J'ai publié hier sur frp la photo suivante dont j'étais très fier :
http://www.cjoint.com/14nv/DKErqV8IPh9_d7000_16164_dxo-002.jpg
En effet, quand on voit l'original, il y avait de quoi, non ?
http://www.cjoint.com/data/0LburnJV3A2_d7000_16164.jpg
Attention : 6MO
Il s'agit d'un geai des chênes qui, comme chacun sait, est assez
difficile à coincer.
Je l'ai donc pris sans avoir eu le temps de rien préparer et si la photo
est sombre, la tête est nette, ce qui est le principal.
Et comme on me reproche de partout et d'ailleurs de me limiter
scandaleusement à Picasa pour "améliorer" (sic) mes photos, j'ai décidé
de me lancer avec DxO 8 (gratuit) qui, j'en étais certain, allait me
faire rejoindre le peloton de tête des retoucheurs de céans.
Mais patatras, j'ai recueilli des commentaires un peu douteux sur, d'une
part le liseré blanc, que j'assume car il provient surtout d'une ultime
accentuation Picasesque (je n'ai pas pu m'en empêcher) et d'autre part
sur l'aspect comateux de la grosse branche floue du haut dont le flou
des bords est dédoublé. Ce défaut n'est pas présent sur l'original mais
est bien présent sur la photo DxO-isée.
Il semble bien que ce soit la fonction "Smart Lighting" de DxO,
peut-être utilisée avec un peu trop d'enthousiasme, qui en soit responsable.
Le geai revu sous DXO10... Il me semble que la grosse branche est moins abîmée. http://cjoint.com/?0LhqKXKdUzK
tout ça est beaucoup de boulot pour un résultat pas tellement meilleur :-)
jdd
Rassure-toi, pas vraiment beaucoup de boulot...deux minutes maxi.
Jean_
Le 07/12/2014 13:46, GhostRaider a écrit :
Ce que je veux dire, c'est que le traitement du RAW n'est pas plus compliqué que de jouer du trombone à coulisse quand on sait en jouer. Quand on ne sait pas, il est impossible de jouer du trombone à coulisse. Il faut donc apprendre.
C'est une fausse impression. Que ce soit RAW ou JPG, si on veut faire une correction, il faut déplacer des curseurs et enregistrer quand on est satisfait du résultat. La démarche est la même, les outils très semblables. La différence c'est que, comme l'a écrit Benoit, on peut "sauver" plus facilement des zones cramées ou sous-ex.
Le 07/12/2014 13:46, GhostRaider a écrit :
Ce que je veux dire, c'est que le traitement du RAW n'est pas plus
compliqué que de jouer du trombone à coulisse quand on sait en jouer.
Quand on ne sait pas, il est impossible de jouer du trombone à coulisse.
Il faut donc apprendre.
C'est une fausse impression. Que ce soit RAW ou JPG, si on veut faire
une correction, il faut déplacer des curseurs et enregistrer quand on
est satisfait du résultat.
La démarche est la même, les outils très semblables. La différence c'est
que, comme l'a écrit Benoit, on peut "sauver" plus facilement des zones
cramées ou sous-ex.
Ce que je veux dire, c'est que le traitement du RAW n'est pas plus compliqué que de jouer du trombone à coulisse quand on sait en jouer. Quand on ne sait pas, il est impossible de jouer du trombone à coulisse. Il faut donc apprendre.
C'est une fausse impression. Que ce soit RAW ou JPG, si on veut faire une correction, il faut déplacer des curseurs et enregistrer quand on est satisfait du résultat. La démarche est la même, les outils très semblables. La différence c'est que, comme l'a écrit Benoit, on peut "sauver" plus facilement des zones cramées ou sous-ex.
Intéressant, merci. Je note d'autant plus que j'ai justement la version 8 (disponible gratuitement). Mais évidemment DxO présente ce qui sert ses buts.
Je crois cela leur importe peu qu'on travaille en jpg ou raw.
Peut-être quand même. Les logiciels qui traitent les JPG sont légion. Les logiciels qui traitent les RAW sont moins nombreux, je pense, d'autant que les industriels ne fournissent pas nécessairement toutes les caractéristiques de leurs RAW, cas au moins de Nikon. Pouvoir développer correctement un RAW mal référencé a un prix.
Il veulent simplement montrer que leur logiciel est fait pour travailler en raw...
J'ai un certain nombre de photos prises en NEF/JPG, mais toutes dépassent très largement 8 MP, limite de cjoint. Je ne peux donc pas les montrer ici pour des essais. Dommage.
Le geai revu sous DXO10... Il me semble que la grosse branche est moins abîmée. http://cjoint.com/?0LhqKXKdUzK
Intéressant, merci. Je note d'autant plus que j'ai justement la version
8 (disponible gratuitement).
Mais évidemment DxO présente ce qui sert ses buts.
Je crois cela leur importe peu qu'on travaille en jpg ou raw.
Peut-être quand même.
Les logiciels qui traitent les JPG sont légion.
Les logiciels qui traitent les RAW sont moins nombreux, je pense,
d'autant que les industriels ne fournissent pas nécessairement toutes
les caractéristiques de leurs RAW, cas au moins de Nikon. Pouvoir
développer correctement un RAW mal référencé a un prix.
Il veulent simplement montrer que leur logiciel est fait pour
travailler en raw...
J'ai un certain nombre de photos prises en NEF/JPG, mais toutes
dépassent très largement 8 MP, limite de cjoint. Je ne peux donc pas les
montrer ici pour des essais.
Dommage.
Le geai revu sous DXO10...
Il me semble que la grosse branche est moins abîmée.
http://cjoint.com/?0LhqKXKdUzK
Intéressant, merci. Je note d'autant plus que j'ai justement la version 8 (disponible gratuitement). Mais évidemment DxO présente ce qui sert ses buts.
Je crois cela leur importe peu qu'on travaille en jpg ou raw.
Peut-être quand même. Les logiciels qui traitent les JPG sont légion. Les logiciels qui traitent les RAW sont moins nombreux, je pense, d'autant que les industriels ne fournissent pas nécessairement toutes les caractéristiques de leurs RAW, cas au moins de Nikon. Pouvoir développer correctement un RAW mal référencé a un prix.
Il veulent simplement montrer que leur logiciel est fait pour travailler en raw...
J'ai un certain nombre de photos prises en NEF/JPG, mais toutes dépassent très largement 8 MP, limite de cjoint. Je ne peux donc pas les montrer ici pour des essais. Dommage.
Le geai revu sous DXO10... Il me semble que la grosse branche est moins abîmée. http://cjoint.com/?0LhqKXKdUzK
En effet. Mais je n'ai que le 8 !
GhostRaider
Le 07/12/2014 17:07, Benoit a écrit :
GhostRaider wrote:
J'ai un certain nombre de photos prises en NEF/JPG, mais toutes dépassent très largement 8 MP, limite de cjoint. Je ne peux donc pas les montrer ici pour des essais. Dommage.
Envoie un morceau, une moitié. Cela permettra déjà de faire pas mal de choses.
Je voudrais bien te faire plaisir mais ça ne va pas être possible... ,-) Un RAW ne peut pas être réduit, c'est un fichier complexe, pas un fichier image compressé comme un JPG. Ainsi, Nikon View NX2 ne le permet pas, seulement en TIFF, ce qui donne un fichier compressé de 50 MO en 16 bits, trop gros, ou de 21 MO en 8 bits, toujours trop gros et de toutes façons, on a perdu l'intérêt du RAW.
Le 07/12/2014 17:07, Benoit a écrit :
GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
J'ai un certain nombre de photos prises en NEF/JPG, mais toutes
dépassent très largement 8 MP, limite de cjoint. Je ne peux donc pas les
montrer ici pour des essais.
Dommage.
Envoie un morceau, une moitié. Cela permettra déjà de faire pas mal
de choses.
Je voudrais bien te faire plaisir mais ça ne va pas être possible... ,-)
Un RAW ne peut pas être réduit, c'est un fichier complexe, pas un
fichier image compressé comme un JPG.
Ainsi, Nikon View NX2 ne le permet pas, seulement en TIFF, ce qui donne
un fichier compressé de 50 MO en 16 bits, trop gros, ou de 21 MO en 8
bits, toujours trop gros et de toutes façons, on a perdu l'intérêt du RAW.
J'ai un certain nombre de photos prises en NEF/JPG, mais toutes dépassent très largement 8 MP, limite de cjoint. Je ne peux donc pas les montrer ici pour des essais. Dommage.
Envoie un morceau, une moitié. Cela permettra déjà de faire pas mal de choses.
Je voudrais bien te faire plaisir mais ça ne va pas être possible... ,-) Un RAW ne peut pas être réduit, c'est un fichier complexe, pas un fichier image compressé comme un JPG. Ainsi, Nikon View NX2 ne le permet pas, seulement en TIFF, ce qui donne un fichier compressé de 50 MO en 16 bits, trop gros, ou de 21 MO en 8 bits, toujours trop gros et de toutes façons, on a perdu l'intérêt du RAW.
Jean_
Le 07/12/2014 18:23, GhostRaider a écrit :
Je voudrais bien te faire plaisir mais ça ne va pas être possible... ,-)
Tu peux passer par d'autres services comme dl.free.fr
Le 07/12/2014 18:23, GhostRaider a écrit :
Je voudrais bien te faire plaisir mais ça ne va pas être possible... ,-)
Tu peux passer par d'autres services comme dl.free.fr
Je voudrais bien te faire plaisir mais ça ne va pas être possible... ,-)
Tu peux passer par d'autres services comme dl.free.fr
Nul
Le dimanche 7 décembre 2014 18:23:49 UTC+1, GhostRaider a écrit :
Le 07/12/2014 17:07, Benoit a écrit : > GhostRaider wrote: > >> J'ai un certain nombre de photos prises en NEF/JPG, mais toutes >> dépassent très largement 8 MP, limite de cjoint. Je ne peux donc p as les >> montrer ici pour des essais. >> Dommage. > > Envoie un morceau, une moitié. Cela permettra déjà de faire pas mal > de choses. > Je voudrais bien te faire plaisir mais ça ne va pas être possible... ,-) Un RAW ne peut pas être réduit, c'est un fichier complexe, pas un fichier image compressé comme un JPG. Ainsi, Nikon View NX2 ne le permet pas, seulement en TIFF, ce qui donne un fichier compressé de 50 MO en 16 bits, trop gros, ou de 21 MO en 8 bits, toujours trop gros et de toutes façons, on a perdu l'intérêt du RAW.
hum, si c'est bien vrais que cela est impossible, mais pas vraiment pour ce tte raison, on le répète depuis des lustres, le RAW est un fichier DATA ce que les logiciels nous montrent ce n'est pas le ficher DATA mais un int erprétation, plus ou moins fidèle selon qu'il est traité par le soft de la marque.
Le dimanche 7 décembre 2014 18:23:49 UTC+1, GhostRaider a écrit :
Le 07/12/2014 17:07, Benoit a écrit :
> GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
>
>> J'ai un certain nombre de photos prises en NEF/JPG, mais toutes
>> dépassent très largement 8 MP, limite de cjoint. Je ne peux donc p as les
>> montrer ici pour des essais.
>> Dommage.
>
> Envoie un morceau, une moitié. Cela permettra déjà de faire pas mal
> de choses.
>
Je voudrais bien te faire plaisir mais ça ne va pas être possible... ,-)
Un RAW ne peut pas être réduit, c'est un fichier complexe, pas un
fichier image compressé comme un JPG.
Ainsi, Nikon View NX2 ne le permet pas, seulement en TIFF, ce qui donne
un fichier compressé de 50 MO en 16 bits, trop gros, ou de 21 MO en 8
bits, toujours trop gros et de toutes façons, on a perdu l'intérêt du RAW.
hum, si c'est bien vrais que cela est impossible, mais pas vraiment pour ce tte raison, on le répète depuis des lustres, le RAW est un fichier DATA ce que les logiciels nous montrent ce n'est pas le ficher DATA mais un int erprétation, plus ou moins fidèle selon qu'il est traité par le soft de la marque.
Le dimanche 7 décembre 2014 18:23:49 UTC+1, GhostRaider a écrit :
Le 07/12/2014 17:07, Benoit a écrit : > GhostRaider wrote: > >> J'ai un certain nombre de photos prises en NEF/JPG, mais toutes >> dépassent très largement 8 MP, limite de cjoint. Je ne peux donc p as les >> montrer ici pour des essais. >> Dommage. > > Envoie un morceau, une moitié. Cela permettra déjà de faire pas mal > de choses. > Je voudrais bien te faire plaisir mais ça ne va pas être possible... ,-) Un RAW ne peut pas être réduit, c'est un fichier complexe, pas un fichier image compressé comme un JPG. Ainsi, Nikon View NX2 ne le permet pas, seulement en TIFF, ce qui donne un fichier compressé de 50 MO en 16 bits, trop gros, ou de 21 MO en 8 bits, toujours trop gros et de toutes façons, on a perdu l'intérêt du RAW.
hum, si c'est bien vrais que cela est impossible, mais pas vraiment pour ce tte raison, on le répète depuis des lustres, le RAW est un fichier DATA ce que les logiciels nous montrent ce n'est pas le ficher DATA mais un int erprétation, plus ou moins fidèle selon qu'il est traité par le soft de la marque.
GhostRaider
Le 07/12/2014 17:17, Jean_ a écrit :
C'est une fausse impression. Que ce soit RAW ou JPG, si on veut faire une correction, il faut déplacer des curseurs et enregistrer quand on est satisfait du résultat. La démarche est la même, les outils très semblables. La différence c'est que, comme l'a écrit Benoit, on peut "sauver" plus facilement des zones cramées ou sous-ex.
Je vais vous faire un aveu à tous les deux et aux autres, ou plutôt je vais vous révéler un grand secret bien gardé. La plupart des photographes qui ne jurent que par le RAW sont aussi ceux qui font tout en manuel. Ils ne font pas confiance aux automatismes, vulgaires béquilles pour ignorants photographes du dimanche, indignes d'eux.
Non ! Eux, ils savent et règlent tout à la main: vitesse, diaphragme, sensibilité, puissance du flash, distance même et se promènent avec un carton gris à 18% et une Lunasix en main pour calculer la lumière incidente, la seule, la vraie !
Alors évidemment, comme les réglages manuels d'un APN se suivent tous selon un facteur de 2 : 1/30, 1/60, 1/125, 1/250 etc... et f2, f2.8, f4, f5.6 etc, et après avoir choisi la sensibilité choisie selon de mystérieux critères, ils peuvent tomber sur les bons réglages, parfaits pour la scène, ou tomber à côté et l'erreur séparant les réglages choisis des réglages idéaux peut atteindre 1/2 EV, ce qui est déjà sensible, s'ils ont plus ou moins suivi une cellule à main ou celle de l'appareil, voire beaucoup plus s'ils se sont amusés à privilégier telle ou telle partie de la scène.
Et c'est alors que le RAW devient nécessaire ! Il est en effet nécessaire de refaire en post-production ce que l'APN aurait parfaitement fait tout seul en automatique total. Et comme certains détails (cieux presque cramés, sous-bois bouchés) nécessitent, pour être bien exploités de dépasser les fameux 8 bits du JPG, les 12 voire 14 bits du RAW sont appelés à la rescousse.
Voilà comment, alors que les ingénieurs parviennent à construire des appareils qui exposent parfaitement dans 999 cas sur 1000, des photographes à l'ancienne travaillent encore comme s'ils étaient en 1950.
Le 07/12/2014 17:17, Jean_ a écrit :
C'est une fausse impression. Que ce soit RAW ou JPG, si on veut faire
une correction, il faut déplacer des curseurs et enregistrer quand on
est satisfait du résultat.
La démarche est la même, les outils très semblables. La différence c'est
que, comme l'a écrit Benoit, on peut "sauver" plus facilement des zones
cramées ou sous-ex.
Je vais vous faire un aveu à tous les deux et aux autres, ou plutôt je
vais vous révéler un grand secret bien gardé.
La plupart des photographes qui ne jurent que par le RAW sont aussi ceux
qui font tout en manuel.
Ils ne font pas confiance aux automatismes, vulgaires béquilles pour
ignorants photographes du dimanche, indignes d'eux.
Non ! Eux, ils savent et règlent tout à la main: vitesse, diaphragme,
sensibilité, puissance du flash, distance même et se promènent avec un
carton gris à 18% et une Lunasix en main pour calculer la lumière
incidente, la seule, la vraie !
Alors évidemment, comme les réglages manuels d'un APN se suivent tous
selon un facteur de 2 : 1/30, 1/60, 1/125, 1/250 etc... et f2, f2.8, f4,
f5.6 etc, et après avoir choisi la sensibilité choisie selon de
mystérieux critères, ils peuvent tomber sur les bons réglages, parfaits
pour la scène, ou tomber à côté et l'erreur séparant les réglages
choisis des réglages idéaux peut atteindre 1/2 EV, ce qui est déjà
sensible, s'ils ont plus ou moins suivi une cellule à main ou celle de
l'appareil, voire beaucoup plus s'ils se sont amusés à privilégier telle
ou telle partie de la scène.
Et c'est alors que le RAW devient nécessaire !
Il est en effet nécessaire de refaire en post-production ce que l'APN
aurait parfaitement fait tout seul en automatique total. Et comme
certains détails (cieux presque cramés, sous-bois bouchés) nécessitent,
pour être bien exploités de dépasser les fameux 8 bits du JPG, les 12
voire 14 bits du RAW sont appelés à la rescousse.
Voilà comment, alors que les ingénieurs parviennent à construire des
appareils qui exposent parfaitement dans 999 cas sur 1000, des
photographes à l'ancienne travaillent encore comme s'ils étaient en 1950.
C'est une fausse impression. Que ce soit RAW ou JPG, si on veut faire une correction, il faut déplacer des curseurs et enregistrer quand on est satisfait du résultat. La démarche est la même, les outils très semblables. La différence c'est que, comme l'a écrit Benoit, on peut "sauver" plus facilement des zones cramées ou sous-ex.
Je vais vous faire un aveu à tous les deux et aux autres, ou plutôt je vais vous révéler un grand secret bien gardé. La plupart des photographes qui ne jurent que par le RAW sont aussi ceux qui font tout en manuel. Ils ne font pas confiance aux automatismes, vulgaires béquilles pour ignorants photographes du dimanche, indignes d'eux.
Non ! Eux, ils savent et règlent tout à la main: vitesse, diaphragme, sensibilité, puissance du flash, distance même et se promènent avec un carton gris à 18% et une Lunasix en main pour calculer la lumière incidente, la seule, la vraie !
Alors évidemment, comme les réglages manuels d'un APN se suivent tous selon un facteur de 2 : 1/30, 1/60, 1/125, 1/250 etc... et f2, f2.8, f4, f5.6 etc, et après avoir choisi la sensibilité choisie selon de mystérieux critères, ils peuvent tomber sur les bons réglages, parfaits pour la scène, ou tomber à côté et l'erreur séparant les réglages choisis des réglages idéaux peut atteindre 1/2 EV, ce qui est déjà sensible, s'ils ont plus ou moins suivi une cellule à main ou celle de l'appareil, voire beaucoup plus s'ils se sont amusés à privilégier telle ou telle partie de la scène.
Et c'est alors que le RAW devient nécessaire ! Il est en effet nécessaire de refaire en post-production ce que l'APN aurait parfaitement fait tout seul en automatique total. Et comme certains détails (cieux presque cramés, sous-bois bouchés) nécessitent, pour être bien exploités de dépasser les fameux 8 bits du JPG, les 12 voire 14 bits du RAW sont appelés à la rescousse.
Voilà comment, alors que les ingénieurs parviennent à construire des appareils qui exposent parfaitement dans 999 cas sur 1000, des photographes à l'ancienne travaillent encore comme s'ils étaient en 1950.
benoit
GhostRaider wrote:
Voilà comment, alors que les ingénieurs parviennent à construire des appareils qui exposent parfaitement dans 999 cas sur 1000, des photographes à l'ancienne travaillent encore comme s'ils étaient en 1950.
:-D
Superbe ! La défense de l'Instamatic génération Y en quelque sorte ;)
T'as pas tout à fait tort, en plus ou en pire selon la position qu'on a sur l'axe.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
Voilà comment, alors que les ingénieurs parviennent à construire des
appareils qui exposent parfaitement dans 999 cas sur 1000, des
photographes à l'ancienne travaillent encore comme s'ils étaient en 1950.
:-D
Superbe ! La défense de l'Instamatic génération Y en quelque
sorte ;)
T'as pas tout à fait tort, en plus ou en pire selon la position
qu'on a sur l'axe.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Voilà comment, alors que les ingénieurs parviennent à construire des appareils qui exposent parfaitement dans 999 cas sur 1000, des photographes à l'ancienne travaillent encore comme s'ils étaient en 1950.
:-D
Superbe ! La défense de l'Instamatic génération Y en quelque sorte ;)
T'as pas tout à fait tort, en plus ou en pire selon la position qu'on a sur l'axe.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
jdd
Le 07/12/2014 19:24, GhostRaider a écrit :
Voilà comment, alors que les ingénieurs parviennent à construire des appareils qui exposent parfaitement dans 999 cas sur 1000, des photographes à l'ancienne travaillent encore comme s'ils étaient en 1950.
tu es vache :-))
jdd
Le 07/12/2014 19:24, GhostRaider a écrit :
Voilà comment, alors que les ingénieurs parviennent à construire des
appareils qui exposent parfaitement dans 999 cas sur 1000, des
photographes à l'ancienne travaillent encore comme s'ils étaient en 1950.
Voilà comment, alors que les ingénieurs parviennent à construire des appareils qui exposent parfaitement dans 999 cas sur 1000, des photographes à l'ancienne travaillent encore comme s'ils étaient en 1950.
tu es vache :-))
jdd
jdd
Le 07/12/2014 19:38, Benoit a écrit :
GhostRaider wrote:
Voilà comment, alors que les ingénieurs parviennent à construire des appareils qui exposent parfaitement dans 999 cas sur 1000, des photographes à l'ancienne travaillent encore comme s'ils étaient en 1950.
:-D
Superbe ! La défense de l'Instamatic génération Y en quelque sorte ;)
T'as pas tout à fait tort, en plus ou en pire selon la position qu'on a sur l'axe.
surtout avec du matériel qui n'a pas vraiment le prix d'un instamatic.
il faut juste trouver où la logique des appareils est défectueuse et corriger uniquement ça.
par exemple, le réglage automatique du son du 5DMKIII est une bouse, alors que les micros, bien que tout petits sont étonnamment bons, mais uniquement en mode manuel...
ca vient juste de me gâcher un tournage impromptu (et que je n'avais donc pas pu préparer :-)
jdd
Le 07/12/2014 19:38, Benoit a écrit :
GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
Voilà comment, alors que les ingénieurs parviennent à construire des
appareils qui exposent parfaitement dans 999 cas sur 1000, des
photographes à l'ancienne travaillent encore comme s'ils étaient en 1950.
:-D
Superbe ! La défense de l'Instamatic génération Y en quelque
sorte ;)
T'as pas tout à fait tort, en plus ou en pire selon la position
qu'on a sur l'axe.
surtout avec du matériel qui n'a pas vraiment le prix d'un instamatic.
il faut juste trouver où la logique des appareils est défectueuse et
corriger uniquement ça.
par exemple, le réglage automatique du son du 5DMKIII est une bouse,
alors que les micros, bien que tout petits sont étonnamment bons, mais
uniquement en mode manuel...
ca vient juste de me gâcher un tournage impromptu (et que je n'avais
donc pas pu préparer :-)
Voilà comment, alors que les ingénieurs parviennent à construire des appareils qui exposent parfaitement dans 999 cas sur 1000, des photographes à l'ancienne travaillent encore comme s'ils étaient en 1950.
:-D
Superbe ! La défense de l'Instamatic génération Y en quelque sorte ;)
T'as pas tout à fait tort, en plus ou en pire selon la position qu'on a sur l'axe.
surtout avec du matériel qui n'a pas vraiment le prix d'un instamatic.
il faut juste trouver où la logique des appareils est défectueuse et corriger uniquement ça.
par exemple, le réglage automatique du son du 5DMKIII est une bouse, alors que les micros, bien que tout petits sont étonnamment bons, mais uniquement en mode manuel...
ca vient juste de me gâcher un tournage impromptu (et que je n'avais donc pas pu préparer :-)