Le 16/01/2021 Í 14:04, Jacques DASSIÉ a écrit :Dans son message précédent, Ghost-Raider a écrit :Le 16/01/2021 Í 09:50, efji a écrit :Le 16/01/2021 Í 09:46, Birdy a écrit :la proposition de droits était dérisoire.
Sauf si on s'appelle Houellebecq ou Nothomb, les droits sont toujours
dérisoires. Genre 4% sur un roman.
Pour les ouvrages techniques, c'est plus. J'ai signé des contrats Í
10% pour l'ensemble des auteurs au prorata du nombre de pages et 2,5
% en plus pour le directeur de l'ouvrage.
Je confirme. Toutes mes publications sont Í 10 %. (Technip, CroÍ®t-vif,
Sutton, etc).
Mais sur le plan financier, les articles dans des revues rapportent
beaucoup plus.
Ca dépend ce que tu appelles revues.
Pour les revues scientifiques avec comité de lecture, les auteurs ne
touchent rien évidemment, mais en plus ils cèdent tous leurs droits pour
tout support pour l'éternité (i.e. ils n'ont pas le droit de mettre leur
travail Í disposition gratuitement sur leur site). Les abonnements Í ces
revues coÍ»tent entre 1000¤ et 30000¤/ans, avec des augmentations
régulières depuis plusieurs années de l'ordre de 10 Í 15% par an. Pour
ce prix les éditeurs ne fournissent quasiment plus aucun travail puisque
les versions papier ont disparu et les articles arrivent déjÍ tout
formatés par les auteurs. Le processus d'évaluation est aussi gratuit et
fait par la communauté. Les 2 éditeurs scientifiques qui dominent le
marché sont Elsevier et Springer et font partie des compagnies les plus
lucratives au monde.
Mais ça c'était le monde d'avant. Ils ont trouvé encore mieux : ça
s'appelle le "free access" ou le "golden access". On inverse le poids du
coÍ»t (mais ce sont toujours les mêmes qui palpent in fine) : plus
d'abonnement, donc accès gratuit, mais les auteurs payent pour être
publiés, de l'ordre de 1000$ Í 3000$ par article. Ca évite les sites
pirates et les vilains scientifiques qui donnent gratuitement leurs
articles ou en publient des clones - dits "versions préliminaires" - sur
des sites libres, tout en maximisant les profits. On estime que si ce
système était généralisée, la facture pour les institutions
scientifiques en France triplerait.
Le 16/01/2021 Í 14:04, Jacques DASSIÉ a écrit :
Dans son message précédent, Ghost-Raider a écrit :
Le 16/01/2021 Í 09:50, efji a écrit :
Le 16/01/2021 Í 09:46, Birdy a écrit :
la proposition de droits était dérisoire.
Sauf si on s'appelle Houellebecq ou Nothomb, les droits sont toujours
dérisoires. Genre 4% sur un roman.
Pour les ouvrages techniques, c'est plus. J'ai signé des contrats Í
10% pour l'ensemble des auteurs au prorata du nombre de pages et 2,5
% en plus pour le directeur de l'ouvrage.
Je confirme. Toutes mes publications sont Í 10 %. (Technip, CroÍ®t-vif,
Sutton, etc).
Mais sur le plan financier, les articles dans des revues rapportent
beaucoup plus.
Ca dépend ce que tu appelles revues.
Pour les revues scientifiques avec comité de lecture, les auteurs ne
touchent rien évidemment, mais en plus ils cèdent tous leurs droits pour
tout support pour l'éternité (i.e. ils n'ont pas le droit de mettre leur
travail Í disposition gratuitement sur leur site). Les abonnements Í ces
revues coÍ»tent entre 1000¤ et 30000¤/ans, avec des augmentations
régulières depuis plusieurs années de l'ordre de 10 Í 15% par an. Pour
ce prix les éditeurs ne fournissent quasiment plus aucun travail puisque
les versions papier ont disparu et les articles arrivent déjÍ tout
formatés par les auteurs. Le processus d'évaluation est aussi gratuit et
fait par la communauté. Les 2 éditeurs scientifiques qui dominent le
marché sont Elsevier et Springer et font partie des compagnies les plus
lucratives au monde.
Mais ça c'était le monde d'avant. Ils ont trouvé encore mieux : ça
s'appelle le "free access" ou le "golden access". On inverse le poids du
coÍ»t (mais ce sont toujours les mêmes qui palpent in fine) : plus
d'abonnement, donc accès gratuit, mais les auteurs payent pour être
publiés, de l'ordre de 1000$ Í 3000$ par article. Ca évite les sites
pirates et les vilains scientifiques qui donnent gratuitement leurs
articles ou en publient des clones - dits "versions préliminaires" - sur
des sites libres, tout en maximisant les profits. On estime que si ce
système était généralisée, la facture pour les institutions
scientifiques en France triplerait.
Le 16/01/2021 Í 14:04, Jacques DASSIÉ a écrit :Dans son message précédent, Ghost-Raider a écrit :Le 16/01/2021 Í 09:50, efji a écrit :Le 16/01/2021 Í 09:46, Birdy a écrit :la proposition de droits était dérisoire.
Sauf si on s'appelle Houellebecq ou Nothomb, les droits sont toujours
dérisoires. Genre 4% sur un roman.
Pour les ouvrages techniques, c'est plus. J'ai signé des contrats Í
10% pour l'ensemble des auteurs au prorata du nombre de pages et 2,5
% en plus pour le directeur de l'ouvrage.
Je confirme. Toutes mes publications sont Í 10 %. (Technip, CroÍ®t-vif,
Sutton, etc).
Mais sur le plan financier, les articles dans des revues rapportent
beaucoup plus.
Ca dépend ce que tu appelles revues.
Pour les revues scientifiques avec comité de lecture, les auteurs ne
touchent rien évidemment, mais en plus ils cèdent tous leurs droits pour
tout support pour l'éternité (i.e. ils n'ont pas le droit de mettre leur
travail Í disposition gratuitement sur leur site). Les abonnements Í ces
revues coÍ»tent entre 1000¤ et 30000¤/ans, avec des augmentations
régulières depuis plusieurs années de l'ordre de 10 Í 15% par an. Pour
ce prix les éditeurs ne fournissent quasiment plus aucun travail puisque
les versions papier ont disparu et les articles arrivent déjÍ tout
formatés par les auteurs. Le processus d'évaluation est aussi gratuit et
fait par la communauté. Les 2 éditeurs scientifiques qui dominent le
marché sont Elsevier et Springer et font partie des compagnies les plus
lucratives au monde.
Mais ça c'était le monde d'avant. Ils ont trouvé encore mieux : ça
s'appelle le "free access" ou le "golden access". On inverse le poids du
coÍ»t (mais ce sont toujours les mêmes qui palpent in fine) : plus
d'abonnement, donc accès gratuit, mais les auteurs payent pour être
publiés, de l'ordre de 1000$ Í 3000$ par article. Ca évite les sites
pirates et les vilains scientifiques qui donnent gratuitement leurs
articles ou en publient des clones - dits "versions préliminaires" - sur
des sites libres, tout en maximisant les profits. On estime que si ce
système était généralisée, la facture pour les institutions
scientifiques en France triplerait.
Le 16/01/2021 14:21, efji a écrit :Le 16/01/2021 Í 14:04, Jacques DASSIÉ a écrit :Dans son message précédent, Ghost-Raider a écrit :Le 16/01/2021 Í 09:50, efji a écrit :Le 16/01/2021 Í 09:46, Birdy a écrit :la proposition de droits était dérisoire.
Sauf si on s'appelle Houellebecq ou Nothomb, les droits sont toujours
dérisoires. Genre 4% sur un roman.
Pour les ouvrages techniques, c'est plus. J'ai signé des contrats Í
10% pour l'ensemble des auteurs au prorata du nombre de pages et 2,5
% en plus pour le directeur de l'ouvrage.
Je confirme. Toutes mes publications sont Í 10 %. (Technip, CroÍ®t-vif,
Sutton, etc).
Mais sur le plan financier, les articles dans des revues rapportent
beaucoup plus.
Ca dépend ce que tu appelles revues.
Pour les revues scientifiques avec comité de lecture, les auteurs ne
touchent rien évidemment, mais en plus ils cèdent tous leurs droits pour
tout support pour l'éternité (i.e. ils n'ont pas le droit de mettre leur
travail Í disposition gratuitement sur leur site). Les abonnements Í ces
revues coÍ»tent entre 1000¤ et 30000¤/ans, avec des augmentations
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ce prix les éditeurs ne fournissent quasiment plus aucun travail puisque
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marché sont Elsevier et Springer et font partie des compagnies les plus
lucratives au monde.
Mais ça c'était le monde d'avant. Ils ont trouvé encore mieux : ça
s'appelle le "free access" ou le "golden access". On inverse le poids du
coÍ»t (mais ce sont toujours les mêmes qui palpent in fine) : plus
d'abonnement, donc accès gratuit, mais les auteurs payent pour être
publiés, de l'ordre de 1000$ Í 3000$ par article. Ca évite les sites
pirates et les vilains scientifiques qui donnent gratuitement leurs
articles ou en publient des clones - dits "versions préliminaires" - sur
des sites libres, tout en maximisant les profits. On estime que si ce
système était généralisée, la facture pour les institutions
scientifiques en France triplerait.
ya personne pour creer une sorte de wikipedia de l'article scientifique ?
Le 16/01/2021 14:21, efji a écrit :
Le 16/01/2021 Í 14:04, Jacques DASSIÉ a écrit :
Dans son message précédent, Ghost-Raider a écrit :
Le 16/01/2021 Í 09:50, efji a écrit :
Le 16/01/2021 Í 09:46, Birdy a écrit :
la proposition de droits était dérisoire.
Sauf si on s'appelle Houellebecq ou Nothomb, les droits sont toujours
dérisoires. Genre 4% sur un roman.
Pour les ouvrages techniques, c'est plus. J'ai signé des contrats Í
10% pour l'ensemble des auteurs au prorata du nombre de pages et 2,5
% en plus pour le directeur de l'ouvrage.
Je confirme. Toutes mes publications sont Í 10 %. (Technip, CroÍ®t-vif,
Sutton, etc).
Mais sur le plan financier, les articles dans des revues rapportent
beaucoup plus.
Ca dépend ce que tu appelles revues.
Pour les revues scientifiques avec comité de lecture, les auteurs ne
touchent rien évidemment, mais en plus ils cèdent tous leurs droits pour
tout support pour l'éternité (i.e. ils n'ont pas le droit de mettre leur
travail Í disposition gratuitement sur leur site). Les abonnements Í ces
revues coÍ»tent entre 1000¤ et 30000¤/ans, avec des augmentations
régulières depuis plusieurs années de l'ordre de 10 Í 15% par an. Pour
ce prix les éditeurs ne fournissent quasiment plus aucun travail puisque
les versions papier ont disparu et les articles arrivent déjÍ tout
formatés par les auteurs. Le processus d'évaluation est aussi gratuit et
fait par la communauté. Les 2 éditeurs scientifiques qui dominent le
marché sont Elsevier et Springer et font partie des compagnies les plus
lucratives au monde.
Mais ça c'était le monde d'avant. Ils ont trouvé encore mieux : ça
s'appelle le "free access" ou le "golden access". On inverse le poids du
coÍ»t (mais ce sont toujours les mêmes qui palpent in fine) : plus
d'abonnement, donc accès gratuit, mais les auteurs payent pour être
publiés, de l'ordre de 1000$ Í 3000$ par article. Ca évite les sites
pirates et les vilains scientifiques qui donnent gratuitement leurs
articles ou en publient des clones - dits "versions préliminaires" - sur
des sites libres, tout en maximisant les profits. On estime que si ce
système était généralisée, la facture pour les institutions
scientifiques en France triplerait.
ya personne pour creer une sorte de wikipedia de l'article scientifique ?
Le 16/01/2021 14:21, efji a écrit :Le 16/01/2021 Í 14:04, Jacques DASSIÉ a écrit :Dans son message précédent, Ghost-Raider a écrit :Le 16/01/2021 Í 09:50, efji a écrit :Le 16/01/2021 Í 09:46, Birdy a écrit :la proposition de droits était dérisoire.
Sauf si on s'appelle Houellebecq ou Nothomb, les droits sont toujours
dérisoires. Genre 4% sur un roman.
Pour les ouvrages techniques, c'est plus. J'ai signé des contrats Í
10% pour l'ensemble des auteurs au prorata du nombre de pages et 2,5
% en plus pour le directeur de l'ouvrage.
Je confirme. Toutes mes publications sont Í 10 %. (Technip, CroÍ®t-vif,
Sutton, etc).
Mais sur le plan financier, les articles dans des revues rapportent
beaucoup plus.
Ca dépend ce que tu appelles revues.
Pour les revues scientifiques avec comité de lecture, les auteurs ne
touchent rien évidemment, mais en plus ils cèdent tous leurs droits pour
tout support pour l'éternité (i.e. ils n'ont pas le droit de mettre leur
travail Í disposition gratuitement sur leur site). Les abonnements Í ces
revues coÍ»tent entre 1000¤ et 30000¤/ans, avec des augmentations
régulières depuis plusieurs années de l'ordre de 10 Í 15% par an. Pour
ce prix les éditeurs ne fournissent quasiment plus aucun travail puisque
les versions papier ont disparu et les articles arrivent déjÍ tout
formatés par les auteurs. Le processus d'évaluation est aussi gratuit et
fait par la communauté. Les 2 éditeurs scientifiques qui dominent le
marché sont Elsevier et Springer et font partie des compagnies les plus
lucratives au monde.
Mais ça c'était le monde d'avant. Ils ont trouvé encore mieux : ça
s'appelle le "free access" ou le "golden access". On inverse le poids du
coÍ»t (mais ce sont toujours les mêmes qui palpent in fine) : plus
d'abonnement, donc accès gratuit, mais les auteurs payent pour être
publiés, de l'ordre de 1000$ Í 3000$ par article. Ca évite les sites
pirates et les vilains scientifiques qui donnent gratuitement leurs
articles ou en publient des clones - dits "versions préliminaires" - sur
des sites libres, tout en maximisant les profits. On estime que si ce
système était généralisée, la facture pour les institutions
scientifiques en France triplerait.
ya personne pour creer une sorte de wikipedia de l'article scientifique ?
Le 16/01/2021 Í 15:30, jdd a écrit :Le 16/01/2021 Í 14:21, efji a écrit :des sites libres, tout en maximisant les profits. On estime que si ce
système était généralisée, la facture pour les institutions
scientifiques en France triplerait.
si les cochons paient, pourquoi se gêner?
Les "cochons" en question font ce qu'ils peuvent. Accessoirement
certains mettent au point un vaccin en moins d'un an pour un virus
totalement nouveau. Merci de les respecter.
Le 16/01/2021 Í 15:30, jdd a écrit :
Le 16/01/2021 Í 14:21, efji a écrit :
des sites libres, tout en maximisant les profits. On estime que si ce
système était généralisée, la facture pour les institutions
scientifiques en France triplerait.
si les cochons paient, pourquoi se gêner?
Les "cochons" en question font ce qu'ils peuvent. Accessoirement
certains mettent au point un vaccin en moins d'un an pour un virus
totalement nouveau. Merci de les respecter.
Le 16/01/2021 Í 15:30, jdd a écrit :Le 16/01/2021 Í 14:21, efji a écrit :des sites libres, tout en maximisant les profits. On estime que si ce
système était généralisée, la facture pour les institutions
scientifiques en France triplerait.
si les cochons paient, pourquoi se gêner?
Les "cochons" en question font ce qu'ils peuvent. Accessoirement
certains mettent au point un vaccin en moins d'un an pour un virus
totalement nouveau. Merci de les respecter.
ya personne pour creer une sorte de wikipedia de l'article scientifique ?
ya personne pour creer une sorte de wikipedia de l'article scientifique ?
ya personne pour creer une sorte de wikipedia de l'article scientifique ?
ans de cette revue. Maintenant, tu payes pendant 10 ans un abonnement
électronique et si tu arrêtes de payer tu perds tout les anciens numéro
aussi !
ans de cette revue. Maintenant, tu payes pendant 10 ans un abonnement
électronique et si tu arrêtes de payer tu perds tout les anciens numéro
aussi !
ans de cette revue. Maintenant, tu payes pendant 10 ans un abonnement
électronique et si tu arrêtes de payer tu perds tout les anciens numéro
aussi !
Le 16/01/2021 Í 15:45, efji a écrit :Le 16/01/2021 Í 15:30, jdd a écrit :Le 16/01/2021 Í 14:21, efji a écrit :des sites libres, tout en maximisant les profits. On estime que si ce
système était généralisée, la facture pour les institutions
scientifiques en France triplerait.
si les cochons paient, pourquoi se gêner?
Les "cochons" en question font ce qu'ils peuvent. Accessoirement
certains mettent au point un vaccin en moins d'un an pour un virus
totalement nouveau. Merci de les respecter.
ils sont trop c... de dépenser des fortunes pour un truc qui ne sert
plus Í rien.
Je ne comprends pas: si les jurys sont bénévoles, pourquoi payer pour
avoir leur avis?
Les universités ne peuvent pas faire leur propre système ??
Í l'époque de la publication *papier* c'était difficile, maintenant...
jdd
Le 16/01/2021 Í 15:45, efji a écrit :
Le 16/01/2021 Í 15:30, jdd a écrit :
Le 16/01/2021 Í 14:21, efji a écrit :
des sites libres, tout en maximisant les profits. On estime que si ce
système était généralisée, la facture pour les institutions
scientifiques en France triplerait.
si les cochons paient, pourquoi se gêner?
Les "cochons" en question font ce qu'ils peuvent. Accessoirement
certains mettent au point un vaccin en moins d'un an pour un virus
totalement nouveau. Merci de les respecter.
ils sont trop c... de dépenser des fortunes pour un truc qui ne sert
plus Í rien.
Je ne comprends pas: si les jurys sont bénévoles, pourquoi payer pour
avoir leur avis?
Les universités ne peuvent pas faire leur propre système ??
Í l'époque de la publication *papier* c'était difficile, maintenant...
jdd
Le 16/01/2021 Í 15:45, efji a écrit :Le 16/01/2021 Í 15:30, jdd a écrit :Le 16/01/2021 Í 14:21, efji a écrit :des sites libres, tout en maximisant les profits. On estime que si ce
système était généralisée, la facture pour les institutions
scientifiques en France triplerait.
si les cochons paient, pourquoi se gêner?
Les "cochons" en question font ce qu'ils peuvent. Accessoirement
certains mettent au point un vaccin en moins d'un an pour un virus
totalement nouveau. Merci de les respecter.
ils sont trop c... de dépenser des fortunes pour un truc qui ne sert
plus Í rien.
Je ne comprends pas: si les jurys sont bénévoles, pourquoi payer pour
avoir leur avis?
Les universités ne peuvent pas faire leur propre système ??
Í l'époque de la publication *papier* c'était difficile, maintenant...
jdd
demander un an supplémentaire de recherche. Dans toute cette chaine qui
mène Í une publication, il n'y a aucun argent en jeu. Personne n'est
rémunéré. Le seul qui touche c'est l'éditeur dont le rÍ´le se cantonne
essentiellement Í recevoir les articles et Í les transmettre Í
l'editorial board. Et puis aussi Í maintenir un site web avec un certain
nombre de capacités de recherche et d'indexation.
Evidemment on pourrait imaginer d'éjecter ces rapaces et de faire un
système autogéré puisque finalement c'est nous qui faisons tout. Ca
arrivera peut-être un jour mais ce n'est pas si facile Í faire.
demander un an supplémentaire de recherche. Dans toute cette chaine qui
mène Í une publication, il n'y a aucun argent en jeu. Personne n'est
rémunéré. Le seul qui touche c'est l'éditeur dont le rÍ´le se cantonne
essentiellement Í recevoir les articles et Í les transmettre Í
l'editorial board. Et puis aussi Í maintenir un site web avec un certain
nombre de capacités de recherche et d'indexation.
Evidemment on pourrait imaginer d'éjecter ces rapaces et de faire un
système autogéré puisque finalement c'est nous qui faisons tout. Ca
arrivera peut-être un jour mais ce n'est pas si facile Í faire.
demander un an supplémentaire de recherche. Dans toute cette chaine qui
mène Í une publication, il n'y a aucun argent en jeu. Personne n'est
rémunéré. Le seul qui touche c'est l'éditeur dont le rÍ´le se cantonne
essentiellement Í recevoir les articles et Í les transmettre Í
l'editorial board. Et puis aussi Í maintenir un site web avec un certain
nombre de capacités de recherche et d'indexation.
Evidemment on pourrait imaginer d'éjecter ces rapaces et de faire un
système autogéré puisque finalement c'est nous qui faisons tout. Ca
arrivera peut-être un jour mais ce n'est pas si facile Í faire.
Il ne s'agit pas de "jurys" ni "d'avis". Chaque revue a son editorial
board composé de spécialistes. Ces gens reçoivent les articles et les
proposent Í 2 ou 3 reviewers (anonymes pour les auteurs et qui le
resteront toujours) choisis parmi tous les spécialistes mondiaux du
domaine précis dont relève l'article. Quand je dis "précis" c'est
vraiment précis, disons parmi les 100 personnes qui ont des
contributions importantes très proches de l'article en question.
Il ne s'agit pas de "jurys" ni "d'avis". Chaque revue a son editorial
board composé de spécialistes. Ces gens reçoivent les articles et les
proposent Í 2 ou 3 reviewers (anonymes pour les auteurs et qui le
resteront toujours) choisis parmi tous les spécialistes mondiaux du
domaine précis dont relève l'article. Quand je dis "précis" c'est
vraiment précis, disons parmi les 100 personnes qui ont des
contributions importantes très proches de l'article en question.
Il ne s'agit pas de "jurys" ni "d'avis". Chaque revue a son editorial
board composé de spécialistes. Ces gens reçoivent les articles et les
proposent Í 2 ou 3 reviewers (anonymes pour les auteurs et qui le
resteront toujours) choisis parmi tous les spécialistes mondiaux du
domaine précis dont relève l'article. Quand je dis "précis" c'est
vraiment précis, disons parmi les 100 personnes qui ont des
contributions importantes très proches de l'article en question.
Le 16/01/2021 Í 19:04, efji a écrit :demander un an supplémentaire de recherche. Dans toute cette chaine qui
mène Í une publication, il n'y a aucun argent en jeu. Personne n'est
rémunéré. Le seul qui touche c'est l'éditeur dont le rÍ´le se cantonne
essentiellement Í recevoir les articles et Í les transmettre Í
l'editorial board. Et puis aussi Í maintenir un site web avec un certain
nombre de capacités de recherche et d'indexation.
Evidemment on pourrait imaginer d'éjecter ces rapaces et de faire un
système autogéré puisque finalement c'est nous qui faisons tout. Ca
arrivera peut-être un jour mais ce n'est pas si facile Í faire.
c'est exactement ce que je dis... ce système n'a plus aucun sens, et
ceyx qui paient (ceux qui diligentent le paiement) ne sont sans doute
pas les chercheurs eux-même mais les bibliothécaires, directeurs
financiers...
et ceux qui suivent les conseils et se basent sur les revues.
et tout ça marche Í cause de "pairs" bénévoles???
on marche sur la tête (mais ça m'étonnerait que ça dure)
en fait c'est le même système que Wikipedia, mais avec des éditeurs qui
se sucrent au passage...
jdd
Le 16/01/2021 Í 19:04, efji a écrit :
demander un an supplémentaire de recherche. Dans toute cette chaine qui
mène Í une publication, il n'y a aucun argent en jeu. Personne n'est
rémunéré. Le seul qui touche c'est l'éditeur dont le rÍ´le se cantonne
essentiellement Í recevoir les articles et Í les transmettre Í
l'editorial board. Et puis aussi Í maintenir un site web avec un certain
nombre de capacités de recherche et d'indexation.
Evidemment on pourrait imaginer d'éjecter ces rapaces et de faire un
système autogéré puisque finalement c'est nous qui faisons tout. Ca
arrivera peut-être un jour mais ce n'est pas si facile Í faire.
c'est exactement ce que je dis... ce système n'a plus aucun sens, et
ceyx qui paient (ceux qui diligentent le paiement) ne sont sans doute
pas les chercheurs eux-même mais les bibliothécaires, directeurs
financiers...
et ceux qui suivent les conseils et se basent sur les revues.
et tout ça marche Í cause de "pairs" bénévoles???
on marche sur la tête (mais ça m'étonnerait que ça dure)
en fait c'est le même système que Wikipedia, mais avec des éditeurs qui
se sucrent au passage...
jdd
Le 16/01/2021 Í 19:04, efji a écrit :demander un an supplémentaire de recherche. Dans toute cette chaine qui
mène Í une publication, il n'y a aucun argent en jeu. Personne n'est
rémunéré. Le seul qui touche c'est l'éditeur dont le rÍ´le se cantonne
essentiellement Í recevoir les articles et Í les transmettre Í
l'editorial board. Et puis aussi Í maintenir un site web avec un certain
nombre de capacités de recherche et d'indexation.
Evidemment on pourrait imaginer d'éjecter ces rapaces et de faire un
système autogéré puisque finalement c'est nous qui faisons tout. Ca
arrivera peut-être un jour mais ce n'est pas si facile Í faire.
c'est exactement ce que je dis... ce système n'a plus aucun sens, et
ceyx qui paient (ceux qui diligentent le paiement) ne sont sans doute
pas les chercheurs eux-même mais les bibliothécaires, directeurs
financiers...
et ceux qui suivent les conseils et se basent sur les revues.
et tout ça marche Í cause de "pairs" bénévoles???
on marche sur la tête (mais ça m'étonnerait que ça dure)
en fait c'est le même système que Wikipedia, mais avec des éditeurs qui
se sucrent au passage...
jdd
Le 16/01/2021 Í 14:04, Jacques DASSIÉ a écrit :Dans son message précédent, Ghost-Raider a écrit :Le 16/01/2021 Í 09:50, efji a écrit :Le 16/01/2021 Í 09:46, Birdy a écrit :la proposition de droits était dérisoire.
Sauf si on s'appelle Houellebecq ou Nothomb, les droits sont toujours
dérisoires. Genre 4% sur un roman.
Pour les ouvrages techniques, c'est plus. J'ai signé des contrats Í 10%
pour l'ensemble des auteurs au prorata du nombre de pages et 2,5 % en plus
pour le directeur de l'ouvrage.
Je confirme. Toutes mes publications sont Í 10 %. (Technip, CroÍ®t-vif,
Sutton, etc).
Mais sur le plan financier, les articles dans des revues rapportent
beaucoup plus.
Ca dépend ce que tu appelles revues.
Le 16/01/2021 Í 14:04, Jacques DASSIÉ a écrit :
Dans son message précédent, Ghost-Raider a écrit :
Le 16/01/2021 Í 09:50, efji a écrit :
Le 16/01/2021 Í 09:46, Birdy a écrit :
la proposition de droits était dérisoire.
Sauf si on s'appelle Houellebecq ou Nothomb, les droits sont toujours
dérisoires. Genre 4% sur un roman.
Pour les ouvrages techniques, c'est plus. J'ai signé des contrats Í 10%
pour l'ensemble des auteurs au prorata du nombre de pages et 2,5 % en plus
pour le directeur de l'ouvrage.
Je confirme. Toutes mes publications sont Í 10 %. (Technip, CroÍ®t-vif,
Sutton, etc).
Mais sur le plan financier, les articles dans des revues rapportent
beaucoup plus.
Ca dépend ce que tu appelles revues.
Le 16/01/2021 Í 14:04, Jacques DASSIÉ a écrit :Dans son message précédent, Ghost-Raider a écrit :Le 16/01/2021 Í 09:50, efji a écrit :Le 16/01/2021 Í 09:46, Birdy a écrit :la proposition de droits était dérisoire.
Sauf si on s'appelle Houellebecq ou Nothomb, les droits sont toujours
dérisoires. Genre 4% sur un roman.
Pour les ouvrages techniques, c'est plus. J'ai signé des contrats Í 10%
pour l'ensemble des auteurs au prorata du nombre de pages et 2,5 % en plus
pour le directeur de l'ouvrage.
Je confirme. Toutes mes publications sont Í 10 %. (Technip, CroÍ®t-vif,
Sutton, etc).
Mais sur le plan financier, les articles dans des revues rapportent
beaucoup plus.
Ca dépend ce que tu appelles revues.