de l'état, c'est un pis aller de
communicant cathodique je parle des tranches hautes
par contre, le fameux bouclier lui est une position de principe qui
sclérose toute évolution du système comme par exemple les retraites
on ne peut pas trouver du fric ailleurs, et c'est qui, qui va payer ?
mais vouloir parler d'égalité en parlant d'égalité du % d'imposition, moi c'est pas évident.
Personne ne parle d'un taux fixe mais que tout le monde participe. C'est une question de principe et d'équité.
Ce n'est pas politiquement correct, mais je pense que l'égalité du taux d'imposition est la seule chose équitable. En particulier prétendre imposer le riche à 40% tandis que le pauvre est imposé à 0% me pa raît le comble de l'iniquité. Le résultat est que le pauvre demande toujour s plus à l'état vu que ça ne lui coute rien, tandis que le riche pr end la poudre d'escampette. Pour moi la progressivité est le comble de l'inéquité et de l'inefficacité économique. C'est tellement vra i que quand Rocard a introduit la CSG, il a créé un impôt exactement proportionnel, à un taux modéré (12% environ) et contre lequel pe rsonne ne proteste tellement. Or il rapporte bien plus que l'impôt sur le revenu. C'est évidemment pour ça que les connards qui préparent l e projet économique du parti socialiste veulent réintégrer la CSG d ans l'impôt sur le revenu pour le rendre progressif. Il ne seront heureux que quand tout le monde sera au smic ou au chomdu vivant au crochet de l'état, c'est à dire sous leur dépendance. Le fait que les jeunes médecins ne veulent plus s'installer en libéral (et gagner un bon revenu) mais devenir salariés (avec un salaire modeste) ça ne les interpelle pas?
ça existe ,l'on apelle cela la tva, si je suppose que les riches achètent la même chose que les pauvres ,les impôts sur le revenu n' est pas la principale source de revenu de l'état, c'est un pis aller de communicant cathodique je parle des tranches hautes
par contre, le fameux bouclier lui est une position de principe qui sclérose toute évolution du système comme par exemple les retraites
on ne peut pas trouver du fric ailleurs, et c'est qui, qui va payer ?
remy
PK
Nicolas George
Michel Talon, dans le message <hrbif4$1evr$, a écrit :
Ce n'est pas politiquement correct, mais je pense que l'égalité du taux d'imposition est la seule chose équitable. En particulier prétendre imposer le riche à 40% tandis que le pauvre est imposé à 0% me paraît le comble de l'iniquité. Le résultat est que le pauvre demande toujours plus à l'état vu que ça ne lui coute rien,
Tout le monde demande toujours plus, c'est dans la nature humaine. La question est de savoir qui l'obtient.
Sans intervention de la force publique, les « riches » (j'omettrai les guillemets dans le reste du message) sont en position de force pour capter à eux les surcroîts de richesse.
En effet, ils sont moins nombreux, donc peuvent plus facilement se coordonner. De plus, ils peuvent payer des gens (DRG, négociateurs, etc.) pour faire l'effort à leur place. Ils peuvent également soutenir un conflit ouvert plus longtemps et avec moins de dommages personnels.
Maintenant, imaginons que la production de richesses augmente de 2%, sans que ce soit attribuable à une cause en particulier, juste le progrès généralisé. Regardons qui va en profiter.
À cause de la différence dans le rapport de force que j'ai expliquée plus haut, les riches vont capter la plus grande partie de ces 2% : leur niveau de vie va augmenter de plus de 2%, tandis que celui des pauvres va augmenter de nettement moins de 2%. C'est ce qu'on peut prédire, c'est aussi ce qu'on constate, par exemple sur les données de l'INSEE sur les dix dernières années
L'intervention de l'autorité publique est le moyen pour les pauvres de rééquilibrer le rapport de force et de répartir équitablement la croissance de la production de richesse.
tandis que le riche prend la poudre d'escampette.
La concurrence fiscale entre les états est quelque chose de profondément malsain.
Michel Talon, dans le message <hrbif4$1evr$2@asmodee.lpthe.jussieu.fr>,
a écrit :
Ce n'est pas politiquement correct, mais je pense que l'égalité du taux
d'imposition est la seule chose équitable. En particulier prétendre
imposer le riche à 40% tandis que le pauvre est imposé à 0% me paraît le
comble de l'iniquité. Le résultat est que le pauvre demande toujours
plus à l'état vu que ça ne lui coute rien,
Tout le monde demande toujours plus, c'est dans la nature humaine. La
question est de savoir qui l'obtient.
Sans intervention de la force publique, les « riches » (j'omettrai les
guillemets dans le reste du message) sont en position de force pour capter à
eux les surcroîts de richesse.
En effet, ils sont moins nombreux, donc peuvent plus facilement se
coordonner. De plus, ils peuvent payer des gens (DRG, négociateurs, etc.)
pour faire l'effort à leur place. Ils peuvent également soutenir un conflit
ouvert plus longtemps et avec moins de dommages personnels.
Maintenant, imaginons que la production de richesses augmente de 2%, sans
que ce soit attribuable à une cause en particulier, juste le progrès
généralisé. Regardons qui va en profiter.
À cause de la différence dans le rapport de force que j'ai expliquée plus
haut, les riches vont capter la plus grande partie de ces 2% : leur niveau
de vie va augmenter de plus de 2%, tandis que celui des pauvres va augmenter
de nettement moins de 2%. C'est ce qu'on peut prédire, c'est aussi ce qu'on
constate, par exemple sur les données de l'INSEE sur les dix dernières
années
L'intervention de l'autorité publique est le moyen pour les pauvres de
rééquilibrer le rapport de force et de répartir équitablement la croissance
de la production de richesse.
tandis que le riche prend la
poudre d'escampette.
La concurrence fiscale entre les états est quelque chose de profondément
malsain.
Michel Talon, dans le message <hrbif4$1evr$, a écrit :
Ce n'est pas politiquement correct, mais je pense que l'égalité du taux d'imposition est la seule chose équitable. En particulier prétendre imposer le riche à 40% tandis que le pauvre est imposé à 0% me paraît le comble de l'iniquité. Le résultat est que le pauvre demande toujours plus à l'état vu que ça ne lui coute rien,
Tout le monde demande toujours plus, c'est dans la nature humaine. La question est de savoir qui l'obtient.
Sans intervention de la force publique, les « riches » (j'omettrai les guillemets dans le reste du message) sont en position de force pour capter à eux les surcroîts de richesse.
En effet, ils sont moins nombreux, donc peuvent plus facilement se coordonner. De plus, ils peuvent payer des gens (DRG, négociateurs, etc.) pour faire l'effort à leur place. Ils peuvent également soutenir un conflit ouvert plus longtemps et avec moins de dommages personnels.
Maintenant, imaginons que la production de richesses augmente de 2%, sans que ce soit attribuable à une cause en particulier, juste le progrès généralisé. Regardons qui va en profiter.
À cause de la différence dans le rapport de force que j'ai expliquée plus haut, les riches vont capter la plus grande partie de ces 2% : leur niveau de vie va augmenter de plus de 2%, tandis que celui des pauvres va augmenter de nettement moins de 2%. C'est ce qu'on peut prédire, c'est aussi ce qu'on constate, par exemple sur les données de l'INSEE sur les dix dernières années
L'intervention de l'autorité publique est le moyen pour les pauvres de rééquilibrer le rapport de force et de répartir équitablement la croissance de la production de richesse.
tandis que le riche prend la poudre d'escampette.
La concurrence fiscale entre les états est quelque chose de profondément malsain.
remy
Patrice Karatchentzeff a écrit :
Résultat : l'action régalienne de l'État s'est appliquée aux mi eux des contribuables.
c'est bizarre, j'ai plutôt le sentiment contraire les autoroutes ont été construites avec nos impôts et les bénéf ices sont engrangés par le privé, parce qu'il me semble bien qu'au début el les devaient finir par être gratuite
une sorte de financement mixte entre ceux qui les utilisent et tout le monde, et c'est qui qui c'est fait baiser à l'arrivée ?
remy
Patrice Karatchentzeff a écrit :
Résultat : l'action régalienne de l'État s'est appliquée aux mi eux des
contribuables.
c'est bizarre, j'ai plutôt le sentiment contraire
les autoroutes ont été construites avec nos impôts et les bénéf ices sont
engrangés par le privé, parce qu'il me semble bien qu'au début el les
devaient finir par être gratuite
une sorte de financement mixte entre ceux qui les utilisent et tout le
monde, et c'est qui qui c'est fait baiser à l'arrivée ?
Résultat : l'action régalienne de l'État s'est appliquée aux mi eux des contribuables.
c'est bizarre, j'ai plutôt le sentiment contraire les autoroutes ont été construites avec nos impôts et les bénéf ices sont engrangés par le privé, parce qu'il me semble bien qu'au début el les devaient finir par être gratuite
une sorte de financement mixte entre ceux qui les utilisent et tout le monde, et c'est qui qui c'est fait baiser à l'arrivée ?
remy
Nicolas George
Patrice Karatchentzeff , dans le message , a écrit :
C'est *exactement* mon propos. L'État se doit d'apporter à ses membres la liberté (ici de circuler)
Et la liberté de comprendre ? De vivre ?
Sur quels critères te bases-tu pour déterminer quelles libertés l'État doit à ces citoyens ?
Bon, je reconnais, c'est très théorique pour les autoroutes, vues comment ces dernières contournent la loi et surtout ont reçu une rallonge de la concession... mais c'est la fonction de vérification qui échoue là et l'État qui abandonne sa souveraineté et son devoir envers le contribuable...
Je suis totalement d'accord avec ce paragraphe.
la seule fonction régalienne de violée est la sécurité. Si l'État assurait correctement cette fonction, ce problème ne se poserait pas. Tes profs pourraient tranquillement débiter leur cours à une classe d'élèves endormis, comme cela se pratique depuis des lustres.
Sauf que ce n'est pas possible. Un enfant peut développer une paranoïa centrée sur son prof d'histoire-géo sans aucune raison apparente ni symptôme visible jusqu'au jour où il lui plante son stylo plume dans d'oeil.
La force publique peut lutter contre le crime organisé et peut punir tous les crimes a posteriori, mais elle ne pourra jamais prévenir les crimes isolés, en particulier les crimes passionnels ou ceux liés à des maladies mentales.
Mais c'est une autre question.
Cependant, puisque tu reviens sur la question de la sécurité, une petite remarque :
La meilleure manière d'assurer la sécurité des citoyens, ce qui est selon toi un des rôles essentiels de l'État, c'est d'assurer qu'une carrière honnête permette à chacun un niveau de vie convenable, ce qui relève de l'interventionnisme économique.
Patrice Karatchentzeff , dans le message
<878w868ujc.fsf@belledonne.chartreuse.fr>, a écrit :
C'est *exactement* mon propos. L'État se doit d'apporter à ses membres
la liberté (ici de circuler)
Et la liberté de comprendre ? De vivre ?
Sur quels critères te bases-tu pour déterminer quelles libertés l'État doit
à ces citoyens ?
Bon, je reconnais, c'est très théorique pour les autoroutes, vues
comment ces dernières contournent la loi et surtout ont reçu une
rallonge de la concession... mais c'est la fonction de vérification
qui échoue là et l'État qui abandonne sa souveraineté et son devoir
envers le contribuable...
Je suis totalement d'accord avec ce paragraphe.
la seule fonction régalienne de violée
est la sécurité. Si l'État assurait correctement cette fonction, ce
problème ne se poserait pas. Tes profs pourraient tranquillement
débiter leur cours à une classe d'élèves endormis, comme cela se
pratique depuis des lustres.
Sauf que ce n'est pas possible. Un enfant peut développer une paranoïa
centrée sur son prof d'histoire-géo sans aucune raison apparente ni symptôme
visible jusqu'au jour où il lui plante son stylo plume dans d'oeil.
La force publique peut lutter contre le crime organisé et peut punir tous
les crimes a posteriori, mais elle ne pourra jamais prévenir les crimes
isolés, en particulier les crimes passionnels ou ceux liés à des maladies
mentales.
Mais c'est une autre question.
Cependant, puisque tu reviens sur la question de la sécurité, une petite
remarque :
La meilleure manière d'assurer la sécurité des citoyens, ce qui est selon
toi un des rôles essentiels de l'État, c'est d'assurer qu'une carrière
honnête permette à chacun un niveau de vie convenable, ce qui relève de
l'interventionnisme économique.
Patrice Karatchentzeff , dans le message , a écrit :
C'est *exactement* mon propos. L'État se doit d'apporter à ses membres la liberté (ici de circuler)
Et la liberté de comprendre ? De vivre ?
Sur quels critères te bases-tu pour déterminer quelles libertés l'État doit à ces citoyens ?
Bon, je reconnais, c'est très théorique pour les autoroutes, vues comment ces dernières contournent la loi et surtout ont reçu une rallonge de la concession... mais c'est la fonction de vérification qui échoue là et l'État qui abandonne sa souveraineté et son devoir envers le contribuable...
Je suis totalement d'accord avec ce paragraphe.
la seule fonction régalienne de violée est la sécurité. Si l'État assurait correctement cette fonction, ce problème ne se poserait pas. Tes profs pourraient tranquillement débiter leur cours à une classe d'élèves endormis, comme cela se pratique depuis des lustres.
Sauf que ce n'est pas possible. Un enfant peut développer une paranoïa centrée sur son prof d'histoire-géo sans aucune raison apparente ni symptôme visible jusqu'au jour où il lui plante son stylo plume dans d'oeil.
La force publique peut lutter contre le crime organisé et peut punir tous les crimes a posteriori, mais elle ne pourra jamais prévenir les crimes isolés, en particulier les crimes passionnels ou ceux liés à des maladies mentales.
Mais c'est une autre question.
Cependant, puisque tu reviens sur la question de la sécurité, une petite remarque :
La meilleure manière d'assurer la sécurité des citoyens, ce qui est selon toi un des rôles essentiels de l'État, c'est d'assurer qu'une carrière honnête permette à chacun un niveau de vie convenable, ce qui relève de l'interventionnisme économique.
Toxico Nimbus
Le 29/04/2010 11:48, remy a écrit :
ça existe ,l'on apelle cela la tva, si je suppose que les riches achètent la même chose que les pauvres ,
Oui mais quand on est riche, on peut aussi se créer une société pour générer ses propres possessions : la société se fait rembourser la TVA et facture audit riche la mise à disposition du matériel, ne verse pas ou peu de salaire et ne dégage aucun bénéfice, et en plus ledit riche ne peut pas être responsable sur ces biens-là en cas de problèmes avec le fisc.
-- Toxico Nimbus
Le 29/04/2010 11:48, remy a écrit :
ça existe ,l'on apelle cela la tva, si je suppose que les riches
achètent la même chose que les pauvres ,
Oui mais quand on est riche, on peut aussi se créer une société pour
générer ses propres possessions : la société se fait rembourser la TVA
et facture audit riche la mise à disposition du matériel, ne verse pas
ou peu de salaire et ne dégage aucun bénéfice, et en plus ledit riche ne
peut pas être responsable sur ces biens-là en cas de problèmes avec le fisc.
ça existe ,l'on apelle cela la tva, si je suppose que les riches achètent la même chose que les pauvres ,
Oui mais quand on est riche, on peut aussi se créer une société pour générer ses propres possessions : la société se fait rembourser la TVA et facture audit riche la mise à disposition du matériel, ne verse pas ou peu de salaire et ne dégage aucun bénéfice, et en plus ledit riche ne peut pas être responsable sur ces biens-là en cas de problèmes avec le fisc.
-- Toxico Nimbus
olive
Patrice Karatchentzeff écrivait :
À condition que le salaire de base soit décent. Le SMIC aujourd'hui imposée à 20% comme les salaires seraient tout simplement un suicide.
Puisqu'on y est, il faudrait parler aussi des allocations familiales. Quand je vois ce que je paie comme IR en tant que célibataire, sur mon traitement de fonctionnaire (modeste, pour le pléonasme), et que je pense que ça va financer les allocs des gens qui gagnent trois fois plus que moi, je l'ai un peu mauvaise.
Sans parler des parts fiscales.
-- Olivier
Patrice Karatchentzeff écrivait :
À condition que le salaire de base soit décent. Le SMIC aujourd'hui
imposée à 20% comme les salaires seraient tout simplement un suicide.
Puisqu'on y est, il faudrait parler aussi des allocations familiales.
Quand je vois ce que je paie comme IR en tant que célibataire, sur mon
traitement de fonctionnaire (modeste, pour le pléonasme), et que je
pense que ça va financer les allocs des gens qui gagnent trois fois plus
que moi, je l'ai un peu mauvaise.
À condition que le salaire de base soit décent. Le SMIC aujourd'hui imposée à 20% comme les salaires seraient tout simplement un suicide.
Puisqu'on y est, il faudrait parler aussi des allocations familiales. Quand je vois ce que je paie comme IR en tant que célibataire, sur mon traitement de fonctionnaire (modeste, pour le pléonasme), et que je pense que ça va financer les allocs des gens qui gagnent trois fois plus que moi, je l'ai un peu mauvaise.
Sans parler des parts fiscales.
-- Olivier
Toxico Nimbus
Le 29/04/2010 12:55, olive a écrit :
Patrice Karatchentzeff écrivait :
À condition que le salaire de base soit décent. Le SMIC aujourd'hui imposée à 20% comme les salaires seraient tout simplement un suicide.
Puisqu'on y est, il faudrait parler aussi des allocations familiales. Quand je vois ce que je paie comme IR en tant que célibataire, sur mon traitement de fonctionnaire (modeste, pour le pléonasme), et que je pense que ça va financer les allocs des gens qui gagnent trois fois plus que moi, je l'ai un peu mauvaise.
1. Si tu payes des impôts sur le revenu, c'est que ton salaire est moins modeste que près de 50% de la population
2. les allocation familiales sont soumises à un plafond de ressources
Sans parler des parts fiscales.
Il faut avoir des enfants pour en comprendre l'intérêt ;)
-- Toxico Nimbus
Le 29/04/2010 12:55, olive a écrit :
Patrice Karatchentzeff écrivait :
À condition que le salaire de base soit décent. Le SMIC aujourd'hui
imposée à 20% comme les salaires seraient tout simplement un suicide.
Puisqu'on y est, il faudrait parler aussi des allocations familiales.
Quand je vois ce que je paie comme IR en tant que célibataire, sur mon
traitement de fonctionnaire (modeste, pour le pléonasme), et que je
pense que ça va financer les allocs des gens qui gagnent trois fois plus
que moi, je l'ai un peu mauvaise.
1. Si tu payes des impôts sur le revenu, c'est que ton salaire est moins
modeste que près de 50% de la population
2. les allocation familiales sont soumises à un plafond de ressources
Sans parler des parts fiscales.
Il faut avoir des enfants pour en comprendre l'intérêt ;)
À condition que le salaire de base soit décent. Le SMIC aujourd'hui imposée à 20% comme les salaires seraient tout simplement un suicide.
Puisqu'on y est, il faudrait parler aussi des allocations familiales. Quand je vois ce que je paie comme IR en tant que célibataire, sur mon traitement de fonctionnaire (modeste, pour le pléonasme), et que je pense que ça va financer les allocs des gens qui gagnent trois fois plus que moi, je l'ai un peu mauvaise.
1. Si tu payes des impôts sur le revenu, c'est que ton salaire est moins modeste que près de 50% de la population
2. les allocation familiales sont soumises à un plafond de ressources
Sans parler des parts fiscales.
Il faut avoir des enfants pour en comprendre l'intérêt ;)
-- Toxico Nimbus
olive
Toxico Nimbus écrivait :
Puisqu'on y est, il faudrait parler aussi des allocations familiales. Quand je vois ce que je paie comme IR en tant que célibataire, sur mon traitement de fonctionnaire (modeste, pour le pléonasme), et que je pense que ça va financer les allocs des gens qui gagnent trois fois plus que moi, je l'ai un peu mauvaise.
1. Si tu payes des impôts sur le revenu, c'est que ton salaire est moins modeste que près de 50% de la population
Non, puisque à salaire brut égal, les familles ne sont pas imposables (ou beaucoup moins) par le jeu des parts fiscales. C'est globalement une bonne idée, mais il faudrait aussi tenir compte du fait que vivre seul coute cher parce que les charges (loyer, électricité, voiture, Internet et même bouffe) ne sont pas proportionnelles au nombre de personnes du foyer, mais plutôt décroissantes.
2. les allocation familiales sont soumises à un plafond de ressources
Jusqu'à 3000¤ par mois en gros pour trois enfants, c'est vrai. Je pensais que le plafond était plus haut.
Sans parler des parts fiscales.
Il faut avoir des enfants pour en comprendre l'intérêt ;)
Ah ça...
-- Olivier
Toxico Nimbus écrivait :
Puisqu'on y est, il faudrait parler aussi des allocations familiales.
Quand je vois ce que je paie comme IR en tant que célibataire, sur mon
traitement de fonctionnaire (modeste, pour le pléonasme), et que je
pense que ça va financer les allocs des gens qui gagnent trois fois plus
que moi, je l'ai un peu mauvaise.
1. Si tu payes des impôts sur le revenu, c'est que ton salaire est moins
modeste que près de 50% de la population
Non, puisque à salaire brut égal, les familles ne sont pas imposables
(ou beaucoup moins) par le jeu des parts fiscales. C'est globalement une
bonne idée, mais il faudrait aussi tenir compte du fait que vivre seul
coute cher parce que les charges (loyer, électricité, voiture, Internet et même
bouffe) ne sont pas proportionnelles au nombre de personnes du foyer,
mais plutôt décroissantes.
2. les allocation familiales sont soumises à un plafond de ressources
Jusqu'à 3000¤ par mois en gros pour trois enfants, c'est vrai. Je
pensais que le plafond était plus haut.
Sans parler des parts fiscales.
Il faut avoir des enfants pour en comprendre l'intérêt ;)
Puisqu'on y est, il faudrait parler aussi des allocations familiales. Quand je vois ce que je paie comme IR en tant que célibataire, sur mon traitement de fonctionnaire (modeste, pour le pléonasme), et que je pense que ça va financer les allocs des gens qui gagnent trois fois plus que moi, je l'ai un peu mauvaise.
1. Si tu payes des impôts sur le revenu, c'est que ton salaire est moins modeste que près de 50% de la population
Non, puisque à salaire brut égal, les familles ne sont pas imposables (ou beaucoup moins) par le jeu des parts fiscales. C'est globalement une bonne idée, mais il faudrait aussi tenir compte du fait que vivre seul coute cher parce que les charges (loyer, électricité, voiture, Internet et même bouffe) ne sont pas proportionnelles au nombre de personnes du foyer, mais plutôt décroissantes.
2. les allocation familiales sont soumises à un plafond de ressources
Jusqu'à 3000¤ par mois en gros pour trois enfants, c'est vrai. Je pensais que le plafond était plus haut.
Sans parler des parts fiscales.
Il faut avoir des enfants pour en comprendre l'intérêt ;)