Le Sat, 01 Dec 2012 09:42:17 +0100, PP a écrit:Qaund on vit au centre d'une grande ville, pas de problème pour avoir
cette position.
Je vis à 30 km de Paris et 15 de Versailles. Super central, je fais 50
bornes minimum en bagnole par jour.
Et tout le monde n'a pas une ligne de transport en commun de chez lui à
son travail.
Pas possible.
Si les gens veulent acheter une voiture, qu'ils le fassent. Les
politiques compliquent de plus en plus la vie des automobilistes,
l'essence est de plus en plus cher.
Oui, et ça ne va pas s'arranger puisqu'il y en aura de moins en moins; il
va falloir apprendre à faire sans *de toute façon*. Sauf qu'en attendant
simplement que ça monte, le pognon ne pourra pas aller à la création des
nouvelles infrastructures nécessaires. Donc en n'augmentant pas les
taxes, on s'enferme dans un futur dégradé, sans essence ET sans
transports alternatifs.
Je ne pense pas que les gens
achetent des voitures uniquement pour le plaisir ! Pour répondre à
certains qui ont l'insulte facile, les gens ne sont pas cons pour
dépenser le peu d'argent qui leur reste à la fin du mois, dans un truc
qui ne leur est pas indispensable.
Des fois on se demande quand même. Les gens ne réalisent pas le coût
énorme que représentent les déplacements longs.
Le Sat, 01 Dec 2012 09:42:17 +0100, PP a écrit:
Qaund on vit au centre d'une grande ville, pas de problème pour avoir
cette position.
Je vis à 30 km de Paris et 15 de Versailles. Super central, je fais 50
bornes minimum en bagnole par jour.
Et tout le monde n'a pas une ligne de transport en commun de chez lui à
son travail.
Pas possible.
Si les gens veulent acheter une voiture, qu'ils le fassent. Les
politiques compliquent de plus en plus la vie des automobilistes,
l'essence est de plus en plus cher.
Oui, et ça ne va pas s'arranger puisqu'il y en aura de moins en moins; il
va falloir apprendre à faire sans *de toute façon*. Sauf qu'en attendant
simplement que ça monte, le pognon ne pourra pas aller à la création des
nouvelles infrastructures nécessaires. Donc en n'augmentant pas les
taxes, on s'enferme dans un futur dégradé, sans essence ET sans
transports alternatifs.
Je ne pense pas que les gens
achetent des voitures uniquement pour le plaisir ! Pour répondre à
certains qui ont l'insulte facile, les gens ne sont pas cons pour
dépenser le peu d'argent qui leur reste à la fin du mois, dans un truc
qui ne leur est pas indispensable.
Des fois on se demande quand même. Les gens ne réalisent pas le coût
énorme que représentent les déplacements longs.
Le Sat, 01 Dec 2012 09:42:17 +0100, PP a écrit:Qaund on vit au centre d'une grande ville, pas de problème pour avoir
cette position.
Je vis à 30 km de Paris et 15 de Versailles. Super central, je fais 50
bornes minimum en bagnole par jour.
Et tout le monde n'a pas une ligne de transport en commun de chez lui à
son travail.
Pas possible.
Si les gens veulent acheter une voiture, qu'ils le fassent. Les
politiques compliquent de plus en plus la vie des automobilistes,
l'essence est de plus en plus cher.
Oui, et ça ne va pas s'arranger puisqu'il y en aura de moins en moins; il
va falloir apprendre à faire sans *de toute façon*. Sauf qu'en attendant
simplement que ça monte, le pognon ne pourra pas aller à la création des
nouvelles infrastructures nécessaires. Donc en n'augmentant pas les
taxes, on s'enferme dans un futur dégradé, sans essence ET sans
transports alternatifs.
Je ne pense pas que les gens
achetent des voitures uniquement pour le plaisir ! Pour répondre à
certains qui ont l'insulte facile, les gens ne sont pas cons pour
dépenser le peu d'argent qui leur reste à la fin du mois, dans un truc
qui ne leur est pas indispensable.
Des fois on se demande quand même. Les gens ne réalisent pas le coût
énorme que représentent les déplacements longs.
Le Mon, 3 Dec 2012 10:35:00 +0000 (UTC)
(Michel Talon) a écrit :PP wrote:
l'economie de la sante et vraiment un truc a part
non, sauf que touchant à l'individu, on voudrait que cela soit
gratuit.
Pour en revenir à la "tragédie des commons", le fait que chaque
service a un prix réaliste est essentiel à l'allocation optimale des
ressources. Introduire un prix artificiellement bas ne peut que
conduire à un gaspillage effréné de la ressource, et c'est évidemment
ce qui se passe en matière médicale. Nicolas Georges citait comme
exemple le fait qu'on ne fait pas payer l'école pour ensuite la
rembourser sur les allocs. Il y a effectivement un gaspillage effréné
de la ressource éducative quand une proportion considérable d'élèves
va à l'école sans aucune intention d'apprendre quoi que ce soit,
sinon d'empêcher les "bouffons" qui voudraient étudier de le faire.
Au prétexte de virer certains éléments qui viennent mettre le bazar,
cette mesure va écarter n'importe qui. Ce n'est pas la solution.
D'ailleurs dans le cas de ceux que tu mentionnes ce ne sont pas les
mêmes qui mettent le bazar et qui prennent la décision (leurs parents,
et dans une certaine mesure le reste de la société parce que pour
différentes raisons il vaut mieux tenter d'éduquer un minimum le plus
de gens possibles, ne serait-ce que pour des questions qu'on pourrait
ranger en vrac dans "citoyenneté").
Le Mon, 3 Dec 2012 10:35:00 +0000 (UTC)
talon@lpthe.jussieu.fr (Michel Talon) a écrit :
PP <000pipantal@free.fr000> wrote:
l'economie de la sante et vraiment un truc a part
non, sauf que touchant à l'individu, on voudrait que cela soit
gratuit.
Pour en revenir à la "tragédie des commons", le fait que chaque
service a un prix réaliste est essentiel à l'allocation optimale des
ressources. Introduire un prix artificiellement bas ne peut que
conduire à un gaspillage effréné de la ressource, et c'est évidemment
ce qui se passe en matière médicale. Nicolas Georges citait comme
exemple le fait qu'on ne fait pas payer l'école pour ensuite la
rembourser sur les allocs. Il y a effectivement un gaspillage effréné
de la ressource éducative quand une proportion considérable d'élèves
va à l'école sans aucune intention d'apprendre quoi que ce soit,
sinon d'empêcher les "bouffons" qui voudraient étudier de le faire.
Au prétexte de virer certains éléments qui viennent mettre le bazar,
cette mesure va écarter n'importe qui. Ce n'est pas la solution.
D'ailleurs dans le cas de ceux que tu mentionnes ce ne sont pas les
mêmes qui mettent le bazar et qui prennent la décision (leurs parents,
et dans une certaine mesure le reste de la société parce que pour
différentes raisons il vaut mieux tenter d'éduquer un minimum le plus
de gens possibles, ne serait-ce que pour des questions qu'on pourrait
ranger en vrac dans "citoyenneté").
Le Mon, 3 Dec 2012 10:35:00 +0000 (UTC)
(Michel Talon) a écrit :PP wrote:
l'economie de la sante et vraiment un truc a part
non, sauf que touchant à l'individu, on voudrait que cela soit
gratuit.
Pour en revenir à la "tragédie des commons", le fait que chaque
service a un prix réaliste est essentiel à l'allocation optimale des
ressources. Introduire un prix artificiellement bas ne peut que
conduire à un gaspillage effréné de la ressource, et c'est évidemment
ce qui se passe en matière médicale. Nicolas Georges citait comme
exemple le fait qu'on ne fait pas payer l'école pour ensuite la
rembourser sur les allocs. Il y a effectivement un gaspillage effréné
de la ressource éducative quand une proportion considérable d'élèves
va à l'école sans aucune intention d'apprendre quoi que ce soit,
sinon d'empêcher les "bouffons" qui voudraient étudier de le faire.
Au prétexte de virer certains éléments qui viennent mettre le bazar,
cette mesure va écarter n'importe qui. Ce n'est pas la solution.
D'ailleurs dans le cas de ceux que tu mentionnes ce ne sont pas les
mêmes qui mettent le bazar et qui prennent la décision (leurs parents,
et dans une certaine mesure le reste de la société parce que pour
différentes raisons il vaut mieux tenter d'éduquer un minimum le plus
de gens possibles, ne serait-ce que pour des questions qu'on pourrait
ranger en vrac dans "citoyenneté").
PP wrote:Je suis effaré par cette idée qui veut que le travail a une dimension
finie, qu'il faut partager ...
Pourtant je suis persuadé que c'est vrai, et que l'idée inverse, à la
Sarkozy, est une pure escroquerie.Si on avait gardé les même technologies d'il y a 200 ans, déjà, je pense
qu'on ne pourrait pas fabriquer ce qu'on consomme aujourd'hui, mais il
faudrait être au moins 1 milliard en France.
Tu es le roi de la contradiction, puisque ce que tu dis montre bien
qu'il faut *moins* de travail pour avoir un meilleur niveau de vie,
grace au progrès technique.
PP <000pipantal@free.fr000> wrote:
Je suis effaré par cette idée qui veut que le travail a une dimension
finie, qu'il faut partager ...
Pourtant je suis persuadé que c'est vrai, et que l'idée inverse, à la
Sarkozy, est une pure escroquerie.
Si on avait gardé les même technologies d'il y a 200 ans, déjà, je pense
qu'on ne pourrait pas fabriquer ce qu'on consomme aujourd'hui, mais il
faudrait être au moins 1 milliard en France.
Tu es le roi de la contradiction, puisque ce que tu dis montre bien
qu'il faut *moins* de travail pour avoir un meilleur niveau de vie,
grace au progrès technique.
PP wrote:Je suis effaré par cette idée qui veut que le travail a une dimension
finie, qu'il faut partager ...
Pourtant je suis persuadé que c'est vrai, et que l'idée inverse, à la
Sarkozy, est une pure escroquerie.Si on avait gardé les même technologies d'il y a 200 ans, déjà, je pense
qu'on ne pourrait pas fabriquer ce qu'on consomme aujourd'hui, mais il
faudrait être au moins 1 milliard en France.
Tu es le roi de la contradiction, puisque ce que tu dis montre bien
qu'il faut *moins* de travail pour avoir un meilleur niveau de vie,
grace au progrès technique.
> L'autre solution est de passer par une planification socialiste de
> l'allocation des ressources. En matière éducative elle a certainement
> donné des bons résultats dans l'ex URSS.
Des exemples ?
> L'autre solution est de passer par une planification socialiste de
> l'allocation des ressources. En matière éducative elle a certainement
> donné des bons résultats dans l'ex URSS.
Des exemples ?
> L'autre solution est de passer par une planification socialiste de
> l'allocation des ressources. En matière éducative elle a certainement
> donné des bons résultats dans l'ex URSS.
Des exemples ?
non, je dis le contraire !
il faut moins de travail pour faire les mêmes choses, sauf qu'on a
beaucoup beaucoup plus de chose (biens et services) qui font qu'on a
besoin de de plus en plus de travail.
non, je dis le contraire !
il faut moins de travail pour faire les mêmes choses, sauf qu'on a
beaucoup beaucoup plus de chose (biens et services) qui font qu'on a
besoin de de plus en plus de travail.
non, je dis le contraire !
il faut moins de travail pour faire les mêmes choses, sauf qu'on a
beaucoup beaucoup plus de chose (biens et services) qui font qu'on a
besoin de de plus en plus de travail.
Yliur wrote:
L'autre solution est de passer par une planification socialiste de
l'allocation des ressources. En matière éducative elle a certaine ment
donné des bons résultats dans l'ex URSS.
Des exemples ?
Au niveau "élémentaire" une population globalement éduquée, au moins
autant qu'à l'Ouest, et au niveau supérieur une des meilleures éc oles de
physique théorique et de mathématiques du monde (je me limite à m on
domaine), quelques uns des meilleurs pianistes et violonistes du monde,
etc. Ce qui est sûr c'est qu'au niveau supérieur c'était ultra é litiste,
a l'exact opposé des pratiques actuelles de notre enseignement
supérieur, qui a des résultats tellement désastreux. Exactement c omme
dans tous les endroits où ça marche, Angleterre (Eton, Harrow, puis
Oxford, Cambridge on ne fait guère plus élitiste), USA (environ un
dossier sur 1000 accepté au MIT, et pas beaucoup plus à Harvard,
Princeton, Stanford, etc. et des droits de scolarité faramineux,
autour de 50000 $ par an). Ces pratiques restrictives sont justifiées
par le fait qu'il n'y a qu'un petit nombre de grands professeurs dans u n
pays, que les noyer dans une masse d'étudiants ineptes ou de
collègues complètement nuls revient à gaspiller une ressource rar e.
Le point de vue opposé, chercher à porter un maximum de gens le plu s
loin possible, qui m'a séduit dans le passé, aboutit à une applic ation
systématique du principe de Peter à l'université, c'est à dire quasi aucun
étudiant n'ayant le niveau réél requis par son diplôme.
Yliur <yliur@free.fr> wrote:
L'autre solution est de passer par une planification socialiste de
l'allocation des ressources. En matière éducative elle a certaine ment
donné des bons résultats dans l'ex URSS.
Des exemples ?
Au niveau "élémentaire" une population globalement éduquée, au moins
autant qu'à l'Ouest, et au niveau supérieur une des meilleures éc oles de
physique théorique et de mathématiques du monde (je me limite à m on
domaine), quelques uns des meilleurs pianistes et violonistes du monde,
etc. Ce qui est sûr c'est qu'au niveau supérieur c'était ultra é litiste,
a l'exact opposé des pratiques actuelles de notre enseignement
supérieur, qui a des résultats tellement désastreux. Exactement c omme
dans tous les endroits où ça marche, Angleterre (Eton, Harrow, puis
Oxford, Cambridge on ne fait guère plus élitiste), USA (environ un
dossier sur 1000 accepté au MIT, et pas beaucoup plus à Harvard,
Princeton, Stanford, etc. et des droits de scolarité faramineux,
autour de 50000 $ par an). Ces pratiques restrictives sont justifiées
par le fait qu'il n'y a qu'un petit nombre de grands professeurs dans u n
pays, que les noyer dans une masse d'étudiants ineptes ou de
collègues complètement nuls revient à gaspiller une ressource rar e.
Le point de vue opposé, chercher à porter un maximum de gens le plu s
loin possible, qui m'a séduit dans le passé, aboutit à une applic ation
systématique du principe de Peter à l'université, c'est à dire quasi aucun
étudiant n'ayant le niveau réél requis par son diplôme.
Yliur wrote:
L'autre solution est de passer par une planification socialiste de
l'allocation des ressources. En matière éducative elle a certaine ment
donné des bons résultats dans l'ex URSS.
Des exemples ?
Au niveau "élémentaire" une population globalement éduquée, au moins
autant qu'à l'Ouest, et au niveau supérieur une des meilleures éc oles de
physique théorique et de mathématiques du monde (je me limite à m on
domaine), quelques uns des meilleurs pianistes et violonistes du monde,
etc. Ce qui est sûr c'est qu'au niveau supérieur c'était ultra é litiste,
a l'exact opposé des pratiques actuelles de notre enseignement
supérieur, qui a des résultats tellement désastreux. Exactement c omme
dans tous les endroits où ça marche, Angleterre (Eton, Harrow, puis
Oxford, Cambridge on ne fait guère plus élitiste), USA (environ un
dossier sur 1000 accepté au MIT, et pas beaucoup plus à Harvard,
Princeton, Stanford, etc. et des droits de scolarité faramineux,
autour de 50000 $ par an). Ces pratiques restrictives sont justifiées
par le fait qu'il n'y a qu'un petit nombre de grands professeurs dans u n
pays, que les noyer dans une masse d'étudiants ineptes ou de
collègues complètement nuls revient à gaspiller une ressource rar e.
Le point de vue opposé, chercher à porter un maximum de gens le plu s
loin possible, qui m'a séduit dans le passé, aboutit à une applic ation
systématique du principe de Peter à l'université, c'est à dire quasi aucun
étudiant n'ayant le niveau réél requis par son diplôme.
PP wrote:
non, je dis le contraire !
il faut moins de travail pour faire les mêmes choses, sauf qu'on a
beaucoup beaucoup plus de chose (biens et services) qui font qu'on a
besoin de de plus en plus de travail.
On n'a pas besoin de beaucoup, beaucoup plus de choses. Au contraire les
industriels dépensent des fortunes en publicité pour te faire croire que
tu as des besoins que tu n'as pas. Dans le cadre d'un monde fini, et là
je suis totalement d'accord avec Emmanuel Florac, il est évident que
l'on ne peut pas produire toujours plus de choses, du moins matérielles.
Comme il y a constamment des progrés de productivité ça veut dire qu'il
faut diminuer la quantité de travail. Il est aussi évident que ceci pose
des problèmes de compétitivité dans un monde ouvert. Je crains fort que
les tarifs et taxes ne soient la seule solution. On peut aussi produire
des biens immatériels, scientifiques, artistiques, etc. mais je crains
que cette production ne soit réservée à un très petit nombre de gens.
Et on peut employer des gens à faire de la paperasse et mettre un
maximum de batons dans les roues des gens productifs. Je ne crois pas
non plus que ce soit très utile.
PP <000pipantal@free.fr000> wrote:
non, je dis le contraire !
il faut moins de travail pour faire les mêmes choses, sauf qu'on a
beaucoup beaucoup plus de chose (biens et services) qui font qu'on a
besoin de de plus en plus de travail.
On n'a pas besoin de beaucoup, beaucoup plus de choses. Au contraire les
industriels dépensent des fortunes en publicité pour te faire croire que
tu as des besoins que tu n'as pas. Dans le cadre d'un monde fini, et là
je suis totalement d'accord avec Emmanuel Florac, il est évident que
l'on ne peut pas produire toujours plus de choses, du moins matérielles.
Comme il y a constamment des progrés de productivité ça veut dire qu'il
faut diminuer la quantité de travail. Il est aussi évident que ceci pose
des problèmes de compétitivité dans un monde ouvert. Je crains fort que
les tarifs et taxes ne soient la seule solution. On peut aussi produire
des biens immatériels, scientifiques, artistiques, etc. mais je crains
que cette production ne soit réservée à un très petit nombre de gens.
Et on peut employer des gens à faire de la paperasse et mettre un
maximum de batons dans les roues des gens productifs. Je ne crois pas
non plus que ce soit très utile.
PP wrote:
non, je dis le contraire !
il faut moins de travail pour faire les mêmes choses, sauf qu'on a
beaucoup beaucoup plus de chose (biens et services) qui font qu'on a
besoin de de plus en plus de travail.
On n'a pas besoin de beaucoup, beaucoup plus de choses. Au contraire les
industriels dépensent des fortunes en publicité pour te faire croire que
tu as des besoins que tu n'as pas. Dans le cadre d'un monde fini, et là
je suis totalement d'accord avec Emmanuel Florac, il est évident que
l'on ne peut pas produire toujours plus de choses, du moins matérielles.
Comme il y a constamment des progrés de productivité ça veut dire qu'il
faut diminuer la quantité de travail. Il est aussi évident que ceci pose
des problèmes de compétitivité dans un monde ouvert. Je crains fort que
les tarifs et taxes ne soient la seule solution. On peut aussi produire
des biens immatériels, scientifiques, artistiques, etc. mais je crains
que cette production ne soit réservée à un très petit nombre de gens.
Et on peut employer des gens à faire de la paperasse et mettre un
maximum de batons dans les roues des gens productifs. Je ne crois pas
non plus que ce soit très utile.
Les entreprises qui trouvent le moyen d'abattre le boulot qu'il y a à
faire plus vite que les autres auront une croissance plus forte que les
autres.
Les entreprises qui trouvent le moyen d'abattre le boulot qu'il y a à
faire plus vite que les autres auront une croissance plus forte que les
autres.
Les entreprises qui trouvent le moyen d'abattre le boulot qu'il y a à
faire plus vite que les autres auront une croissance plus forte que les
autres.
On 12/03/2012 09:58 AM, Hugolino a dit:Les entreprises qui trouvent le moyen d'abattre le boulot qu'il y a à
faire plus vite que les autres auront une croissance plus forte que les
autres.
La croissance n'est plus une solution viable.
On 12/03/2012 09:58 AM, Hugolino a dit:
Les entreprises qui trouvent le moyen d'abattre le boulot qu'il y a à
faire plus vite que les autres auront une croissance plus forte que les
autres.
La croissance n'est plus une solution viable.
On 12/03/2012 09:58 AM, Hugolino a dit:Les entreprises qui trouvent le moyen d'abattre le boulot qu'il y a à
faire plus vite que les autres auront une croissance plus forte que les
autres.
La croissance n'est plus une solution viable.
PP wrote:
non, je dis le contraire !
il faut moins de travail pour faire les mêmes choses, sauf qu'on a
beaucoup beaucoup plus de chose (biens et services) qui font qu'on a
besoin de de plus en plus de travail.
On n'a pas besoin de beaucoup, beaucoup plus de choses. Au contraire les
industriels dépensent des fortunes en publicité pour te faire croire que
tu as des besoins que tu n'as pas. Dans le cadre d'un monde fini, et là
je suis totalement d'accord avec Emmanuel Florac, il est évident que
l'on ne peut pas produire toujours plus de choses, du moins matérielles.
Comme il y a constamment des progrés de productivité ça veut dire qu'il
faut diminuer la quantité de travail. Il est aussi évident que ceci pose
des problèmes de compétitivité dans un monde ouvert. Je crains fort que
les tarifs et taxes ne soient la seule solution. On peut aussi produire
des biens immatériels, scientifiques, artistiques, etc. mais je crains
que cette production ne soit réservée à un très petit nombre de gens.
Et on peut employer des gens à faire de la paperasse et mettre un
maximum de batons dans les roues des gens productifs. Je ne crois pas
non plus que ce soit très utile.
PP <000pipantal@free.fr000> wrote:
non, je dis le contraire !
il faut moins de travail pour faire les mêmes choses, sauf qu'on a
beaucoup beaucoup plus de chose (biens et services) qui font qu'on a
besoin de de plus en plus de travail.
On n'a pas besoin de beaucoup, beaucoup plus de choses. Au contraire les
industriels dépensent des fortunes en publicité pour te faire croire que
tu as des besoins que tu n'as pas. Dans le cadre d'un monde fini, et là
je suis totalement d'accord avec Emmanuel Florac, il est évident que
l'on ne peut pas produire toujours plus de choses, du moins matérielles.
Comme il y a constamment des progrés de productivité ça veut dire qu'il
faut diminuer la quantité de travail. Il est aussi évident que ceci pose
des problèmes de compétitivité dans un monde ouvert. Je crains fort que
les tarifs et taxes ne soient la seule solution. On peut aussi produire
des biens immatériels, scientifiques, artistiques, etc. mais je crains
que cette production ne soit réservée à un très petit nombre de gens.
Et on peut employer des gens à faire de la paperasse et mettre un
maximum de batons dans les roues des gens productifs. Je ne crois pas
non plus que ce soit très utile.
PP wrote:
non, je dis le contraire !
il faut moins de travail pour faire les mêmes choses, sauf qu'on a
beaucoup beaucoup plus de chose (biens et services) qui font qu'on a
besoin de de plus en plus de travail.
On n'a pas besoin de beaucoup, beaucoup plus de choses. Au contraire les
industriels dépensent des fortunes en publicité pour te faire croire que
tu as des besoins que tu n'as pas. Dans le cadre d'un monde fini, et là
je suis totalement d'accord avec Emmanuel Florac, il est évident que
l'on ne peut pas produire toujours plus de choses, du moins matérielles.
Comme il y a constamment des progrés de productivité ça veut dire qu'il
faut diminuer la quantité de travail. Il est aussi évident que ceci pose
des problèmes de compétitivité dans un monde ouvert. Je crains fort que
les tarifs et taxes ne soient la seule solution. On peut aussi produire
des biens immatériels, scientifiques, artistiques, etc. mais je crains
que cette production ne soit réservée à un très petit nombre de gens.
Et on peut employer des gens à faire de la paperasse et mettre un
maximum de batons dans les roues des gens productifs. Je ne crois pas
non plus que ce soit très utile.