De nos jours, une grande partie de la population fait des études supérieures (et d'un point de vue humain, c'est une très bonne chose, même si Michel va encore prétendre que ça ne sert à rien pour l'économie), et ce sont les moins bons qui les font à la fac, les meilleurs choisissant des filières sélectives.
Il va de soit que ce phénomène implique une baisse du niveau observé à la fac, sans pour autant indiquer une baisse global du niveau. On pourrait espérer que ce raisonnement soit à la portée de quelqu'un qui bosse dans un laboratoire de physique théorique,
Ce raisonnement est non seulement à ma portée, mais je crois que tu as déjà pu le lire ici dans un des mes posts anciens. Le problème est que cette analyse de la cause ne change rien au résultat, qui est calamiteux. Effectivement je pense que c'est une *très mauvaise chose*, et probablement la cause principale de notre déclin qu'on amène 80% d'une classe d'age au bac, parceque ça a deux conséquences aussi catastrophiques l'une que l'autre, ça détruit d'une part le niveau de la fac, et donc celui des élites, et d'autre part ça dépeuple le vivier des gens susceptibles d'occuper les emplois de base, dont on manque cruellement, si bien qu'il faut faire venir le "plombier polonais".
mais apparemment la vanité du « moa j'ai fait des efforts et j'ai réussi, les jeunes de nos jours c'est que des branleurs et l'éducation nationale les encourage » est plus forte.
Le problème n'est plus là, depuis longtemps. Le niveau est tellement bas que le vivier de recrutement des enseignants est tari lui aussi, on ne risque pas de retrouver les enseignants d'autrefois, d'autant plus que ce métier est complètement déprécié.
--
Michel TALON
Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> wrote:
De nos jours, une grande partie de la population fait des études supérieures
(et d'un point de vue humain, c'est une très bonne chose, même si Michel va
encore prétendre que ça ne sert à rien pour l'économie), et ce sont les
moins bons qui les font à la fac, les meilleurs choisissant des filières
sélectives.
Il va de soit que ce phénomène implique une baisse du niveau observé à la
fac, sans pour autant indiquer une baisse global du niveau. On pourrait
espérer que ce raisonnement soit à la portée de quelqu'un qui bosse dans un
laboratoire de physique théorique,
Ce raisonnement est non seulement à ma portée, mais je crois que tu as
déjà pu le lire ici dans un des mes posts anciens. Le problème est que
cette analyse de la cause ne change rien au résultat, qui est
calamiteux. Effectivement je pense que c'est une *très mauvaise chose*,
et probablement la cause principale de notre déclin qu'on amène 80%
d'une classe d'age au bac, parceque ça a deux conséquences aussi
catastrophiques l'une que l'autre, ça détruit d'une part le niveau de la
fac, et donc celui des élites, et d'autre part ça dépeuple le vivier des
gens susceptibles d'occuper les emplois de base, dont on manque
cruellement, si bien qu'il faut faire venir le "plombier polonais".
mais apparemment la vanité du « moa j'ai
fait des efforts et j'ai réussi, les jeunes de nos jours c'est que des
branleurs et l'éducation nationale les encourage » est plus forte.
Le problème n'est plus là, depuis longtemps. Le niveau est tellement bas
que le vivier de recrutement des enseignants est tari lui aussi, on ne
risque pas de retrouver les enseignants d'autrefois, d'autant plus que
ce métier est complètement déprécié.
De nos jours, une grande partie de la population fait des études supérieures (et d'un point de vue humain, c'est une très bonne chose, même si Michel va encore prétendre que ça ne sert à rien pour l'économie), et ce sont les moins bons qui les font à la fac, les meilleurs choisissant des filières sélectives.
Il va de soit que ce phénomène implique une baisse du niveau observé à la fac, sans pour autant indiquer une baisse global du niveau. On pourrait espérer que ce raisonnement soit à la portée de quelqu'un qui bosse dans un laboratoire de physique théorique,
Ce raisonnement est non seulement à ma portée, mais je crois que tu as déjà pu le lire ici dans un des mes posts anciens. Le problème est que cette analyse de la cause ne change rien au résultat, qui est calamiteux. Effectivement je pense que c'est une *très mauvaise chose*, et probablement la cause principale de notre déclin qu'on amène 80% d'une classe d'age au bac, parceque ça a deux conséquences aussi catastrophiques l'une que l'autre, ça détruit d'une part le niveau de la fac, et donc celui des élites, et d'autre part ça dépeuple le vivier des gens susceptibles d'occuper les emplois de base, dont on manque cruellement, si bien qu'il faut faire venir le "plombier polonais".
mais apparemment la vanité du « moa j'ai fait des efforts et j'ai réussi, les jeunes de nos jours c'est que des branleurs et l'éducation nationale les encourage » est plus forte.
Le problème n'est plus là, depuis longtemps. Le niveau est tellement bas que le vivier de recrutement des enseignants est tari lui aussi, on ne risque pas de retrouver les enseignants d'autrefois, d'autant plus que ce métier est complètement déprécié.
--
Michel TALON
talon
remy wrote:
pas d'accord même a la fac il faut avoir papa mama qui qui paye les cours collectifs priver pour ingurgite le programme de math en sat par exemple juste pour passer la premier année en médecine par exemple ont appelle cela l'école de la république
L'école de la républqie, ça ne veut pas dire l'école des glandeurs. Ca n'a jamais été interdit de travailler en supplément des cours de la fac. Et les cours privés pour la première année de médecine sont loin d'être chers, la principale difficulté est d'avoir envie de bosser. De fait le rendement est souvent assez bon.
--
Michel TALON
remy <remy@fctpas.fr> wrote:
pas d'accord même a la fac il faut avoir papa mama qui qui paye les
cours collectifs priver pour ingurgite le programme de math en sat par
exemple juste pour passer la premier année en médecine par exemple
ont appelle cela l'école de la république
L'école de la républqie, ça ne veut pas dire l'école des glandeurs. Ca
n'a jamais été interdit de travailler en supplément des cours de la fac.
Et les cours privés pour la première année de médecine sont loin d'être
chers, la principale difficulté est d'avoir envie de bosser. De fait
le rendement est souvent assez bon.
pas d'accord même a la fac il faut avoir papa mama qui qui paye les cours collectifs priver pour ingurgite le programme de math en sat par exemple juste pour passer la premier année en médecine par exemple ont appelle cela l'école de la république
L'école de la républqie, ça ne veut pas dire l'école des glandeurs. Ca n'a jamais été interdit de travailler en supplément des cours de la fac. Et les cours privés pour la première année de médecine sont loin d'être chers, la principale difficulté est d'avoir envie de bosser. De fait le rendement est souvent assez bon.
--
Michel TALON
talon
remy wrote:
par contre en math je trouve que cela se résume a ne pas comprendre mais a savoir ramener le contexte a une singerie, et en physique même topo
il n'y a bien que l'svt qui et un machin assez bizzard qui ratisse tellement large que la réponse la plupart du temps n'est même pas dans le cours
Le souvenir que j'ai des études de mes enfants corrobore à peu près ce constat. La matière qui est devenue la plus stimulante est probablement SVT, je crois que c'est ce qui les a poussés à faire des études dans ce domaine. Ce qui est dommage c'est qu'il y a peu de débouchés de ce coté (hors médecine), donc il ne faut pas avoir peur d'une reconversion.
--
Michel TALON
remy <remy@fctpas.fr> wrote:
par contre en math je trouve que cela se résume a ne pas comprendre
mais a savoir ramener le contexte a une singerie, et en physique même
topo
il n'y a bien que l'svt qui et un machin assez bizzard qui ratisse
tellement large que la réponse la plupart du temps n'est même pas dans
le cours
Le souvenir que j'ai des études de mes enfants corrobore à peu près ce
constat. La matière qui est devenue la plus stimulante est probablement
SVT, je crois que c'est ce qui les a poussés à faire des études dans ce
domaine. Ce qui est dommage c'est qu'il y a peu de débouchés de ce coté
(hors médecine), donc il ne faut pas avoir peur d'une reconversion.
par contre en math je trouve que cela se résume a ne pas comprendre mais a savoir ramener le contexte a une singerie, et en physique même topo
il n'y a bien que l'svt qui et un machin assez bizzard qui ratisse tellement large que la réponse la plupart du temps n'est même pas dans le cours
Le souvenir que j'ai des études de mes enfants corrobore à peu près ce constat. La matière qui est devenue la plus stimulante est probablement SVT, je crois que c'est ce qui les a poussés à faire des études dans ce domaine. Ce qui est dommage c'est qu'il y a peu de débouchés de ce coté (hors médecine), donc il ne faut pas avoir peur d'une reconversion.
--
Michel TALON
talon
remy wrote:
pas d'accord même a la fac il faut avoir papa mama qui qui paye les cours collectifs priver pour ingurgite le programme de math en sat par exemple juste pour passer la premier année en médecine par exemple ont appelle cela l'école de la république
L'école de la république, ça ne veut pas dire l'école des glandeurs. Ca n'a jamais été interdit de travailler en supplément des cours de la fac. Et les cours privés pour la première année de médecine sont loin d'être chers, la principale difficulté est d'avoir envie de bosser. De fait le rendement est souvent assez bon.
--
Michel TALON
remy <remy@fctpas.fr> wrote:
pas d'accord même a la fac il faut avoir papa mama qui qui paye les
cours collectifs priver pour ingurgite le programme de math en sat par
exemple juste pour passer la premier année en médecine par exemple
ont appelle cela l'école de la république
L'école de la république, ça ne veut pas dire l'école des glandeurs. Ca
n'a jamais été interdit de travailler en supplément des cours de la fac.
Et les cours privés pour la première année de médecine sont loin d'être
chers, la principale difficulté est d'avoir envie de bosser. De fait
le rendement est souvent assez bon.
pas d'accord même a la fac il faut avoir papa mama qui qui paye les cours collectifs priver pour ingurgite le programme de math en sat par exemple juste pour passer la premier année en médecine par exemple ont appelle cela l'école de la république
L'école de la république, ça ne veut pas dire l'école des glandeurs. Ca n'a jamais été interdit de travailler en supplément des cours de la fac. Et les cours privés pour la première année de médecine sont loin d'être chers, la principale difficulté est d'avoir envie de bosser. De fait le rendement est souvent assez bon.
--
Michel TALON
remy
Le 05/12/2012 13:14, Michel Talon a écrit :
remy wrote:
pas d'accord même a la fac il faut avoir papa mama qui qui paye les cours collectifs priver pour ingurgite le programme de math en sat par exemple juste pour passer la premier année en médecine par exemple ont appelle cela l'école de la république
L'école de la république, ça ne veut pas dire l'école des gland eurs. Ca n'a jamais été interdit de travailler en supplément des cours de la fac. Et les cours privés pour la première année de médecine sont loi n d'être chers, la principale difficulté est d'avoir envie de bosser. De fait le rendement est souvent assez bon.
dans se cas la ont institutionnalise le bordel ambiant et on crée une prépa médecine qui fait le trie a grand coup de taf et n'ont pas avec des dés pipé
remy
-- http://remyaumeunier.chez-alice.fr/
Le 05/12/2012 13:14, Michel Talon a écrit :
remy <remy@fctpas.fr> wrote:
pas d'accord même a la fac il faut avoir papa mama qui qui paye les
cours collectifs priver pour ingurgite le programme de math en sat par
exemple juste pour passer la premier année en médecine par exemple
ont appelle cela l'école de la république
L'école de la république, ça ne veut pas dire l'école des gland eurs. Ca
n'a jamais été interdit de travailler en supplément des cours de la fac.
Et les cours privés pour la première année de médecine sont loi n d'être
chers, la principale difficulté est d'avoir envie de bosser. De fait
le rendement est souvent assez bon.
dans se cas la ont institutionnalise le bordel ambiant
et on crée une prépa médecine qui fait le trie a grand coup
de taf et n'ont pas avec des dés pipé
pas d'accord même a la fac il faut avoir papa mama qui qui paye les cours collectifs priver pour ingurgite le programme de math en sat par exemple juste pour passer la premier année en médecine par exemple ont appelle cela l'école de la république
L'école de la république, ça ne veut pas dire l'école des gland eurs. Ca n'a jamais été interdit de travailler en supplément des cours de la fac. Et les cours privés pour la première année de médecine sont loi n d'être chers, la principale difficulté est d'avoir envie de bosser. De fait le rendement est souvent assez bon.
dans se cas la ont institutionnalise le bordel ambiant et on crée une prépa médecine qui fait le trie a grand coup de taf et n'ont pas avec des dés pipé
remy
-- http://remyaumeunier.chez-alice.fr/
Yliur
Le Wed, 5 Dec 2012 12:02:10 +0000 (UTC) (Michel Talon) a écrit :
Nicolas George <nicolas$ wrote: > De nos jours, une grande partie de la population fait des études > supérieures (et d'un point de vue humain, c'est une très bonne > chose, même si Michel va encore prétendre que ça ne sert à rien > pour l'économie), et ce sont les moins bons qui les font à la fac, > les meilleurs choisissant des filières sélectives. > > Il va de soit que ce phénomène implique une baisse du niveau > observé à la fac, sans pour autant indiquer une baisse global du > niveau. On pourrait espérer que ce raisonnement soit à la portée de > quelqu'un qui bosse dans un laboratoire de physique théorique,
Ce raisonnement est non seulement à ma portée, mais je crois que tu as déjà pu le lire ici dans un des mes posts anciens. Le problème est que cette analyse de la cause ne change rien au résultat, qui est calamiteux. Effectivement je pense que c'est une *très mauvaise chose*, et probablement la cause principale de notre déclin qu'on amène 80% d'une classe d'age au bac, parceque ça a deux conséquences aussi catastrophiques l'une que l'autre, ça détruit d'une part le niveau de la fac, et donc celui des élites,
Nicolas a déjà répondu à ce point. Et s'il n'est "pas interdit de bosser en dehors des cours de la fac", il est donc très facile de se placer plus haut que le niveau moyen.
et d'autre part ça dépeuple le vivier des gens susceptibles d'occuper les emplois de base, dont on manque cruellement, si bien qu'il faut faire venir le "plombier polonais".
Étant donné le taux de chômage élevé parmi les gens non qualifiés (ce qui inclut pas mal de gens qui ont un bac général), il a de la marge pour occuper ces "métiers de base".
Le Wed, 5 Dec 2012 12:02:10 +0000 (UTC)
talon@lpthe.jussieu.fr (Michel Talon) a écrit :
Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> wrote:
> De nos jours, une grande partie de la population fait des études
> supérieures (et d'un point de vue humain, c'est une très bonne
> chose, même si Michel va encore prétendre que ça ne sert à rien
> pour l'économie), et ce sont les moins bons qui les font à la fac,
> les meilleurs choisissant des filières sélectives.
>
> Il va de soit que ce phénomène implique une baisse du niveau
> observé à la fac, sans pour autant indiquer une baisse global du
> niveau. On pourrait espérer que ce raisonnement soit à la portée de
> quelqu'un qui bosse dans un laboratoire de physique théorique,
Ce raisonnement est non seulement à ma portée, mais je crois que tu as
déjà pu le lire ici dans un des mes posts anciens. Le problème est que
cette analyse de la cause ne change rien au résultat, qui est
calamiteux. Effectivement je pense que c'est une *très mauvaise
chose*, et probablement la cause principale de notre déclin qu'on
amène 80% d'une classe d'age au bac, parceque ça a deux conséquences
aussi catastrophiques l'une que l'autre, ça détruit d'une part le
niveau de la fac, et donc celui des élites,
Nicolas a déjà répondu à ce point.
Et s'il n'est "pas interdit de bosser en dehors des cours de la fac",
il est donc très facile de se placer plus haut que le niveau moyen.
et d'autre part ça
dépeuple le vivier des gens susceptibles d'occuper les emplois de
base, dont on manque cruellement, si bien qu'il faut faire venir le
"plombier polonais".
Étant donné le taux de chômage élevé parmi les gens non qualifiés (ce
qui inclut pas mal de gens qui ont un bac général), il a de la marge
pour occuper ces "métiers de base".
Le Wed, 5 Dec 2012 12:02:10 +0000 (UTC) (Michel Talon) a écrit :
Nicolas George <nicolas$ wrote: > De nos jours, une grande partie de la population fait des études > supérieures (et d'un point de vue humain, c'est une très bonne > chose, même si Michel va encore prétendre que ça ne sert à rien > pour l'économie), et ce sont les moins bons qui les font à la fac, > les meilleurs choisissant des filières sélectives. > > Il va de soit que ce phénomène implique une baisse du niveau > observé à la fac, sans pour autant indiquer une baisse global du > niveau. On pourrait espérer que ce raisonnement soit à la portée de > quelqu'un qui bosse dans un laboratoire de physique théorique,
Ce raisonnement est non seulement à ma portée, mais je crois que tu as déjà pu le lire ici dans un des mes posts anciens. Le problème est que cette analyse de la cause ne change rien au résultat, qui est calamiteux. Effectivement je pense que c'est une *très mauvaise chose*, et probablement la cause principale de notre déclin qu'on amène 80% d'une classe d'age au bac, parceque ça a deux conséquences aussi catastrophiques l'une que l'autre, ça détruit d'une part le niveau de la fac, et donc celui des élites,
Nicolas a déjà répondu à ce point. Et s'il n'est "pas interdit de bosser en dehors des cours de la fac", il est donc très facile de se placer plus haut que le niveau moyen.
et d'autre part ça dépeuple le vivier des gens susceptibles d'occuper les emplois de base, dont on manque cruellement, si bien qu'il faut faire venir le "plombier polonais".
Étant donné le taux de chômage élevé parmi les gens non qualifiés (ce qui inclut pas mal de gens qui ont un bac général), il a de la marge pour occuper ces "métiers de base".
JKB
Le Wed, 5 Dec 2012 13:46:58 +0100, Yliur écrivait :
Étant donné le taux de chômage élevé parmi les gens non qualifiés (ce qui inclut pas mal de gens qui ont un bac général), il a de la marge pour occuper ces "métiers de base".
Tu oublies juste une chose dans ton tableau. J'ai essayé de recruter il y a quelques années une assistante de direction, nom pompeux pour ne plus dire secrétaire. J'ai vu passer une cinquantaine de candidats (95% de femmes) pour un salaire que je juge décent (un peu plus de 2000 euros nets pour une ville de province). Rares sont ceux qui m'ont demandé me contenu exact du poste. En revanche, j'ai eu droit à toutes les questions concernant les avantages en nature, les modalités de paiement (12 ou 13 mois), les horaires, les congés payés, les représentation syndicales et j'en passe. Pour un secrétaire, je fais même une dictée (histoire de voir) et le niveau de français est _catastrophique_. Même remy écrit mieux, c'est dire. Finalement, j'ai trouvé une ukrainienne. Français impécable, aucune faute à la prise de note, sait se présenter au téléphone, peut accompagner lors de réunions chez des clients car présentable et habillée correctement. Bref, tu oublies que ces gens non qualifiés sont la plupart du temps inadaptés, veulent toujours plus de choses, plus de responsabilités, plus de salaire alors qu'ils n'en sont pas capables et qu'il y a de la concurrence. Parce que même un plombier doit savoir à peu près lire et écrire.
JKB
-- Si votre demande me parvient sur carte perforée, je titiouaillerai très volontiers une réponse... => http://grincheux.de-charybde-en-scylla.fr
Le Wed, 5 Dec 2012 13:46:58 +0100,
Yliur <yliur@free.fr> écrivait :
Étant donné le taux de chômage élevé parmi les gens non qualifiés (ce
qui inclut pas mal de gens qui ont un bac général), il a de la marge
pour occuper ces "métiers de base".
Tu oublies juste une chose dans ton tableau. J'ai essayé de recruter
il y a quelques années une assistante de direction, nom pompeux pour
ne plus dire secrétaire. J'ai vu passer une cinquantaine de
candidats (95% de femmes) pour un salaire que je juge décent (un peu
plus de 2000 euros nets pour une ville de province). Rares sont ceux
qui m'ont demandé me contenu exact du poste. En revanche, j'ai eu
droit à toutes les questions concernant les avantages en nature, les
modalités de paiement (12 ou 13 mois), les horaires, les congés
payés, les représentation syndicales et j'en passe. Pour un
secrétaire, je fais même une dictée (histoire de voir) et le niveau
de français est _catastrophique_. Même remy écrit mieux, c'est dire.
Finalement, j'ai trouvé une ukrainienne. Français impécable, aucune
faute à la prise de note, sait se présenter au téléphone, peut
accompagner lors de réunions chez des clients car présentable et
habillée correctement. Bref, tu oublies que ces gens non qualifiés
sont la plupart du temps inadaptés, veulent toujours plus de choses, plus
de responsabilités, plus de salaire alors qu'ils n'en sont pas capables
et qu'il y a de la concurrence. Parce que même un plombier doit
savoir à peu près lire et écrire.
JKB
--
Si votre demande me parvient sur carte perforée, je titiouaillerai très
volontiers une réponse...
=> http://grincheux.de-charybde-en-scylla.fr
Le Wed, 5 Dec 2012 13:46:58 +0100, Yliur écrivait :
Étant donné le taux de chômage élevé parmi les gens non qualifiés (ce qui inclut pas mal de gens qui ont un bac général), il a de la marge pour occuper ces "métiers de base".
Tu oublies juste une chose dans ton tableau. J'ai essayé de recruter il y a quelques années une assistante de direction, nom pompeux pour ne plus dire secrétaire. J'ai vu passer une cinquantaine de candidats (95% de femmes) pour un salaire que je juge décent (un peu plus de 2000 euros nets pour une ville de province). Rares sont ceux qui m'ont demandé me contenu exact du poste. En revanche, j'ai eu droit à toutes les questions concernant les avantages en nature, les modalités de paiement (12 ou 13 mois), les horaires, les congés payés, les représentation syndicales et j'en passe. Pour un secrétaire, je fais même une dictée (histoire de voir) et le niveau de français est _catastrophique_. Même remy écrit mieux, c'est dire. Finalement, j'ai trouvé une ukrainienne. Français impécable, aucune faute à la prise de note, sait se présenter au téléphone, peut accompagner lors de réunions chez des clients car présentable et habillée correctement. Bref, tu oublies que ces gens non qualifiés sont la plupart du temps inadaptés, veulent toujours plus de choses, plus de responsabilités, plus de salaire alors qu'ils n'en sont pas capables et qu'il y a de la concurrence. Parce que même un plombier doit savoir à peu près lire et écrire.
JKB
-- Si votre demande me parvient sur carte perforée, je titiouaillerai très volontiers une réponse... => http://grincheux.de-charybde-en-scylla.fr
pas d'accord même a la fac il faut avoir papa mama qui qui paye les cours collectifs priver pour ingurgite le programme de math en sat pa r exemple juste pour passer la premier année en médecine par exempl e ont appelle cela l'école de la république
L'école de la république, ça ne veut pas dire l'école des glan deurs. Ca n'a jamais été interdit de travailler en supplément des cours de la fac. Et les cours privés pour la première année de médecine sont lo in d'être chers, la principale difficulté est d'avoir envie de bosser. De fait le rendement est souvent assez bon.
dans se cas la ont institutionnalise le bordel ambiant et on crée une prépa médecine qui fait le trie a grand coup de taf et n'ont pas avec des dés pipé
cela serait rigollot de voir combien il y a de futur toubibe qui sont originaire de tatawouine les grenouilles
je me demande si il n'y aurait un _petit_ lien avec les désert médic al
remy
-- http://remyaumeunier.chez-alice.fr/
Le 05/12/2012 13:36, remy a écrit :
Le 05/12/2012 13:14, Michel Talon a écrit :
remy <remy@fctpas.fr> wrote:
pas d'accord même a la fac il faut avoir papa mama qui qui paye les
cours collectifs priver pour ingurgite le programme de math en sat pa r
exemple juste pour passer la premier année en médecine par exempl e
ont appelle cela l'école de la république
L'école de la république, ça ne veut pas dire l'école des glan deurs. Ca
n'a jamais été interdit de travailler en supplément des cours de la fac.
Et les cours privés pour la première année de médecine sont lo in d'être
chers, la principale difficulté est d'avoir envie de bosser. De fait
le rendement est souvent assez bon.
dans se cas la ont institutionnalise le bordel ambiant
et on crée une prépa médecine qui fait le trie a grand coup
de taf et n'ont pas avec des dés pipé
cela serait rigollot de voir combien il y a de futur toubibe qui sont
originaire de tatawouine les grenouilles
je me demande si il n'y aurait un _petit_ lien avec les désert médic al
pas d'accord même a la fac il faut avoir papa mama qui qui paye les cours collectifs priver pour ingurgite le programme de math en sat pa r exemple juste pour passer la premier année en médecine par exempl e ont appelle cela l'école de la république
L'école de la république, ça ne veut pas dire l'école des glan deurs. Ca n'a jamais été interdit de travailler en supplément des cours de la fac. Et les cours privés pour la première année de médecine sont lo in d'être chers, la principale difficulté est d'avoir envie de bosser. De fait le rendement est souvent assez bon.
dans se cas la ont institutionnalise le bordel ambiant et on crée une prépa médecine qui fait le trie a grand coup de taf et n'ont pas avec des dés pipé
cela serait rigollot de voir combien il y a de futur toubibe qui sont originaire de tatawouine les grenouilles
je me demande si il n'y aurait un _petit_ lien avec les désert médic al
remy
-- http://remyaumeunier.chez-alice.fr/
remy
Le 05/12/2012 14:20, remy a écrit :
Le 05/12/2012 13:36, remy a écrit :
Le 05/12/2012 13:14, Michel Talon a écrit :
remy wrote:
pas d'accord même a la fac il faut avoir papa mama qui qui paye le s cours collectifs priver pour ingurgite le programme de math en sat p ar exemple juste pour passer la premier année en médecine par exemp le ont appelle cela l'école de la république
L'école de la république, ça ne veut pas dire l'école des gla ndeurs. Ca n'a jamais été interdit de travailler en supplément des cours d e la fac. Et les cours privés pour la première année de médecine sont l oin d'être chers, la principale difficulté est d'avoir envie de bosser. De fai t le rendement est souvent assez bon.
dans se cas la ont institutionnalise le bordel ambiant et on crée une prépa médecine qui fait le trie a grand coup de taf et n'ont pas avec des dés pipé
cela serait rigollot de voir combien il y a de futur toubibe qui sont originaire de tatawouine les grenouilles
je me demande si il n'y aurait un _petit_ lien avec les désert méd ical
en fin de cte c'etais le même bordel avant (1960) j'ai pas trouver mieu x
pas d'accord même a la fac il faut avoir papa mama qui qui paye le s
cours collectifs priver pour ingurgite le programme de math en sat p ar
exemple juste pour passer la premier année en médecine par exemp le
ont appelle cela l'école de la république
L'école de la république, ça ne veut pas dire l'école des gla ndeurs. Ca
n'a jamais été interdit de travailler en supplément des cours d e la fac.
Et les cours privés pour la première année de médecine sont l oin d'être
chers, la principale difficulté est d'avoir envie de bosser. De fai t
le rendement est souvent assez bon.
dans se cas la ont institutionnalise le bordel ambiant
et on crée une prépa médecine qui fait le trie a grand coup
de taf et n'ont pas avec des dés pipé
cela serait rigollot de voir combien il y a de futur toubibe qui sont
originaire de tatawouine les grenouilles
je me demande si il n'y aurait un _petit_ lien avec les désert méd ical
en fin de cte c'etais le même bordel avant (1960) j'ai pas trouver mieu x
pas d'accord même a la fac il faut avoir papa mama qui qui paye le s cours collectifs priver pour ingurgite le programme de math en sat p ar exemple juste pour passer la premier année en médecine par exemp le ont appelle cela l'école de la république
L'école de la république, ça ne veut pas dire l'école des gla ndeurs. Ca n'a jamais été interdit de travailler en supplément des cours d e la fac. Et les cours privés pour la première année de médecine sont l oin d'être chers, la principale difficulté est d'avoir envie de bosser. De fai t le rendement est souvent assez bon.
dans se cas la ont institutionnalise le bordel ambiant et on crée une prépa médecine qui fait le trie a grand coup de taf et n'ont pas avec des dés pipé
cela serait rigollot de voir combien il y a de futur toubibe qui sont originaire de tatawouine les grenouilles
je me demande si il n'y aurait un _petit_ lien avec les désert méd ical
en fin de cte c'etais le même bordel avant (1960) j'ai pas trouver mieu x