Le 03/11/2017 à 12:27, Stéphane Legras-Decussy a écrit :
On 03/11/2017 12:19, GhostRaider wrote:
C'est parce que tout le monde peut conduire une voiture, mais tout le monde ne peut pas piloter une moto.
tout le monde peut conduire une moto normalement... sinon c'est aussi du pilotage de grand talent de pousser un scenic aux limites sur le Nurburgring
Non, tout le monde ne peut pas conduire une moto. Déjà, passer le permis, ne pas toucher les limites du couloir en courbe, s'arrêter juste où il faut dans le freinage d'urgence, sans alléger la pression au frein, ce n'est pas pour tout le monde. Et ensuite, conduire une moto dans le trafic actuel, ça demande une attention de tous les instants.>
Et rien qu'à Paris, j'ai fait l'aller-retour au boulot avec ma femme à moto pendant des années. Quand il neige ou même qu'il pleut fort, c'est sportif, crois-moi, avec les bagnoles qui ne te voient pas et qui font des man½uvres inconsidérées.
on ne voit pas un motard car il fait exprès de se tenir dans l'angle mort gauche à 2m de ton coffre... près à remonter la file en te frolant.
Il ne fait pas exprès pour embêter les automobilistes, c'est inévitable s'il te dépasse..
les motards à 6m de mon coffre, au milieu de la chaussée, on les voit parfaitement.
Bien sûr, mais si toute la file pile, il faut que la moto soit décalée. Crois-moi, si les motards roulent entre files, c'est aussi par sécurité.
Le 03/11/2017 à 12:27, Stéphane Legras-Decussy a écrit :
On 03/11/2017 12:19, GhostRaider wrote:
C'est parce que tout le monde peut conduire une voiture, mais tout le
monde ne peut pas piloter une moto.
tout le monde peut conduire une moto normalement... sinon c'est aussi
du pilotage de grand talent de pousser un scenic aux limites sur le
Nurburgring
Non, tout le monde ne peut pas conduire une moto. Déjà, passer le
permis, ne pas toucher les limites du couloir en courbe, s'arrêter juste
où il faut dans le freinage d'urgence, sans alléger la pression au
frein, ce n'est pas pour tout le monde.
Et ensuite, conduire une moto dans le trafic actuel, ça demande une
attention de tous les instants.>
Et rien qu'à Paris, j'ai fait l'aller-retour au boulot avec ma femme à
moto pendant des années. Quand il neige ou même qu'il pleut fort,
c'est sportif, crois-moi, avec les bagnoles qui ne te voient pas et
qui font des man½uvres inconsidérées.
on ne voit pas un motard car il fait exprès de se tenir dans l'angle
mort gauche à 2m de ton coffre... près à remonter la file en te frolant.
Il ne fait pas exprès pour embêter les automobilistes, c'est inévitable
s'il te dépasse..
les motards à 6m de mon coffre, au milieu de la chaussée, on les voit
parfaitement.
Bien sûr, mais si toute la file pile, il faut que la moto soit décalée.
Crois-moi, si les motards roulent entre files, c'est aussi par sécurité.
Le 03/11/2017 à 12:27, Stéphane Legras-Decussy a écrit :
On 03/11/2017 12:19, GhostRaider wrote:
C'est parce que tout le monde peut conduire une voiture, mais tout le monde ne peut pas piloter une moto.
tout le monde peut conduire une moto normalement... sinon c'est aussi du pilotage de grand talent de pousser un scenic aux limites sur le Nurburgring
Non, tout le monde ne peut pas conduire une moto. Déjà, passer le permis, ne pas toucher les limites du couloir en courbe, s'arrêter juste où il faut dans le freinage d'urgence, sans alléger la pression au frein, ce n'est pas pour tout le monde. Et ensuite, conduire une moto dans le trafic actuel, ça demande une attention de tous les instants.>
Et rien qu'à Paris, j'ai fait l'aller-retour au boulot avec ma femme à moto pendant des années. Quand il neige ou même qu'il pleut fort, c'est sportif, crois-moi, avec les bagnoles qui ne te voient pas et qui font des man½uvres inconsidérées.
on ne voit pas un motard car il fait exprès de se tenir dans l'angle mort gauche à 2m de ton coffre... près à remonter la file en te frolant.
Il ne fait pas exprès pour embêter les automobilistes, c'est inévitable s'il te dépasse..
les motards à 6m de mon coffre, au milieu de la chaussée, on les voit parfaitement.
Bien sûr, mais si toute la file pile, il faut que la moto soit décalée. Crois-moi, si les motards roulent entre files, c'est aussi par sécurité.
je ne dis pas que ca n'existe pas, le lien que j'ai cité (de 2011) en trouvait 9, mais c'est epsilon sur le total compare avec le nombre de scooter sur la route...
Oui, l'article date de 2011, donc il est caduc, mais il existe actuellement d'excellentes motos, pas chères, de moyenne cylindrée. C'est une alternative aux scooters, bien plus protecteurs, mais qui ne donnent pas le même plaisir de conduite. C'est autre chose, comme une Porsche versus une Caterham.
Le 03/11/2017 à 11:42, jdd a écrit :
Le 03/11/2017 à 11:05, GhostRaider a écrit :
Il y en a d'autres.
je ne dis pas que ca n'existe pas, le lien que j'ai cité (de 2011) en
trouvait 9, mais c'est epsilon sur le total
compare avec le nombre de scooter sur la route...
Oui, l'article date de 2011, donc il est caduc, mais il existe
actuellement d'excellentes motos, pas chères, de moyenne cylindrée.
C'est une alternative aux scooters, bien plus protecteurs, mais qui ne
donnent pas le même plaisir de conduite. C'est autre chose, comme une
Porsche versus une Caterham.
je ne dis pas que ca n'existe pas, le lien que j'ai cité (de 2011) en trouvait 9, mais c'est epsilon sur le total compare avec le nombre de scooter sur la route...
Oui, l'article date de 2011, donc il est caduc, mais il existe actuellement d'excellentes motos, pas chères, de moyenne cylindrée. C'est une alternative aux scooters, bien plus protecteurs, mais qui ne donnent pas le même plaisir de conduite. C'est autre chose, comme une Porsche versus une Caterham.
GhostRaider
Le 03/11/2017 à 12:31, Stéphane Legras-Decussy a écrit :
On 03/11/2017 12:21, GhostRaider wrote:
Avec un économètre au tableau de bord, tu adaptes ta vitesse au régime moteur qui a la consommation minimum. C'est une belle invention. Ça devrait être obligatoire.
en fait c'est la boite auto qui devrait être obligatoire, car elle sait faire ça.
Oui, parce que les boîtes autos actuelles, sans convertisseur de couple, ne grèvent pas la consommation.
Le 03/11/2017 à 12:31, Stéphane Legras-Decussy a écrit :
On 03/11/2017 12:21, GhostRaider wrote:
Avec un économètre au tableau de bord, tu adaptes ta vitesse au régime
moteur qui a la consommation minimum. C'est une belle invention. Ça
devrait être obligatoire.
en fait c'est la boite auto qui devrait être obligatoire, car elle
sait faire ça.
Oui, parce que les boîtes autos actuelles, sans convertisseur de couple,
ne grèvent pas la consommation.
Le 03/11/2017 à 12:31, Stéphane Legras-Decussy a écrit :
On 03/11/2017 12:21, GhostRaider wrote:
Avec un économètre au tableau de bord, tu adaptes ta vitesse au régime moteur qui a la consommation minimum. C'est une belle invention. Ça devrait être obligatoire.
en fait c'est la boite auto qui devrait être obligatoire, car elle sait faire ça.
Oui, parce que les boîtes autos actuelles, sans convertisseur de couple, ne grèvent pas la consommation.
efji
Le 03/11/2017 à 12:20, Pierre Maurette a écrit :
Stéphane Legras-Decussy :
On 01/11/2017 10:55, Thierry Houx wrote:
Un temps d'accélération plus court permet de limiter la consommation
oui mais non, car pour un temps divisé par 2, tu as au moins consommé x4 (en réalité c'est surement x10)
C'est facile d'être plus précis. La question est: est-il intéressant d'accélérer fort pour parcourir *une distance donnée* sur un plan purement énergétique ? La consommation d'énergie sera : - l'énergie cinétique acquise, au final toujours la même, et en général faible par rapport à: - l'énergie de roulement, essentiellement aérodynamique, c'est à dire la somme du travail de la force de résistance de l'air par élément de distance. Cette résistance est plus ou moins en v², ce n'est pas fondamental. On représente la distance d en abcisse, et v² en ordonnée (le truc est de ne pas représenter le temps). On va dessiner la courbe dans le cas d'une accélération initiale constante, puis nulle. Petite facilité: dans ces conditions, v²/d est constant (égal à l'accélération), donc on peut dessiner des segments de droites. On voit bien que quand on va passer d'une accélération infinie à une accélération permettant d'atteindre la vitesse visée juste à la fin, on va passer d'un rectangle à un triangle rectangle, en général un trapèze rectangle plus ou moins pentu. L'énergie consommée est l'intégrale des k.v².delta(t), bref, la surface de notre trapèze. CQFD, non ? Après, on peut tout discuter, y'en a qui aiment. Pour ce qui est de l'énergie dépensée en v², on peut s'être trompé, de toutes façons elle est en f(v) (fortement) croissante et le binz s'applique. Il faut également ajouter un débours constant par unité de temps. Mais c'est de l'ordre de la consommation à vide, réellement négligeable, sauf si on met deux heures pour faire 300m dans un embouteillage.
Bon, je n'ai pas compris grand chose à ce raisonnement qui à mon avis fait fi du mode de fonctionnement du moteur. Ce qui est certain c'est que pour les courses "éco-marathon" (faire le maximum de kilomètres avec 1 litre, les meilleurs font plus de 4000 km) la stratégie est d'accélérer le plus doucement possible. D'ailleurs il n'y a pas d'accélérateur sur ces voitures ni de frein, juste un bouton on/off. -- F.J.
Le 03/11/2017 à 12:20, Pierre Maurette a écrit :
Stéphane Legras-Decussy :
On 01/11/2017 10:55, Thierry Houx wrote:
Un temps d'accélération plus court permet de limiter la consommation
oui mais non, car pour un temps divisé par 2, tu as au moins consommé x4
(en réalité c'est surement x10)
C'est facile d'être plus précis. La question est: est-il intéressant
d'accélérer fort pour parcourir *une distance donnée* sur un plan
purement énergétique ?
La consommation d'énergie sera :
- l'énergie cinétique acquise, au final toujours la même, et en général
faible par rapport à:
- l'énergie de roulement, essentiellement aérodynamique, c'est à dire la
somme du travail de la force de résistance de l'air par élément de
distance.
Cette résistance est plus ou moins en v², ce n'est pas fondamental.
On représente la distance d en abcisse, et v² en ordonnée (le truc est
de ne pas représenter le temps). On va dessiner la courbe dans le cas
d'une accélération initiale constante, puis nulle. Petite facilité: dans
ces conditions, v²/d est constant (égal à l'accélération), donc on peut
dessiner des segments de droites.
On voit bien que quand on va passer d'une accélération infinie à une
accélération permettant d'atteindre la vitesse visée juste à la fin, on
va passer d'un rectangle à un triangle rectangle, en général un trapèze
rectangle plus ou moins pentu.
L'énergie consommée est l'intégrale des k.v².delta(t), bref, la surface
de notre trapèze.
CQFD, non ?
Après, on peut tout discuter, y'en a qui aiment. Pour ce qui est de
l'énergie dépensée en v², on peut s'être trompé, de toutes façons elle
est en f(v) (fortement) croissante et le binz s'applique. Il faut
également ajouter un débours constant par unité de temps. Mais c'est de
l'ordre de la consommation à vide, réellement négligeable, sauf si on
met deux heures pour faire 300m dans un embouteillage.
Bon, je n'ai pas compris grand chose à ce raisonnement qui à mon avis
fait fi du mode de fonctionnement du moteur.
Ce qui est certain c'est que pour les courses "éco-marathon" (faire le
maximum de kilomètres avec 1 litre, les meilleurs font plus de 4000 km)
la stratégie est d'accélérer le plus doucement possible. D'ailleurs il
n'y a pas d'accélérateur sur ces voitures ni de frein, juste un bouton
on/off.
Un temps d'accélération plus court permet de limiter la consommation
oui mais non, car pour un temps divisé par 2, tu as au moins consommé x4 (en réalité c'est surement x10)
C'est facile d'être plus précis. La question est: est-il intéressant d'accélérer fort pour parcourir *une distance donnée* sur un plan purement énergétique ? La consommation d'énergie sera : - l'énergie cinétique acquise, au final toujours la même, et en général faible par rapport à: - l'énergie de roulement, essentiellement aérodynamique, c'est à dire la somme du travail de la force de résistance de l'air par élément de distance. Cette résistance est plus ou moins en v², ce n'est pas fondamental. On représente la distance d en abcisse, et v² en ordonnée (le truc est de ne pas représenter le temps). On va dessiner la courbe dans le cas d'une accélération initiale constante, puis nulle. Petite facilité: dans ces conditions, v²/d est constant (égal à l'accélération), donc on peut dessiner des segments de droites. On voit bien que quand on va passer d'une accélération infinie à une accélération permettant d'atteindre la vitesse visée juste à la fin, on va passer d'un rectangle à un triangle rectangle, en général un trapèze rectangle plus ou moins pentu. L'énergie consommée est l'intégrale des k.v².delta(t), bref, la surface de notre trapèze. CQFD, non ? Après, on peut tout discuter, y'en a qui aiment. Pour ce qui est de l'énergie dépensée en v², on peut s'être trompé, de toutes façons elle est en f(v) (fortement) croissante et le binz s'applique. Il faut également ajouter un débours constant par unité de temps. Mais c'est de l'ordre de la consommation à vide, réellement négligeable, sauf si on met deux heures pour faire 300m dans un embouteillage.
Bon, je n'ai pas compris grand chose à ce raisonnement qui à mon avis fait fi du mode de fonctionnement du moteur. Ce qui est certain c'est que pour les courses "éco-marathon" (faire le maximum de kilomètres avec 1 litre, les meilleurs font plus de 4000 km) la stratégie est d'accélérer le plus doucement possible. D'ailleurs il n'y a pas d'accélérateur sur ces voitures ni de frein, juste un bouton on/off. -- F.J.
Claudio Bonavolta
Le 03.11.2017 à 12:20, Pierre Maurette a écrit :
Stéphane Legras-Decussy :
On 01/11/2017 10:55, Thierry Houx wrote:
Un temps d'accélération plus court permet de limiter la consommation
oui mais non, car pour un temps divisé par 2, tu as au moins consommé x4 (en réalité c'est surement x10)
C'est facile d'être plus précis. La question est: est-il intéressant d'accélérer fort pour parcourir *une distance donnée* sur un plan purement énergétique ? La consommation d'énergie sera : - l'énergie cinétique acquise, au final toujours la même, et en général faible par rapport à: - l'énergie de roulement, essentiellement aérodynamique, c'est à dire la somme du travail de la force de résistance de l'air par élément de distance. Cette résistance est plus ou moins en v², ce n'est pas fondamental. On représente la distance d en abcisse, et v² en ordonnée (le truc est de ne pas représenter le temps). On va dessiner la courbe dans le cas d'une accélération initiale constante, puis nulle. Petite facilité: dans ces conditions, v²/d est constant (égal à l'accélération), donc on peut dessiner des segments de droites. On voit bien que quand on va passer d'une accélération infinie à une accélération permettant d'atteindre la vitesse visée juste à la fin, on va passer d'un rectangle à un triangle rectangle, en général un trapèze rectangle plus ou moins pentu. L'énergie consommée est l'intégrale des k.v².delta(t), bref, la surface de notre trapèze. CQFD, non ? Après, on peut tout discuter, y'en a qui aiment. Pour ce qui est de l'énergie dépensée en v², on peut s'être trompé, de toutes façons elle est en f(v) (fortement) croissante et le binz s'applique. Il faut également ajouter un débours constant par unité de temps. Mais c'est de l'ordre de la consommation à vide, réellement négligeable, sauf si on met deux heures pour faire 300m dans un embouteillage.
L'idée d'une accélération franche est de pouvoir passer rapidement sur un rapport long (et d'y rester aussi longtemps que possible): <http://www.ecodrive.ch/fr/tipps/pw/ameliorer-sa-conduite/passer-rapidement-le-rapport-superieur-rouler-avec-un-rapport-/> Après, vous faites ce que vous voulez ... :-) Claudio Bonavolta www.bonavolta.ch --- This email has been checked for viruses by AVG. http://www.avg.com
Le 03.11.2017 à 12:20, Pierre Maurette a écrit :
Stéphane Legras-Decussy :
On 01/11/2017 10:55, Thierry Houx wrote:
Un temps d'accélération plus court permet de limiter la consommation
oui mais non, car pour un temps divisé par 2, tu as au moins consommé x4
(en réalité c'est surement x10)
C'est facile d'être plus précis. La question est: est-il intéressant
d'accélérer fort pour parcourir *une distance donnée* sur un plan
purement énergétique ?
La consommation d'énergie sera :
- l'énergie cinétique acquise, au final toujours la même, et en général
faible par rapport à:
- l'énergie de roulement, essentiellement aérodynamique, c'est à dire la
somme du travail de la force de résistance de l'air par élément de
distance.
Cette résistance est plus ou moins en v², ce n'est pas fondamental.
On représente la distance d en abcisse, et v² en ordonnée (le truc est
de ne pas représenter le temps). On va dessiner la courbe dans le cas
d'une accélération initiale constante, puis nulle. Petite facilité: dans
ces conditions, v²/d est constant (égal à l'accélération), donc on peut
dessiner des segments de droites.
On voit bien que quand on va passer d'une accélération infinie à une
accélération permettant d'atteindre la vitesse visée juste à la fin, on
va passer d'un rectangle à un triangle rectangle, en général un trapèze
rectangle plus ou moins pentu.
L'énergie consommée est l'intégrale des k.v².delta(t), bref, la surface
de notre trapèze.
CQFD, non ?
Après, on peut tout discuter, y'en a qui aiment. Pour ce qui est de
l'énergie dépensée en v², on peut s'être trompé, de toutes façons elle
est en f(v) (fortement) croissante et le binz s'applique. Il faut
également ajouter un débours constant par unité de temps. Mais c'est de
l'ordre de la consommation à vide, réellement négligeable, sauf si on
met deux heures pour faire 300m dans un embouteillage.
L'idée d'une accélération franche est de pouvoir passer rapidement sur
un rapport long (et d'y rester aussi longtemps que possible):
<http://www.ecodrive.ch/fr/tipps/pw/ameliorer-sa-conduite/passer-rapidement-le-rapport-superieur-rouler-avec-un-rapport-/>
Après, vous faites ce que vous voulez ... :-)
Claudio Bonavolta
www.bonavolta.ch
---
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http://www.avg.com
Un temps d'accélération plus court permet de limiter la consommation
oui mais non, car pour un temps divisé par 2, tu as au moins consommé x4 (en réalité c'est surement x10)
C'est facile d'être plus précis. La question est: est-il intéressant d'accélérer fort pour parcourir *une distance donnée* sur un plan purement énergétique ? La consommation d'énergie sera : - l'énergie cinétique acquise, au final toujours la même, et en général faible par rapport à: - l'énergie de roulement, essentiellement aérodynamique, c'est à dire la somme du travail de la force de résistance de l'air par élément de distance. Cette résistance est plus ou moins en v², ce n'est pas fondamental. On représente la distance d en abcisse, et v² en ordonnée (le truc est de ne pas représenter le temps). On va dessiner la courbe dans le cas d'une accélération initiale constante, puis nulle. Petite facilité: dans ces conditions, v²/d est constant (égal à l'accélération), donc on peut dessiner des segments de droites. On voit bien que quand on va passer d'une accélération infinie à une accélération permettant d'atteindre la vitesse visée juste à la fin, on va passer d'un rectangle à un triangle rectangle, en général un trapèze rectangle plus ou moins pentu. L'énergie consommée est l'intégrale des k.v².delta(t), bref, la surface de notre trapèze. CQFD, non ? Après, on peut tout discuter, y'en a qui aiment. Pour ce qui est de l'énergie dépensée en v², on peut s'être trompé, de toutes façons elle est en f(v) (fortement) croissante et le binz s'applique. Il faut également ajouter un débours constant par unité de temps. Mais c'est de l'ordre de la consommation à vide, réellement négligeable, sauf si on met deux heures pour faire 300m dans un embouteillage.
L'idée d'une accélération franche est de pouvoir passer rapidement sur un rapport long (et d'y rester aussi longtemps que possible): <http://www.ecodrive.ch/fr/tipps/pw/ameliorer-sa-conduite/passer-rapidement-le-rapport-superieur-rouler-avec-un-rapport-/> Après, vous faites ce que vous voulez ... :-) Claudio Bonavolta www.bonavolta.ch --- This email has been checked for viruses by AVG. http://www.avg.com
Alf92
jdd :
Le 03/11/2017 à 11:53, Stéphane Legras-Decussy a écrit :
le pire truc ça doit être le Tmax débridé, y'en a des tonnes dans les grandes villes.
jamais vu sur Toulouse, même pas chez les terroristes :-(
pas possible. à Paris/RP il n'y a que ça. un TMax non bricolé ça n'existe pas.
jdd :
Le 03/11/2017 à 11:53, Stéphane Legras-Decussy a écrit :
le pire truc ça doit être le Tmax débridé, y'en a des tonnes dans les
grandes villes.
jamais vu sur Toulouse, même pas chez les terroristes :-(
pas possible.
à Paris/RP il n'y a que ça. un TMax non bricolé ça n'existe pas.
""Barnabé"" a écrit dans le message de groupe de discussion : 1newxnk.1co645c5ohaa2N% Gilles 80rt wrote:
Monsieur et Madame Lefrigo ont 5 fils...
;-D
"Le calembour est la fiente de l'esprit qui vole" Celui là est très imaginatif. :o)
Gilles 80rt
Le 03/11/2017 à 12:36, GhostRaider a écrit :
Et le gazole coûte maintenant presque aussi cher que l'essence, donc, question coût de carburant au 100, le diesel n'a plus d'avantage.
Ben quand même si parce que la consommation spécifique d'un diesel est inférieure à celle d'un essence en raison du potentiel énergétique plus important du gazole.
Mais la consommation n'est qu'un aspect qui devient mineur. Pour atteindre ces basses consommations, il faut accepter d'acheter des modèles récents qui se déprécient à vitesse V, bien plus chers qu'une vieille bagnole qui bon an mal ne se déprécie plus que lentement. Et je ne parle pas des turbos, compresseurs, volants-moteurs bi-masse, injection d'urée et autres perfectionnements qui coûtent très cher en cas de panne, sans compter l'entretien courant du diesel, plus cher.
Donc on en revient à la conclusion que la seule solution économique c'est un bon vieux diesel des années 90, qui fait ses 5.5l/100 pour 95 CV et qui va faire ses 350 000 km sans autres frais que les pneus et les vidanges. Sans compter l'économie de ressources faite en ne jetant pas un objet fonctionnel pour le remplacer par un tout neuf. Et tant pis pour ces chochottes de parigots délicats des bronches, quand on veut vivre dans le plus bêêêêl endroit du môôôônde, faut savoir faire des sacrifices ;-) -- Gilles (Audois... mais pas à l'oeil ! )
Le 03/11/2017 à 12:36, GhostRaider a écrit :
Et le gazole coûte maintenant presque aussi cher que l'essence, donc,
question coût de carburant au 100, le diesel n'a plus d'avantage.
Ben quand même si parce que la consommation spécifique d'un diesel est
inférieure à celle d'un essence en raison du potentiel énergétique plus
important du gazole.
Mais la consommation n'est qu'un aspect qui devient mineur. Pour
atteindre ces basses consommations, il faut accepter d'acheter des
modèles récents qui se déprécient à vitesse V, bien plus chers qu'une
vieille bagnole qui bon an mal ne se déprécie plus que lentement.
Et je ne parle pas des turbos, compresseurs, volants-moteurs bi-masse,
injection d'urée et autres perfectionnements qui coûtent très cher en
cas de panne, sans compter l'entretien courant du diesel, plus cher.
Donc on en revient à la conclusion que la seule solution économique
c'est un bon vieux diesel des années 90, qui fait ses 5.5l/100 pour 95
CV et qui va faire ses 350 000 km sans autres frais que les pneus et les
vidanges. Sans compter l'économie de ressources faite en ne jetant pas
un objet fonctionnel pour le remplacer par un tout neuf.
Et tant pis pour ces chochottes de parigots délicats des bronches, quand
on veut vivre dans le plus bêêêêl endroit du môôôônde, faut savoir faire
des sacrifices
Et le gazole coûte maintenant presque aussi cher que l'essence, donc, question coût de carburant au 100, le diesel n'a plus d'avantage.
Ben quand même si parce que la consommation spécifique d'un diesel est inférieure à celle d'un essence en raison du potentiel énergétique plus important du gazole.
Mais la consommation n'est qu'un aspect qui devient mineur. Pour atteindre ces basses consommations, il faut accepter d'acheter des modèles récents qui se déprécient à vitesse V, bien plus chers qu'une vieille bagnole qui bon an mal ne se déprécie plus que lentement. Et je ne parle pas des turbos, compresseurs, volants-moteurs bi-masse, injection d'urée et autres perfectionnements qui coûtent très cher en cas de panne, sans compter l'entretien courant du diesel, plus cher.
Donc on en revient à la conclusion que la seule solution économique c'est un bon vieux diesel des années 90, qui fait ses 5.5l/100 pour 95 CV et qui va faire ses 350 000 km sans autres frais que les pneus et les vidanges. Sans compter l'économie de ressources faite en ne jetant pas un objet fonctionnel pour le remplacer par un tout neuf. Et tant pis pour ces chochottes de parigots délicats des bronches, quand on veut vivre dans le plus bêêêêl endroit du môôôônde, faut savoir faire des sacrifices ;-) -- Gilles (Audois... mais pas à l'oeil ! )