Après avoir testé nombre de distributions, plus ou moins inégale, que
j'ai souvent trouvées intéressantes, je constate tout de même que
- la fiabilité Linux n'est pas au rendez-vous, sur mes différentes
machines, j'ai passablement d'incompatibilité
- Les programmes fournis sont obsolètes, c'est à daire que sous
Windows, je peux télécharger Open Office 3.01 alors que sous Linux,
cela vient encore avec des versions 2 ou 2.1, et c'est très difficile
de faire des mises à jour sans tout planter le système
- Les logiciels Linux sont intéressants, mais bon, à part Firefox queje
connais bien, les autres sont de qualité assez modeste, alors que sous
Windows on trouve des superlogiciels, comme Office Famille (pour env.
70 Euros) et des logiciels de gravures permettan de graver gratuitement
- Les logiciels sont trop nombreux à faire la même chose; par exemple,
vous avez un fichier mp3, on ne sait plus avec quoi le lire (J'utilise
normalement Amarok...) tellement il y'a de possibilités, et qucun ne
marche bien sauf celui que je viens de cité. Pourquoi faire autant de
programmes malfichus ?
- Si on trouve autant de programmes malfichus (des milliers de petits
logiciels...) très peu sont par contre bons, j'ai fait une liste des
meilleures à mon sens
- Mozilla
- OpenOffice (quand on trouve la dernière version)
- Amarok (lecteur multimédia)
- ThunderBird (pour les messages)
Maintenant, pour faire de la retouche photos, on me parle de GIMP, mais
je trouve que c'est trop le foutoir, y'a t'il quelque chose comme
Photoshop Elemens ?
Mais voilà, malgré les heures et les heures que je passe devant Linux,
je ne comprends toujours pas pourquoi cela serait sensé être mieux que
Windows, alors que c'est beaucoup plus durs à faire marcher
Est-ce que l'on peut dire que c'est surtout pour les étudiants ?
Bizarrement, les meilleurs étudiants qui j'ai eu étaient excellent en français. Ceux qui étaient nuls en français étaient _aussi_ nuls dans les matières scientifiques.
Et dans l'autre sens, le plus grand mathématicien que j'ai rencontré, A. Grothendieck avait une éloquence fabuleuse, quel que soit le sujet.
Bizarrement, les meilleurs étudiants qui j'ai eu étaient
excellent en français. Ceux qui étaient nuls en français étaient
_aussi_ nuls dans les matières scientifiques.
Et dans l'autre sens, le plus grand mathématicien que j'ai
rencontré, A. Grothendieck avait une éloquence fabuleuse, quel que
soit le sujet.
Bizarrement, les meilleurs étudiants qui j'ai eu étaient excellent en français. Ceux qui étaient nuls en français étaient _aussi_ nuls dans les matières scientifiques.
Et dans l'autre sens, le plus grand mathématicien que j'ai rencontré, A. Grothendieck avait une éloquence fabuleuse, quel que soit le sujet.
> J'ai encore collé cette année à des oraux d'examens et gens qui > n'étaient pas capable de calculer une dérivée de _base_.
Après une taupe¹, on croit rêver...
PK
¹ : et je suis sympa, c'était du programme de terminal...
Ecoute, je connais un type qui n'était pas capable de calculer une dérivée partielle et qui est pourtant devenu prof de première classe dans le domaine des systèmes intégrables, où pourtant c'est la compétence de base. Autant dire que tous les "miracles" sont possibles dans les commissions de spécialistes. Après celà comment demander à des étudiants de savoir quelque chose ...
Cela ne m'étonne pas : je connais des instits de CP qui sont incapables d'écrire sans faute (affiche, mots aux parents)... ils sont censés apprendre à lire et à écrire à des gamins !
> J'ai encore collé cette année à des oraux d'examens et gens qui
> n'étaient pas capable de calculer une dérivée de _base_.
Après une taupe¹, on croit rêver...
PK
¹ : et je suis sympa, c'était du programme de terminal...
Ecoute, je connais un type qui n'était pas capable de calculer une
dérivée partielle et qui est pourtant devenu prof de première classe
dans le domaine des systèmes intégrables, où pourtant c'est la
compétence de base. Autant dire que tous les "miracles" sont
possibles dans les commissions de spécialistes. Après celà comment
demander à des étudiants de savoir quelque chose ...
Cela ne m'étonne pas : je connais des instits de CP qui sont
incapables d'écrire sans faute (affiche, mots aux parents)... ils sont
censés apprendre à lire et à écrire à des gamins !
> J'ai encore collé cette année à des oraux d'examens et gens qui > n'étaient pas capable de calculer une dérivée de _base_.
Après une taupe¹, on croit rêver...
PK
¹ : et je suis sympa, c'était du programme de terminal...
Ecoute, je connais un type qui n'était pas capable de calculer une dérivée partielle et qui est pourtant devenu prof de première classe dans le domaine des systèmes intégrables, où pourtant c'est la compétence de base. Autant dire que tous les "miracles" sont possibles dans les commissions de spécialistes. Après celà comment demander à des étudiants de savoir quelque chose ...
Cela ne m'étonne pas : je connais des instits de CP qui sont incapables d'écrire sans faute (affiche, mots aux parents)... ils sont censés apprendre à lire et à écrire à des gamins !
gendarme, pendant qu'il fait ça, il ne fait pas son boulot. Dans les années 60, il n'était pas rare d'avoir 45 élèves par classe, ça fonctionnait. Dans certains pays dans lesquels j'ai bossé, il y avait plus de 40 élèves par classe et le niveau était bon lui aussi.
Et en particulier dans certains pays du Maghreb ou d'Afrique noire d'où sortent des gens absolument excellents, alors que leurs copains issus du même milieu social mais en France ne font absolument rien dans les Zep.
Faut dire que là-bas, ils ont « oublié » de changer les programmes... Quand j'étais en sup, on avait deux étudiants sénégalais et un marocain et leur niveau (à l'entrée) était incomparablement supérieur au nôtre.
gendarme, pendant qu'il fait ça, il ne fait pas son boulot. Dans
les années 60, il n'était pas rare d'avoir 45 élèves par classe, ça
fonctionnait. Dans certains pays dans lesquels j'ai bossé, il y
avait plus de 40 élèves par classe et le niveau était bon lui
aussi.
Et en particulier dans certains pays du Maghreb ou d'Afrique noire
d'où sortent des gens absolument excellents, alors que leurs copains
issus du même milieu social mais en France ne font absolument rien
dans les Zep.
Faut dire que là-bas, ils ont « oublié » de changer les programmes...
Quand j'étais en sup, on avait deux étudiants sénégalais et un
marocain et leur niveau (à l'entrée) était incomparablement supérieur
au nôtre.
gendarme, pendant qu'il fait ça, il ne fait pas son boulot. Dans les années 60, il n'était pas rare d'avoir 45 élèves par classe, ça fonctionnait. Dans certains pays dans lesquels j'ai bossé, il y avait plus de 40 élèves par classe et le niveau était bon lui aussi.
Et en particulier dans certains pays du Maghreb ou d'Afrique noire d'où sortent des gens absolument excellents, alors que leurs copains issus du même milieu social mais en France ne font absolument rien dans les Zep.
Faut dire que là-bas, ils ont « oublié » de changer les programmes... Quand j'étais en sup, on avait deux étudiants sénégalais et un marocain et leur niveau (à l'entrée) était incomparablement supérieur au nôtre.
Nicolas George a papoté sur Usenet le 5 juillet 2009 10:08:
D'accord, super. L'ordre, ça s'achète où ? C'est en poudre comme le sel, ou liquide comme l'huile ?
Ironie qui n'aide pas à vendre ton point de vue!
JKB
Le 05-07-2009, ? propos de Re: A quoi peut bien servir Linux ?, Patrice Karatchentzeff ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
(Michel Talon) a écrit :
JKB wrote:
Bizarrement, les meilleurs étudiants qui j'ai eu étaient excellent en français. Ceux qui étaient nuls en français étaient _aussi_ nuls dans les matières scientifiques.
Et dans l'autre sens, le plus grand mathématicien que j'ai rencontré, A. Grothendieck avait une éloquence fabuleuse, quel que soit le sujet.
T'es dans le même sens que JKB ;-)
C'est le début de la fin ;-)
JKB
-- Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous consommons tous les jours.
Le 05-07-2009, ? propos de
Re: A quoi peut bien servir Linux ?,
Patrice Karatchentzeff ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
talon@lpthe.jussieu.fr (Michel Talon) a écrit :
JKB <knatschke@koenigsberg.fr> wrote:
Bizarrement, les meilleurs étudiants qui j'ai eu étaient
excellent en français. Ceux qui étaient nuls en français étaient
_aussi_ nuls dans les matières scientifiques.
Et dans l'autre sens, le plus grand mathématicien que j'ai
rencontré, A. Grothendieck avait une éloquence fabuleuse, quel que
soit le sujet.
T'es dans le même sens que JKB ;-)
C'est le début de la fin ;-)
JKB
--
Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre
masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous
consommons tous les jours.
Le 05-07-2009, ? propos de Re: A quoi peut bien servir Linux ?, Patrice Karatchentzeff ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
(Michel Talon) a écrit :
JKB wrote:
Bizarrement, les meilleurs étudiants qui j'ai eu étaient excellent en français. Ceux qui étaient nuls en français étaient _aussi_ nuls dans les matières scientifiques.
Et dans l'autre sens, le plus grand mathématicien que j'ai rencontré, A. Grothendieck avait une éloquence fabuleuse, quel que soit le sujet.
T'es dans le même sens que JKB ;-)
C'est le début de la fin ;-)
JKB
-- Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous consommons tous les jours.
talon
Nicolas George <nicolas$ wrote:
Michel Talon, dans le message <h2q9vk$1b5f$, a écrit : > Essaie toi même de te renseigner sur la raison qui a poussé Elie Cartan, > le fils d'un pauvre forgeron d'un trou paumé, à devenir l'un des plus > grands mathématiciens du début du 20°s.
Tu n'en as pas marre de confondre exemple exceptionnel et argument ?
Ca aussi je l'attendais, ma réponse est que le véritable but d'un système éducatif qui se respecte est de produire les quelques 1%° d'exceptionnels, les Elie Cartan ou A. Grothendieck et non pas de produire les 80% d'une classe d'age de tocards qui sont inemployables ou que ce soit. Il est normal que ceci vienne avec 30% d'une classe d'age de gens qui, bien que bons ne sont pas brillants, mais 80% c'est une perte de temps, et un gaspillage de ressources absolus, et encore bien plus grave, ça risque grandement de faire plonger la petite minorité qui aurait été valable. Ca dévalue complètement l'université et ses diplômes, et ça aboutit au fait qu'on se retrouve avec des gens de haute qualité, par exemple un collègue normalien comme toi, docteur es sciences, qui pointe au RMI - et oui, ceci est un exemple concret. Dans ton propre métier, ça aboutit au fait que des gens forts comme toi sont traîtés exactement au même plan que des clowns qui ont eu leur CAPES du seul fait qu'ils s'y sont inscrits, et pour peu qu'ils fassent de la politique, ils te passeront devant le nez à grande vitesse. Ils t'expliqueront même que parcequ'ils sont nuls ils ont un meilleur contact avec les élèves que toi.
--
Michel TALON
Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> wrote:
Michel Talon, dans le message <h2q9vk$1b5f$4@asmodee.lpthe.jussieu.fr>,
a écrit :
> Essaie toi même de te renseigner sur la raison qui a poussé Elie Cartan,
> le fils d'un pauvre forgeron d'un trou paumé, à devenir l'un des plus
> grands mathématiciens du début du 20°s.
Tu n'en as pas marre de confondre exemple exceptionnel et argument ?
Ca aussi je l'attendais, ma réponse est que le véritable but d'un
système éducatif qui se respecte est de produire les quelques 1%°
d'exceptionnels, les Elie Cartan ou A. Grothendieck et non pas de
produire les 80% d'une classe d'age de tocards qui sont inemployables
ou que ce soit. Il est normal que ceci vienne avec 30% d'une classe
d'age de gens qui, bien que bons ne sont pas brillants, mais 80% c'est
une perte de temps, et un gaspillage de ressources absolus, et encore
bien plus grave, ça risque grandement de faire plonger la petite
minorité qui aurait été valable. Ca dévalue complètement l'université et
ses diplômes, et ça aboutit au fait qu'on se retrouve avec des gens de
haute qualité, par exemple un collègue normalien comme toi, docteur
es sciences, qui pointe au RMI - et oui, ceci est un exemple concret.
Dans ton propre métier, ça aboutit au fait que des gens forts comme toi
sont traîtés exactement au même plan que des clowns qui ont eu leur
CAPES du seul fait qu'ils s'y sont inscrits, et pour peu qu'ils fassent
de la politique, ils te passeront devant le nez à grande vitesse. Ils
t'expliqueront même que parcequ'ils sont nuls ils ont un meilleur
contact avec les élèves que toi.
Michel Talon, dans le message <h2q9vk$1b5f$, a écrit : > Essaie toi même de te renseigner sur la raison qui a poussé Elie Cartan, > le fils d'un pauvre forgeron d'un trou paumé, à devenir l'un des plus > grands mathématiciens du début du 20°s.
Tu n'en as pas marre de confondre exemple exceptionnel et argument ?
Ca aussi je l'attendais, ma réponse est que le véritable but d'un système éducatif qui se respecte est de produire les quelques 1%° d'exceptionnels, les Elie Cartan ou A. Grothendieck et non pas de produire les 80% d'une classe d'age de tocards qui sont inemployables ou que ce soit. Il est normal que ceci vienne avec 30% d'une classe d'age de gens qui, bien que bons ne sont pas brillants, mais 80% c'est une perte de temps, et un gaspillage de ressources absolus, et encore bien plus grave, ça risque grandement de faire plonger la petite minorité qui aurait été valable. Ca dévalue complètement l'université et ses diplômes, et ça aboutit au fait qu'on se retrouve avec des gens de haute qualité, par exemple un collègue normalien comme toi, docteur es sciences, qui pointe au RMI - et oui, ceci est un exemple concret. Dans ton propre métier, ça aboutit au fait que des gens forts comme toi sont traîtés exactement au même plan que des clowns qui ont eu leur CAPES du seul fait qu'ils s'y sont inscrits, et pour peu qu'ils fassent de la politique, ils te passeront devant le nez à grande vitesse. Ils t'expliqueront même que parcequ'ils sont nuls ils ont un meilleur contact avec les élèves que toi.
--
Michel TALON
talon
olive wrote:
Michel Talon écrivait :
> Et dans l'autre sens, le plus grand mathématicien que j'ai rencontré, > A. Grothendieck avait une éloquence fabuleuse, quel que soit le sujet.
C'est un personnage qui me fascine depuis que je m'intéresse à l'histoire des mathématiques (en pur profane, soyons clair). Pourrais-tu parler un peu plus longuement de votre rencontre ?
Je n'ai pas grand chose à dire j'ai commencé la recherche pendant 6 ans à Montpellier où il terminait sa carrière. J'en ai profité pour aller écouter ses cours, bien que ce ne soit pas ma spécialité. Il faisait un cours très élémentaire, ce qui m'a permis de suivre ..., mais ce qui m'a évidemment le plus frappé c'est son éloquence sur des sujets généraux. J'ai appris que sa mère était une poétesse allemande, et qu'il avait envisagé une carrière littéraire. Son père était un révolutionnaire juif russe, il a donc malheureusement été parmi les premiers visés par les faschistes. Lui même a été caché dans un village protestant des cévennes. Son histoire commence donc de manière dramatique.
--
Michel TALON
olive <oloc@alussinan.org> wrote:
Michel Talon écrivait :
> Et dans l'autre sens, le plus grand mathématicien que j'ai rencontré,
> A. Grothendieck avait une éloquence fabuleuse, quel que soit le sujet.
C'est un personnage qui me fascine depuis que je m'intéresse à
l'histoire des mathématiques (en pur profane, soyons clair). Pourrais-tu
parler un peu plus longuement de votre rencontre ?
Je n'ai pas grand chose à dire j'ai commencé la recherche pendant 6 ans à
Montpellier où il terminait sa carrière. J'en ai profité pour aller
écouter ses cours, bien que ce ne soit pas ma spécialité. Il faisait un
cours très élémentaire, ce qui m'a permis de suivre ..., mais ce qui m'a
évidemment le plus frappé c'est son éloquence sur des sujets généraux.
J'ai appris que sa mère était une poétesse allemande, et qu'il avait
envisagé une carrière littéraire. Son père était un révolutionnaire juif
russe, il a donc malheureusement été parmi les premiers visés par les
faschistes. Lui même a été caché dans un village protestant des
cévennes. Son histoire commence donc de manière dramatique.
> Et dans l'autre sens, le plus grand mathématicien que j'ai rencontré, > A. Grothendieck avait une éloquence fabuleuse, quel que soit le sujet.
C'est un personnage qui me fascine depuis que je m'intéresse à l'histoire des mathématiques (en pur profane, soyons clair). Pourrais-tu parler un peu plus longuement de votre rencontre ?
Je n'ai pas grand chose à dire j'ai commencé la recherche pendant 6 ans à Montpellier où il terminait sa carrière. J'en ai profité pour aller écouter ses cours, bien que ce ne soit pas ma spécialité. Il faisait un cours très élémentaire, ce qui m'a permis de suivre ..., mais ce qui m'a évidemment le plus frappé c'est son éloquence sur des sujets généraux. J'ai appris que sa mère était une poétesse allemande, et qu'il avait envisagé une carrière littéraire. Son père était un révolutionnaire juif russe, il a donc malheureusement été parmi les premiers visés par les faschistes. Lui même a été caché dans un village protestant des cévennes. Son histoire commence donc de manière dramatique.
--
Michel TALON
talon
Nicolas George <nicolas$ wrote:
Michel Talon, dans le message <h2qb4p$1b5f$, a écrit : > Mais on peut se baser sur des soit disant études, exécutées par des > soit-disant spécialistes de la "pédagogie", et commanditées par des > mandarins du ministère ou des syndicats dont le seul but est de prouver > qu'il faut constamment augmenter les effectifs du corps enseignant, étant > donné le formidable effet positif qu'a eu cette augmentation.
C'est déjà plus rigoureux qu'une observation subjective faite par un vieux con aigri.
Ou par un jeune Médaille Fields comme Laurent Lafforgue.
Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> wrote:
Michel Talon, dans le message <h2qb4p$1b5f$8@asmodee.lpthe.jussieu.fr>,
a écrit :
> Mais on peut se baser sur des soit disant études, exécutées par des
> soit-disant spécialistes de la "pédagogie", et commanditées par des
> mandarins du ministère ou des syndicats dont le seul but est de prouver
> qu'il faut constamment augmenter les effectifs du corps enseignant, étant
> donné le formidable effet positif qu'a eu cette augmentation.
C'est déjà plus rigoureux qu'une observation subjective faite par un vieux
con aigri.
Ou par un jeune Médaille Fields comme Laurent Lafforgue.
Michel Talon, dans le message <h2qb4p$1b5f$, a écrit : > Mais on peut se baser sur des soit disant études, exécutées par des > soit-disant spécialistes de la "pédagogie", et commanditées par des > mandarins du ministère ou des syndicats dont le seul but est de prouver > qu'il faut constamment augmenter les effectifs du corps enseignant, étant > donné le formidable effet positif qu'a eu cette augmentation.
C'est déjà plus rigoureux qu'une observation subjective faite par un vieux con aigri.
Ou par un jeune Médaille Fields comme Laurent Lafforgue.
> Mais c'est tout à fait exact, On n'a pas fait aussi bien que Platon > depuis plus de 2000 ans. Le niveau a tellement baissé pendant l'empire > romain que ça s'est terminé par le moyen age.
C'est rare d'entendre des bêtises d'un tel niveau... Thomas d'Aquin doit s'en retourner dans sa tombe.
Moi je tombe sur le cul d'entendre la scolastique portée au même niveau que la dialectique socratique. Et je ne le dis absolument pas dans une attitude anti-religieuse. Ce n'est que parce que les Arabes ont conservé la tradition et la culture de l'époque classique qu'on est sorti par le haut du moyen age à la renaissance.
> Mais c'est tout à fait exact, On n'a pas fait aussi bien que Platon
> depuis plus de 2000 ans. Le niveau a tellement baissé pendant l'empire
> romain que ça s'est terminé par le moyen age.
C'est rare d'entendre des bêtises d'un tel niveau... Thomas d'Aquin doit
s'en retourner dans sa tombe.
Moi je tombe sur le cul d'entendre la scolastique portée au même niveau
que la dialectique socratique. Et je ne le dis absolument pas dans une
attitude anti-religieuse. Ce n'est que parce que les Arabes ont conservé
la tradition et la culture de l'époque classique qu'on est sorti par le
haut du moyen age à la renaissance.
> Mais c'est tout à fait exact, On n'a pas fait aussi bien que Platon > depuis plus de 2000 ans. Le niveau a tellement baissé pendant l'empire > romain que ça s'est terminé par le moyen age.
C'est rare d'entendre des bêtises d'un tel niveau... Thomas d'Aquin doit s'en retourner dans sa tombe.
Moi je tombe sur le cul d'entendre la scolastique portée au même niveau que la dialectique socratique. Et je ne le dis absolument pas dans une attitude anti-religieuse. Ce n'est que parce que les Arabes ont conservé la tradition et la culture de l'époque classique qu'on est sorti par le haut du moyen age à la renaissance.