"Client faces strong competition from well-established companies with
differing approaches to the PC market. Competing commercial software
products, including variants of Unix, are supplied by competitors such as
Apple, Canonical, and Red Hat."
et
"The Linux operating system, which is also derived from Unix and is
available without payment under a General Public License, has gained some
acceptance, especially in emerging markets, as competitive pressures lead
OEMs to reduce costs and new, lower-price PC form-factors gain adoption."
C'est la première fois que Microsoft parle de Linux dans la concurrence sur
le poste client dans ce type de rapport annuel.
--
Stéphan Peccini
Les photos : <URL:http://photonature.fr>
Les Pyrénées : <URL:http://photonature.fr/pyrenees>
Le blog : <URL:http://pyrenees.peccini.fr>
Stéphan Peccini , dans le message <h6eedb$tvr$, a écrit :
Sans interopérabilité, on pourrait envisager des choses différentes de manière plus efficace.
Encore une fois, si tu soutiens ça, tu dois expliquer en quoi la présence dans une distribution d'un paquet samba ou dans un menu d'une entrée openoffice interdit l'existence de paquets fournissant des interfaces innovantes.
Tel quel, ton argument est du même degré que celui qui prétend que c'est microsoft qui rend les ordinateurs plus puissants.
Stéphan Peccini , dans le message <h6eedb$tvr$1@eweb.domicile>, a
écrit :
Sans interopérabilité, on pourrait
envisager des choses différentes de manière plus efficace.
Encore une fois, si tu soutiens ça, tu dois expliquer en quoi la présence
dans une distribution d'un paquet samba ou dans un menu d'une entrée
openoffice interdit l'existence de paquets fournissant des interfaces
innovantes.
Tel quel, ton argument est du même degré que celui qui prétend que c'est
microsoft qui rend les ordinateurs plus puissants.
Stéphan Peccini , dans le message <h6eedb$tvr$, a écrit :
Sans interopérabilité, on pourrait envisager des choses différentes de manière plus efficace.
Encore une fois, si tu soutiens ça, tu dois expliquer en quoi la présence dans une distribution d'un paquet samba ou dans un menu d'une entrée openoffice interdit l'existence de paquets fournissant des interfaces innovantes.
Tel quel, ton argument est du même degré que celui qui prétend que c'est microsoft qui rend les ordinateurs plus puissants.
Stephane TOUGARD
Stéphan Peccini wrote:
Pas que, pas que. Je ne nie pas que ce soit l'objectif de certains mais pas des grands acteurs influents de la communauté GNU/Linux. Eux, ils veulent vendre et pour cela, il ne faut pas faire peur aux utilisateurs.
Allez, vas-y, on va rigoler un peu. Cite nous un peu les acteurs influants du monde Linux, cite ce qu'ils ont apporte vraiment dans les faits et en quoi ces gens la sont interesses par le Desktop.
Fais nous decouvrir la culture Linux.
Alors pourquoi avoir tant de développement sur Wine, samba, OpenOffice et autres logiciels d'interopérabilité.
Attends, laisse moi deviner :
- Wine : Pour pouvoir executer des binaires Windows sous Linux. Pour info, Free/NetBSD permettent d'executer des binaires Linux, Linux peut executer des binaire MS-Dos (et il y en a plein d'autres) - Samba : Implementation du CIPFS sous Unix. Il existe aussi le NFS et quelques autres qui font des choses similaires. Mais ca n'a RIEN a voir avec Linux. - OpenOffice.org : Faire une suite bureautique multi-plateforme (elle tourne sur FreeBSD, Solaris, Windows, MacOSX) et qui n'a rien a voir avec Linux.
Tu enlèves cela est GNU/Linux devient epsilonesque sur le desktop et plus aucun grand acteur ne s'y intéressera en dehors du serveur. Je ne
Mais GNU/Linux EST epsilonesque sur le Desktop.
dis pas que cela ne me conviendrait pas, mais pas d'interopérabilité,
Et il faut bien que tu te mettes dans la tete que l'interoperabilite n'a rien a voir avec la volonte d'etre une alternative. On interopere pas avec ce qu'on veut remplacer, on le remplace.
Linux interopere avec Windows pour permettre aux utilisateurs de Windows d'utiliser Linux.
Stéphan Peccini wrote:
Pas que, pas que. Je ne nie pas que ce soit l'objectif de certains mais
pas des grands acteurs influents de la communauté GNU/Linux. Eux, ils
veulent vendre et pour cela, il ne faut pas faire peur aux utilisateurs.
Allez, vas-y, on va rigoler un peu. Cite nous un peu les acteurs
influants du monde Linux, cite ce qu'ils ont apporte vraiment dans les
faits et en quoi ces gens la sont interesses par le Desktop.
Fais nous decouvrir la culture Linux.
Alors pourquoi avoir tant de développement sur Wine, samba, OpenOffice
et autres logiciels d'interopérabilité.
Attends, laisse moi deviner :
- Wine : Pour pouvoir executer des binaires Windows sous Linux. Pour
info, Free/NetBSD permettent d'executer des binaires Linux, Linux peut
executer des binaire MS-Dos (et il y en a plein d'autres)
- Samba : Implementation du CIPFS sous Unix. Il existe aussi le NFS et
quelques autres qui font des choses similaires. Mais ca n'a RIEN a
voir avec Linux.
- OpenOffice.org : Faire une suite bureautique multi-plateforme (elle
tourne sur FreeBSD, Solaris, Windows, MacOSX) et qui n'a rien a voir
avec Linux.
Tu enlèves cela est GNU/Linux devient epsilonesque sur le desktop et
plus aucun grand acteur ne s'y intéressera en dehors du serveur. Je ne
Mais GNU/Linux EST epsilonesque sur le Desktop.
dis pas que cela ne me conviendrait pas, mais pas d'interopérabilité,
Et il faut bien que tu te mettes dans la tete que l'interoperabilite n'a
rien a voir avec la volonte d'etre une alternative. On interopere pas
avec ce qu'on veut remplacer, on le remplace.
Linux interopere avec Windows pour permettre aux utilisateurs de Windows
d'utiliser Linux.
Pas que, pas que. Je ne nie pas que ce soit l'objectif de certains mais pas des grands acteurs influents de la communauté GNU/Linux. Eux, ils veulent vendre et pour cela, il ne faut pas faire peur aux utilisateurs.
Allez, vas-y, on va rigoler un peu. Cite nous un peu les acteurs influants du monde Linux, cite ce qu'ils ont apporte vraiment dans les faits et en quoi ces gens la sont interesses par le Desktop.
Fais nous decouvrir la culture Linux.
Alors pourquoi avoir tant de développement sur Wine, samba, OpenOffice et autres logiciels d'interopérabilité.
Attends, laisse moi deviner :
- Wine : Pour pouvoir executer des binaires Windows sous Linux. Pour info, Free/NetBSD permettent d'executer des binaires Linux, Linux peut executer des binaire MS-Dos (et il y en a plein d'autres) - Samba : Implementation du CIPFS sous Unix. Il existe aussi le NFS et quelques autres qui font des choses similaires. Mais ca n'a RIEN a voir avec Linux. - OpenOffice.org : Faire une suite bureautique multi-plateforme (elle tourne sur FreeBSD, Solaris, Windows, MacOSX) et qui n'a rien a voir avec Linux.
Tu enlèves cela est GNU/Linux devient epsilonesque sur le desktop et plus aucun grand acteur ne s'y intéressera en dehors du serveur. Je ne
Mais GNU/Linux EST epsilonesque sur le Desktop.
dis pas que cela ne me conviendrait pas, mais pas d'interopérabilité,
Et il faut bien que tu te mettes dans la tete que l'interoperabilite n'a rien a voir avec la volonte d'etre une alternative. On interopere pas avec ce qu'on veut remplacer, on le remplace.
Linux interopere avec Windows pour permettre aux utilisateurs de Windows d'utiliser Linux.
Stephane TOUGARD
Stéphan Peccini wrote:
Pas dans le top 312 de distrowatch ; influence proche de zéro sur l'évolution de GNU/Linux.
Depuis quand les gens influants de Linux sont dans le top 312 de distrowatch ?
Stéphan Peccini wrote:
Pas dans le top 312 de distrowatch ; influence proche de zéro sur
l'évolution de GNU/Linux.
Depuis quand les gens influants de Linux sont dans le top 312 de
distrowatch ?
Pas dans le top 312 de distrowatch ; influence proche de zéro sur l'évolution de GNU/Linux.
Depuis quand les gens influants de Linux sont dans le top 312 de distrowatch ?
Stephane TOUGARD
Stéphan Peccini wrote:
Tout le monde s'en fout du poste de travail.
Non, tu t'en fous et beaucoup de grands groupes te donnent tort sinon ils ne le proposeraient pas.
Des noms ! Parce que si c'est pour me citer Canonical et Mandrake, on a pas attendu ces gens la pour faire Linux, GNU/Linux a existe avant eux, il existerait sans eux et il existera apres eux.
Stéphan Peccini wrote:
Tout le monde s'en fout du poste de travail.
Non, tu t'en fous et beaucoup de grands groupes te donnent tort sinon
ils ne le proposeraient pas.
Des noms ! Parce que si c'est pour me citer Canonical et Mandrake, on a
pas attendu ces gens la pour faire Linux, GNU/Linux a existe avant eux,
il existerait sans eux et il existera apres eux.
Non, tu t'en fous et beaucoup de grands groupes te donnent tort sinon ils ne le proposeraient pas.
Des noms ! Parce que si c'est pour me citer Canonical et Mandrake, on a pas attendu ces gens la pour faire Linux, GNU/Linux a existe avant eux, il existerait sans eux et il existera apres eux.
totof2000
On 18 août, 08:52, Mihamina Rakotomandimby wrote:
08/16/2009 01:00 AM, totof2000:
>> Enfin il y aura toujours un frein terrible à l'adoption des distribu tions >> linux dans le grand public : ces p... de dépendances! > Ca je te l'accorde c'est lourd .... Cela dit c'est un choix et c'est > lié au mode de développement libre : le travail effectué par les > développeurs est capitalisé et est réutilisé par d'autres proje ts.
En fait j'ai trouvé JP interessant jusqu'à ce passage: La gestion des dependences se fait toute seule avec apt ou aptitude, yum, urpmi... Il doit vivre dans un mond edans lequel je ne suis pas.
En fait je suis déjà tombé dans un cas ou un soft X à une version donnée avait besoin de la version n d'une bibliothèque et le soft y avait besoin de la version n+1. Manque de bol, la version n+1 ne convenait pas au soft X, et je ne voulais pas de la version suivante dudit soft ..... j'&ai un peu galéré pour m'en sortir .... mais ça remonte à il y a quelques années.
On 18 août, 08:52, Mihamina Rakotomandimby <miham...@gulfsat.mg>
wrote:
08/16/2009 01:00 AM, totof2000:
>> Enfin il y aura toujours un frein terrible à l'adoption des distribu tions
>> linux dans le grand public : ces p... de dépendances!
> Ca je te l'accorde c'est lourd .... Cela dit c'est un choix et c'est
> lié au mode de développement libre : le travail effectué par les
> développeurs est capitalisé et est réutilisé par d'autres proje ts.
En fait j'ai trouvé JP interessant jusqu'à ce passage: La gestion des dependences
se fait toute seule avec apt ou aptitude, yum, urpmi...
Il doit vivre dans un mond edans lequel je ne suis pas.
En fait je suis déjà tombé dans un cas ou un soft X à une version
donnée avait besoin de la version n d'une bibliothèque et le soft y
avait besoin de la version n+1. Manque de bol, la version n+1 ne
convenait pas au soft X, et je ne voulais pas de la version suivante
dudit soft ..... j'&ai un peu galéré pour m'en sortir .... mais ça
remonte à il y a quelques années.
>> Enfin il y aura toujours un frein terrible à l'adoption des distribu tions >> linux dans le grand public : ces p... de dépendances! > Ca je te l'accorde c'est lourd .... Cela dit c'est un choix et c'est > lié au mode de développement libre : le travail effectué par les > développeurs est capitalisé et est réutilisé par d'autres proje ts.
En fait j'ai trouvé JP interessant jusqu'à ce passage: La gestion des dependences se fait toute seule avec apt ou aptitude, yum, urpmi... Il doit vivre dans un mond edans lequel je ne suis pas.
En fait je suis déjà tombé dans un cas ou un soft X à une version donnée avait besoin de la version n d'une bibliothèque et le soft y avait besoin de la version n+1. Manque de bol, la version n+1 ne convenait pas au soft X, et je ne voulais pas de la version suivante dudit soft ..... j'&ai un peu galéré pour m'en sortir .... mais ça remonte à il y a quelques années.
Nicolas George
totof2000 , dans le message , a écrit :
En fait je suis déjà tombé dans un cas ou un soft X à une version donnée avait besoin de la version n d'une bibliothèque et le soft y avait besoin de la version n+1. Manque de bol, la version n+1 ne convenait pas au soft X, et je ne voulais pas de la version suivante dudit soft ..... j'&ai un peu galéré pour m'en sortir .... mais ça remonte à il y a quelques années.
Si la bibliothèque a été développée correctement (ou si une distribution a corrigé les choses derrière), les versions n et n+1 peuvent cohabiter sans problème.
totof2000 , dans le message
<93611935-af43-456d-ada4-878df0baedcc@e27g2000yqm.googlegroups.com>, a
écrit :
En fait je suis déjà tombé dans un cas ou un soft X à une version
donnée avait besoin de la version n d'une bibliothèque et le soft y
avait besoin de la version n+1. Manque de bol, la version n+1 ne
convenait pas au soft X, et je ne voulais pas de la version suivante
dudit soft ..... j'&ai un peu galéré pour m'en sortir .... mais ça
remonte à il y a quelques années.
Si la bibliothèque a été développée correctement (ou si une distribution a
corrigé les choses derrière), les versions n et n+1 peuvent cohabiter sans
problème.
En fait je suis déjà tombé dans un cas ou un soft X à une version donnée avait besoin de la version n d'une bibliothèque et le soft y avait besoin de la version n+1. Manque de bol, la version n+1 ne convenait pas au soft X, et je ne voulais pas de la version suivante dudit soft ..... j'&ai un peu galéré pour m'en sortir .... mais ça remonte à il y a quelques années.
Si la bibliothèque a été développée correctement (ou si une distribution a corrigé les choses derrière), les versions n et n+1 peuvent cohabiter sans problème.
Stephan Peccini
Nicolas George a écrit :
Encore une fois, si tu soutiens ça, tu dois expliquer en quoi la présence dans une distribution d'un paquet samba ou dans un menu d'une entrée openoffice interdit l'existence de paquets fournissant des interfaces innovantes.
Heu ... bon, j'arrête parce que là, si tu ne lis pas ce que j'écris ... Je n'ai jamais dit ça vu que je dis que l'on peut avoir les deux. Je ne parle que du potentiel d'innovation et du fait que c'est l'interopérabilité que je vois comme premier vecteur. Tu peux ne pas être d'accord avec ce que j'écris, je le comprends, mais si tu ne vois pas ce que moi je pense à ce sujet ...
-- Stéphan Peccini Les photos : <URL:http://photonature.fr> Les Pyrénées : <URL:http://photonature.fr/pyrenees> Le blog : <URL:http://pyrenees.peccini.fr>
Nicolas George a écrit :
Encore une fois, si tu soutiens ça, tu dois expliquer en quoi la présence
dans une distribution d'un paquet samba ou dans un menu d'une entrée
openoffice interdit l'existence de paquets fournissant des interfaces
innovantes.
Heu ... bon, j'arrête parce que là, si tu ne lis pas ce que j'écris ... Je
n'ai jamais dit ça vu que je dis que l'on peut avoir les deux. Je ne parle
que du potentiel d'innovation et du fait que c'est l'interopérabilité que je
vois comme premier vecteur. Tu peux ne pas être d'accord avec ce que
j'écris, je le comprends, mais si tu ne vois pas ce que moi je pense à ce
sujet ...
--
Stéphan Peccini
Les photos : <URL:http://photonature.fr>
Les Pyrénées : <URL:http://photonature.fr/pyrenees>
Le blog : <URL:http://pyrenees.peccini.fr>
Encore une fois, si tu soutiens ça, tu dois expliquer en quoi la présence dans une distribution d'un paquet samba ou dans un menu d'une entrée openoffice interdit l'existence de paquets fournissant des interfaces innovantes.
Heu ... bon, j'arrête parce que là, si tu ne lis pas ce que j'écris ... Je n'ai jamais dit ça vu que je dis que l'on peut avoir les deux. Je ne parle que du potentiel d'innovation et du fait que c'est l'interopérabilité que je vois comme premier vecteur. Tu peux ne pas être d'accord avec ce que j'écris, je le comprends, mais si tu ne vois pas ce que moi je pense à ce sujet ...
-- Stéphan Peccini Les photos : <URL:http://photonature.fr> Les Pyrénées : <URL:http://photonature.fr/pyrenees> Le blog : <URL:http://pyrenees.peccini.fr>
Nicolas George
Stephan Peccini , dans le message <h6elb9$v7o$, a écrit :
Heu ... bon, j'arrête parce que là, si tu ne lis pas ce que j'écris ... Je n'ai jamais dit ça vu que je dis que l'on peut avoir les deux. Je ne parle que du potentiel d'innovation et du fait que c'est l'interopérabilité que je vois comme premier vecteur. Tu peux ne pas être d'accord avec ce que j'écris, je le comprends, mais si tu ne vois pas ce que moi je pense à ce sujet ...
Ce que je te demande, c'est d'expliquer _comment_, selon toi, l'envie d'interopérabilité peut freiner l'innovation. Il s'agit juste d'exhiber un mécanisme, un chemin causal détaillé.
Parce que ce que je vois, moi, c'est des groupes de développeurs qui travaillent sur l'interopérabilité, d'autres qui travaillent sur des projets novateurs, et les groupes cohabitent sans problème.
Stephan Peccini , dans le message <h6elb9$v7o$1@eweb.domicile>, a
écrit :
Heu ... bon, j'arrête parce que là, si tu ne lis pas ce que j'écris ... Je
n'ai jamais dit ça vu que je dis que l'on peut avoir les deux. Je ne parle
que du potentiel d'innovation et du fait que c'est l'interopérabilité que je
vois comme premier vecteur. Tu peux ne pas être d'accord avec ce que
j'écris, je le comprends, mais si tu ne vois pas ce que moi je pense à ce
sujet ...
Ce que je te demande, c'est d'expliquer _comment_, selon toi, l'envie
d'interopérabilité peut freiner l'innovation. Il s'agit juste d'exhiber un
mécanisme, un chemin causal détaillé.
Parce que ce que je vois, moi, c'est des groupes de développeurs qui
travaillent sur l'interopérabilité, d'autres qui travaillent sur des projets
novateurs, et les groupes cohabitent sans problème.
Stephan Peccini , dans le message <h6elb9$v7o$, a écrit :
Heu ... bon, j'arrête parce que là, si tu ne lis pas ce que j'écris ... Je n'ai jamais dit ça vu que je dis que l'on peut avoir les deux. Je ne parle que du potentiel d'innovation et du fait que c'est l'interopérabilité que je vois comme premier vecteur. Tu peux ne pas être d'accord avec ce que j'écris, je le comprends, mais si tu ne vois pas ce que moi je pense à ce sujet ...
Ce que je te demande, c'est d'expliquer _comment_, selon toi, l'envie d'interopérabilité peut freiner l'innovation. Il s'agit juste d'exhiber un mécanisme, un chemin causal détaillé.
Parce que ce que je vois, moi, c'est des groupes de développeurs qui travaillent sur l'interopérabilité, d'autres qui travaillent sur des projets novateurs, et les groupes cohabitent sans problème.
Doug713705
Le Fri, 14 Aug 2009 09:03:29 -0300, Williamhoustra a écrit dans news:4a85529c$0$536$ des mots en forme de phrase pour nous dire :
Sans Firefox (qui bouffe la mémoire sous Windows mais qui est correct sous Linux et Mac)
Hmm... Les mots "Firefox" et "correct" dans la même phrase ? Ca sent le troll ton histoire...
-- @+ Doug - Linux user #307925 - Slackware roulaize ;-) [ Plus ou moins avec une chance de peut-être ]
Le Fri, 14 Aug 2009 09:03:29 -0300, Williamhoustra a écrit dans
news:4a85529c$0$536$426a34cc@news.free.fr des mots en forme de phrase pour
nous dire :
Sans Firefox (qui bouffe la mémoire sous Windows mais qui est correct
sous Linux et Mac)
Hmm... Les mots "Firefox" et "correct" dans la même phrase ?
Ca sent le troll ton histoire...
--
@+
Doug - Linux user #307925 - Slackware roulaize ;-)
[ Plus ou moins avec une chance de peut-être ]
Le Fri, 14 Aug 2009 09:03:29 -0300, Williamhoustra a écrit dans news:4a85529c$0$536$ des mots en forme de phrase pour nous dire :
Sans Firefox (qui bouffe la mémoire sous Windows mais qui est correct sous Linux et Mac)
Hmm... Les mots "Firefox" et "correct" dans la même phrase ? Ca sent le troll ton histoire...
-- @+ Doug - Linux user #307925 - Slackware roulaize ;-) [ Plus ou moins avec une chance de peut-être ]
Jerome Lambert
Nicolas George a écrit :
Stéphane CARPENTIER , dans le message <4a89b8d2$0$27779$, a écrit :
Ce n'est pas suffisant pour dire que ce que je vois est la réalité. Mais c'est largement suffisant pour te demander de me prouver que c'est grâce à Microsoft que la puissance ordinateurs a augmenté et que leurs prix ont diminués.
De toutes façons, la raison pour laquelle la puissance des PC augmente sans cesse, elle est totalement évidente, et elle tient, de nos jours, en trois lettres : AMD. Il y a quelques années, c'étaient cinq lettres : Cyrix. Ça se résume en onze lettres : concurrence.
N'importe quoi: la seule chose qu'on peut leur accorder est une course au rapport performances/prix, puisque tant Cyrix qu'AMD avant la sortie de l'Athlon proposaient des processeurs moins performants que ceux d'Intel, mais proposés à des prix bien inférieurs. Et que je sache, on n'a pas attendu la sortie de l'Athlon pour se lancer à corps perdu dans la course à la puissance.
Nicolas George a écrit :
Stéphane CARPENTIER
, dans le message <4a89b8d2$0$27779$426a34cc@news.free.fr>, a écrit :
Ce n'est pas suffisant pour dire que ce que je vois est la réalité. Mais
c'est largement suffisant pour te demander de me prouver que c'est
grâce à Microsoft que la puissance ordinateurs a augmenté et que leurs
prix ont diminués.
De toutes façons, la raison pour laquelle la puissance des PC augmente sans
cesse, elle est totalement évidente, et elle tient, de nos jours, en trois
lettres : AMD. Il y a quelques années, c'étaient cinq lettres : Cyrix. Ça se
résume en onze lettres : concurrence.
N'importe quoi: la seule chose qu'on peut leur accorder est une course
au rapport performances/prix, puisque tant Cyrix qu'AMD avant la sortie
de l'Athlon proposaient des processeurs moins performants que ceux
d'Intel, mais proposés à des prix bien inférieurs. Et que je sache, on
n'a pas attendu la sortie de l'Athlon pour se lancer à corps perdu dans
la course à la puissance.
Stéphane CARPENTIER , dans le message <4a89b8d2$0$27779$, a écrit :
Ce n'est pas suffisant pour dire que ce que je vois est la réalité. Mais c'est largement suffisant pour te demander de me prouver que c'est grâce à Microsoft que la puissance ordinateurs a augmenté et que leurs prix ont diminués.
De toutes façons, la raison pour laquelle la puissance des PC augmente sans cesse, elle est totalement évidente, et elle tient, de nos jours, en trois lettres : AMD. Il y a quelques années, c'étaient cinq lettres : Cyrix. Ça se résume en onze lettres : concurrence.
N'importe quoi: la seule chose qu'on peut leur accorder est une course au rapport performances/prix, puisque tant Cyrix qu'AMD avant la sortie de l'Athlon proposaient des processeurs moins performants que ceux d'Intel, mais proposés à des prix bien inférieurs. Et que je sache, on n'a pas attendu la sortie de l'Athlon pour se lancer à corps perdu dans la course à la puissance.