Sur un plan technique maintenant, je suis un peu interloqué d'entendre
dire que plus c'est petit, plus c'est facile à fabriquer. Si pour
l'intégration et la gravure je veux bien me laisser convaincre, en
revanche pour ce qui est des micro-lentilles recouvrant chaque
photosite, je suis bien plus dubitatif (à ce degré de miniaturisation
s'entend)... As-tu quelques lumières de ce point de vue car, à priori,
il me semble plus facile d'extrapoler sur une surface plus grande pour
multiplier le nombre des lentilles que de densifier le nombre de
lentilles en les minaturisant sur une surface plus petite (ce qui
effectivement entrâne la nécessité d'une gravure plus fine et les coûts
associés)?
J'ai toujours entendu dire que la miniaturisation avait un coût (parfois
élevé, comme quant on passe d'un type de gravure à une gravure plus fine
en matière de processeurs). Et dans le cas qui nous occupe il n'est pas
besoin d'affiner la gravure puisque c'est seulement la surface qui
augmente.
Sur un plan technique maintenant, je suis un peu interloqué d'entendre
dire que plus c'est petit, plus c'est facile à fabriquer. Si pour
l'intégration et la gravure je veux bien me laisser convaincre, en
revanche pour ce qui est des micro-lentilles recouvrant chaque
photosite, je suis bien plus dubitatif (à ce degré de miniaturisation
s'entend)... As-tu quelques lumières de ce point de vue car, à priori,
il me semble plus facile d'extrapoler sur une surface plus grande pour
multiplier le nombre des lentilles que de densifier le nombre de
lentilles en les minaturisant sur une surface plus petite (ce qui
effectivement entrâne la nécessité d'une gravure plus fine et les coûts
associés)?
J'ai toujours entendu dire que la miniaturisation avait un coût (parfois
élevé, comme quant on passe d'un type de gravure à une gravure plus fine
en matière de processeurs). Et dans le cas qui nous occupe il n'est pas
besoin d'affiner la gravure puisque c'est seulement la surface qui
augmente.
Sur un plan technique maintenant, je suis un peu interloqué d'entendre
dire que plus c'est petit, plus c'est facile à fabriquer. Si pour
l'intégration et la gravure je veux bien me laisser convaincre, en
revanche pour ce qui est des micro-lentilles recouvrant chaque
photosite, je suis bien plus dubitatif (à ce degré de miniaturisation
s'entend)... As-tu quelques lumières de ce point de vue car, à priori,
il me semble plus facile d'extrapoler sur une surface plus grande pour
multiplier le nombre des lentilles que de densifier le nombre de
lentilles en les minaturisant sur une surface plus petite (ce qui
effectivement entrâne la nécessité d'une gravure plus fine et les coûts
associés)?
J'ai toujours entendu dire que la miniaturisation avait un coût (parfois
élevé, comme quant on passe d'un type de gravure à une gravure plus fine
en matière de processeurs). Et dans le cas qui nous occupe il n'est pas
besoin d'affiner la gravure puisque c'est seulement la surface qui
augmente.
Plus bizarement mes contradicteurs semble toujours écarter l'existence
dans la formation du prix de vente de la notion de bénéfice, de
PROFITS... Que je sache, les constructeurs ne travaillent pas pour la
gloire. Or quand on dispose d'un monopole ou d'un quasi-monopole (SONY
par exemple) dans le cadre de très grands groupes (même en admettant
l'absence d'ententes illicites) on peut très bien pratiquer des prix
extrêmement élevés, sans rapport avec les coûts initiaux.
Aujourd'hui dans l'économie mondialisée et financiarisée à outrance les
taux de profit exigés par les actionnaires sont très élevés (ce qui est
reconnu par toutes les sources disponibles en matière de finance)... Ce
n'est pas spécifique aux produits électroniques, c'est une loi générale
à laquelle ils n'échappent pas. Que les groupes fianciers qui possèdent
les entreprises industrielles du secteur se regroupent pour abaisser les
coûts unitaires de recherche et développement est une réalité. Est-ce
par manque de fonds propres ou simplement pour maintenir les taux de
profit? Vaste débat.
Sur un plan technique maintenant, je suis un peu interloqué d'entendre
dire que plus c'est petit, plus c'est facile à fabriquer.
Si pour
l'intégration et la gravure je veux bien me laisser convaincre, en
revanche pour ce qui est des micro-lentilles recouvrant chaque
photosite, je suis bien plus dubitatif (à ce degré de miniaturisation
s'entend)... As-tu quelques lumières de ce point de vue car, à priori,
il me semble plus facile d'extrapoler sur une surface plus grande pour
multiplier le nombre des lentilles que de densifier le nombre de
lentilles en les minaturisant sur une surface plus petite (ce qui
effectivement entrâne la nécessité d'une gravure plus fine et les coûts
associés)?
J'ai toujours entendu dire que la miniaturisation avait un coût (parfois
élevé, comme quant on passe d'un type de gravure à une gravure plus fine
en matière de processeurs). Et dans le cas qui nous occupe il n'est pas
besoin d'affiner la gravure puisque c'est seulement la surface qui
augmente.
A mon avis, personne (sauf les dirigeants des groupes concernés) ne peut
réellement savoir le coût réel de ce genre de matériel.
Par contre, que ces groupes emploient, là comme ailleurs, des procédés
visant à maximaliser artificiellement leurs profits me semblent
incontestable...
Prolonger la durée de vie d'une fabrication bien au
point dont le R&D est déjà amorti est par exemple plus juteux que de
lancer tout de suite une étape suivante (avec l'investissment qu'elle
suppose) même si la technologie nouvelle est au point techniquement (et
même au stade de la possibilité d'industrialisation). Ce dernier procédé
n'est utilisable que si la clientèle se satisfait du produit courant.
Au passage les dos IMACON pour Hasselblad disposent déjà de capteurs (23
million de pixels) d'une dimension supérieure au 35mm FF (mais de peu)
évidememment beaucoup plus chers mais dans quelle mesure ce prix n'est
pas aussi la conséquence d'une production très limitée en nombre, ces
capteurs n'étant utilisés actuellement qu'en moyen format, bien moins
répandus. Il est même question de FF en 4,5x6 pour la prochaine
génération...
Je considère personnellement comme un peu naïf dans le contexte actuel
de considérer come acquis que seul des données techniques dictent le
comportement des entreprise du secteur électronique (et des autres)ou
sont à l'origine dess prix pratiqués.
Plus bizarement mes contradicteurs semble toujours écarter l'existence
dans la formation du prix de vente de la notion de bénéfice, de
PROFITS... Que je sache, les constructeurs ne travaillent pas pour la
gloire. Or quand on dispose d'un monopole ou d'un quasi-monopole (SONY
par exemple) dans le cadre de très grands groupes (même en admettant
l'absence d'ententes illicites) on peut très bien pratiquer des prix
extrêmement élevés, sans rapport avec les coûts initiaux.
Aujourd'hui dans l'économie mondialisée et financiarisée à outrance les
taux de profit exigés par les actionnaires sont très élevés (ce qui est
reconnu par toutes les sources disponibles en matière de finance)... Ce
n'est pas spécifique aux produits électroniques, c'est une loi générale
à laquelle ils n'échappent pas. Que les groupes fianciers qui possèdent
les entreprises industrielles du secteur se regroupent pour abaisser les
coûts unitaires de recherche et développement est une réalité. Est-ce
par manque de fonds propres ou simplement pour maintenir les taux de
profit? Vaste débat.
Sur un plan technique maintenant, je suis un peu interloqué d'entendre
dire que plus c'est petit, plus c'est facile à fabriquer.
Si pour
l'intégration et la gravure je veux bien me laisser convaincre, en
revanche pour ce qui est des micro-lentilles recouvrant chaque
photosite, je suis bien plus dubitatif (à ce degré de miniaturisation
s'entend)... As-tu quelques lumières de ce point de vue car, à priori,
il me semble plus facile d'extrapoler sur une surface plus grande pour
multiplier le nombre des lentilles que de densifier le nombre de
lentilles en les minaturisant sur une surface plus petite (ce qui
effectivement entrâne la nécessité d'une gravure plus fine et les coûts
associés)?
J'ai toujours entendu dire que la miniaturisation avait un coût (parfois
élevé, comme quant on passe d'un type de gravure à une gravure plus fine
en matière de processeurs). Et dans le cas qui nous occupe il n'est pas
besoin d'affiner la gravure puisque c'est seulement la surface qui
augmente.
A mon avis, personne (sauf les dirigeants des groupes concernés) ne peut
réellement savoir le coût réel de ce genre de matériel.
Par contre, que ces groupes emploient, là comme ailleurs, des procédés
visant à maximaliser artificiellement leurs profits me semblent
incontestable...
Prolonger la durée de vie d'une fabrication bien au
point dont le R&D est déjà amorti est par exemple plus juteux que de
lancer tout de suite une étape suivante (avec l'investissment qu'elle
suppose) même si la technologie nouvelle est au point techniquement (et
même au stade de la possibilité d'industrialisation). Ce dernier procédé
n'est utilisable que si la clientèle se satisfait du produit courant.
Au passage les dos IMACON pour Hasselblad disposent déjà de capteurs (23
million de pixels) d'une dimension supérieure au 35mm FF (mais de peu)
évidememment beaucoup plus chers mais dans quelle mesure ce prix n'est
pas aussi la conséquence d'une production très limitée en nombre, ces
capteurs n'étant utilisés actuellement qu'en moyen format, bien moins
répandus. Il est même question de FF en 4,5x6 pour la prochaine
génération...
Je considère personnellement comme un peu naïf dans le contexte actuel
de considérer come acquis que seul des données techniques dictent le
comportement des entreprise du secteur électronique (et des autres)ou
sont à l'origine dess prix pratiqués.
Plus bizarement mes contradicteurs semble toujours écarter l'existence
dans la formation du prix de vente de la notion de bénéfice, de
PROFITS... Que je sache, les constructeurs ne travaillent pas pour la
gloire. Or quand on dispose d'un monopole ou d'un quasi-monopole (SONY
par exemple) dans le cadre de très grands groupes (même en admettant
l'absence d'ententes illicites) on peut très bien pratiquer des prix
extrêmement élevés, sans rapport avec les coûts initiaux.
Aujourd'hui dans l'économie mondialisée et financiarisée à outrance les
taux de profit exigés par les actionnaires sont très élevés (ce qui est
reconnu par toutes les sources disponibles en matière de finance)... Ce
n'est pas spécifique aux produits électroniques, c'est une loi générale
à laquelle ils n'échappent pas. Que les groupes fianciers qui possèdent
les entreprises industrielles du secteur se regroupent pour abaisser les
coûts unitaires de recherche et développement est une réalité. Est-ce
par manque de fonds propres ou simplement pour maintenir les taux de
profit? Vaste débat.
Sur un plan technique maintenant, je suis un peu interloqué d'entendre
dire que plus c'est petit, plus c'est facile à fabriquer.
Si pour
l'intégration et la gravure je veux bien me laisser convaincre, en
revanche pour ce qui est des micro-lentilles recouvrant chaque
photosite, je suis bien plus dubitatif (à ce degré de miniaturisation
s'entend)... As-tu quelques lumières de ce point de vue car, à priori,
il me semble plus facile d'extrapoler sur une surface plus grande pour
multiplier le nombre des lentilles que de densifier le nombre de
lentilles en les minaturisant sur une surface plus petite (ce qui
effectivement entrâne la nécessité d'une gravure plus fine et les coûts
associés)?
J'ai toujours entendu dire que la miniaturisation avait un coût (parfois
élevé, comme quant on passe d'un type de gravure à une gravure plus fine
en matière de processeurs). Et dans le cas qui nous occupe il n'est pas
besoin d'affiner la gravure puisque c'est seulement la surface qui
augmente.
A mon avis, personne (sauf les dirigeants des groupes concernés) ne peut
réellement savoir le coût réel de ce genre de matériel.
Par contre, que ces groupes emploient, là comme ailleurs, des procédés
visant à maximaliser artificiellement leurs profits me semblent
incontestable...
Prolonger la durée de vie d'une fabrication bien au
point dont le R&D est déjà amorti est par exemple plus juteux que de
lancer tout de suite une étape suivante (avec l'investissment qu'elle
suppose) même si la technologie nouvelle est au point techniquement (et
même au stade de la possibilité d'industrialisation). Ce dernier procédé
n'est utilisable que si la clientèle se satisfait du produit courant.
Au passage les dos IMACON pour Hasselblad disposent déjà de capteurs (23
million de pixels) d'une dimension supérieure au 35mm FF (mais de peu)
évidememment beaucoup plus chers mais dans quelle mesure ce prix n'est
pas aussi la conséquence d'une production très limitée en nombre, ces
capteurs n'étant utilisés actuellement qu'en moyen format, bien moins
répandus. Il est même question de FF en 4,5x6 pour la prochaine
génération...
Je considère personnellement comme un peu naïf dans le contexte actuel
de considérer come acquis que seul des données techniques dictent le
comportement des entreprise du secteur électronique (et des autres)ou
sont à l'origine dess prix pratiqués.
technologie que le reste. Ce qui signifie que si l'on maîtrise la
technologie d'une certaine finesse de gravure (90 nm soit 0.09 µm
aujourd'hui, 65 nm dans le courant de l'année),
technologie que le reste. Ce qui signifie que si l'on maîtrise la
technologie d'une certaine finesse de gravure (90 nm soit 0.09 µm
aujourd'hui, 65 nm dans le courant de l'année),
technologie que le reste. Ce qui signifie que si l'on maîtrise la
technologie d'une certaine finesse de gravure (90 nm soit 0.09 µm
aujourd'hui, 65 nm dans le courant de l'année),
Notre divergence porte sur l'acceptation ou non des capacités réduites
de votre appareil numérique (elles vous satisfont, moi ce genre de
limitation me semble inacceptable)... Ceci étant simplement une
différence de point de vue. Vous admettez ces limitations donc il n'y a
plus de divergences de fond de ce point de vue... Et à ce stade du
raisonnement nous avons si j'ose dire raison tous les deux (vous dans
votre appréciation qualitative *relative* , moi dans un jugement dans
l'absolu...).
Par contre là où nos points de vue divergent fortement c'est quand,
parce ces limitations ne vous gênent pas, vous ne les reconnaissez pas
D'EMBLEE.
Tout cela ne concourt pas à me faire voir l'état actuel des choses de
manière positive, alors que sur le principe le numérique est pour moi un
progrès certain dans son principe.
Notre divergence porte sur l'acceptation ou non des capacités réduites
de votre appareil numérique (elles vous satisfont, moi ce genre de
limitation me semble inacceptable)... Ceci étant simplement une
différence de point de vue. Vous admettez ces limitations donc il n'y a
plus de divergences de fond de ce point de vue... Et à ce stade du
raisonnement nous avons si j'ose dire raison tous les deux (vous dans
votre appréciation qualitative *relative* , moi dans un jugement dans
l'absolu...).
Par contre là où nos points de vue divergent fortement c'est quand,
parce ces limitations ne vous gênent pas, vous ne les reconnaissez pas
D'EMBLEE.
Tout cela ne concourt pas à me faire voir l'état actuel des choses de
manière positive, alors que sur le principe le numérique est pour moi un
progrès certain dans son principe.
Notre divergence porte sur l'acceptation ou non des capacités réduites
de votre appareil numérique (elles vous satisfont, moi ce genre de
limitation me semble inacceptable)... Ceci étant simplement une
différence de point de vue. Vous admettez ces limitations donc il n'y a
plus de divergences de fond de ce point de vue... Et à ce stade du
raisonnement nous avons si j'ose dire raison tous les deux (vous dans
votre appréciation qualitative *relative* , moi dans un jugement dans
l'absolu...).
Par contre là où nos points de vue divergent fortement c'est quand,
parce ces limitations ne vous gênent pas, vous ne les reconnaissez pas
D'EMBLEE.
Tout cela ne concourt pas à me faire voir l'état actuel des choses de
manière positive, alors que sur le principe le numérique est pour moi un
progrès certain dans son principe.
je pense au contraire que le
tirage numérique à domicile est suffisamment au point pour être
largmeent rentable et faire réaliser de substantielles économies (sous
réserve d'être suffisamment sélectif sur ce qu'on tire).
je pense au contraire que le
tirage numérique à domicile est suffisamment au point pour être
largmeent rentable et faire réaliser de substantielles économies (sous
réserve d'être suffisamment sélectif sur ce qu'on tire).
je pense au contraire que le
tirage numérique à domicile est suffisamment au point pour être
largmeent rentable et faire réaliser de substantielles économies (sous
réserve d'être suffisamment sélectif sur ce qu'on tire).
Et un objo "macro" AF là je rigole carrément.
Et un objo "macro" AF là je rigole carrément.
Et un objo "macro" AF là je rigole carrément.
moi je dirais sans hésiter qu'avec un coolscan V
j'obtiens plus de détails qu'avec mon d70
mais....
- faut pas un film trop pourri
- faut pas un objo moyen ou pire
- faut du temps...
et puis combien de détails en plus...
sur certaines vue c'est flagrant
mais pour moi ces vues sont rares
Il n'y a pas de "radicalisme" de ma part car vous venez de dire exactement
ce que je soutiens...
Notre divergence porte sur l'acceptation ou non des capacités réduites de
votre appareil numérique (elles vous satisfont, moi ce genre de limitation
me semble inacceptable)...
Ceci étant simplement une différence de point de vue. Vous admettez ces
limitations donc il n'y a plus de divergences de fond de ce point de
vue...
raisonnement nous avons si j'ose dire raison tous les deux (vous dans
votre appréciation qualitative *relative* , moi dans un jugement dans
l'absolu...)
Par contre là où nos points de vue divergent fortement c'est quand, parce
ces limitations ne vous gênent pas, vous ne les reconnaissez pas D'EMBLEE.
Ce ne serait que querelle vaine si votre position (non assortie AU DEPART
d'un avertissement du genre: oui c'est vrai ça capte moins de détails mais
pour la dimension à laquelle je tire ça m'est égal)
faîtes dans le message auquel je réponds ici) que les possibilités sont
LES MEMES
sincérement que les appareils numériques actuels au vu de leurs
performances objectives et de leur obsolescence rapide (puisque évolution
technologique rapide il y a, ce qui prouve bien que ces produits ne sont
pas jugés satisfaisants par touts ceux qui les achètent,
intérêt pour les fabricants?) ne sont pas une bonne affaire pour tout le
monde chez les amateurs (il faut avoir une production
quasi-professionnelles ou sans discrimination du point de vue des tirages
pour les amortir en temps voulu en termes de films et de tirages) quand on
calcule la dépense annuelle d'amortissement. Surtout pour ceux qui
disposent déjà d'un matéreil argentique de qualité.
De plus, je ne pense pas (mais là dessus c'est une opinion difficile à
démontrer) que la tendance aux shoots indicriminés sous prétexte qu'ils ne
coûtent rien soit de nature à faire progresser quelqu'un.
Je reconnais par contre volontier ne pas être en général d'accord avec la
façon dont l'évolution technologique (en argentique comme en numérique) a
été implémentée sur les appareils à partir des années 90.
Tout cela ne concourt pas à me faire voir l'état actuel des choses de
manière positive, alors que sur le principe le numérique est pour moi un
progrès certain dans son principe.
moi je dirais sans hésiter qu'avec un coolscan V
j'obtiens plus de détails qu'avec mon d70
mais....
- faut pas un film trop pourri
- faut pas un objo moyen ou pire
- faut du temps...
et puis combien de détails en plus...
sur certaines vue c'est flagrant
mais pour moi ces vues sont rares
Il n'y a pas de "radicalisme" de ma part car vous venez de dire exactement
ce que je soutiens...
Notre divergence porte sur l'acceptation ou non des capacités réduites de
votre appareil numérique (elles vous satisfont, moi ce genre de limitation
me semble inacceptable)...
Ceci étant simplement une différence de point de vue. Vous admettez ces
limitations donc il n'y a plus de divergences de fond de ce point de
vue...
raisonnement nous avons si j'ose dire raison tous les deux (vous dans
votre appréciation qualitative *relative* , moi dans un jugement dans
l'absolu...)
Par contre là où nos points de vue divergent fortement c'est quand, parce
ces limitations ne vous gênent pas, vous ne les reconnaissez pas D'EMBLEE.
Ce ne serait que querelle vaine si votre position (non assortie AU DEPART
d'un avertissement du genre: oui c'est vrai ça capte moins de détails mais
pour la dimension à laquelle je tire ça m'est égal)
faîtes dans le message auquel je réponds ici) que les possibilités sont
LES MEMES
sincérement que les appareils numériques actuels au vu de leurs
performances objectives et de leur obsolescence rapide (puisque évolution
technologique rapide il y a, ce qui prouve bien que ces produits ne sont
pas jugés satisfaisants par touts ceux qui les achètent,
intérêt pour les fabricants?) ne sont pas une bonne affaire pour tout le
monde chez les amateurs (il faut avoir une production
quasi-professionnelles ou sans discrimination du point de vue des tirages
pour les amortir en temps voulu en termes de films et de tirages) quand on
calcule la dépense annuelle d'amortissement. Surtout pour ceux qui
disposent déjà d'un matéreil argentique de qualité.
De plus, je ne pense pas (mais là dessus c'est une opinion difficile à
démontrer) que la tendance aux shoots indicriminés sous prétexte qu'ils ne
coûtent rien soit de nature à faire progresser quelqu'un.
Je reconnais par contre volontier ne pas être en général d'accord avec la
façon dont l'évolution technologique (en argentique comme en numérique) a
été implémentée sur les appareils à partir des années 90.
Tout cela ne concourt pas à me faire voir l'état actuel des choses de
manière positive, alors que sur le principe le numérique est pour moi un
progrès certain dans son principe.
moi je dirais sans hésiter qu'avec un coolscan V
j'obtiens plus de détails qu'avec mon d70
mais....
- faut pas un film trop pourri
- faut pas un objo moyen ou pire
- faut du temps...
et puis combien de détails en plus...
sur certaines vue c'est flagrant
mais pour moi ces vues sont rares
Il n'y a pas de "radicalisme" de ma part car vous venez de dire exactement
ce que je soutiens...
Notre divergence porte sur l'acceptation ou non des capacités réduites de
votre appareil numérique (elles vous satisfont, moi ce genre de limitation
me semble inacceptable)...
Ceci étant simplement une différence de point de vue. Vous admettez ces
limitations donc il n'y a plus de divergences de fond de ce point de
vue...
raisonnement nous avons si j'ose dire raison tous les deux (vous dans
votre appréciation qualitative *relative* , moi dans un jugement dans
l'absolu...)
Par contre là où nos points de vue divergent fortement c'est quand, parce
ces limitations ne vous gênent pas, vous ne les reconnaissez pas D'EMBLEE.
Ce ne serait que querelle vaine si votre position (non assortie AU DEPART
d'un avertissement du genre: oui c'est vrai ça capte moins de détails mais
pour la dimension à laquelle je tire ça m'est égal)
faîtes dans le message auquel je réponds ici) que les possibilités sont
LES MEMES
sincérement que les appareils numériques actuels au vu de leurs
performances objectives et de leur obsolescence rapide (puisque évolution
technologique rapide il y a, ce qui prouve bien que ces produits ne sont
pas jugés satisfaisants par touts ceux qui les achètent,
intérêt pour les fabricants?) ne sont pas une bonne affaire pour tout le
monde chez les amateurs (il faut avoir une production
quasi-professionnelles ou sans discrimination du point de vue des tirages
pour les amortir en temps voulu en termes de films et de tirages) quand on
calcule la dépense annuelle d'amortissement. Surtout pour ceux qui
disposent déjà d'un matéreil argentique de qualité.
De plus, je ne pense pas (mais là dessus c'est une opinion difficile à
démontrer) que la tendance aux shoots indicriminés sous prétexte qu'ils ne
coûtent rien soit de nature à faire progresser quelqu'un.
Je reconnais par contre volontier ne pas être en général d'accord avec la
façon dont l'évolution technologique (en argentique comme en numérique) a
été implémentée sur les appareils à partir des années 90.
Tout cela ne concourt pas à me faire voir l'état actuel des choses de
manière positive, alors que sur le principe le numérique est pour moi un
progrès certain dans son principe.
amusant de prendre SONY comme exemple; Un ami controleur de gestion chez
SONY justement m'a scotché en m'apprenant que les principaux profits chez
SONY proviennent de la branche Playstation. A mon grand étonnement, je lui
demande si les profits sont importants dans le branche photographie et
notamment dans la vente de capteurs....et là, il m'a fait une belle mou. Ce
n'est vraiment pas dans ce secteur que SONY réalise ses profits.
Par manque de fonds propres.
Ce point est important. Le problème n'est pas d'augmenter la densité, le
problème, c'est la taille. 24*36mm de surface en microélectronique, c'est
ENORME. Donc en production, il y aura beaucoup de déchets.
En fabrication de puces, des statistiques de puces fonctionnelles sur un
même wafer sont calculées. Pour des puces de 0.5mm2, la probabilité peut
monter à 90/95 % après beaucoup de travail. Pour des puces de 24*36mm, je
doute fortement que le taux de puces fonctionnelles soit élevé. Ceci est du
au caractère non homogène du wafer de silicium. La dispersion est telle sur
ce genre de surface que le taux de déchet est finalement élevé.
c'est bien là le problème. la surface, plus elle est grande et plus c'ets
difficile d'obtenir une puce fonctionnellle.
même pas les controleurs de gestion?
euh....des exemples pour étaillés vos dires?
Prolonger la durée de vie d'une fabrication bien au
point dont le R&D est déjà amorti est par exemple plus juteux que de
lancer tout de suite une étape suivante (avec l'investissment qu'elle
suppose) même si la technologie nouvelle est au point techniquement (et
même au stade de la possibilité d'industrialisation). Ce dernier procédé
n'est utilisable que si la clientèle se satisfait du produit courant.
oui, je suis aussi de votre avis.
on peut toujours le faire et passer outre le taux élevé de déchet si le
client est capable de payer. L'armée par exemple s'en fout du prix, elle
cherche la seule performance.
Je pense que pour le MF, c'est pareil. On cherche là la performance, mais à
quel prix? On en a parlé ici il y a peu, un MF aux alentours de 22000
euros....arf.
Je suis tout à fait d'accord avec vous, mais les clients sont ils prêts à
débourser suffisamment pour obtenir une haute qualité ? J'en doute quand je
vois la piètre qualité dont se suffisent mes amis en photo.
amusant de prendre SONY comme exemple; Un ami controleur de gestion chez
SONY justement m'a scotché en m'apprenant que les principaux profits chez
SONY proviennent de la branche Playstation. A mon grand étonnement, je lui
demande si les profits sont importants dans le branche photographie et
notamment dans la vente de capteurs....et là, il m'a fait une belle mou. Ce
n'est vraiment pas dans ce secteur que SONY réalise ses profits.
Par manque de fonds propres.
Ce point est important. Le problème n'est pas d'augmenter la densité, le
problème, c'est la taille. 24*36mm de surface en microélectronique, c'est
ENORME. Donc en production, il y aura beaucoup de déchets.
En fabrication de puces, des statistiques de puces fonctionnelles sur un
même wafer sont calculées. Pour des puces de 0.5mm2, la probabilité peut
monter à 90/95 % après beaucoup de travail. Pour des puces de 24*36mm, je
doute fortement que le taux de puces fonctionnelles soit élevé. Ceci est du
au caractère non homogène du wafer de silicium. La dispersion est telle sur
ce genre de surface que le taux de déchet est finalement élevé.
c'est bien là le problème. la surface, plus elle est grande et plus c'ets
difficile d'obtenir une puce fonctionnellle.
même pas les controleurs de gestion?
euh....des exemples pour étaillés vos dires?
Prolonger la durée de vie d'une fabrication bien au
point dont le R&D est déjà amorti est par exemple plus juteux que de
lancer tout de suite une étape suivante (avec l'investissment qu'elle
suppose) même si la technologie nouvelle est au point techniquement (et
même au stade de la possibilité d'industrialisation). Ce dernier procédé
n'est utilisable que si la clientèle se satisfait du produit courant.
oui, je suis aussi de votre avis.
on peut toujours le faire et passer outre le taux élevé de déchet si le
client est capable de payer. L'armée par exemple s'en fout du prix, elle
cherche la seule performance.
Je pense que pour le MF, c'est pareil. On cherche là la performance, mais à
quel prix? On en a parlé ici il y a peu, un MF aux alentours de 22000
euros....arf.
Je suis tout à fait d'accord avec vous, mais les clients sont ils prêts à
débourser suffisamment pour obtenir une haute qualité ? J'en doute quand je
vois la piètre qualité dont se suffisent mes amis en photo.
amusant de prendre SONY comme exemple; Un ami controleur de gestion chez
SONY justement m'a scotché en m'apprenant que les principaux profits chez
SONY proviennent de la branche Playstation. A mon grand étonnement, je lui
demande si les profits sont importants dans le branche photographie et
notamment dans la vente de capteurs....et là, il m'a fait une belle mou. Ce
n'est vraiment pas dans ce secteur que SONY réalise ses profits.
Par manque de fonds propres.
Ce point est important. Le problème n'est pas d'augmenter la densité, le
problème, c'est la taille. 24*36mm de surface en microélectronique, c'est
ENORME. Donc en production, il y aura beaucoup de déchets.
En fabrication de puces, des statistiques de puces fonctionnelles sur un
même wafer sont calculées. Pour des puces de 0.5mm2, la probabilité peut
monter à 90/95 % après beaucoup de travail. Pour des puces de 24*36mm, je
doute fortement que le taux de puces fonctionnelles soit élevé. Ceci est du
au caractère non homogène du wafer de silicium. La dispersion est telle sur
ce genre de surface que le taux de déchet est finalement élevé.
c'est bien là le problème. la surface, plus elle est grande et plus c'ets
difficile d'obtenir une puce fonctionnellle.
même pas les controleurs de gestion?
euh....des exemples pour étaillés vos dires?
Prolonger la durée de vie d'une fabrication bien au
point dont le R&D est déjà amorti est par exemple plus juteux que de
lancer tout de suite une étape suivante (avec l'investissment qu'elle
suppose) même si la technologie nouvelle est au point techniquement (et
même au stade de la possibilité d'industrialisation). Ce dernier procédé
n'est utilisable que si la clientèle se satisfait du produit courant.
oui, je suis aussi de votre avis.
on peut toujours le faire et passer outre le taux élevé de déchet si le
client est capable de payer. L'armée par exemple s'en fout du prix, elle
cherche la seule performance.
Je pense que pour le MF, c'est pareil. On cherche là la performance, mais à
quel prix? On en a parlé ici il y a peu, un MF aux alentours de 22000
euros....arf.
Je suis tout à fait d'accord avec vous, mais les clients sont ils prêts à
débourser suffisamment pour obtenir une haute qualité ? J'en doute quand je
vois la piètre qualité dont se suffisent mes amis en photo.
Certes mais vous oubliez que le produit de base (silicium) est
pratiquement gratuit, que l'automatisation obligatoire de la
fabrication rend le coût de main d'oeuvre unitaire très peu
onéreux donc ça joue sur quelques centimes d'Euros en fabrication en
grande série.
Certes mais vous oubliez que le produit de base (silicium) est
pratiquement gratuit, que l'automatisation obligatoire de la
fabrication rend le coût de main d'oeuvre unitaire très peu
onéreux donc ça joue sur quelques centimes d'Euros en fabrication en
grande série.
Certes mais vous oubliez que le produit de base (silicium) est
pratiquement gratuit, que l'automatisation obligatoire de la
fabrication rend le coût de main d'oeuvre unitaire très peu
onéreux donc ça joue sur quelques centimes d'Euros en fabrication en
grande série.
vous n'êtes pas satisfait de la qualité du numérique. C'est votre droit et
je le comprend complètement. J'ai un numérique mais je continue à m'amuser
avec un F70 et un 50mm. Le bonheur en diapo et en NB même si beaucoup de
mes photos proviennent essentiellement d'un CP4500.
Mais la majorité de mes amis ne comprend pas pourquoi je continue à shooter
en argentique. Je suis le seul dans le groupe à justifier ce choix par la
qualité de mes NB. Peu importe pour eux, un simple clic leur permet
d'obtenir un NB.
Quid de la qualité? ils s'en foutent. Je ne compte plus les tirages dégueu,
pixelisés même sur des 10x15. Ce qu'ils veulent, c'est l'instantanéité de
l'image, le transfert facile, l'échange et les possibilités de retouche.
Comment le capteur se comporte avec les hautes et basses lumières? arf, ils
s'en foutent royalement.
peut être parceque le numérique avance à grands pas. Et peut être aussi
parcequ'on peut s'en accomoder avec la retouche?
pourquoi? le prix de l'argentique chute, on peut s'équiper en labo si on
veut. Si on dispose d'un ordinateur et d'un numérique, on peut faire du
post traitement, de la retouche, du tirage.
Chacun peut choisir la qualité qu'il veut.
vous n'êtes pas satisfait de la qualité du numérique. C'est votre droit et
je le comprend complètement. J'ai un numérique mais je continue à m'amuser
avec un F70 et un 50mm. Le bonheur en diapo et en NB même si beaucoup de
mes photos proviennent essentiellement d'un CP4500.
Mais la majorité de mes amis ne comprend pas pourquoi je continue à shooter
en argentique. Je suis le seul dans le groupe à justifier ce choix par la
qualité de mes NB. Peu importe pour eux, un simple clic leur permet
d'obtenir un NB.
Quid de la qualité? ils s'en foutent. Je ne compte plus les tirages dégueu,
pixelisés même sur des 10x15. Ce qu'ils veulent, c'est l'instantanéité de
l'image, le transfert facile, l'échange et les possibilités de retouche.
Comment le capteur se comporte avec les hautes et basses lumières? arf, ils
s'en foutent royalement.
peut être parceque le numérique avance à grands pas. Et peut être aussi
parcequ'on peut s'en accomoder avec la retouche?
pourquoi? le prix de l'argentique chute, on peut s'équiper en labo si on
veut. Si on dispose d'un ordinateur et d'un numérique, on peut faire du
post traitement, de la retouche, du tirage.
Chacun peut choisir la qualité qu'il veut.
vous n'êtes pas satisfait de la qualité du numérique. C'est votre droit et
je le comprend complètement. J'ai un numérique mais je continue à m'amuser
avec un F70 et un 50mm. Le bonheur en diapo et en NB même si beaucoup de
mes photos proviennent essentiellement d'un CP4500.
Mais la majorité de mes amis ne comprend pas pourquoi je continue à shooter
en argentique. Je suis le seul dans le groupe à justifier ce choix par la
qualité de mes NB. Peu importe pour eux, un simple clic leur permet
d'obtenir un NB.
Quid de la qualité? ils s'en foutent. Je ne compte plus les tirages dégueu,
pixelisés même sur des 10x15. Ce qu'ils veulent, c'est l'instantanéité de
l'image, le transfert facile, l'échange et les possibilités de retouche.
Comment le capteur se comporte avec les hautes et basses lumières? arf, ils
s'en foutent royalement.
peut être parceque le numérique avance à grands pas. Et peut être aussi
parcequ'on peut s'en accomoder avec la retouche?
pourquoi? le prix de l'argentique chute, on peut s'équiper en labo si on
veut. Si on dispose d'un ordinateur et d'un numérique, on peut faire du
post traitement, de la retouche, du tirage.
Chacun peut choisir la qualité qu'il veut.