Etat des lieux, mon jardin dévasté par les taupes. Elles travaillent
hardi sous la neige et en peu de temps effondrent le terrain. Mon fils les
guette comme un esquimau des Vosges. Cause perdue, il va falloir replanter
au printemps. Le voisin rigole depuis sa fenêtre, il bascule lui aussi,
heureusement de l'autre coté :
http://pagesperso-orange.fr/albert.lemoine/panoramique/vimenil/jardin.htm
Amitiés,
albert
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Photographies imaginaires
http://perso.orange.fr/albert.lemoine
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> On sent bien qu'ils n'en on rien à foutre des modes et autres académismes > ou anti-académismes.
On le sent peut-être bien, mais ce n'est pas vrai pour autant.
Tu es leur intime ? Tu as des infos confidetielles ? TU lis dans les boules de crystal ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Bour-Brown <bour-brown@wnd.fr> wrote:
> On sent bien qu'ils n'en on rien à foutre des modes et autres académismes
> ou anti-académismes.
On le sent peut-être bien, mais ce n'est pas vrai pour autant.
Tu es leur intime ? Tu as des infos confidetielles ? TU lis dans les
boules de crystal ?
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
> On sent bien qu'ils n'en on rien à foutre des modes et autres académismes > ou anti-académismes.
On le sent peut-être bien, mais ce n'est pas vrai pour autant.
Tu es leur intime ? Tu as des infos confidetielles ? TU lis dans les boules de crystal ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
albert
"Bour-Brown" a écrit :
Ce genre d'émission me fait un peu penser à ces panégyriques hollywoodiens sur tel acteur ou tel réalisateur. À les entendre on a toujours affaire à des génies extrêmement admirables de simplicité. C'est de la mise en scène.
Tu les as vu ? Sinon, je te recommande de les voir. Comme cela tu te feras une idée par toi-même. En fait ce ne sont pas des interviews. Pour les quelques-uns que j'ai regardés, ce sont des monologues. Les photographies passent et le photographe raconte leur histoire et à travers elles son histoire. C'est très bien fait, comme il n'y a que la parole du photographe, on a l'impression d'être directement en sa compagnie. Pour avoir rencontré Georges Rousse il y a longtemps, à l'entendre à nouveau je n'ai pas du tout eu l'impression d'une mise en scène.
On sent bien qu'ils n'en on rien à foutre des modes et autres académismes ou anti-académismes.
On le sent peut-être bien, mais ce n'est pas vrai pour autant.
Vrai de vrai ?
Amitiés, albert
"Bour-Brown" <bour-brown@wnd.fr> a écrit :
Ce genre d'émission me fait un peu penser à ces panégyriques hollywoodiens
sur tel acteur ou tel réalisateur. À les entendre on a toujours affaire à
des génies extrêmement admirables de simplicité. C'est de la mise en
scène.
Tu les as vu ? Sinon, je te recommande de les voir. Comme cela tu te
feras une idée par toi-même. En fait ce ne sont pas des interviews. Pour les
quelques-uns que j'ai regardés, ce sont des monologues. Les photographies
passent et le photographe raconte leur histoire et à travers elles son
histoire. C'est très bien fait, comme il n'y a que la parole du photographe,
on a l'impression d'être directement en sa compagnie. Pour avoir rencontré
Georges Rousse il y a longtemps, à l'entendre à nouveau je n'ai pas du tout
eu l'impression d'une mise en scène.
On sent bien qu'ils n'en on rien à foutre des modes et autres académismes
ou anti-académismes.
On le sent peut-être bien, mais ce n'est pas vrai pour autant.
Ce genre d'émission me fait un peu penser à ces panégyriques hollywoodiens sur tel acteur ou tel réalisateur. À les entendre on a toujours affaire à des génies extrêmement admirables de simplicité. C'est de la mise en scène.
Tu les as vu ? Sinon, je te recommande de les voir. Comme cela tu te feras une idée par toi-même. En fait ce ne sont pas des interviews. Pour les quelques-uns que j'ai regardés, ce sont des monologues. Les photographies passent et le photographe raconte leur histoire et à travers elles son histoire. C'est très bien fait, comme il n'y a que la parole du photographe, on a l'impression d'être directement en sa compagnie. Pour avoir rencontré Georges Rousse il y a longtemps, à l'entendre à nouveau je n'ai pas du tout eu l'impression d'une mise en scène.
On sent bien qu'ils n'en on rien à foutre des modes et autres académismes ou anti-académismes.
On le sent peut-être bien, mais ce n'est pas vrai pour autant.
Vrai de vrai ?
Amitiés, albert
laurent B
">
FiLH a écrit ( news:1je5gfn.159c1cp3mgy9mN% )
Aucun rapport. MAis bon fallait bien que tu ouvre ta grandes gueule. Quelle tristesse et quelle pauvreté d'esprit. Tu as d'autres questions con ?
tu as passer une si mauvaise semaine que ca ??????
--
laurent B
">
FiLH a écrit
( news:1je5gfn.159c1cp3mgy9mN%filh@filh.orgie )
Aucun rapport. MAis bon fallait bien que tu ouvre ta grandes gueule.
Quelle tristesse et quelle pauvreté d'esprit.
Tu as d'autres questions con ?
tu as passer une si mauvaise semaine que ca ??????
Aucun rapport. MAis bon fallait bien que tu ouvre ta grandes gueule. Quelle tristesse et quelle pauvreté d'esprit. Tu as d'autres questions con ?
tu as passer une si mauvaise semaine que ca ??????
--
laurent B
filh
laurent B wrote:
Tiens le renifleur de cul qui débarque...
J'en ai un pour toi : PROUT !
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
laurent B <mauvaiseadress@microsoft.com> wrote:
Tiens le renifleur de cul qui débarque...
J'en ai un pour toi : PROUT !
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
laurent B
"FiLH" a écrit dans le message de news: 1je6kks.168b6yeqtpyhiN%
laurent B wrote:
Tiens le renifleur de cul qui débarque...
J'en ai un pour toi : PROUT !
arghhh, je suis désolé pour toi. J'espere que la semaine suivante sera meilleurs. Mais tu peux continuer, si c'est ta therapie !!!
--
laurent B
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le message de news:
1je6kks.168b6yeqtpyhiN%filh@filh.orgie...
laurent B <mauvaiseadress@microsoft.com> wrote:
Tiens le renifleur de cul qui débarque...
J'en ai un pour toi : PROUT !
arghhh, je suis désolé pour toi. J'espere que la semaine suivante sera
meilleurs. Mais tu peux continuer, si c'est ta therapie !!!
"FiLH" a écrit dans le message de news: 1je6kks.168b6yeqtpyhiN%
laurent B wrote:
Tiens le renifleur de cul qui débarque...
J'en ai un pour toi : PROUT !
arghhh, je suis désolé pour toi. J'espere que la semaine suivante sera meilleurs. Mais tu peux continuer, si c'est ta therapie !!!
--
laurent B
Bour-Brown
FiLH a écrit ( news:1je6h0y.1b069x117ge5k2N% )
Attitrés ? Pourauoi atitrés ?
attitré = accorder à quelqu'un la préférence sur d'autres
Moi dire pas connaître le critique attitré d'albert. Le critique choisi pour répondre.
(pour mémoire, j'avais demandé à albert : ici avec ton jardin, quelle(s) réflexion(s) penses-tu induire chez le spectateur ? et tu es intervenu pour dire : Ce n'est pas son rôle - de répondre. C'est fou, non ?)
C'est quoi cette connerie encore ?
Du français.
FiLH a écrit
( news:1je6h0y.1b069x117ge5k2N%filh@filh.orgie )
Attitrés ? Pourauoi atitrés ?
attitré = accorder à quelqu'un la préférence sur d'autres
Moi dire pas connaître le critique attitré d'albert. Le critique choisi pour
répondre.
(pour mémoire, j'avais demandé à albert : ici avec ton jardin, quelle(s)
réflexion(s) penses-tu induire chez le spectateur ? et tu es intervenu pour
dire : Ce n'est pas son rôle - de répondre. C'est fou, non ?)
attitré = accorder à quelqu'un la préférence sur d'autres
Moi dire pas connaître le critique attitré d'albert. Le critique choisi pour répondre.
(pour mémoire, j'avais demandé à albert : ici avec ton jardin, quelle(s) réflexion(s) penses-tu induire chez le spectateur ? et tu es intervenu pour dire : Ce n'est pas son rôle - de répondre. C'est fou, non ?)
C'est quoi cette connerie encore ?
Du français.
Bour-Brown
FiLH a écrit ( news:1je6h4w.fwasoasb7wxN% )
tu ouvre ta grandes gueule.
Euh ici, c'est un clavier. Bon, c'est vrai que « fallait que tu ouvre ton grands clavier » ça fait tout de suite moins bien.
Tu as d'autres questions con ?
Un truc que tu serais susceptible de comprendre, tu veux dire ? Pas dans l'immédiat, non.
FiLH a écrit
( news:1je6h4w.fwasoasb7wxN%filh@filh.orgie )
tu ouvre ta grandes gueule.
Euh ici, c'est un clavier. Bon, c'est vrai que « fallait que tu ouvre ton
grands clavier » ça fait tout de suite moins bien.
Tu as d'autres questions con ?
Un truc que tu serais susceptible de comprendre, tu veux dire ?
Pas dans l'immédiat, non.
Le titre de ce fil : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/1028
Amitiés, albert
filh
Bour-Brown wrote:
> Tu as d'autres questions con ?
Un truc que tu serais susceptible de comprendre, tu veux dire ?
Ah bébé vexé !
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Bour-Brown <bour-brown@wnd.fr> wrote:
> Tu as d'autres questions con ?
Un truc que tu serais susceptible de comprendre, tu veux dire ?
Ah bébé vexé !
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Un truc que tu serais susceptible de comprendre, tu veux dire ?
Ah bébé vexé !
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org