Pour moi, ça va nettement plus loin que ça, et ça englobe tous les
logiciels qui accèdent à des données sur lesquels il pourrait y avoir
des restrictions d'utilisations (comme des firmware, ou autres).
Je ne vois pas ce qui te fais penser ça.
Il faudrait aussi se rappeler que c'est un brouillon, en l'attente de
commmentaires, et ne pas tirer de conclusions définitives sur ce que la
licence permet ou ne permet pas...
Pour moi, ça va nettement plus loin que ça, et ça englobe tous les
logiciels qui accèdent à des données sur lesquels il pourrait y avoir
des restrictions d'utilisations (comme des firmware, ou autres).
Je ne vois pas ce qui te fais penser ça.
Il faudrait aussi se rappeler que c'est un brouillon, en l'attente de
commmentaires, et ne pas tirer de conclusions définitives sur ce que la
licence permet ou ne permet pas...
Pour moi, ça va nettement plus loin que ça, et ça englobe tous les
logiciels qui accèdent à des données sur lesquels il pourrait y avoir
des restrictions d'utilisations (comme des firmware, ou autres).
Je ne vois pas ce qui te fais penser ça.
Il faudrait aussi se rappeler que c'est un brouillon, en l'attente de
commmentaires, et ne pas tirer de conclusions définitives sur ce que la
licence permet ou ne permet pas...
Maintenant est-ce que le but est véritablement d'empêcher (par exemple)
TiVO, Motorola et consorts d'utiliser Linux (et d'autres trucs en GPL)
pour gérer de la DRM, je ne pense pas. La GPL n'a jamais eu pour vocation
d'interdire la distribution ou le développement de logiciels
propriétaires sur des plate-formes libres.
Maintenant est-ce que le but est véritablement d'empêcher (par exemple)
TiVO, Motorola et consorts d'utiliser Linux (et d'autres trucs en GPL)
pour gérer de la DRM, je ne pense pas. La GPL n'a jamais eu pour vocation
d'interdire la distribution ou le développement de logiciels
propriétaires sur des plate-formes libres.
Maintenant est-ce que le but est véritablement d'empêcher (par exemple)
TiVO, Motorola et consorts d'utiliser Linux (et d'autres trucs en GPL)
pour gérer de la DRM, je ne pense pas. La GPL n'a jamais eu pour vocation
d'interdire la distribution ou le développement de logiciels
propriétaires sur des plate-formes libres.
Blaise Potard wrote:C'est-à-dire : « la distribution d'un travail sous GPL comme partie d'un
système pour générer ou accéder à certaines données constitue une
persmission au moins pour le développement, la distribution et
l'utilisation d'autres logiciels (sous GPL) capables d'accéder aux mêmes
données.» En gros, si je distribue un logiciel sous GPL qui lit des
données quelconques, par exemple un driver qui charge un firmware sur un
périphérique, n'importe qui a le droit de développer, distribuer et
*utiliser* un logiciel qui accède aux mêmes données, donc par exemple
reverse-engineerer mon firmware. Alors soit : ce genre de clause n'est
Je ne veux pas discuter sur la GPL v3 mais cette conclusion que tu tires là ne
découle *pas* de ce qui précède. Elle dit simplement que tu as le droit de
savoir comment programmer un autre logiciel qui charge le même firmware, pas
de savoir ce qu'il y a dans le firmware.
Blaise Potard <monnom@loria.fr> wrote:
C'est-à-dire : « la distribution d'un travail sous GPL comme partie d'un
système pour générer ou accéder à certaines données constitue une
persmission au moins pour le développement, la distribution et
l'utilisation d'autres logiciels (sous GPL) capables d'accéder aux mêmes
données.» En gros, si je distribue un logiciel sous GPL qui lit des
données quelconques, par exemple un driver qui charge un firmware sur un
périphérique, n'importe qui a le droit de développer, distribuer et
*utiliser* un logiciel qui accède aux mêmes données, donc par exemple
reverse-engineerer mon firmware. Alors soit : ce genre de clause n'est
Je ne veux pas discuter sur la GPL v3 mais cette conclusion que tu tires là ne
découle *pas* de ce qui précède. Elle dit simplement que tu as le droit de
savoir comment programmer un autre logiciel qui charge le même firmware, pas
de savoir ce qu'il y a dans le firmware.
Blaise Potard wrote:C'est-à-dire : « la distribution d'un travail sous GPL comme partie d'un
système pour générer ou accéder à certaines données constitue une
persmission au moins pour le développement, la distribution et
l'utilisation d'autres logiciels (sous GPL) capables d'accéder aux mêmes
données.» En gros, si je distribue un logiciel sous GPL qui lit des
données quelconques, par exemple un driver qui charge un firmware sur un
périphérique, n'importe qui a le droit de développer, distribuer et
*utiliser* un logiciel qui accède aux mêmes données, donc par exemple
reverse-engineerer mon firmware. Alors soit : ce genre de clause n'est
Je ne veux pas discuter sur la GPL v3 mais cette conclusion que tu tires là ne
découle *pas* de ce qui précède. Elle dit simplement que tu as le droit de
savoir comment programmer un autre logiciel qui charge le même firmware, pas
de savoir ce qu'il y a dans le firmware.
la permission d'utiliser un logiciel capable
d'accéder à certaines données n'est pas la même chose que la permission
d'utiliser le logiciel _sur_ les dites données.
M'est avis que ce genre
de subtilités risque d'échapper à pas mal de monde.
la permission d'utiliser un logiciel capable
d'accéder à certaines données n'est pas la même chose que la permission
d'utiliser le logiciel _sur_ les dites données.
M'est avis que ce genre
de subtilités risque d'échapper à pas mal de monde.
la permission d'utiliser un logiciel capable
d'accéder à certaines données n'est pas la même chose que la permission
d'utiliser le logiciel _sur_ les dites données.
M'est avis que ce genre
de subtilités risque d'échapper à pas mal de monde.
Emmanuel Florac wrote:Maintenant est-ce que le but est véritablement d'empêcher (par exemple)
TiVO, Motorola et consorts d'utiliser Linux (et d'autres trucs en GPL)
pour gérer de la DRM, je ne pense pas. La GPL n'a jamais eu pour vocation
d'interdire la distribution ou le développement de logiciels
propriétaires sur des plate-formes libres.
Si le but est clairement d'empêcher des trucs comme Tivo. Plus précisément le
but est d'empêcher qu'une boite sorte du hardware prossédant un chip TCPA
(trusted computing ou treacherous computing) n'acceptant de faire tourner que
des binaires signés, et couplé avec un OS sous GPL - exactement le genre Tivo.
Dans ce cas, certes tu peux disposer des sources de l'OS mais si tu les
modifies et recompiles, tu ne pourras pas faire tourner le résultat sur le
hardware, ce qui vide de sens toutes les "libertés" offertes par la GPL, y
compris v2. La version 3 ne fait qu'expliciter ce qui était implicite là
dedans. (*) Je te fais remarquer que cette question est une des plus graves
menaces pesant sur le logiciel libre, le jour où on ne trouvera plus que des
PC n'acceptant que de faire tourner des BIOS signés et des OS signés, c'est la
fin du logiciel libre. Tu pourras faire tourner Windows dessus, tu pourras
peut être faire tourner Redhat dessus, mais adieu Debian, Gentoo, etc.
La GPL v3 demande que dans le cas où un dispositif de DRM existe sur le
hardware, les clefs permettant de signer le logiciel soient fournies à
l'utilisateur de façon à ce qu'il puisse modifier et recompiler son OS sous
GPL et continuer à le faire tourner sur son hardware. A mon avis il n'y a pas
de logiciel libre en dehors de cette possibilité, et bien entendu il n'y a pas
de DRM rendant les fonctions que certains demandent (empêcher le piratage)
dans ce cas là. Donc il s'agit bien d'une opposition frontale et fondamentale
entre deux conceptions et non pas d'une guerre des chefs entre Stallman et
Linus. Comme d'habitude Linus a une position de nain sur ce problème.
(*) évidemment il faut ajouter à ça le fait que contourner le DRM est en soi
un "crime" puni sévèrement par certaines législations, donc la seule
possibilité est bien la fourniture des clés.
Emmanuel Florac <eflorac@imaginet.fr> wrote:
Maintenant est-ce que le but est véritablement d'empêcher (par exemple)
TiVO, Motorola et consorts d'utiliser Linux (et d'autres trucs en GPL)
pour gérer de la DRM, je ne pense pas. La GPL n'a jamais eu pour vocation
d'interdire la distribution ou le développement de logiciels
propriétaires sur des plate-formes libres.
Si le but est clairement d'empêcher des trucs comme Tivo. Plus précisément le
but est d'empêcher qu'une boite sorte du hardware prossédant un chip TCPA
(trusted computing ou treacherous computing) n'acceptant de faire tourner que
des binaires signés, et couplé avec un OS sous GPL - exactement le genre Tivo.
Dans ce cas, certes tu peux disposer des sources de l'OS mais si tu les
modifies et recompiles, tu ne pourras pas faire tourner le résultat sur le
hardware, ce qui vide de sens toutes les "libertés" offertes par la GPL, y
compris v2. La version 3 ne fait qu'expliciter ce qui était implicite là
dedans. (*) Je te fais remarquer que cette question est une des plus graves
menaces pesant sur le logiciel libre, le jour où on ne trouvera plus que des
PC n'acceptant que de faire tourner des BIOS signés et des OS signés, c'est la
fin du logiciel libre. Tu pourras faire tourner Windows dessus, tu pourras
peut être faire tourner Redhat dessus, mais adieu Debian, Gentoo, etc.
La GPL v3 demande que dans le cas où un dispositif de DRM existe sur le
hardware, les clefs permettant de signer le logiciel soient fournies à
l'utilisateur de façon à ce qu'il puisse modifier et recompiler son OS sous
GPL et continuer à le faire tourner sur son hardware. A mon avis il n'y a pas
de logiciel libre en dehors de cette possibilité, et bien entendu il n'y a pas
de DRM rendant les fonctions que certains demandent (empêcher le piratage)
dans ce cas là. Donc il s'agit bien d'une opposition frontale et fondamentale
entre deux conceptions et non pas d'une guerre des chefs entre Stallman et
Linus. Comme d'habitude Linus a une position de nain sur ce problème.
(*) évidemment il faut ajouter à ça le fait que contourner le DRM est en soi
un "crime" puni sévèrement par certaines législations, donc la seule
possibilité est bien la fourniture des clés.
Emmanuel Florac wrote:Maintenant est-ce que le but est véritablement d'empêcher (par exemple)
TiVO, Motorola et consorts d'utiliser Linux (et d'autres trucs en GPL)
pour gérer de la DRM, je ne pense pas. La GPL n'a jamais eu pour vocation
d'interdire la distribution ou le développement de logiciels
propriétaires sur des plate-formes libres.
Si le but est clairement d'empêcher des trucs comme Tivo. Plus précisément le
but est d'empêcher qu'une boite sorte du hardware prossédant un chip TCPA
(trusted computing ou treacherous computing) n'acceptant de faire tourner que
des binaires signés, et couplé avec un OS sous GPL - exactement le genre Tivo.
Dans ce cas, certes tu peux disposer des sources de l'OS mais si tu les
modifies et recompiles, tu ne pourras pas faire tourner le résultat sur le
hardware, ce qui vide de sens toutes les "libertés" offertes par la GPL, y
compris v2. La version 3 ne fait qu'expliciter ce qui était implicite là
dedans. (*) Je te fais remarquer que cette question est une des plus graves
menaces pesant sur le logiciel libre, le jour où on ne trouvera plus que des
PC n'acceptant que de faire tourner des BIOS signés et des OS signés, c'est la
fin du logiciel libre. Tu pourras faire tourner Windows dessus, tu pourras
peut être faire tourner Redhat dessus, mais adieu Debian, Gentoo, etc.
La GPL v3 demande que dans le cas où un dispositif de DRM existe sur le
hardware, les clefs permettant de signer le logiciel soient fournies à
l'utilisateur de façon à ce qu'il puisse modifier et recompiler son OS sous
GPL et continuer à le faire tourner sur son hardware. A mon avis il n'y a pas
de logiciel libre en dehors de cette possibilité, et bien entendu il n'y a pas
de DRM rendant les fonctions que certains demandent (empêcher le piratage)
dans ce cas là. Donc il s'agit bien d'une opposition frontale et fondamentale
entre deux conceptions et non pas d'une guerre des chefs entre Stallman et
Linus. Comme d'habitude Linus a une position de nain sur ce problème.
(*) évidemment il faut ajouter à ça le fait que contourner le DRM est en soi
un "crime" puni sévèrement par certaines législations, donc la seule
possibilité est bien la fourniture des clés.
les clefs sont pour moi un element de la sphere privee il manque une
dimension commerciale ou autre pour imposer la publication des clefs
en gros c'est pas vraiment le pied
par exemple il se passe quoi si il existe une bibliotheque de cryptage
sous gpl v3 ?
(*) évidemment il faut ajouter à ça le fait que contourner le DRM est en soi
un "crime" puni sévèrement par certaines législations, donc la seule
possibilité est bien la fourniture des clés.
l'on s'en fou le vol sera toujours un vol
rien a voir avec une utilisation legitime
les clefs sont pour moi un element de la sphere privee il manque une
dimension commerciale ou autre pour imposer la publication des clefs
en gros c'est pas vraiment le pied
par exemple il se passe quoi si il existe une bibliotheque de cryptage
sous gpl v3 ?
(*) évidemment il faut ajouter à ça le fait que contourner le DRM est en soi
un "crime" puni sévèrement par certaines législations, donc la seule
possibilité est bien la fourniture des clés.
l'on s'en fou le vol sera toujours un vol
rien a voir avec une utilisation legitime
les clefs sont pour moi un element de la sphere privee il manque une
dimension commerciale ou autre pour imposer la publication des clefs
en gros c'est pas vraiment le pied
par exemple il se passe quoi si il existe une bibliotheque de cryptage
sous gpl v3 ?
(*) évidemment il faut ajouter à ça le fait que contourner le DRM est en soi
un "crime" puni sévèrement par certaines législations, donc la seule
possibilité est bien la fourniture des clés.
l'on s'en fou le vol sera toujours un vol
rien a voir avec une utilisation legitime
Oui, ben moi j'ai laissé un commentaire, et je ne suis
pas le seul. Je vois qu'un certain travail est fait pour
classer et organiser ces commentaires, mais je trouve le
processus d'une opacité incroyable. Pour commencer, il
devait y avoir des comités. Ou sont-ils ?
Ils sont sans doute secrets :)
Oui, ben moi j'ai laissé un commentaire, et je ne suis
pas le seul. Je vois qu'un certain travail est fait pour
classer et organiser ces commentaires, mais je trouve le
processus d'une opacité incroyable. Pour commencer, il
devait y avoir des comités. Ou sont-ils ?
Ils sont sans doute secrets :)
Oui, ben moi j'ai laissé un commentaire, et je ne suis
pas le seul. Je vois qu'un certain travail est fait pour
classer et organiser ces commentaires, mais je trouve le
processus d'une opacité incroyable. Pour commencer, il
devait y avoir des comités. Ou sont-ils ?
Ils sont sans doute secrets :)
remy wrote:les clefs sont pour moi un element de la sphere privee il manque une
dimension commerciale ou autre pour imposer la publication des clefs
en gros c'est pas vraiment le pied
Il n'est pas question d'obliger à la publication des clés en général, et
en particulier de tes clés privées, il est question d'empêcher d'utiliser
un logiciel libre sous GPL sous forme cryptée et signée
de manière à le rendre
en fait complètement fermé, ce qui est la négation de la GPL. Le jour
où RedHat te fait des distributions Linux comme ça, impossibles à modifier et
qu'elles continuent à tourner sur ton PC, où est passé le logiciel libre?
Qu'est-ce qui empêche Redhat de mettre des backdoors dans son Linux?
Quelle différence réélle y at'il entre un tel Redhat et Windows?par exemple il se passe quoi si il existe une bibliotheque de cryptage
sous gpl v3 ?
je ne vois pas ce que ceci a de particulier. ca n'empêche en rien d'avoir par
exemple gpg pour crypter ses fichiers et de garder la clé pour soi.(*) évidemment il faut ajouter à ça le fait que contourner le DRM est en soi
un "crime" puni sévèrement par certaines législations, donc la seule
possibilité est bien la fourniture des clés.
l'on s'en fou le vol sera toujours un vol
rien a voir avec une utilisation legitime
On ne s'en fout pas du tout, ça empêche de même essayer de contourner le DRM
qui est dans le hardware de quelque manière que ce soit pour faire tourner le
logiciel que tu as modifié, donc ça enlève totalement la possibilité
d'utiliser un logiciel libre sous peine de graves sanctions.
je ne veux pas contourner la drm je veux pouvoir ecouter ma musique
remy <remy@fctpas.fr> wrote:
les clefs sont pour moi un element de la sphere privee il manque une
dimension commerciale ou autre pour imposer la publication des clefs
en gros c'est pas vraiment le pied
Il n'est pas question d'obliger à la publication des clés en général, et
en particulier de tes clés privées, il est question d'empêcher d'utiliser
un logiciel libre sous GPL sous forme cryptée et signée
de manière à le rendre
en fait complètement fermé, ce qui est la négation de la GPL. Le jour
où RedHat te fait des distributions Linux comme ça, impossibles à modifier et
qu'elles continuent à tourner sur ton PC, où est passé le logiciel libre?
Qu'est-ce qui empêche Redhat de mettre des backdoors dans son Linux?
Quelle différence réélle y at'il entre un tel Redhat et Windows?
par exemple il se passe quoi si il existe une bibliotheque de cryptage
sous gpl v3 ?
je ne vois pas ce que ceci a de particulier. ca n'empêche en rien d'avoir par
exemple gpg pour crypter ses fichiers et de garder la clé pour soi.
(*) évidemment il faut ajouter à ça le fait que contourner le DRM est en soi
un "crime" puni sévèrement par certaines législations, donc la seule
possibilité est bien la fourniture des clés.
l'on s'en fou le vol sera toujours un vol
rien a voir avec une utilisation legitime
On ne s'en fout pas du tout, ça empêche de même essayer de contourner le DRM
qui est dans le hardware de quelque manière que ce soit pour faire tourner le
logiciel que tu as modifié, donc ça enlève totalement la possibilité
d'utiliser un logiciel libre sous peine de graves sanctions.
je ne veux pas contourner la drm je veux pouvoir ecouter ma musique
remy wrote:les clefs sont pour moi un element de la sphere privee il manque une
dimension commerciale ou autre pour imposer la publication des clefs
en gros c'est pas vraiment le pied
Il n'est pas question d'obliger à la publication des clés en général, et
en particulier de tes clés privées, il est question d'empêcher d'utiliser
un logiciel libre sous GPL sous forme cryptée et signée
de manière à le rendre
en fait complètement fermé, ce qui est la négation de la GPL. Le jour
où RedHat te fait des distributions Linux comme ça, impossibles à modifier et
qu'elles continuent à tourner sur ton PC, où est passé le logiciel libre?
Qu'est-ce qui empêche Redhat de mettre des backdoors dans son Linux?
Quelle différence réélle y at'il entre un tel Redhat et Windows?par exemple il se passe quoi si il existe une bibliotheque de cryptage
sous gpl v3 ?
je ne vois pas ce que ceci a de particulier. ca n'empêche en rien d'avoir par
exemple gpg pour crypter ses fichiers et de garder la clé pour soi.(*) évidemment il faut ajouter à ça le fait que contourner le DRM est en soi
un "crime" puni sévèrement par certaines législations, donc la seule
possibilité est bien la fourniture des clés.
l'on s'en fou le vol sera toujours un vol
rien a voir avec une utilisation legitime
On ne s'en fout pas du tout, ça empêche de même essayer de contourner le DRM
qui est dans le hardware de quelque manière que ce soit pour faire tourner le
logiciel que tu as modifié, donc ça enlève totalement la possibilité
d'utiliser un logiciel libre sous peine de graves sanctions.
je ne veux pas contourner la drm je veux pouvoir ecouter ma musique
je ne veux pas contourner la drm je veux pouvoir ecouter ma musique
sous linux et avec un soft open source
c'est un choix de societe pas un choix technique
je ne veux pas contourner la drm je veux pouvoir ecouter ma musique
sous linux et avec un soft open source
c'est un choix de societe pas un choix technique
je ne veux pas contourner la drm je veux pouvoir ecouter ma musique
sous linux et avec un soft open source
c'est un choix de societe pas un choix technique
Manque de pot, je crois que celui qui m'intéresse est le A.
Manque de pot, je crois que celui qui m'intéresse est le A.
Manque de pot, je crois que celui qui m'intéresse est le A.