Le Wed, 19 Dec 2012 10:00:14 +0100,
remy écrivait :Alors que les fillières
d'apprentissage ont du mal à faire le plein et que les entreprises sont
demandeuses,
Tien justement ont a un apprentie c'est nouveaux pour la boite
sont cursus un iut plus une école d'ing en cour ont le prend pour
3 ans en partenariat avec l’école
donc le mec il n'a pas fait de prépa et je pense vraiment qu'il sera
meilleur qu'un ing avec prépa qui sort de l’école
et probablement moins bon sur le calcul d'un intégrale du 3 ime ordre
ou sur une inversion de matrice
mais effectivement selon les critères il lui manque une prepa ou l'on
bouffe des maths pour faire de la sélection
Je n'ai jamais vu un bon ingénieur ou un bon scientifique mauvais en
maths.
Cela fait des années que je cherche un contre-exemple et je
n'en ai
pas encore trouvé un seul.
Les maths, c'est un formalisme, une rigueur. On ne peut pas
être rigoureux dans quelque matière que ce soit et âtre mauvais en
maths.
C'est bien pour cela que la sélection par les maths n'est pas
une aberration. Le corrolaire, c'est que quelqu'un qui est bon en
maths sera bon dans n'importe quelle matière scientifique.
Le Wed, 19 Dec 2012 10:00:14 +0100,
remy <remy@fctpas.fr> écrivait :
Alors que les fillières
d'apprentissage ont du mal à faire le plein et que les entreprises sont
demandeuses,
Tien justement ont a un apprentie c'est nouveaux pour la boite
sont cursus un iut plus une école d'ing en cour ont le prend pour
3 ans en partenariat avec l’école
donc le mec il n'a pas fait de prépa et je pense vraiment qu'il sera
meilleur qu'un ing avec prépa qui sort de l’école
et probablement moins bon sur le calcul d'un intégrale du 3 ime ordre
ou sur une inversion de matrice
mais effectivement selon les critères il lui manque une prepa ou l'on
bouffe des maths pour faire de la sélection
Je n'ai jamais vu un bon ingénieur ou un bon scientifique mauvais en
maths.
Cela fait des années que je cherche un contre-exemple et je
n'en ai
pas encore trouvé un seul.
Les maths, c'est un formalisme, une rigueur. On ne peut pas
être rigoureux dans quelque matière que ce soit et âtre mauvais en
maths.
C'est bien pour cela que la sélection par les maths n'est pas
une aberration. Le corrolaire, c'est que quelqu'un qui est bon en
maths sera bon dans n'importe quelle matière scientifique.
Le Wed, 19 Dec 2012 10:00:14 +0100,
remy écrivait :Alors que les fillières
d'apprentissage ont du mal à faire le plein et que les entreprises sont
demandeuses,
Tien justement ont a un apprentie c'est nouveaux pour la boite
sont cursus un iut plus une école d'ing en cour ont le prend pour
3 ans en partenariat avec l’école
donc le mec il n'a pas fait de prépa et je pense vraiment qu'il sera
meilleur qu'un ing avec prépa qui sort de l’école
et probablement moins bon sur le calcul d'un intégrale du 3 ime ordre
ou sur une inversion de matrice
mais effectivement selon les critères il lui manque une prepa ou l'on
bouffe des maths pour faire de la sélection
Je n'ai jamais vu un bon ingénieur ou un bon scientifique mauvais en
maths.
Cela fait des années que je cherche un contre-exemple et je
n'en ai
pas encore trouvé un seul.
Les maths, c'est un formalisme, une rigueur. On ne peut pas
être rigoureux dans quelque matière que ce soit et âtre mauvais en
maths.
C'est bien pour cela que la sélection par les maths n'est pas
une aberration. Le corrolaire, c'est que quelqu'un qui est bon en
maths sera bon dans n'importe quelle matière scientifique.
Pas grave, le plombier polonais va règler ça.
le plombier polonais pour l’état et un mécanisme qui lute contre le taf
au noir
Pas grave, le plombier polonais va règler ça.
le plombier polonais pour l’état et un mécanisme qui lute contre le taf
au noir
Pas grave, le plombier polonais va règler ça.
le plombier polonais pour l’état et un mécanisme qui lute contre le taf
au noir
Intéressant. Notons que la suppression de la carte scolaire par Sarko a
largement aggravé la situation, il me semble.
j'ai pas encore lu le lien
mais je ne voie pas comment cela a pu graver les choses
puisque ton lieux d'habitation et conditionner par tes ressource
et cela quelque soit tes ressource
Intéressant. Notons que la suppression de la carte scolaire par Sarko a
largement aggravé la situation, il me semble.
j'ai pas encore lu le lien
mais je ne voie pas comment cela a pu graver les choses
puisque ton lieux d'habitation et conditionner par tes ressource
et cela quelque soit tes ressource
Intéressant. Notons que la suppression de la carte scolaire par Sarko a
largement aggravé la situation, il me semble.
j'ai pas encore lu le lien
mais je ne voie pas comment cela a pu graver les choses
puisque ton lieux d'habitation et conditionner par tes ressource
et cela quelque soit tes ressource
Doug713705 , dans le message
, a écrit :Plus sérieusement, est-ce que les plus faibles doivent ralentir les
plus forts ?
C'est un tout autre débat.
Mais ce qui est certain, c'est que les plus
défavorisés ont exactement autant le droit à des chances pour une vie
épanouie que les plus favorisés.
Aucune des deux solutions n'est idéale mais, _à l'heure actuelle_, celle
de "tout le monde au bac" n'apporte rien.
Ça n'apporte rien que tu voie, mais il y a globalement une évolution, très
lente, vers une population plus éduquée et réfléchie, et ça c'est une très
bonne chose.
Alors que les fillières
d'apprentissage ont du mal à faire le plein et que les entreprises sont
demandeuses
Si les entreprises étaient vraiment demandeuses, elles feraient le
nécessaire. Seulement leurs exigences ne s'arrêtent pas là, elles ne veulent
pas juste des pousseurs de cailloux, elles les veulent en plus dociles et
quasi gratuits.
Pas de chance, une des conséquences de l'élévation du niveau d'éducation de
la population, c'est qu'elle se laisse moins faire.
Doug713705 , dans le message
<96t6q9x2bm.ln2@actarus.chainon-marquant.org>, a écrit :
Plus sérieusement, est-ce que les plus faibles doivent ralentir les
plus forts ?
C'est un tout autre débat.
Mais ce qui est certain, c'est que les plus
défavorisés ont exactement autant le droit à des chances pour une vie
épanouie que les plus favorisés.
Aucune des deux solutions n'est idéale mais, _à l'heure actuelle_, celle
de "tout le monde au bac" n'apporte rien.
Ça n'apporte rien que tu voie, mais il y a globalement une évolution, très
lente, vers une population plus éduquée et réfléchie, et ça c'est une très
bonne chose.
Alors que les fillières
d'apprentissage ont du mal à faire le plein et que les entreprises sont
demandeuses
Si les entreprises étaient vraiment demandeuses, elles feraient le
nécessaire. Seulement leurs exigences ne s'arrêtent pas là, elles ne veulent
pas juste des pousseurs de cailloux, elles les veulent en plus dociles et
quasi gratuits.
Pas de chance, une des conséquences de l'élévation du niveau d'éducation de
la population, c'est qu'elle se laisse moins faire.
Doug713705 , dans le message
, a écrit :Plus sérieusement, est-ce que les plus faibles doivent ralentir les
plus forts ?
C'est un tout autre débat.
Mais ce qui est certain, c'est que les plus
défavorisés ont exactement autant le droit à des chances pour une vie
épanouie que les plus favorisés.
Aucune des deux solutions n'est idéale mais, _à l'heure actuelle_, celle
de "tout le monde au bac" n'apporte rien.
Ça n'apporte rien que tu voie, mais il y a globalement une évolution, très
lente, vers une population plus éduquée et réfléchie, et ça c'est une très
bonne chose.
Alors que les fillières
d'apprentissage ont du mal à faire le plein et que les entreprises sont
demandeuses
Si les entreprises étaient vraiment demandeuses, elles feraient le
nécessaire. Seulement leurs exigences ne s'arrêtent pas là, elles ne veulent
pas juste des pousseurs de cailloux, elles les veulent en plus dociles et
quasi gratuits.
Pas de chance, une des conséquences de l'élévation du niveau d'éducation de
la population, c'est qu'elle se laisse moins faire.
On 18 Dec 2012 20:34:25 GMT, Nicolas George <nicolas$
wrote:
Pas de chance, une des conséquences de l'élévation du niveau d'éducation de
la population, c'est qu'elle se laisse moins faire.
Le niveau d'éducation est à la baisse.
Les jeunes ne veulent plus commencer en bas de l'échelle (le syndrome du
melon), elle veut être celèbre, et gagner 10000¤/mois.
C'est affolant quand je les vois se présenter pour un boulot.
On 18 Dec 2012 20:34:25 GMT, Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org>
wrote:
Pas de chance, une des conséquences de l'élévation du niveau d'éducation de
la population, c'est qu'elle se laisse moins faire.
Le niveau d'éducation est à la baisse.
Les jeunes ne veulent plus commencer en bas de l'échelle (le syndrome du
melon), elle veut être celèbre, et gagner 10000¤/mois.
C'est affolant quand je les vois se présenter pour un boulot.
On 18 Dec 2012 20:34:25 GMT, Nicolas George <nicolas$
wrote:
Pas de chance, une des conséquences de l'élévation du niveau d'éducation de
la population, c'est qu'elle se laisse moins faire.
Le niveau d'éducation est à la baisse.
Les jeunes ne veulent plus commencer en bas de l'échelle (le syndrome du
melon), elle veut être celèbre, et gagner 10000¤/mois.
C'est affolant quand je les vois se présenter pour un boulot.
Justement, regardons le résultat dans son ensemble et pas uniquement ces
points positifs.
Justement, regardons le résultat dans son ensemble et pas uniquement ces
points positifs.
Justement, regardons le résultat dans son ensemble et pas uniquement ces
points positifs.
Quand je disais "un" eleve, je parlais d'"un" eleve en particulier,
celui qui a besoin de 600 heures en opposition a celui qui a besoin de
seulement 300.
Qu'est ce que tu ne comprends pas dans le mot "supplémenataires" ?
Là dessus on est d'accord. Mais si en 2010 il faut _en moyenne_ 600
heures pour faire apprendre aux gosses d'une tranche d'âge quand il en
fallait que 300 50 ans plus tôt, c'est que le niveau _global_ a baissé.
Tu oublies simplement que mon point de vue n'exclue pas le tien.
Mais surtout ne regarde pas de quelle manière ces mêmes illettrés
finiront par pousser des caillous _malgré les 12 000 000 d'heures_
passées à tenter de leur apprendre les rudiments du langage.
Quand je disais "un" eleve, je parlais d'"un" eleve en particulier,
celui qui a besoin de 600 heures en opposition a celui qui a besoin de
seulement 300.
Qu'est ce que tu ne comprends pas dans le mot "supplémenataires" ?
Là dessus on est d'accord. Mais si en 2010 il faut _en moyenne_ 600
heures pour faire apprendre aux gosses d'une tranche d'âge quand il en
fallait que 300 50 ans plus tôt, c'est que le niveau _global_ a baissé.
Tu oublies simplement que mon point de vue n'exclue pas le tien.
Mais surtout ne regarde pas de quelle manière ces mêmes illettrés
finiront par pousser des caillous _malgré les 12 000 000 d'heures_
passées à tenter de leur apprendre les rudiments du langage.
Quand je disais "un" eleve, je parlais d'"un" eleve en particulier,
celui qui a besoin de 600 heures en opposition a celui qui a besoin de
seulement 300.
Qu'est ce que tu ne comprends pas dans le mot "supplémenataires" ?
Là dessus on est d'accord. Mais si en 2010 il faut _en moyenne_ 600
heures pour faire apprendre aux gosses d'une tranche d'âge quand il en
fallait que 300 50 ans plus tôt, c'est que le niveau _global_ a baissé.
Tu oublies simplement que mon point de vue n'exclue pas le tien.
Mais surtout ne regarde pas de quelle manière ces mêmes illettrés
finiront par pousser des caillous _malgré les 12 000 000 d'heures_
passées à tenter de leur apprendre les rudiments du langage.
Je te parle de ce qu'on peut constater au quotidien. Je _vois_ de mes
yeux, et je ne suis pas le seul, que la jeunesse lit et écrit le
français avec de plus en plus de difficulté.
Enfin, je le constate également lors des récrutements que je peux avoir
à faire (et je recrute plutôt "bas", hein, je ne demande pas des
écrivains). La plupart du temps le problème est tellement profond que
l'expression orale est bien souvent assez farfelue (je ne parle pas
de langages de djeunz mais bien de fautes de français tellement énormes
qu'elles sont audibles). Je t'assure qu'il y a 10 ans, le problème
était moins fréquent.
Je te parle de ce qu'on peut constater au quotidien. Je _vois_ de mes
yeux, et je ne suis pas le seul, que la jeunesse lit et écrit le
français avec de plus en plus de difficulté.
Enfin, je le constate également lors des récrutements que je peux avoir
à faire (et je recrute plutôt "bas", hein, je ne demande pas des
écrivains). La plupart du temps le problème est tellement profond que
l'expression orale est bien souvent assez farfelue (je ne parle pas
de langages de djeunz mais bien de fautes de français tellement énormes
qu'elles sont audibles). Je t'assure qu'il y a 10 ans, le problème
était moins fréquent.
Je te parle de ce qu'on peut constater au quotidien. Je _vois_ de mes
yeux, et je ne suis pas le seul, que la jeunesse lit et écrit le
français avec de plus en plus de difficulté.
Enfin, je le constate également lors des récrutements que je peux avoir
à faire (et je recrute plutôt "bas", hein, je ne demande pas des
écrivains). La plupart du temps le problème est tellement profond que
l'expression orale est bien souvent assez farfelue (je ne parle pas
de langages de djeunz mais bien de fautes de français tellement énormes
qu'elles sont audibles). Je t'assure qu'il y a 10 ans, le problème
était moins fréquent.
Mais non, ils savent plein d'autres trucs (inutiles parce qu'ils
n'ont plus les bases dans les matières fondamentales et utiles pour
aller plus loin) !
Mais non, ils savent plein d'autres trucs (inutiles parce qu'ils
n'ont plus les bases dans les matières fondamentales et utiles pour
aller plus loin) !
Mais non, ils savent plein d'autres trucs (inutiles parce qu'ils
n'ont plus les bases dans les matières fondamentales et utiles pour
aller plus loin) !
Et il vaut mieux
être un très bon technicien qu'un mauvais ingénieur. Il n'y a
d'ailleurs pas de honte à cela.
Et il vaut mieux
être un très bon technicien qu'un mauvais ingénieur. Il n'y a
d'ailleurs pas de honte à cela.
Et il vaut mieux
être un très bon technicien qu'un mauvais ingénieur. Il n'y a
d'ailleurs pas de honte à cela.