Alors si un D7000 sait repérer les visages et choisir le plus proche pour mettre la mise au point dessus (c'est dans la doc),
Comme certains compacts à 100¤ ou certains smartphones aujourd'hui qui savent reconnaitre les visages. Dans la plupart des cas, le point se fait sur l'objet le plus rapproché, les barreaux de la cage du lion par exemple.
système d'équilibrage des flashes, très complexe aussi avec exploitation des distances (c'est aussi dans la doc),
C'est assez simple d'ajuster la durée de l'éclair quand on connait la distance, l'ouverture et la sensibilité. ça se faisait même du temps de l'argentique.
est-ce une hérésie de penser qu'il peut aussi posséder un module de profondeur de champ un peu plus élaboré que la simple exploitation des bornes ?
Tu peux penser... mais on peut être sceptique. Les systèmes de mise au point de nos reflex, à détection de phase ou de contraste, ne "mesurent" pas réellement la distance, ils se contentent de faire bouger les lentilles jusqu'à ce que l'optimum soit atteint sur le collimaeteur sélectionné. Ensuite, c'est l'objectif qui "dit" quelle est la distance en fonction de la position de ses lentilles
GhostRaider a formulé ce lundi :
Alors si un D7000 sait repérer les visages et choisir le plus proche pour
mettre la mise au point dessus (c'est dans la doc),
Comme certains compacts à 100¤ ou certains smartphones aujourd'hui qui
savent reconnaitre les visages.
Dans la plupart des cas, le point se fait sur l'objet le plus
rapproché, les barreaux de la cage du lion par exemple.
système d'équilibrage des flashes, très complexe aussi avec exploitation des
distances (c'est aussi dans la doc),
C'est assez simple d'ajuster la durée de l'éclair quand on connait la
distance, l'ouverture et la sensibilité. ça se faisait même du temps de
l'argentique.
est-ce une hérésie de penser qu'il peut
aussi posséder un module de profondeur de champ un peu plus élaboré que la
simple exploitation des bornes ?
Tu peux penser... mais on peut être sceptique.
Les systèmes de mise au point de nos reflex, à détection de phase ou de
contraste, ne "mesurent" pas réellement la distance, ils se contentent
de faire bouger les lentilles jusqu'à ce que l'optimum soit atteint sur
le collimaeteur sélectionné. Ensuite, c'est l'objectif qui "dit" quelle
est la distance en fonction de la position de ses lentilles
Alors si un D7000 sait repérer les visages et choisir le plus proche pour mettre la mise au point dessus (c'est dans la doc),
Comme certains compacts à 100¤ ou certains smartphones aujourd'hui qui savent reconnaitre les visages. Dans la plupart des cas, le point se fait sur l'objet le plus rapproché, les barreaux de la cage du lion par exemple.
système d'équilibrage des flashes, très complexe aussi avec exploitation des distances (c'est aussi dans la doc),
C'est assez simple d'ajuster la durée de l'éclair quand on connait la distance, l'ouverture et la sensibilité. ça se faisait même du temps de l'argentique.
est-ce une hérésie de penser qu'il peut aussi posséder un module de profondeur de champ un peu plus élaboré que la simple exploitation des bornes ?
Tu peux penser... mais on peut être sceptique. Les systèmes de mise au point de nos reflex, à détection de phase ou de contraste, ne "mesurent" pas réellement la distance, ils se contentent de faire bouger les lentilles jusqu'à ce que l'optimum soit atteint sur le collimaeteur sélectionné. Ensuite, c'est l'objectif qui "dit" quelle est la distance en fonction de la position de ses lentilles
Nul
Le lundi 12 octobre 2015 09:44:20 UTC+2, Jean_ a écrit :
GhostRaider a formulé ce lundi : > Alors si un D7000 sait repérer les visages et choisir le plus proche pour > mettre la mise au point dessus (c'est dans la doc),
Comme certains compacts à 100 EURO ou certains smartphones aujourd'hui qui savent reconnaitre les visages.
non, le principe de Nikon est l'opérateur sélectionne un "visage" et l' APN fait le suivit sur ce "visage", en ce cas, le collimateur ou ensemble d e collimateurs (9 ou 11) est dynamique
Le lundi 12 octobre 2015 09:44:20 UTC+2, Jean_ a écrit :
GhostRaider a formulé ce lundi :
> Alors si un D7000 sait repérer les visages et choisir le plus proche pour
> mettre la mise au point dessus (c'est dans la doc),
Comme certains compacts à 100 EURO ou certains smartphones aujourd'hui qui
savent reconnaitre les visages.
non, le principe de Nikon est l'opérateur sélectionne un "visage" et l' APN fait le suivit sur ce "visage", en ce cas, le collimateur ou ensemble d e collimateurs (9 ou 11) est dynamique
Le lundi 12 octobre 2015 09:44:20 UTC+2, Jean_ a écrit :
GhostRaider a formulé ce lundi : > Alors si un D7000 sait repérer les visages et choisir le plus proche pour > mettre la mise au point dessus (c'est dans la doc),
Comme certains compacts à 100 EURO ou certains smartphones aujourd'hui qui savent reconnaitre les visages.
non, le principe de Nikon est l'opérateur sélectionne un "visage" et l' APN fait le suivit sur ce "visage", en ce cas, le collimateur ou ensemble d e collimateurs (9 ou 11) est dynamique
benoit
Jean_ wrote:
> système d'équilibrage des flashes, très complexe aussi avec exploitation des > distances (c'est aussi dans la doc),
C'est assez simple d'ajuster la durée de l'éclair quand on connait la distance, l'ouverture et la sensibilité. ça se faisait même du temps de l'argentique.
Et comme on connait en plus sa densité de couleur, on sait éclairer différemment un ballon blanc qui sort de l'hôpital, d'un foncé qui rentre de la plage. En plus si je connais la réflectivité (terme juste ?) de mon sujet principal et de la lumière que me renvoie le reste, je peux essayer de limiter le décalage entre le sujet et le fond.
Ne pas obtenir une paire de joues roses dans le noir, mais le visage de quelqu'un assis à contre-jour dans un fauteuil Louis XV avec des murs tapissés de papier peint à motif chargé, mais floral, un piano droit dans le coin avec une collection de bergers allemands en porcelaine sur le dessus (avec un petit tapis à pompons rouge et or pour que la porcelaine ne raye pas le vernis du piano)... ET une hutain de fenêtre à gauche, derrière, lui qui éclaire tout ça lors d'une journée ensoleillée en février dans les Alpes !
Dans ce cas je dois jouer sur pas mal de choses pour avoir une image avec une lumière assez équilibrée entre le sujet principal et le fond. Et je dois savoir qui fait quoi dans cette image, qui est le sujet principal ? Y-a un sujet secondaire ? Est-ce-que j'ai une carte postale en stock-mémoire qui peut servir de modèle pour régler, cadrage, màp, profondeur de champ, vitesse et précipitation ?
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Jean_ <Jeanfra2@_libre_.fr> wrote:
> système d'équilibrage des flashes, très complexe aussi avec exploitation des
> distances (c'est aussi dans la doc),
C'est assez simple d'ajuster la durée de l'éclair quand on connait la
distance, l'ouverture et la sensibilité. ça se faisait même du temps de
l'argentique.
Et comme on connait en plus sa densité de couleur, on sait éclairer
différemment un ballon blanc qui sort de l'hôpital, d'un foncé qui
rentre de la plage. En plus si je connais la réflectivité (terme juste
?) de mon sujet principal et de la lumière que me renvoie le reste, je
peux essayer de limiter le décalage entre le sujet et le fond.
Ne pas obtenir une paire de joues roses dans le noir, mais le visage de
quelqu'un assis à contre-jour dans un fauteuil Louis XV avec des murs
tapissés de papier peint à motif chargé, mais floral, un piano droit
dans le coin avec une collection de bergers allemands en porcelaine sur
le dessus (avec un petit tapis à pompons rouge et or pour que la
porcelaine ne raye pas le vernis du piano)... ET une hutain de fenêtre à
gauche, derrière, lui qui éclaire tout ça lors d'une journée ensoleillée
en février dans les Alpes !
Dans ce cas je dois jouer sur pas mal de choses pour avoir une image
avec une lumière assez équilibrée entre le sujet principal et le fond.
Et je dois savoir qui fait quoi dans cette image, qui est le sujet
principal ? Y-a un sujet secondaire ? Est-ce-que j'ai une carte postale
en stock-mémoire qui peut servir de modèle pour régler, cadrage, màp,
profondeur de champ, vitesse et précipitation ?
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
> système d'équilibrage des flashes, très complexe aussi avec exploitation des > distances (c'est aussi dans la doc),
C'est assez simple d'ajuster la durée de l'éclair quand on connait la distance, l'ouverture et la sensibilité. ça se faisait même du temps de l'argentique.
Et comme on connait en plus sa densité de couleur, on sait éclairer différemment un ballon blanc qui sort de l'hôpital, d'un foncé qui rentre de la plage. En plus si je connais la réflectivité (terme juste ?) de mon sujet principal et de la lumière que me renvoie le reste, je peux essayer de limiter le décalage entre le sujet et le fond.
Ne pas obtenir une paire de joues roses dans le noir, mais le visage de quelqu'un assis à contre-jour dans un fauteuil Louis XV avec des murs tapissés de papier peint à motif chargé, mais floral, un piano droit dans le coin avec une collection de bergers allemands en porcelaine sur le dessus (avec un petit tapis à pompons rouge et or pour que la porcelaine ne raye pas le vernis du piano)... ET une hutain de fenêtre à gauche, derrière, lui qui éclaire tout ça lors d'une journée ensoleillée en février dans les Alpes !
Dans ce cas je dois jouer sur pas mal de choses pour avoir une image avec une lumière assez équilibrée entre le sujet principal et le fond. Et je dois savoir qui fait quoi dans cette image, qui est le sujet principal ? Y-a un sujet secondaire ? Est-ce-que j'ai une carte postale en stock-mémoire qui peut servir de modèle pour régler, cadrage, màp, profondeur de champ, vitesse et précipitation ?
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Jean_
Benoit a écrit :
système d'équilibrage des flashes, très complexe aussi avec exploitation des distances (c'est aussi dans la doc),
C'est assez simple d'ajuster la durée de l'éclair quand on connait la distance, l'ouverture et la sensibilité. ça se faisait même du temps de l'argentique.
Et comme on connait en plus sa densité de couleur, on sait éclairer différemment un ballon blanc qui sort de l'hôpital, d'un foncé qui rentre de la plage. En plus si je connais la réflectivité (terme juste ?) de mon sujet principal et de la lumière que me renvoie le reste, je peux essayer de limiter le décalage entre le sujet et le fond.
Je parlais des automatismes de l'appareil, pas de la volonté du photographe !
Benoit a écrit :
système d'équilibrage des flashes, très complexe aussi avec exploitation
des
distances (c'est aussi dans la doc),
C'est assez simple d'ajuster la durée de l'éclair quand on connait la
distance, l'ouverture et la sensibilité. ça se faisait même du temps de
l'argentique.
Et comme on connait en plus sa densité de couleur, on sait éclairer
différemment un ballon blanc qui sort de l'hôpital, d'un foncé qui
rentre de la plage. En plus si je connais la réflectivité (terme juste
?) de mon sujet principal et de la lumière que me renvoie le reste, je
peux essayer de limiter le décalage entre le sujet et le fond.
Je parlais des automatismes de l'appareil, pas de la volonté du
photographe !
système d'équilibrage des flashes, très complexe aussi avec exploitation des distances (c'est aussi dans la doc),
C'est assez simple d'ajuster la durée de l'éclair quand on connait la distance, l'ouverture et la sensibilité. ça se faisait même du temps de l'argentique.
Et comme on connait en plus sa densité de couleur, on sait éclairer différemment un ballon blanc qui sort de l'hôpital, d'un foncé qui rentre de la plage. En plus si je connais la réflectivité (terme juste ?) de mon sujet principal et de la lumière que me renvoie le reste, je peux essayer de limiter le décalage entre le sujet et le fond.
Je parlais des automatismes de l'appareil, pas de la volonté du photographe !
Charles Vassallo
GhostRaider a écrit :
On peut aussi remarquer que Nikon choisit fort modestement un CoC de 0,02 mn, comme si son capteur APSC ne séparait que 1200 points utiles sur son grand côté. Pourquoi diable y fourre-t-il 4900 pixels ? Etonnant, non ?
Ne raisonne-t-il pas sur le groupe de 4 pixels de la matrice de Bayer ?
Voilà bien des questions pour les spécialistes de céans. Je suis à leur écoute.
Rien de tout ça. Qu'as-tu donc appris à l'école ? Dans les années 70 (1870, j'entends), l'éducation était encore une chose sérieuse, non ?
Rafraichis tes neurones à propos du cercle de confusion. Par exemple http://www.oitregor.com/autres_papiers/pdc/expli.html
Charles
GhostRaider a écrit :
On peut aussi remarquer que Nikon choisit fort modestement un CoC de
0,02 mn, comme si son capteur APSC ne séparait que 1200 points utiles
sur son grand côté. Pourquoi diable y fourre-t-il 4900 pixels ?
Etonnant, non ?
Ne raisonne-t-il pas sur le groupe de 4 pixels de la matrice de Bayer ?
Voilà bien des questions pour les spécialistes de céans.
Je suis à leur écoute.
Rien de tout ça. Qu'as-tu donc appris à l'école ? Dans les années 70
(1870, j'entends), l'éducation était encore une chose sérieuse, non ?
Rafraichis tes neurones à propos du cercle de confusion. Par exemple
http://www.oitregor.com/autres_papiers/pdc/expli.html
On peut aussi remarquer que Nikon choisit fort modestement un CoC de 0,02 mn, comme si son capteur APSC ne séparait que 1200 points utiles sur son grand côté. Pourquoi diable y fourre-t-il 4900 pixels ? Etonnant, non ?
Ne raisonne-t-il pas sur le groupe de 4 pixels de la matrice de Bayer ?
Voilà bien des questions pour les spécialistes de céans. Je suis à leur écoute.
Rien de tout ça. Qu'as-tu donc appris à l'école ? Dans les années 70 (1870, j'entends), l'éducation était encore une chose sérieuse, non ?
Rafraichis tes neurones à propos du cercle de confusion. Par exemple http://www.oitregor.com/autres_papiers/pdc/expli.html
Charles
GhostRaider
Le 12/10/2015 09:04, Pierre-Marcel a écrit :
GhostRaider a pensé très fort :
calcule l'exposition à la perfection.
La seule chose modifiable sont les ISO en fonction de l'histogramme, je suppose.
Pas seulement. On peut modifier le mode d'autofocus : S, C ou A On peut modifier le nombre et l'emplacement des collimateurs On peut corriger ou non les déformations On peut modifier la définition en JPG ...
Le 12/10/2015 09:04, Pierre-Marcel a écrit :
GhostRaider a pensé très fort :
calcule l'exposition à la perfection.
La seule chose modifiable sont les ISO en fonction de l'histogramme, je
suppose.
Pas seulement.
On peut modifier le mode d'autofocus : S, C ou A
On peut modifier le nombre et l'emplacement des collimateurs
On peut corriger ou non les déformations
On peut modifier la définition en JPG
...
La seule chose modifiable sont les ISO en fonction de l'histogramme, je suppose.
Pas seulement. On peut modifier le mode d'autofocus : S, C ou A On peut modifier le nombre et l'emplacement des collimateurs On peut corriger ou non les déformations On peut modifier la définition en JPG ...
Le 11/10/2015 22:02, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 11/10/2015 19:40, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
A la rigueur, on peut prévoir un petit monocylindre *diesel 2 temps*
c'est nouveau ?
Ignoramus...
mieux vaut être ignorant et chercher à savoir, ou être ignorant et faire semblant de savoir et raconter n'importe quoi ?
GhostRaider
Le 12/10/2015 09:44, Jean_ a écrit :
GhostRaider a formulé ce lundi :
Alors si un D7000 sait repérer les visages et choisir le plus proche pour mettre la mise au point dessus (c'est dans la doc),
Comme certains compacts à 100¤ ou certains smartphones aujourd'hui qui savent reconnaitre les visages. Dans la plupart des cas, le point se fait sur l'objet le plus rapproché, les barreaux de la cage du lion par exemple.
Comme le dit Nul ci-après, les visages sont vraiment reconnus par le Nikon.
système d'équilibrage des flashes, très complexe aussi avec exploitation des distances (c'est aussi dans la doc),
C'est assez simple d'ajuster la durée de l'éclair quand on connait la distance, l'ouverture et la sensibilité. ça se faisait même du temps de l'argentique.
C'est très compliqué, et à imaginer, et à comprendre, même avec un simple flash intégré. On a eu des discussions là-dessus, une célèbre participante n'arrivant pas à admettre qu'un flash puisse arriver à éclairer correctement à la fois un premier plan et un lointain. C'est pourtant ce que fait le mode "portrait de nuit" en mode iTTL avec le flash intégré qui exploite les mesures des collimateurs pour régler 4 paramètres : vitesse, diaphragme, distance, puissance du flash (en fait, durée de l'éclair). Avec un système multi-flash, ça se complique encore. Tout est expliqué ici : http://www.nikon.fr/tmp/FR/2419865273/3760176746/2327365364/27184057/1391280926/2780083465/1053240650/2027325250/3244398327/478157088.pdf
Il est possible de faire tout ça "à la main", mais en fait, on garde des réglages fixes sur les flashes secondaires et on ajuste les flashes principaux et l'appareil, ce qui n'est déjà pas simple du tout.
est-ce une hérésie de penser qu'il peut aussi posséder un module de profondeur de champ un peu plus élaboré que la simple exploitation des bornes ?
Tu peux penser... mais on peut être sceptique.
Le doute fait partie de ma méthode de raisonnement aussi. Je n'affirme rien, je m'interroge.
Les systèmes de mise au point de nos reflex, à détection de phase ou de contraste, ne "mesurent" pas réellement la distance, ils se contentent de faire bouger les lentilles jusqu'à ce que l'optimum soit atteint sur le collimaeteur sélectionné. Ensuite, c'est l'objectif qui "dit" quelle est la distance en fonction de la position de ses lentilles
Oui, mais le système à détection de contraste tâtonne : avant, arrière, avant etc.. C'est pour ça qu'il est plus lent par principe. Le système à détection de phase va droit au but, comme d'ailleurs le système à infra-rouge de certains appareils et des flashes.
Le 12/10/2015 09:44, Jean_ a écrit :
GhostRaider a formulé ce lundi :
Alors si un D7000 sait repérer les visages et choisir le plus proche
pour mettre la mise au point dessus (c'est dans la doc),
Comme certains compacts à 100¤ ou certains smartphones aujourd'hui qui
savent reconnaitre les visages.
Dans la plupart des cas, le point se fait sur l'objet le plus rapproché,
les barreaux de la cage du lion par exemple.
Comme le dit Nul ci-après, les visages sont vraiment reconnus par le Nikon.
système d'équilibrage des flashes, très complexe aussi avec
exploitation des distances (c'est aussi dans la doc),
C'est assez simple d'ajuster la durée de l'éclair quand on connait la
distance, l'ouverture et la sensibilité. ça se faisait même du temps de
l'argentique.
C'est très compliqué, et à imaginer, et à comprendre, même avec un
simple flash intégré.
On a eu des discussions là-dessus, une célèbre participante n'arrivant
pas à admettre qu'un flash puisse arriver à éclairer correctement à la
fois un premier plan et un lointain. C'est pourtant ce que fait le mode
"portrait de nuit" en mode iTTL avec le flash intégré qui exploite les
mesures des collimateurs pour régler 4 paramètres : vitesse, diaphragme,
distance, puissance du flash (en fait, durée de l'éclair). Avec un
système multi-flash, ça se complique encore.
Tout est expliqué ici :
http://www.nikon.fr/tmp/FR/2419865273/3760176746/2327365364/27184057/1391280926/2780083465/1053240650/2027325250/3244398327/478157088.pdf
Il est possible de faire tout ça "à la main", mais en fait, on garde des
réglages fixes sur les flashes secondaires et on ajuste les flashes
principaux et l'appareil, ce qui n'est déjà pas simple du tout.
est-ce une hérésie de penser qu'il peut aussi posséder un module de
profondeur de champ un peu plus élaboré que la simple exploitation des
bornes ?
Tu peux penser... mais on peut être sceptique.
Le doute fait partie de ma méthode de raisonnement aussi. Je n'affirme
rien, je m'interroge.
Les systèmes de mise au point de nos reflex, à détection de phase ou de
contraste, ne "mesurent" pas réellement la distance, ils se contentent
de faire bouger les lentilles jusqu'à ce que l'optimum soit atteint sur
le collimaeteur sélectionné. Ensuite, c'est l'objectif qui "dit" quelle
est la distance en fonction de la position de ses lentilles
Oui, mais le système à détection de contraste tâtonne : avant, arrière,
avant etc..
C'est pour ça qu'il est plus lent par principe.
Le système à détection de phase va droit au but, comme d'ailleurs le
système à infra-rouge de certains appareils et des flashes.
Alors si un D7000 sait repérer les visages et choisir le plus proche pour mettre la mise au point dessus (c'est dans la doc),
Comme certains compacts à 100¤ ou certains smartphones aujourd'hui qui savent reconnaitre les visages. Dans la plupart des cas, le point se fait sur l'objet le plus rapproché, les barreaux de la cage du lion par exemple.
Comme le dit Nul ci-après, les visages sont vraiment reconnus par le Nikon.
système d'équilibrage des flashes, très complexe aussi avec exploitation des distances (c'est aussi dans la doc),
C'est assez simple d'ajuster la durée de l'éclair quand on connait la distance, l'ouverture et la sensibilité. ça se faisait même du temps de l'argentique.
C'est très compliqué, et à imaginer, et à comprendre, même avec un simple flash intégré. On a eu des discussions là-dessus, une célèbre participante n'arrivant pas à admettre qu'un flash puisse arriver à éclairer correctement à la fois un premier plan et un lointain. C'est pourtant ce que fait le mode "portrait de nuit" en mode iTTL avec le flash intégré qui exploite les mesures des collimateurs pour régler 4 paramètres : vitesse, diaphragme, distance, puissance du flash (en fait, durée de l'éclair). Avec un système multi-flash, ça se complique encore. Tout est expliqué ici : http://www.nikon.fr/tmp/FR/2419865273/3760176746/2327365364/27184057/1391280926/2780083465/1053240650/2027325250/3244398327/478157088.pdf
Il est possible de faire tout ça "à la main", mais en fait, on garde des réglages fixes sur les flashes secondaires et on ajuste les flashes principaux et l'appareil, ce qui n'est déjà pas simple du tout.
est-ce une hérésie de penser qu'il peut aussi posséder un module de profondeur de champ un peu plus élaboré que la simple exploitation des bornes ?
Tu peux penser... mais on peut être sceptique.
Le doute fait partie de ma méthode de raisonnement aussi. Je n'affirme rien, je m'interroge.
Les systèmes de mise au point de nos reflex, à détection de phase ou de contraste, ne "mesurent" pas réellement la distance, ils se contentent de faire bouger les lentilles jusqu'à ce que l'optimum soit atteint sur le collimaeteur sélectionné. Ensuite, c'est l'objectif qui "dit" quelle est la distance en fonction de la position de ses lentilles
Oui, mais le système à détection de contraste tâtonne : avant, arrière, avant etc.. C'est pour ça qu'il est plus lent par principe. Le système à détection de phase va droit au but, comme d'ailleurs le système à infra-rouge de certains appareils et des flashes.