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Pays de neige

142 réponses
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albert
FU2 fr.rec.photo

Bonjour,

Etat des lieux, mon jardin dévasté par les taupes. Elles travaillent
hardi sous la neige et en peu de temps effondrent le terrain. Mon fils les
guette comme un esquimau des Vosges. Cause perdue, il va falloir replanter
au printemps. Le voisin rigole depuis sa fenêtre, il bascule lui aussi,
heureusement de l'autre coté :
http://pagesperso-orange.fr/albert.lemoine/panoramique/vimenil/jardin.htm

Amitiés,
albert
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Photographies imaginaires
http://perso.orange.fr/albert.lemoine
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10 réponses

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Pierre
"FiLH" a écrit dans le message de news:


Il ne se veut pas artistes mais visiblement il utilise le même discours.
Je me méfie même d'un artiste qui sait ce qu'il fait : c'est que son
oeuvre ne le dépasse pas, et ce n'est donc pas une oeuvre d'art, juste
de la communication ou de l'artisanat.
une oeuvre d'art est ce qui se dépasse toujours, donc
on ne sait jamais ce qu'on fait. L'oeuvre se fait par elle même...
Ce dépassement est ce qui permet à une oeuvre de durer bien plus
longtemps que son auteur : elle est en permanence réinterprétée,
recrée au fil du temps.


quand à toi filnogoude, on t'oubliera vite après tes vieilles croutes
dites "photographiques", alors que toi tu penses être le maître
du monde photographique ! un peu mégalo filnogoude, mais tu
manques d'encore plus d'égocentricité et de paranoya pour être
plussse valide; .......tu dois être trop vieux !
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Bour-Brown
FiLH a écrit
( news:1je5gfn.159c1cp3mgy9mN% )

Au service d'une position tout à fait académique tarte à la crême de
l'art contemporain démonstratif.



C'est quoi le jeu, coller le maximum de juxtapositions dans la même phrase ?

Pour moi c'est beaucoup plus simple que ça : je demande directement à albert
ce qu'il attend de sa photo, il me répond, et c'est terminé.


Ce n'est pas son rôle - de répondre -, c'est celui de la critique.



Ben voyons. On lui pose une question, et c'est à un autre de répondre à sa
place. Bien sûr.


Là encore on est dans la confusion contemporaine où le critique ne sait
plus faire son boulot.



La confusion je ne sais pas qui la fait, mais des critiques attitrés pour
répondre à la place d'albert, moi je n'en connais pas.
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Bour-Brown
FiLH a écrit
( news:1je5gfn.159c1cp3mgy9mN% )

Le bouquin de Hockney sur l'utilisation des chambres claire montre
clairement qu'il existe des oeuvres faites entièrement de recomposition
d'espace, de petits croquis juxtaposés.



Il n'y a pas besoin de s'appuyer sur une notoriété quelconque pour sortir
une banalité pareille.

La plupart des oeuvres, Lascaux compris, n'a jamais été autre chose, c'est
une évidence absolue.


Il y a une chose fascinante dans l'art c'est la réinvention permanente



Un type trouve quelque chose, c'est fascinant. On lui montre que ce n'est
pas nouveau, c'est fascinant aussi. Un bon moyen d'être toujours heureux.
(yé, super, j'ai fait un truc ! Hein, déjà fait ? Yé, super !)
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filh
Bour-Brown wrote:


> Ce n'est pas son rôle - de répondre -, c'est celui de la critique.

Ben voyons. On lui pose une question, et c'est à un autre de répondre à sa
place. Bien sûr.



Ben voyons parce que pour toi la question est forcément pertinante.
On n'est pas tenu de répondre à toutes les questions, surtout les
questions cons et qui n'ont pas de sens.



> Là encore on est dans la confusion contemporaine où le critique ne




sait
> plus faire son boulot.

La confusion je ne sais pas qui la fait, mais des critiques attitrés



Attitrés ? Pourauoi atitrés ? C'est quoi cette connerie encore ?

FiLH

--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
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filh
Bour-Brown wrote:

FiLH a écrit
( news:1je5gfn.159c1cp3mgy9mN% )

> Le bouquin de Hockney sur l'utilisation des chambres claire montre
> clairement qu'il existe des oeuvres faites entièrement de recomposition
> d'espace, de petits croquis juxtaposés.

Il n'y a pas besoin de s'appuyer sur une notoriété quelconque pour sortir
une banalité pareille.

La plupart des oeuvres, Lascaux compris, n'a jamais été autre chose, c'est
une évidence absolue.



Aucun rapport. MAis bon fallait bien que tu ouvre ta grandes gueule.



> Il y a une chose fascinante dans l'art c'est la réinvention permanente

Un type trouve quelque chose, c'est fascinant. On lui montre que ce n'est
pas nouveau, c'est fascinant aussi.



Et ? Il faudrait dans ton monde que seule une chose soit fascinante ?
Quelle tristesse et quelle pauvreté d'esprit.

Tu as d'autres questions con ?

FiLH

--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
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Bour-Brown
Charles VASSALLO a écrit
( news:4b7e6432$0$15824$ )

C'est que notre modeste BB ne se veut pas artiste.



Modeste, moi ? Tu as dû te tromper de personne.

Sérieusement, je bricole, c'est tout. Je sais à peu près ce que je fais,
je ne le fais pas trop mal qui plus est, c'est vrai, mais ça reste un
passe-temps.

Ce qui en surprend plus d'un, c'est qu'on puisse tout à la fois aimer faire
des constructions photographiques qui s'inscrivent dans les courants
artistiques contemporains, et être indifférent à la sacralisation de l'art,
aux expositions, aux publications.

Pour moi c'est complètement dissocié.
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Bour-Brown
Charles VASSALLO a écrit
( news:4b7e6432$0$15824$ )

On peut supposer qu'il aimerait bien qu'albert puisse lui donner une
réponse positive, que oui, il sait ce qu'il fait, mais aussi qu'il nourrit
de gros doutes à ce sujet.



On peut le dire comme ça. La plupart des gens vont toujours être fascinés
par un point ou par un autre, mais les fascinations personnelles ne font pas
de grandes images pour autant.


J'incline à penser que les grandes écoles historiques de la peinture se
sont mises en place sans le secours de la critique



C'est vrai. La critique telle qu'on l'entend se met en place autour du
XVIIIe siècle, et effectivement la peinture ne l'a pas attendue pour nous
pondre bien des chefs d'oeuvre.
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Bour-Brown
albert a écrit
( news:4b7e6be9$0$13184$ )

C'est intéressant de voir qu'ils (comme Martin Parr ou Nan Goldin) se
contentent de décrire les circonstances qui les ont amenés à faire ces
photographies et leur intérêt pour tel ou tel sujet. Même s'ils théorisent
(Georges Rousse) ils sont simples et directs, et de toute évidence savent
ce qu'ils font.



Ce genre d'émission me fait un peu penser à ces panégyriques hollywoodiens
sur tel acteur ou tel réalisateur. À les entendre on a toujours affaire à
des génies extrêmement admirables de simplicité. C'est de la mise en scène.


On sent bien qu'ils n'en on rien à foutre des modes et autres académismes
ou anti-académismes.



On le sent peut-être bien, mais ce n'est pas vrai pour autant.
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filh
Bour-Brown wrote:

Ce qui en surprend plus d'un, c'est qu'on puisse tout à la fois aimer faire
des constructions photographiques qui s'inscrivent dans les courants
artistiques contemporains, et être indifférent à la sacralisation de l'art,
aux expositions, aux publications.



??? Dans tes rêves... où as tu vu que qui que ce soit était surpris par
ça.

FiLH

--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
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filh
Bour-Brown wrote:
> J'incline à penser que les grandes écoles historiques de la peinture se
> sont mises en place sans le secours de la critique

C'est vrai. La critique telle qu'on l'entend se met en place autour du
XVIIIe siècle, et effectivement la peinture ne l'a pas attendue pour nous
pondre bien des chefs d'oeuvre.



C'est bien pour ça que je juge parfaitement crétin de maintenant demande
à l'artiste de produire justement son auto-critique.

Comme tu le dis, l'artiste n'en n'a rien à foutre.

FiLH

--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org