Va dire ça aux recruteurs qui, au moins en France, ne prendront pas la peine de répondre aux candidats n'ayant pas "BAC+x" sur leur CV.
BAC-1 et je n'ai vu que deux fois un recruteur me refuser un poste parce que je n'avais pas les diplômes. L'un était une SSII Linux, l'autre était Mandrake (qui est devenu Mandriva).
Aucun regret en ce qui me concerne.
Partout ailleurs, le niveau de diplome n'a jamais été un critère sélectif en ce qui me concerne.
Doug713705 wrote:
Va dire ça aux recruteurs qui, au moins en France, ne prendront pas la
peine de répondre aux candidats n'ayant pas "BAC+x" sur leur CV.
BAC-1 et je n'ai vu que deux fois un recruteur me refuser un poste parce
que je n'avais pas les diplômes. L'un était une SSII Linux, l'autre
était Mandrake (qui est devenu Mandriva).
Aucun regret en ce qui me concerne.
Partout ailleurs, le niveau de diplome n'a jamais été un critère
sélectif en ce qui me concerne.
Va dire ça aux recruteurs qui, au moins en France, ne prendront pas la peine de répondre aux candidats n'ayant pas "BAC+x" sur leur CV.
BAC-1 et je n'ai vu que deux fois un recruteur me refuser un poste parce que je n'avais pas les diplômes. L'un était une SSII Linux, l'autre était Mandrake (qui est devenu Mandriva).
Aucun regret en ce qui me concerne.
Partout ailleurs, le niveau de diplome n'a jamais été un critère sélectif en ce qui me concerne.
ST
Doug713705 wrote:
Et toi, tu connais beaucoup de recruteurs qui préfèrent embaucher quelqu'un de non-diplomé mais expérimenté plutôt qu'un diplomé (y
J'en connais au moins un: moi!
Doug713705 wrote:
Et toi, tu connais beaucoup de recruteurs qui préfèrent embaucher
quelqu'un de non-diplomé mais expérimenté plutôt qu'un diplomé (y
Et toi, tu connais beaucoup de recruteurs qui préfèrent embaucher quelqu'un de non-diplomé mais expérimenté plutôt qu'un diplomé (y
J'en connais au moins un: moi!
+1
-- Flo
Manuel Leclerc
Le 07/12/2012 12:07, ST a écrit :
[...] l'autre était Mandrake (qui est devenu Mandriva).
Stéphane chez Mandriva...
C'est dommage que ça n'ait pas marché, car la recherche fondamentale sur la théorie des trollomètres auraient par la suite fait des progrès considérables.
-- That's your point of view. Every programmer will have its own POV. Thus this is a void argument. --Thierry Vignaud
Le 07/12/2012 12:07, ST a écrit :
[...] l'autre était Mandrake (qui est devenu Mandriva).
Stéphane chez Mandriva...
C'est dommage que ça n'ait pas marché, car la recherche fondamentale sur
la théorie des trollomètres auraient par la suite fait des progrès
considérables.
--
That's your point of view. Every programmer will have its own POV.
Thus this is a void argument.
--Thierry Vignaud
[...] l'autre était Mandrake (qui est devenu Mandriva).
Stéphane chez Mandriva...
C'est dommage que ça n'ait pas marché, car la recherche fondamentale sur la théorie des trollomètres auraient par la suite fait des progrès considérables.
-- That's your point of view. Every programmer will have its own POV. Thus this is a void argument. --Thierry Vignaud
talon
ST wrote:
Michel Talon wrote:
> Le problème n'est plus là, depuis longtemps. Le niveau est tellement bas > que le vivier de recrutement des enseignants est tari lui aussi, on ne > risque pas de retrouver les enseignants d'autrefois, d'autant plus que > ce métier est complètement déprécié.
Si ce métier est déprécié, on le doit à ceux qui l'exercent.
Mon cher Stéphane, pendant 30 ans, sous prétexte qu'il fallait amener 80% d'une classe d'âge au bac et qu'il fallait le moins possible d'éléves par classe on a recruté des profs massivement, essentiellement en maths ou physique, il suffisait de se présenter au CAPES pour être pris. Je pense qu'il n'y a pas besoin d'avoir un doctorat en psycho pour comprendre que dans ces conditions on ne peut pas recruter le top du top. Petit à petit le métier s'est déprécié, forcément le salaire est devenu minable, et maintenant même les plus mauvais étudiants de la fac ne veulent à aucun prix devenir profs. Les guignols du ministère s'imaginent qu'ils vont résoudre le problème en améliorant la formation "pédagogique" alors qu'il faudrait plutôt dorénavant une formation au close combat ...
--
Michel TALON
ST <st@unices.org> wrote:
Michel Talon wrote:
> Le problème n'est plus là, depuis longtemps. Le niveau est tellement bas
> que le vivier de recrutement des enseignants est tari lui aussi, on ne
> risque pas de retrouver les enseignants d'autrefois, d'autant plus que
> ce métier est complètement déprécié.
Si ce métier est déprécié, on le doit à ceux qui l'exercent.
Mon cher Stéphane, pendant 30 ans, sous prétexte qu'il fallait amener
80% d'une classe d'âge au bac et qu'il fallait le moins possible
d'éléves par classe on a recruté des profs massivement, essentiellement
en maths ou physique, il suffisait de se présenter au CAPES pour être
pris. Je pense qu'il n'y a pas besoin d'avoir un doctorat en psycho pour
comprendre que dans ces conditions on ne peut pas recruter le top du
top. Petit à petit le métier s'est déprécié, forcément le salaire est
devenu minable, et maintenant même les plus mauvais étudiants de la fac
ne veulent à aucun prix devenir profs. Les guignols du ministère
s'imaginent qu'ils vont résoudre le problème en améliorant la formation
"pédagogique" alors qu'il faudrait plutôt dorénavant une formation au
close combat ...
> Le problème n'est plus là, depuis longtemps. Le niveau est tellement bas > que le vivier de recrutement des enseignants est tari lui aussi, on ne > risque pas de retrouver les enseignants d'autrefois, d'autant plus que > ce métier est complètement déprécié.
Si ce métier est déprécié, on le doit à ceux qui l'exercent.
Mon cher Stéphane, pendant 30 ans, sous prétexte qu'il fallait amener 80% d'une classe d'âge au bac et qu'il fallait le moins possible d'éléves par classe on a recruté des profs massivement, essentiellement en maths ou physique, il suffisait de se présenter au CAPES pour être pris. Je pense qu'il n'y a pas besoin d'avoir un doctorat en psycho pour comprendre que dans ces conditions on ne peut pas recruter le top du top. Petit à petit le métier s'est déprécié, forcément le salaire est devenu minable, et maintenant même les plus mauvais étudiants de la fac ne veulent à aucun prix devenir profs. Les guignols du ministère s'imaginent qu'ils vont résoudre le problème en améliorant la formation "pédagogique" alors qu'il faudrait plutôt dorénavant une formation au close combat ...
--
Michel TALON
ST
Michel Talon wrote:
Mon cher Stéphane, pendant 30 ans, sous prétexte qu'il fallait amener 80% d'une classe d'âge au bac et qu'il fallait le moins possible d'éléves par classe on a recruté des profs massivement, essentiellement en maths ou physique, il suffisait de se présenter au CAPES pour être pris. Je pense qu'il n'y a pas besoin d'avoir un doctorat en psycho pour comprendre que dans ces conditions on ne peut pas recruter le top du top. Petit à petit le métier s'est déprécié, forcément le salaire est devenu minable, et maintenant même les plus mauvais étudiants de la fac ne veulent à aucun prix devenir profs. Les guignols du ministère s'imaginent qu'ils vont résoudre le problème en améliorant la formation "pédagogique" alors qu'il faudrait plutôt dorénavant une formation au close combat ...
Et c'était mieux avant ... oui, on sait cela.
Maintenant, regarde un peu les choses d'un peu plus loin. Le monde vers le quel nous nous dirigeons est fait de :
- 2% de très riches qui consomment énormément - 20% de travailleurs qui consomment modérément - 78% de masse laborieuse stupide à qui il impossible de fournir un travail et qu'il va falloir abrutir si on veut qu'ils se tiennent tranquilles.
Sachant cela, il n'y a aucun intérêt à former des générations de savants et il faut au contraire maintenir notre chère descendance à l'école le plus longtemps possible en leur apprenant le moins de choses possibles afin qu'on puisse bien les abruptir avec la télévision.
Les 2% de très riches le sont par héritage.
Les 20% de travailleurs représentent l'élite de la nation, ils s'en sortiront quelle que soient les conditions.
Les 80% qui restent pensent qu'il faut un diplôme pour trouver un travail et regardent Arthur et écoutent Bruel.
Voila, l'école fait son travail dans ce plan.
Michel Talon wrote:
Mon cher Stéphane, pendant 30 ans, sous prétexte qu'il fallait amener
80% d'une classe d'âge au bac et qu'il fallait le moins possible
d'éléves par classe on a recruté des profs massivement, essentiellement
en maths ou physique, il suffisait de se présenter au CAPES pour être
pris. Je pense qu'il n'y a pas besoin d'avoir un doctorat en psycho pour
comprendre que dans ces conditions on ne peut pas recruter le top du
top. Petit à petit le métier s'est déprécié, forcément le salaire est
devenu minable, et maintenant même les plus mauvais étudiants de la fac
ne veulent à aucun prix devenir profs. Les guignols du ministère
s'imaginent qu'ils vont résoudre le problème en améliorant la formation
"pédagogique" alors qu'il faudrait plutôt dorénavant une formation au
close combat ...
Et c'était mieux avant ... oui, on sait cela.
Maintenant, regarde un peu les choses d'un peu plus loin. Le monde vers
le quel nous nous dirigeons est fait de :
- 2% de très riches qui consomment énormément
- 20% de travailleurs qui consomment modérément
- 78% de masse laborieuse stupide à qui il impossible de fournir un
travail et qu'il va falloir abrutir si on veut qu'ils se tiennent
tranquilles.
Sachant cela, il n'y a aucun intérêt à former des générations de savants
et il faut au contraire maintenir notre chère descendance à l'école le
plus longtemps possible en leur apprenant le moins de choses possibles
afin qu'on puisse bien les abruptir avec la télévision.
Les 2% de très riches le sont par héritage.
Les 20% de travailleurs représentent l'élite de la nation, ils s'en
sortiront quelle que soient les conditions.
Les 80% qui restent pensent qu'il faut un diplôme pour trouver un
travail et regardent Arthur et écoutent Bruel.
Mon cher Stéphane, pendant 30 ans, sous prétexte qu'il fallait amener 80% d'une classe d'âge au bac et qu'il fallait le moins possible d'éléves par classe on a recruté des profs massivement, essentiellement en maths ou physique, il suffisait de se présenter au CAPES pour être pris. Je pense qu'il n'y a pas besoin d'avoir un doctorat en psycho pour comprendre que dans ces conditions on ne peut pas recruter le top du top. Petit à petit le métier s'est déprécié, forcément le salaire est devenu minable, et maintenant même les plus mauvais étudiants de la fac ne veulent à aucun prix devenir profs. Les guignols du ministère s'imaginent qu'ils vont résoudre le problème en améliorant la formation "pédagogique" alors qu'il faudrait plutôt dorénavant une formation au close combat ...
Et c'était mieux avant ... oui, on sait cela.
Maintenant, regarde un peu les choses d'un peu plus loin. Le monde vers le quel nous nous dirigeons est fait de :
- 2% de très riches qui consomment énormément - 20% de travailleurs qui consomment modérément - 78% de masse laborieuse stupide à qui il impossible de fournir un travail et qu'il va falloir abrutir si on veut qu'ils se tiennent tranquilles.
Sachant cela, il n'y a aucun intérêt à former des générations de savants et il faut au contraire maintenir notre chère descendance à l'école le plus longtemps possible en leur apprenant le moins de choses possibles afin qu'on puisse bien les abruptir avec la télévision.
Les 2% de très riches le sont par héritage.
Les 20% de travailleurs représentent l'élite de la nation, ils s'en sortiront quelle que soient les conditions.
Les 80% qui restent pensent qu'il faut un diplôme pour trouver un travail et regardent Arthur et écoutent Bruel.
Voila, l'école fait son travail dans ce plan.
Frederic Dupas
Dans <50c1db2f$0$16468$, Florence a écrit :
Le 07/12/2012 12:08, ST a écrit :
J'en connais au moins un: moi!
+1
Je vais de ce pas déchirer mes diplômes. Merci à vous 2 de m'avoir aidé à comprendre pourquoi j'avais un peu de mal à retrouver un poste en ce moment.
Ce n'est pas à cause de mes 26 ans d'expérience, ça doit être à cause de mon diplôme qui ne tient pourtant que sur une ligne à la fin de mon CV.
-- Frédéric http://aliaz.com/frederic-dupas
Dans <50c1db2f$0$16468$426a34cc@news.free.fr>,
Florence a écrit :
Le 07/12/2012 12:08, ST a écrit :
J'en connais au moins un: moi!
+1
Je vais de ce pas déchirer mes diplômes.
Merci à vous 2 de m'avoir aidé à comprendre pourquoi j'avais un peu de
mal à retrouver un poste en ce moment.
Ce n'est pas à cause de mes 26 ans d'expérience, ça doit être à cause de
mon diplôme qui ne tient pourtant que sur une ligne à la fin de mon CV.
Je vais de ce pas déchirer mes diplômes. Merci à vous 2 de m'avoir aidé à comprendre pourquoi j'avais un peu de mal à retrouver un poste en ce moment.
Ce n'est pas à cause de mes 26 ans d'expérience, ça doit être à cause de mon diplôme qui ne tient pourtant que sur une ligne à la fin de mon CV.
-- Frédéric http://aliaz.com/frederic-dupas
Toxico Nimbus
Le 07/12/2012 14:43, ST a écrit :
Michel Talon wrote:
Mon cher Stéphane, pendant 30 ans, sous prétexte qu'il fallait amener 80% d'une classe d'âge au bac et qu'il fallait le moins possible d'éléves par classe on a recruté des profs massivement, essentiellement en maths ou physique, il suffisait de se présenter au CAPES pour être pris. Je pense qu'il n'y a pas besoin d'avoir un doctorat en psycho pour comprendre que dans ces conditions on ne peut pas recruter le top du top. Petit à petit le métier s'est déprécié, forcément le salaire est devenu minable, et maintenant même les plus mauvais étudiants de la fac ne veulent à aucun prix devenir profs. Les guignols du ministère s'imaginent qu'ils vont résoudre le problème en améliorant la formation "pédagogique" alors qu'il faudrait plutôt dorénavant une formation au close combat ...
Et c'était mieux avant ... oui, on sait cela.
Maintenant, regarde un peu les choses d'un peu plus loin. Le monde vers le quel nous nous dirigeons est fait de :
- 2% de très riches qui consomment énormément - 20% de travailleurs qui consomment modérément - 78% de masse laborieuse stupide à qui il impossible de fournir un travail et qu'il va falloir abrutir si on veut qu'ils se tiennent tranquilles.
Sachant cela, il n'y a aucun intérêt à former des générations de savants et il faut au contraire maintenir notre chère descendance à l'école le plus longtemps possible en leur apprenant le moins de choses possibles afin qu'on puisse bien les abruptir avec la télévision.
Les 2% de très riches le sont par héritage.
Les 20% de travailleurs représentent l'élite de la nation, ils s'en sortiront quelle que soient les conditions.
Les 80% qui restent pensent qu'il faut un diplôme pour trouver un travail et regardent Arthur et écoutent Bruel.
Voila, l'école fait son travail dans ce plan.
Ce genre de généralisation est la plupart du temps un signe de grande intelligence.
Le 07/12/2012 14:43, ST a écrit :
Michel Talon wrote:
Mon cher Stéphane, pendant 30 ans, sous prétexte qu'il fallait amener
80% d'une classe d'âge au bac et qu'il fallait le moins possible
d'éléves par classe on a recruté des profs massivement, essentiellement
en maths ou physique, il suffisait de se présenter au CAPES pour être
pris. Je pense qu'il n'y a pas besoin d'avoir un doctorat en psycho pour
comprendre que dans ces conditions on ne peut pas recruter le top du
top. Petit à petit le métier s'est déprécié, forcément le salaire est
devenu minable, et maintenant même les plus mauvais étudiants de la fac
ne veulent à aucun prix devenir profs. Les guignols du ministère
s'imaginent qu'ils vont résoudre le problème en améliorant la formation
"pédagogique" alors qu'il faudrait plutôt dorénavant une formation au
close combat ...
Et c'était mieux avant ... oui, on sait cela.
Maintenant, regarde un peu les choses d'un peu plus loin. Le monde vers
le quel nous nous dirigeons est fait de :
- 2% de très riches qui consomment énormément
- 20% de travailleurs qui consomment modérément
- 78% de masse laborieuse stupide à qui il impossible de fournir un
travail et qu'il va falloir abrutir si on veut qu'ils se tiennent
tranquilles.
Sachant cela, il n'y a aucun intérêt à former des générations de savants
et il faut au contraire maintenir notre chère descendance à l'école le
plus longtemps possible en leur apprenant le moins de choses possibles
afin qu'on puisse bien les abruptir avec la télévision.
Les 2% de très riches le sont par héritage.
Les 20% de travailleurs représentent l'élite de la nation, ils s'en
sortiront quelle que soient les conditions.
Les 80% qui restent pensent qu'il faut un diplôme pour trouver un
travail et regardent Arthur et écoutent Bruel.
Voila, l'école fait son travail dans ce plan.
Ce genre de généralisation est la plupart du temps un signe de grande
intelligence.
Mon cher Stéphane, pendant 30 ans, sous prétexte qu'il fallait amener 80% d'une classe d'âge au bac et qu'il fallait le moins possible d'éléves par classe on a recruté des profs massivement, essentiellement en maths ou physique, il suffisait de se présenter au CAPES pour être pris. Je pense qu'il n'y a pas besoin d'avoir un doctorat en psycho pour comprendre que dans ces conditions on ne peut pas recruter le top du top. Petit à petit le métier s'est déprécié, forcément le salaire est devenu minable, et maintenant même les plus mauvais étudiants de la fac ne veulent à aucun prix devenir profs. Les guignols du ministère s'imaginent qu'ils vont résoudre le problème en améliorant la formation "pédagogique" alors qu'il faudrait plutôt dorénavant une formation au close combat ...
Et c'était mieux avant ... oui, on sait cela.
Maintenant, regarde un peu les choses d'un peu plus loin. Le monde vers le quel nous nous dirigeons est fait de :
- 2% de très riches qui consomment énormément - 20% de travailleurs qui consomment modérément - 78% de masse laborieuse stupide à qui il impossible de fournir un travail et qu'il va falloir abrutir si on veut qu'ils se tiennent tranquilles.
Sachant cela, il n'y a aucun intérêt à former des générations de savants et il faut au contraire maintenir notre chère descendance à l'école le plus longtemps possible en leur apprenant le moins de choses possibles afin qu'on puisse bien les abruptir avec la télévision.
Les 2% de très riches le sont par héritage.
Les 20% de travailleurs représentent l'élite de la nation, ils s'en sortiront quelle que soient les conditions.
Les 80% qui restent pensent qu'il faut un diplôme pour trouver un travail et regardent Arthur et écoutent Bruel.
Voila, l'école fait son travail dans ce plan.
Ce genre de généralisation est la plupart du temps un signe de grande intelligence.
remy
Le 07/12/2012 15:56, Frederic Dupas a écrit :
Dans <50c1db2f$0$16468$, Florence a écrit :
Le 07/12/2012 12:08, ST a écrit :
J'en connais au moins un: moi!
+1
Je vais de ce pas déchirer mes diplômes. Merci à vous 2 de m'avoir aidé à comprendre pourquoi j'avais un p eu de mal à retrouver un poste en ce moment.
Ce n'est pas à cause de mes 26 ans d'expérience, ça doit être à cause de mon diplôme qui ne tient pourtant que sur une ligne à la fin de mon CV.
non cela ne marche pas comme cela
maintenant l'informatique et devenue un métier comme les autre
les boite achète un compétence et ne ce font plus chier a trouver le bon mec , ils ont un besoin et mette en face une compétence donc un diplôme et prennent la moins chère
remy
-- http://remyaumeunier.chez-alice.fr/
Le 07/12/2012 15:56, Frederic Dupas a écrit :
Dans <50c1db2f$0$16468$426a34cc@news.free.fr>,
Florence a écrit :
Le 07/12/2012 12:08, ST a écrit :
J'en connais au moins un: moi!
+1
Je vais de ce pas déchirer mes diplômes.
Merci à vous 2 de m'avoir aidé à comprendre pourquoi j'avais un p eu de
mal à retrouver un poste en ce moment.
Ce n'est pas à cause de mes 26 ans d'expérience, ça doit être à cause de
mon diplôme qui ne tient pourtant que sur une ligne à la fin de mon CV.
non cela ne marche pas comme cela
maintenant l'informatique et devenue un métier comme les autre
les boite achète un compétence et ne ce font plus chier a
trouver le bon mec , ils ont un besoin et mette en face une compétence
donc un diplôme et prennent la moins chère
Je vais de ce pas déchirer mes diplômes. Merci à vous 2 de m'avoir aidé à comprendre pourquoi j'avais un p eu de mal à retrouver un poste en ce moment.
Ce n'est pas à cause de mes 26 ans d'expérience, ça doit être à cause de mon diplôme qui ne tient pourtant que sur une ligne à la fin de mon CV.
non cela ne marche pas comme cela
maintenant l'informatique et devenue un métier comme les autre
les boite achète un compétence et ne ce font plus chier a trouver le bon mec , ils ont un besoin et mette en face une compétence donc un diplôme et prennent la moins chère
remy
-- http://remyaumeunier.chez-alice.fr/
Frederic Dupas
Dans <50c209ef$0$1863$, remy a écrit :
non cela ne marche pas comme cela
maintenant l'informatique et devenue un métier comme les autre
les boite achète un compétence et ne ce font plus chier a trouver le bon mec , ils ont un besoin et mette en face une compétence donc un diplôme et prennent la moins chère
Je ne suis pas sûr d'avoir compris.
Les compétences que je peux mettre en avant au bout de 26 ans d'expérience dans le domaine de l'informatique embarquée dont près de 20 ans de gestion de projets et d'équipes, ce n'est pas ce que j'ai appris à mon école d'ingénieur entre 1981 et 1984.
Ce ne peut donc pas être en s'appuyant sur mon diplôme qu'une société peut savoir si je ferai un bon directeur de projets.
Sur l'aspect salaire, il y a peut-être plus de vrai, mais ça dépend du profil recherché. J'en suis à refuser de répondre aus questions de salaire en début de processus d'embauche en disant que je suivrai le marché. Ça n'a pas l'air de choquer pour le moment.
-- Frédéric http://aliaz.com/frederic-dupas
Dans <50c209ef$0$1863$426a34cc@news.free.fr>,
remy a écrit :
non cela ne marche pas comme cela
maintenant l'informatique et devenue un métier comme les autre
les boite achète un compétence et ne ce font plus chier a
trouver le bon mec , ils ont un besoin et mette en face une compétence
donc un diplôme et prennent la moins chère
Je ne suis pas sûr d'avoir compris.
Les compétences que je peux mettre en avant au bout de 26 ans
d'expérience dans le domaine de l'informatique embarquée dont près de 20
ans de gestion de projets et d'équipes, ce n'est pas ce que j'ai appris
à mon école d'ingénieur entre 1981 et 1984.
Ce ne peut donc pas être en s'appuyant sur mon diplôme qu'une société
peut savoir si je ferai un bon directeur de projets.
Sur l'aspect salaire, il y a peut-être plus de vrai, mais ça dépend du
profil recherché. J'en suis à refuser de répondre aus questions de
salaire en début de processus d'embauche en disant que je suivrai le
marché. Ça n'a pas l'air de choquer pour le moment.
maintenant l'informatique et devenue un métier comme les autre
les boite achète un compétence et ne ce font plus chier a trouver le bon mec , ils ont un besoin et mette en face une compétence donc un diplôme et prennent la moins chère
Je ne suis pas sûr d'avoir compris.
Les compétences que je peux mettre en avant au bout de 26 ans d'expérience dans le domaine de l'informatique embarquée dont près de 20 ans de gestion de projets et d'équipes, ce n'est pas ce que j'ai appris à mon école d'ingénieur entre 1981 et 1984.
Ce ne peut donc pas être en s'appuyant sur mon diplôme qu'une société peut savoir si je ferai un bon directeur de projets.
Sur l'aspect salaire, il y a peut-être plus de vrai, mais ça dépend du profil recherché. J'en suis à refuser de répondre aus questions de salaire en début de processus d'embauche en disant que je suivrai le marché. Ça n'a pas l'air de choquer pour le moment.