Bonjour,
je viens d'avoir un compact Nikon coolpix P50 qui date
un peu, certes, mais je ne sais pas comment on peut faire
une pose de nuit pour avoir les cercles des étoiles autour
de l'étoile polaire; doit on passer sur d'autres appareils
comme un reflex ou autres....
Merci de m'éclairer, car je sort de l'argentique et je ne
connais pas trop les numériques capables de faire ce
genre de photos comme en pose B.
Tramage ? Puis après il faut distinguer les différentes techniques...
exactement, c'est aussi imprécis en français qu'en anglais, parce que les algos de tramage sont très variés.
mabon, c'est plus marrant en anglais, ça évite de se demander ce que c'est et comment c'est fait...
markorki
Papy Bernard a écrit :
De : Jean François
J'en ai fait souvent en montagne et je laissait mon OM2 en pose B ouvert pendant 1h à 2h, voire plus; je pense que certaines pratiques comme l'"open flash" ne sont pas possibles non plus avec les numériques; il faudra attendre longtemps, je pense, avant d'avoir cette technologie adaptée à tous les appareils car ce n'est pas vraiment utilisé par madame et monsieur "tout le monde"......
Jean François
c'est quoi cet "open flash" ? ? ? ? Encore l'emploi d'un anglicisme que personne n'est capable de traduire. Même anglophone et quand un même peu au courant de la photo cet "open" flash" ne me parle pas.
Meerci à ceux qui en donneraient une bonne traduction.
Pour en revenir à l'open-flash, c'est une technique **très_mal** nommée en anglais, mais ça ne gène personne: si impossible n'est pas français, logique n'est souvent pas anglais.
L'open flash ça consiste à ouvrir l'obturateur en pose longue et à déclencher un ou plusieurs éclairs manuellement (voire attendre les éclairs sous l'orage) et à fermer l'obturateur quand on suppose que la photo a été exposée.
ça se pratique pour prendre des paysages ou des ciels sous l'orage, mais aussi pour faire des photos en spéléo par exemple: faute d'une puissance suffisante (et qui venant du même point, serait mal répartie) on se promène dans le champ et on flashe, appareil sur pied bien sûr. C'est casse-gueule, mais jouable quand le sol est relativement égal... ou si on est plusieurs avec chacun un flash.
Donc c'est en fait de l'open-shutter-flash, en sauvage.
Papy Bernard a écrit :
De : Jean François
J'en ai fait souvent en montagne et je laissait mon OM2 en pose B
ouvert pendant 1h à 2h, voire plus; je pense que certaines pratiques
comme l'"open flash" ne sont pas possibles non plus avec les
numériques; il faudra attendre longtemps, je pense, avant d'avoir
cette technologie adaptée à tous les appareils car ce n'est pas
vraiment utilisé par madame et monsieur "tout le monde"......
Jean François
c'est quoi cet "open flash" ? ? ? ?
Encore l'emploi d'un anglicisme que personne n'est capable de traduire.
Même anglophone et quand un même peu au courant de la photo cet "open"
flash" ne me parle pas.
Meerci à ceux qui en donneraient une bonne traduction.
Pour en revenir à l'open-flash, c'est une technique **très_mal** nommée
en anglais, mais ça ne gène personne: si impossible n'est pas français,
logique n'est souvent pas anglais.
L'open flash ça consiste à ouvrir l'obturateur en pose longue et à
déclencher un ou plusieurs éclairs manuellement (voire attendre les
éclairs sous l'orage) et à fermer l'obturateur quand on suppose que la
photo a été exposée.
ça se pratique pour prendre des paysages ou des ciels sous l'orage, mais
aussi pour faire des photos en spéléo par exemple: faute d'une puissance
suffisante (et qui venant du même point, serait mal répartie) on se
promène dans le champ et on flashe, appareil sur pied bien sûr. C'est
casse-gueule, mais jouable quand le sol est relativement égal... ou si
on est plusieurs avec chacun un flash.
Donc c'est en fait de l'open-shutter-flash, en sauvage.
J'en ai fait souvent en montagne et je laissait mon OM2 en pose B ouvert pendant 1h à 2h, voire plus; je pense que certaines pratiques comme l'"open flash" ne sont pas possibles non plus avec les numériques; il faudra attendre longtemps, je pense, avant d'avoir cette technologie adaptée à tous les appareils car ce n'est pas vraiment utilisé par madame et monsieur "tout le monde"......
Jean François
c'est quoi cet "open flash" ? ? ? ? Encore l'emploi d'un anglicisme que personne n'est capable de traduire. Même anglophone et quand un même peu au courant de la photo cet "open" flash" ne me parle pas.
Meerci à ceux qui en donneraient une bonne traduction.
Pour en revenir à l'open-flash, c'est une technique **très_mal** nommée en anglais, mais ça ne gène personne: si impossible n'est pas français, logique n'est souvent pas anglais.
L'open flash ça consiste à ouvrir l'obturateur en pose longue et à déclencher un ou plusieurs éclairs manuellement (voire attendre les éclairs sous l'orage) et à fermer l'obturateur quand on suppose que la photo a été exposée.
ça se pratique pour prendre des paysages ou des ciels sous l'orage, mais aussi pour faire des photos en spéléo par exemple: faute d'une puissance suffisante (et qui venant du même point, serait mal répartie) on se promène dans le champ et on flashe, appareil sur pied bien sûr. C'est casse-gueule, mais jouable quand le sol est relativement égal... ou si on est plusieurs avec chacun un flash.
Donc c'est en fait de l'open-shutter-flash, en sauvage.
markorki
Jean-Pierre Roche a écrit :
Le 04/03/2010 16:56, Ferdinand Marechal a écrit :
C'est vous qui sur une autre planète...puisque je faisais à 17 ans déjà partie du grand public. Et c'est à cette époque (65/75) que les reflex ont commencé à se démocratiser, certes ils servaient davantage aux photographies classiques, mais ils ont ouvert des horizons insoupçonnés aux classes populaires.
Ca j'adore les "classes populaires" ! Un Edixa devait coûter deux à trois mois de salaire d'un ouvrier sinon plus dans les années que vous citez alors pour les classes populaires vous repasserez : les classes populaires pensaient plutôt à se loger et se nourrir. Et, pour la photo, elles avaient (éventuellement) un "box" ou ce qui en tenait lieu à l'époque... Les reflex étaient plutôt achetés par quelques passionnés et les équivalents de nos bobos actuels. N'est pas populaire qui veut.
Mon Edixa-mat CD (cellule cds non couplée) avec un 50mmF2 et 2 systèmes de visée (capuchon à loupe + prisme) m'a coûté environ 750f en 1967... soit presque ce que j'ai gagné en 2 mois de plonge sur la côte ;-)
Mais bon, à l'époque un vélo demi-course correct et robuste, 8 vitesses et avec raccords inox coûtait environ 400f (chez Peugeot au bas de ma rue).
Cher pour les "classes populaires", dont j'étais, mais pas hors de portée. Juste que ça devait être un choix, pas un caprice. Et à l'époque, on achetait ça pour un peu plus de 6 mois ;-)
Jean-Pierre Roche a écrit :
Le 04/03/2010 16:56, Ferdinand Marechal a écrit :
C'est vous qui sur une autre planète...puisque je faisais
à 17 ans déjà partie du grand public.
Et c'est à cette époque (65/75) que les reflex ont
commencé à se démocratiser, certes ils servaient davantage aux
photographies classiques, mais ils ont ouvert des horizons
insoupçonnés aux classes populaires.
Ca j'adore les "classes populaires" ! Un Edixa devait coûter deux à
trois mois de salaire d'un ouvrier sinon plus dans les années que vous
citez alors pour les classes populaires vous repasserez : les classes
populaires pensaient plutôt à se loger et se nourrir. Et, pour la photo,
elles avaient (éventuellement) un "box" ou ce qui en tenait lieu à
l'époque...
Les reflex étaient plutôt achetés par quelques passionnés et les
équivalents de nos bobos actuels. N'est pas populaire qui veut.
Mon Edixa-mat CD (cellule cds non couplée) avec un 50mmF2 et 2 systèmes
de visée (capuchon à loupe + prisme) m'a coûté environ 750f en 1967...
soit presque ce que j'ai gagné en 2 mois de plonge sur la côte ;-)
Mais bon, à l'époque un vélo demi-course correct et robuste, 8 vitesses
et avec raccords inox coûtait environ 400f (chez Peugeot au bas de ma rue).
Cher pour les "classes populaires", dont j'étais, mais pas hors de
portée. Juste que ça devait être un choix, pas un caprice. Et à
l'époque, on achetait ça pour un peu plus de 6 mois ;-)
C'est vous qui sur une autre planète...puisque je faisais à 17 ans déjà partie du grand public. Et c'est à cette époque (65/75) que les reflex ont commencé à se démocratiser, certes ils servaient davantage aux photographies classiques, mais ils ont ouvert des horizons insoupçonnés aux classes populaires.
Ca j'adore les "classes populaires" ! Un Edixa devait coûter deux à trois mois de salaire d'un ouvrier sinon plus dans les années que vous citez alors pour les classes populaires vous repasserez : les classes populaires pensaient plutôt à se loger et se nourrir. Et, pour la photo, elles avaient (éventuellement) un "box" ou ce qui en tenait lieu à l'époque... Les reflex étaient plutôt achetés par quelques passionnés et les équivalents de nos bobos actuels. N'est pas populaire qui veut.
Mon Edixa-mat CD (cellule cds non couplée) avec un 50mmF2 et 2 systèmes de visée (capuchon à loupe + prisme) m'a coûté environ 750f en 1967... soit presque ce que j'ai gagné en 2 mois de plonge sur la côte ;-)
Mais bon, à l'époque un vélo demi-course correct et robuste, 8 vitesses et avec raccords inox coûtait environ 400f (chez Peugeot au bas de ma rue).
Cher pour les "classes populaires", dont j'étais, mais pas hors de portée. Juste que ça devait être un choix, pas un caprice. Et à l'époque, on achetait ça pour un peu plus de 6 mois ;-)
Ferdinand Marechal
L'open flash ça consiste à ouvrir l'obturateur en pose longue et à déclencher un ou plusieurs éclairs manuellement (voire attendre les éclairs sous l'orage) et à fermer l'obturateur quand on suppose que la photo a été exposée.
On peut aussi utiliser cette technique, je l'ai fait, pour photographier l'impact de gouttes d'eau. On prépare une barrière lumineuse, source + phototransistor, commandant un montage à thyristor chargé de déclencher le flash (qui reste donc indépendant du boitier). Le circuit inclut une tempo, qui permet de faire varier le temps écoulé entre la rupture du faisceau et le départ de l'éclair, on peut donc au choix saisi l'instant de l'impact sur l'eau ou celui du premier rebond ou celui de la disparition des dernières ondelettes. On commence par aligner la barrière pour que les gouttes coupent le faisceau. On règle la map sur le point d'impact des gouttes, puis tout étant vérifié, dans l'obscurité, on ouvre l'obturateur, on met sous tension l'électronique, la prochaine goutte déclenche le ou les flashes, on ferme l'obturateur, l'affaire est dans la boite.
L'open flash ça consiste à ouvrir l'obturateur en pose longue et à
déclencher un ou plusieurs éclairs manuellement (voire attendre les
éclairs sous l'orage) et à fermer l'obturateur quand on suppose que la
photo a été exposée.
On peut aussi utiliser cette technique, je l'ai fait, pour photographier
l'impact de gouttes d'eau.
On prépare une barrière lumineuse, source + phototransistor, commandant
un montage à thyristor chargé de déclencher le flash (qui reste donc
indépendant du boitier).
Le circuit inclut une tempo, qui permet de faire varier le temps écoulé
entre la rupture du faisceau et le départ de l'éclair, on peut donc au
choix saisi l'instant de l'impact sur l'eau ou celui du premier rebond
ou celui de la disparition des dernières ondelettes.
On commence par aligner la barrière pour que les gouttes coupent le
faisceau.
On règle la map sur le point d'impact des gouttes, puis tout étant vérifié,
dans l'obscurité, on ouvre l'obturateur, on met sous tension l'électronique,
la prochaine goutte déclenche le ou les flashes, on ferme l'obturateur,
l'affaire est dans la boite.
L'open flash ça consiste à ouvrir l'obturateur en pose longue et à déclencher un ou plusieurs éclairs manuellement (voire attendre les éclairs sous l'orage) et à fermer l'obturateur quand on suppose que la photo a été exposée.
On peut aussi utiliser cette technique, je l'ai fait, pour photographier l'impact de gouttes d'eau. On prépare une barrière lumineuse, source + phototransistor, commandant un montage à thyristor chargé de déclencher le flash (qui reste donc indépendant du boitier). Le circuit inclut une tempo, qui permet de faire varier le temps écoulé entre la rupture du faisceau et le départ de l'éclair, on peut donc au choix saisi l'instant de l'impact sur l'eau ou celui du premier rebond ou celui de la disparition des dernières ondelettes. On commence par aligner la barrière pour que les gouttes coupent le faisceau. On règle la map sur le point d'impact des gouttes, puis tout étant vérifié, dans l'obscurité, on ouvre l'obturateur, on met sous tension l'électronique, la prochaine goutte déclenche le ou les flashes, on ferme l'obturateur, l'affaire est dans la boite.
Stephane Legras-Decussy
Le 05/03/2010 10:26, Ferdinand Marechal a écrit :
Tenez vous en au Rollei et au Delta 3200 ! Faut quand même le faire, apologiste du numérique et balancer en 2005 de l'argentique comme on osait déja plus en plus en faire dans les années 80.
apologiste de rien du tout justement.
je dis juste que la photo astro amateur argentique en 70' c'était minable...
la photo de fille, non.
Le 05/03/2010 10:26, Ferdinand Marechal a écrit :
Tenez vous en au Rollei et au Delta 3200 !
Faut quand même le faire, apologiste du numérique et balancer
en 2005 de l'argentique comme on osait déja plus en plus en faire
dans les années 80.
apologiste de rien du tout justement.
je dis juste que la photo astro
amateur argentique en 70' c'était
minable...
Tenez vous en au Rollei et au Delta 3200 ! Faut quand même le faire, apologiste du numérique et balancer en 2005 de l'argentique comme on osait déja plus en plus en faire dans les années 80.
apologiste de rien du tout justement.
je dis juste que la photo astro amateur argentique en 70' c'était minable...
la photo de fille, non.
Stephane Legras-Decussy
Le 05/03/2010 08:33, jpw a écrit :
je cumule d'ailleurs : bobo, et trotskyste de droite !
cool, je croyais que j'étais le seul à me revendiquer "bobo" en 15 ans de usenet !
dans me bras !
Le 05/03/2010 08:33, jpw a écrit :
je cumule d'ailleurs : bobo, et trotskyste de droite !
cool, je croyais que j'étais le seul à me
revendiquer "bobo" en 15 ans de usenet !
je cumule d'ailleurs : bobo, et trotskyste de droite !
cool, je croyais que j'étais le seul à me revendiquer "bobo" en 15 ans de usenet !
dans me bras !
Ferdinand Marechal
"markorki" <moicestmarkorkichezorangefr> a écrit dans le message de news:4b9119d7$0$17894$
Jean-Pierre Roche a écrit :
Le 04/03/2010 16:56, Ferdinand Marechal a écrit :
C'est vous qui sur une autre planète...puisque je faisais à 17 ans déjà partie du grand public. Et c'est à cette époque (65/75) que les reflex ont commencé à se démocratiser, certes ils servaient davantage aux photographies classiques, mais ils ont ouvert des horizons insoupçonnés aux classes populaires.
Ca j'adore les "classes populaires" ! Un Edixa devait coûter deux à trois mois de salaire d'un ouvrier sinon plus dans les années que vous citez alors pour les classes populaires vous repasserez : les classes populaires pensaient plutôt à se loger et se nourrir. Et, pour la photo, elles avaient (éventuellement) un "box" ou ce qui en tenait lieu à l'époque... Les reflex étaient plutôt achetés par quelques passionnés et les équivalents de nos bobos actuels. N'est pas populaire qui veut.
Mon Edixa-mat CD (cellule cds non couplée) avec un 50mmF2 et 2 systèmes de visée (capuchon à loupe + prisme) m'a coûté environ 750f en 1967... soit presque ce que j'ai gagné en 2 mois de plonge sur la côte ;-)
Encore un privilégié...j'ai dû me contenter d'un Edixa, avec les deux visées malgré tout, mais sans cellule et d'un Iscotar 50/2.8. Pour les mesures, la Sixtino Gossen au sélénium. En 1966, une mob orange "Spéciale 50" coutait environ 1050 francs Un peu avant, un demi-course 220 francs et une place de cinoche 0.80 F. En 1974 le smic était à environ 1300 F, un ouvrier de chez Renault gagnait 1800 F et le Miranda Sensorex II valait moins de 1500 F
En 2009 le smic net est de 1055 euros, une TV HD coute 1200 euros. Les prolos n'en achètent JAMAIS, c'est trop cher (sociologie selon JPR).
Mais bon, à l'époque un vélo demi-course correct et robuste, 8 vitesses et avec raccords inox coûtait environ 400f (chez Peugeot au bas de ma rue).
Cher pour les "classes populaires", dont j'étais, mais pas hors de portée. Juste que ça devait être un choix, pas un caprice. Et à l'époque, on achetait ça pour un peu plus de 6 mois ;-)
"markorki" <moicestmarkorkichezorangefr> a écrit dans le message de
news:4b9119d7$0$17894$ba4acef3@reader.news.orange.fr...
Jean-Pierre Roche a écrit :
Le 04/03/2010 16:56, Ferdinand Marechal a écrit :
C'est vous qui sur une autre planète...puisque je faisais
à 17 ans déjà partie du grand public.
Et c'est à cette époque (65/75) que les reflex ont
commencé à se démocratiser, certes ils servaient davantage aux
photographies classiques, mais ils ont ouvert des horizons
insoupçonnés aux classes populaires.
Ca j'adore les "classes populaires" ! Un Edixa devait coûter deux à trois
mois de salaire d'un ouvrier sinon plus dans les années que vous citez
alors pour les classes populaires vous repasserez : les classes
populaires pensaient plutôt à se loger et se nourrir. Et, pour la photo,
elles avaient (éventuellement) un "box" ou ce qui en tenait lieu à
l'époque...
Les reflex étaient plutôt achetés par quelques passionnés et les
équivalents de nos bobos actuels. N'est pas populaire qui veut.
Mon Edixa-mat CD (cellule cds non couplée) avec un 50mmF2 et 2 systèmes de
visée (capuchon à loupe + prisme) m'a coûté environ 750f en 1967...
soit presque ce que j'ai gagné en 2 mois de plonge sur la côte ;-)
Encore un privilégié...j'ai dû me contenter d'un Edixa, avec les
deux visées malgré tout, mais sans cellule et d'un Iscotar 50/2.8.
Pour les mesures, la Sixtino Gossen au sélénium.
En 1966, une mob orange "Spéciale 50" coutait environ 1050 francs
Un peu avant, un demi-course 220 francs et une place de cinoche 0.80 F.
En 1974 le smic était à environ 1300 F, un ouvrier de chez Renault
gagnait 1800 F et le Miranda Sensorex II valait moins de 1500 F
En 2009 le smic net est de 1055 euros, une TV HD coute 1200 euros.
Les prolos n'en achètent JAMAIS, c'est trop cher (sociologie selon JPR).
Mais bon, à l'époque un vélo demi-course correct et robuste, 8 vitesses
et avec raccords inox coûtait environ 400f (chez Peugeot au bas de ma
rue).
Cher pour les "classes populaires", dont j'étais, mais pas hors de portée.
Juste que ça devait être un choix, pas un caprice. Et à l'époque, on
achetait ça pour un peu plus de 6 mois ;-)
"markorki" <moicestmarkorkichezorangefr> a écrit dans le message de news:4b9119d7$0$17894$
Jean-Pierre Roche a écrit :
Le 04/03/2010 16:56, Ferdinand Marechal a écrit :
C'est vous qui sur une autre planète...puisque je faisais à 17 ans déjà partie du grand public. Et c'est à cette époque (65/75) que les reflex ont commencé à se démocratiser, certes ils servaient davantage aux photographies classiques, mais ils ont ouvert des horizons insoupçonnés aux classes populaires.
Ca j'adore les "classes populaires" ! Un Edixa devait coûter deux à trois mois de salaire d'un ouvrier sinon plus dans les années que vous citez alors pour les classes populaires vous repasserez : les classes populaires pensaient plutôt à se loger et se nourrir. Et, pour la photo, elles avaient (éventuellement) un "box" ou ce qui en tenait lieu à l'époque... Les reflex étaient plutôt achetés par quelques passionnés et les équivalents de nos bobos actuels. N'est pas populaire qui veut.
Mon Edixa-mat CD (cellule cds non couplée) avec un 50mmF2 et 2 systèmes de visée (capuchon à loupe + prisme) m'a coûté environ 750f en 1967... soit presque ce que j'ai gagné en 2 mois de plonge sur la côte ;-)
Encore un privilégié...j'ai dû me contenter d'un Edixa, avec les deux visées malgré tout, mais sans cellule et d'un Iscotar 50/2.8. Pour les mesures, la Sixtino Gossen au sélénium. En 1966, une mob orange "Spéciale 50" coutait environ 1050 francs Un peu avant, un demi-course 220 francs et une place de cinoche 0.80 F. En 1974 le smic était à environ 1300 F, un ouvrier de chez Renault gagnait 1800 F et le Miranda Sensorex II valait moins de 1500 F
En 2009 le smic net est de 1055 euros, une TV HD coute 1200 euros. Les prolos n'en achètent JAMAIS, c'est trop cher (sociologie selon JPR).
Mais bon, à l'époque un vélo demi-course correct et robuste, 8 vitesses et avec raccords inox coûtait environ 400f (chez Peugeot au bas de ma rue).
Cher pour les "classes populaires", dont j'étais, mais pas hors de portée. Juste que ça devait être un choix, pas un caprice. Et à l'époque, on achetait ça pour un peu plus de 6 mois ;-)
Stephane Legras-Decussy
Le 05/03/2010 10:15, Ferdinand Marechal a écrit :
"je comprends pas du tout l'intérêt des photos astronomiques amateur de l'époque... franchement 3 trainées d'étoile, ça rime à quoi ?"
Legras Decussy
A graver au fronton du musée de la bêtise. Gustave Flaubert aurait regretté de ne pas l'avoir inclus dans son dictionnaire.
j'affirme juste (sans prendre grand risque) que cette photo :
http://cjoint.com/?depKDaaH0V
est une merde sans le moindre intérêt technique, ni esthétique...
et le plus délicieux c'est quand l'auteur dit :
"Quant à faire ça sur du numérique ? ? ? ? ?"
Le 05/03/2010 10:15, Ferdinand Marechal a écrit :
"je comprends pas du tout l'intérêt des photos astronomiques
amateur de l'époque...
franchement 3 trainées d'étoile, ça rime à quoi ?"
Legras Decussy
A graver au fronton du musée de la bêtise.
Gustave Flaubert aurait regretté de ne pas l'avoir inclus
dans son dictionnaire.
j'affirme juste (sans prendre grand risque) que cette
photo :
http://cjoint.com/?depKDaaH0V
est une merde sans le moindre intérêt technique,
ni esthétique...
"je comprends pas du tout l'intérêt des photos astronomiques amateur de l'époque... franchement 3 trainées d'étoile, ça rime à quoi ?"
Legras Decussy
A graver au fronton du musée de la bêtise. Gustave Flaubert aurait regretté de ne pas l'avoir inclus dans son dictionnaire.
j'affirme juste (sans prendre grand risque) que cette photo :
http://cjoint.com/?depKDaaH0V
est une merde sans le moindre intérêt technique, ni esthétique...
et le plus délicieux c'est quand l'auteur dit :
"Quant à faire ça sur du numérique ? ? ? ? ?"
Jean-Pierre Roche
Le 05/03/2010 16:44, Ferdinand Marechal a écrit :
En 2009 le smic net est de 1055 euros, une TV HD coute 1200 euros. Les prolos n'en achètent JAMAIS, c'est trop cher (sociologie selon JPR).
MDR ! Sûr que si on mélange les prix avec huit ans d'écart on peut se la jouer. Et si j'ouvre un dépliant de carouf la TV HD j'en ai à 599 euros... Vers 1970, le SMIC devait être vers 800 F et un Pentax Spotmatic boîtier nu vers 1000 F et les "prolos" prêts à mettre donc 1,5 mois de salaire dans un truc de loisir plutôt marginal, il ne devait certainement pas y en avoir beaucoup. L'argent disponible ils le mettaient plutôt dans la bagnole et la télé... Rien de neuf d'ailleurs.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Le 05/03/2010 16:44, Ferdinand Marechal a écrit :
En 2009 le smic net est de 1055 euros, une TV HD coute 1200 euros.
Les prolos n'en achètent JAMAIS, c'est trop cher (sociologie selon JPR).
MDR ! Sûr que si on mélange les prix avec huit ans d'écart
on peut se la jouer. Et si j'ouvre un dépliant de carouf la
TV HD j'en ai à 599 euros...
Vers 1970, le SMIC devait être vers 800 F et un Pentax
Spotmatic boîtier nu vers 1000 F et les "prolos" prêts à
mettre donc 1,5 mois de salaire dans un truc de loisir
plutôt marginal, il ne devait certainement pas y en avoir
beaucoup. L'argent disponible ils le mettaient plutôt dans
la bagnole et la télé... Rien de neuf d'ailleurs.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
enlever sanspub pour m'écrire...
En 2009 le smic net est de 1055 euros, une TV HD coute 1200 euros. Les prolos n'en achètent JAMAIS, c'est trop cher (sociologie selon JPR).
MDR ! Sûr que si on mélange les prix avec huit ans d'écart on peut se la jouer. Et si j'ouvre un dépliant de carouf la TV HD j'en ai à 599 euros... Vers 1970, le SMIC devait être vers 800 F et un Pentax Spotmatic boîtier nu vers 1000 F et les "prolos" prêts à mettre donc 1,5 mois de salaire dans un truc de loisir plutôt marginal, il ne devait certainement pas y en avoir beaucoup. L'argent disponible ils le mettaient plutôt dans la bagnole et la télé... Rien de neuf d'ailleurs.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Jean-Pierre Roche
Le 05/03/2010 16:45, Stephane Legras-Decussy a écrit :
j'affirme juste (sans prendre grand risque) que cette photo :
http://cjoint.com/?depKDaaH0V
est une merde sans le moindre intérêt technique, ni esthétique...
C'était le truc qu'on voyait (en mieux) dans tous les bouquins sur la photo... Coté pédagogique c'était plutôt intéressant mais aller jusqu'à regretter sa disparition...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Le 05/03/2010 16:45, Stephane Legras-Decussy a écrit :
j'affirme juste (sans prendre grand risque) que cette
photo :
http://cjoint.com/?depKDaaH0V
est une merde sans le moindre intérêt technique,
ni esthétique...
C'était le truc qu'on voyait (en mieux) dans tous les
bouquins sur la photo... Coté pédagogique c'était plutôt
intéressant mais aller jusqu'à regretter sa disparition...
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
enlever sanspub pour m'écrire...
Le 05/03/2010 16:45, Stephane Legras-Decussy a écrit :
j'affirme juste (sans prendre grand risque) que cette photo :
http://cjoint.com/?depKDaaH0V
est une merde sans le moindre intérêt technique, ni esthétique...
C'était le truc qu'on voyait (en mieux) dans tous les bouquins sur la photo... Coté pédagogique c'était plutôt intéressant mais aller jusqu'à regretter sa disparition...