Après avoir testé nombre de distributions, plus ou moins inégale, que
j'ai souvent trouvées intéressantes, je constate tout de même que
- la fiabilité Linux n'est pas au rendez-vous, sur mes différentes
machines, j'ai passablement d'incompatibilité
- Les programmes fournis sont obsolètes, c'est à daire que sous
Windows, je peux télécharger Open Office 3.01 alors que sous Linux,
cela vient encore avec des versions 2 ou 2.1, et c'est très difficile
de faire des mises à jour sans tout planter le système
- Les logiciels Linux sont intéressants, mais bon, à part Firefox queje
connais bien, les autres sont de qualité assez modeste, alors que sous
Windows on trouve des superlogiciels, comme Office Famille (pour env.
70 Euros) et des logiciels de gravures permettan de graver gratuitement
- Les logiciels sont trop nombreux à faire la même chose; par exemple,
vous avez un fichier mp3, on ne sait plus avec quoi le lire (J'utilise
normalement Amarok...) tellement il y'a de possibilités, et qucun ne
marche bien sauf celui que je viens de cité. Pourquoi faire autant de
programmes malfichus ?
- Si on trouve autant de programmes malfichus (des milliers de petits
logiciels...) très peu sont par contre bons, j'ai fait une liste des
meilleures à mon sens
- Mozilla
- OpenOffice (quand on trouve la dernière version)
- Amarok (lecteur multimédia)
- ThunderBird (pour les messages)
Maintenant, pour faire de la retouche photos, on me parle de GIMP, mais
je trouve que c'est trop le foutoir, y'a t'il quelque chose comme
Photoshop Elemens ?
Mais voilà, malgré les heures et les heures que je passe devant Linux,
je ne comprends toujours pas pourquoi cela serait sensé être mieux que
Windows, alors que c'est beaucoup plus durs à faire marcher
Est-ce que l'on peut dire que c'est surtout pour les étudiants ?
Ça ne s'achète pas, c'est pour cela que le fait de rajouter toujours et toujours des moyens budgétaires ne sert à rien. L'ordre, c'est une histoire d'éducation lorsque tout le monde refuse de laisser faire. Et ça commence par mettre de l'ordre dans les banlieues (mais pas que) pour éviter que les bagnoles ne brûlent (comme à Starsbourg où en 1998, un type de la préfecture a trouvé malin de dire que les feux de bagnole du 31 décembre rappelaient les feux de bengale germaniques et que c'était une preuve d'intégration !). Ça continue par remettre de la civilité un peu partout, bref, c'est un boulot de longue haleine et tant qu'on n'aura pas fait ça, on n'arrivera pas à avancer.
Puisque manifestement le sarcasme te passe largement au dessus de la tête, je te l'écris en toutes lettres :
Tu proposes quoi, _concrètement_, pour « remettre » de l'« ordre » et de la « civilité » ?
Non, c'est que comme à l'acoutumée, tu sors un mot de son contexte (qui était je te le rappelle 'écoles d'ingénieur') pour contrer ton interlocuteur sur la forme.
Non, justement, ton discours, tel que tu l'as écrit, c'était « le supérieur ». Si tu ne voulais pas dire ça, tant pis pour toi.
S'il y avait un désintérêt, gros malin, il n'y aurait pas de création d'écoles d'ingé un peu partout à tel point qu'une grosse part d'entre elles n'ont pas encore sorti leur première promotion !
Il y a un désintérêt par le haut, pas par le bas.
JKB , dans le message <slrnh51eih.km0.knatschke@rayleigh.systella.fr>, a
écrit :
Ça ne s'achète pas, c'est pour cela que le fait de rajouter toujours
et toujours des moyens budgétaires ne sert à rien. L'ordre, c'est une
histoire d'éducation lorsque tout le monde refuse de laisser faire. Et
ça commence par mettre de l'ordre dans les banlieues (mais pas que) pour
éviter que les bagnoles ne brûlent (comme à Starsbourg où en 1998, un
type de la préfecture a trouvé malin de dire que les feux de bagnole du
31 décembre rappelaient les feux de bengale germaniques et que c'était
une preuve d'intégration !). Ça continue par remettre de la civilité un
peu partout, bref, c'est un boulot de longue haleine et tant qu'on
n'aura pas fait ça, on n'arrivera pas à avancer.
Puisque manifestement le sarcasme te passe largement au dessus de la tête,
je te l'écris en toutes lettres :
Tu proposes quoi, _concrètement_, pour « remettre » de l'« ordre » et de la
« civilité » ?
Non, c'est que comme à l'acoutumée, tu sors un mot de son contexte
(qui était je te le rappelle 'écoles d'ingénieur') pour contrer ton
interlocuteur sur la forme.
Non, justement, ton discours, tel que tu l'as écrit, c'était « le
supérieur ». Si tu ne voulais pas dire ça, tant pis pour toi.
S'il y avait un désintérêt, gros malin, il n'y aurait pas de
création d'écoles d'ingé un peu partout à tel point qu'une grosse part
d'entre elles n'ont pas encore sorti leur première promotion !
Ça ne s'achète pas, c'est pour cela que le fait de rajouter toujours et toujours des moyens budgétaires ne sert à rien. L'ordre, c'est une histoire d'éducation lorsque tout le monde refuse de laisser faire. Et ça commence par mettre de l'ordre dans les banlieues (mais pas que) pour éviter que les bagnoles ne brûlent (comme à Starsbourg où en 1998, un type de la préfecture a trouvé malin de dire que les feux de bagnole du 31 décembre rappelaient les feux de bengale germaniques et que c'était une preuve d'intégration !). Ça continue par remettre de la civilité un peu partout, bref, c'est un boulot de longue haleine et tant qu'on n'aura pas fait ça, on n'arrivera pas à avancer.
Puisque manifestement le sarcasme te passe largement au dessus de la tête, je te l'écris en toutes lettres :
Tu proposes quoi, _concrètement_, pour « remettre » de l'« ordre » et de la « civilité » ?
Non, c'est que comme à l'acoutumée, tu sors un mot de son contexte (qui était je te le rappelle 'écoles d'ingénieur') pour contrer ton interlocuteur sur la forme.
Non, justement, ton discours, tel que tu l'as écrit, c'était « le supérieur ». Si tu ne voulais pas dire ça, tant pis pour toi.
S'il y avait un désintérêt, gros malin, il n'y aurait pas de création d'écoles d'ingé un peu partout à tel point qu'une grosse part d'entre elles n'ont pas encore sorti leur première promotion !
Il y a un désintérêt par le haut, pas par le bas.
Nicolas George
JKB , dans le message , a écrit :
Et mon discours n'est pas une affirmation, c'est une constatation.
Je te cite : « Tu n'as jamais enseigné dans une ZEP ».
Si tu ne sais pas que c'est une affirmation, tu devrais retourner en primaire.
JKB , dans le message <slrnh51e45.km0.knatschke@rayleigh.systella.fr>, a
écrit :
Et mon discours n'est pas une affirmation, c'est
une constatation.
Je te cite : « Tu n'as jamais enseigné dans une ZEP ».
Si tu ne sais pas que c'est une affirmation, tu devrais retourner en
primaire.
Et mon discours n'est pas une affirmation, c'est une constatation.
Je te cite : « Tu n'as jamais enseigné dans une ZEP ».
Si tu ne sais pas que c'est une affirmation, tu devrais retourner en primaire.
Nicolas George
Michel Talon, dans le message <h2qhov$1b5f$, a écrit :
Ca aussi je l'attendais, ma réponse est que le véritable but d'un système éducatif qui se respecte est de produire les quelques 1%° d'exceptionnels, les Elie Cartan ou A. Grothendieck et non pas de produire les 80% d'une classe d'age de tocards qui sont inemployables ou que ce soit.
Bon, ben je m'arrête de lire là, et je dis :
Beurk.
Ta vision de la société me donne envie de vomir.
Michel Talon, dans le message <h2qhov$1b5f$10@asmodee.lpthe.jussieu.fr>,
a écrit :
Ca aussi je l'attendais, ma réponse est que le véritable but d'un
système éducatif qui se respecte est de produire les quelques 1%°
d'exceptionnels, les Elie Cartan ou A. Grothendieck et non pas de
produire les 80% d'une classe d'age de tocards qui sont inemployables
ou que ce soit.
Michel Talon, dans le message <h2qhov$1b5f$, a écrit :
Ca aussi je l'attendais, ma réponse est que le véritable but d'un système éducatif qui se respecte est de produire les quelques 1%° d'exceptionnels, les Elie Cartan ou A. Grothendieck et non pas de produire les 80% d'une classe d'age de tocards qui sont inemployables ou que ce soit.
Bon, ben je m'arrête de lire là, et je dis :
Beurk.
Ta vision de la société me donne envie de vomir.
Nicolas George
Dellara , dans le message <XJ24m.12247$, a écrit :
Il n'y a pas que la science dans la vie, il y a aussi la réalité quotidienne.
Sauf qu'en général, la rigueur scientifique finit par mieux décrire la réalité quotidienne qu'une impression à l'emporte-pièce.
Dellara , dans le message <XJ24m.12247$_S2.4489@newsfe17.iad>, a écrit :
Il n'y a pas que la science dans la vie, il y
a aussi la réalité quotidienne.
Sauf qu'en général, la rigueur scientifique finit par mieux décrire la
réalité quotidienne qu'une impression à l'emporte-pièce.
Dellara , dans le message <XJ24m.12247$, a écrit :
Il n'y a pas que la science dans la vie, il y a aussi la réalité quotidienne.
Sauf qu'en général, la rigueur scientifique finit par mieux décrire la réalité quotidienne qu'une impression à l'emporte-pièce.
Stéphane CARPENTIER
Nicolas George wrote:
Jo Kerr , dans le message , a écrit :
le problème c'est que le RMIste va considérer que son travail est rémunéré, non par le salire perçu, mais par la différence entre le salaire et le RMI.
Ce qui, de fait, est essentiellement le cas. En quoi est-ce un problème ?
La différence est trop faible entre le RMI et le SMIC. Ça n'incite pas à se mettre à travailler.
Nicolas George wrote:
Jo Kerr , dans le message <mn.1d907d979ba6e30b.45676@cappucino.com>, a
écrit :
le problème c'est que le RMIste va considérer que son travail est
rémunéré, non par le salire perçu, mais par la différence entre le
salaire et le RMI.
Ce qui, de fait, est essentiellement le cas. En quoi est-ce un problème ?
La différence est trop faible entre le RMI et le SMIC. Ça n'incite pas à
se mettre à travailler.
le problème c'est que le RMIste va considérer que son travail est rémunéré, non par le salire perçu, mais par la différence entre le salaire et le RMI.
Ce qui, de fait, est essentiellement le cas. En quoi est-ce un problème ?
La différence est trop faible entre le RMI et le SMIC. Ça n'incite pas à se mettre à travailler.
Stéphane CARPENTIER
JKB wrote:
Maintenant, à titre purement personnel, je trouve qu'avoir une écriture lisible (et une orthographe non approximative) est la moindre des politesses.
Pour l'orthographe, je suis d'accord, mais pour la lisibilité de l'écriture, la dernière fois que j'ai écrit plus de deux phrases à la main (à destination de quelqu'un, pas des notes en réunion), ça remonte à quelques années.
JKB wrote:
Maintenant, à titre purement personnel, je trouve qu'avoir une
écriture lisible (et une orthographe non approximative) est la moindre des
politesses.
Pour l'orthographe, je suis d'accord, mais pour la lisibilité de
l'écriture, la dernière fois que j'ai écrit plus de deux phrases à la
main (à destination de quelqu'un, pas des notes en réunion), ça remonte
à quelques années.
Maintenant, à titre purement personnel, je trouve qu'avoir une écriture lisible (et une orthographe non approximative) est la moindre des politesses.
Pour l'orthographe, je suis d'accord, mais pour la lisibilité de l'écriture, la dernière fois que j'ai écrit plus de deux phrases à la main (à destination de quelqu'un, pas des notes en réunion), ça remonte à quelques années.
Patrice Karatchentzeff
Nicolas George <nicolas$ a écrit :
Patrice Karatchentzeff , dans le message , a écrit :
C'est de la réflexion, pas des réflexes. C'est donc de l'analyse.
Non, pas une dictée. Une dictée, il faut aller vite.
?
Analyser même vite, c'est de l'analyse... et on a toujours un temps de relecture à la fin.
Et je ne vois pas quand bien même on peut écrire qu'en mode réflexe... ça ne joue que pour le vocabulaire... et encore.
(parce qu'une dictée, c'est avant tout des réflexes, pas de l'analyse)
MDR.
C'est de la réflexion, pas des réflexes. C'est donc de l'analyse.
C'est rapide une dictée. Tu n'as pas le temps d'analyser grand chose.
Laurent P
Nicolas George a écrit :
Et donc le niveau en orthographe d'aujourd'hui et d'il y a cinquante ans n'est pas comparable, parce qu'on n'a pas fait les mêmes efforts pour enseigner l'orthographe. Point.
Et c'est pas tout simplement ce que l'on reproche,nous parents,à l'EN. En CM1, j'en ai rien à foutre que mon gamin connaisse par coeur tous les pays de l'EU. Je veux qu'on lui enseigne et même qu'on lui rabâche les opérations mathématiques de bases, les règles de grammaire de base,l'orthographe etc Pour l'instant c'est moi qui m'y colle parce que les instits passent plus de temps à leur parler des pays fondateurs du Traité de Rome que de revenir sur les bases.
Après quand tu nous dis que l'EN se charge de les ouvrir sur le monde afin qu'ils comprennent mieux le monde qui les entoure. Quand j'entends des lycéens qui ne savent pas ce qu'était réellement l' U.R.S.S et qui croient que le Mur de Berlin était des fortifications détruites par les Armées Alliées durant la 2nde Guerre Mondiale, je me demande comment ils vont pouvoir comprendre le monde qui les entoure.
-- Laurent P.
Nicolas George a écrit :
Et donc le niveau en orthographe d'aujourd'hui et d'il y a cinquante ans
n'est pas comparable, parce qu'on n'a pas fait les mêmes efforts pour
enseigner l'orthographe. Point.
Et c'est pas tout simplement ce que l'on reproche,nous parents,à l'EN.
En CM1, j'en ai rien à foutre que mon gamin connaisse par coeur tous les
pays de l'EU.
Je veux qu'on lui enseigne et même qu'on lui rabâche les opérations
mathématiques de bases, les règles de grammaire de base,l'orthographe etc
Pour l'instant c'est moi qui m'y colle parce que les instits passent
plus de temps à leur parler des pays fondateurs du Traité de Rome que de
revenir sur les bases.
Après quand tu nous dis que l'EN se charge de les ouvrir sur le monde
afin qu'ils comprennent mieux le monde qui les entoure.
Quand j'entends des lycéens qui ne savent pas ce qu'était réellement l'
U.R.S.S et qui croient que le Mur de Berlin était des fortifications
détruites par les Armées Alliées durant la 2nde Guerre Mondiale, je me
demande comment ils vont pouvoir comprendre le monde qui les entoure.
Et donc le niveau en orthographe d'aujourd'hui et d'il y a cinquante ans n'est pas comparable, parce qu'on n'a pas fait les mêmes efforts pour enseigner l'orthographe. Point.
Et c'est pas tout simplement ce que l'on reproche,nous parents,à l'EN. En CM1, j'en ai rien à foutre que mon gamin connaisse par coeur tous les pays de l'EU. Je veux qu'on lui enseigne et même qu'on lui rabâche les opérations mathématiques de bases, les règles de grammaire de base,l'orthographe etc Pour l'instant c'est moi qui m'y colle parce que les instits passent plus de temps à leur parler des pays fondateurs du Traité de Rome que de revenir sur les bases.
Après quand tu nous dis que l'EN se charge de les ouvrir sur le monde afin qu'ils comprennent mieux le monde qui les entoure. Quand j'entends des lycéens qui ne savent pas ce qu'était réellement l' U.R.S.S et qui croient que le Mur de Berlin était des fortifications détruites par les Armées Alliées durant la 2nde Guerre Mondiale, je me demande comment ils vont pouvoir comprendre le monde qui les entoure.
-- Laurent P.
Stéphane CARPENTIER
Patrice Karatchentzeff wrote:
Nicolas George <nicolas$ a écrit :
JKB , dans le message , a écrit :
parce que la base de connaissance est plus grande. Mais si on compare rigoureusement les _mêmes_ matières et le niveau atteint dans ces matières (français, mathématiques, philo...), le résultat est tout autre.
Mais c'est justement le coeur de l'argument : comparer rigoureusement les mêmes matières est totalement stupide.
Non, cela permet une comparaison sans biais.
Certainement pas.
Il y a de nouvelles matières et aucune matière n'a disparue.
Ton biais, c'est de ne comparer que le tronc commun et d'en déduire quelque chose sur le niveau global alors que le tronc commun, qui comprend la totalité de la connaissance de ta génération, n'est qu'une partie infime de la connaissance des élèves de la génération actuelle.
Patrice Karatchentzeff wrote:
Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> a écrit :
JKB , dans le message
<slrnh4vf26.tkq.knatschke@rayleigh.systella.fr>, a
écrit :
parce que la base de connaissance est
plus grande. Mais si on compare rigoureusement les _mêmes_ matières
et le niveau atteint dans ces matières (français, mathématiques,
philo...), le résultat est tout autre.
Mais c'est justement le coeur de l'argument : comparer
rigoureusement les mêmes matières est totalement stupide.
Non, cela permet une comparaison sans biais.
Certainement pas.
Il y a de nouvelles matières et aucune matière n'a disparue.
Ton biais, c'est de ne comparer que le tronc commun et d'en déduire
quelque chose sur le niveau global alors que le tronc commun, qui
comprend la totalité de la connaissance de ta génération, n'est qu'une
partie infime de la connaissance des élèves de la génération actuelle.
parce que la base de connaissance est plus grande. Mais si on compare rigoureusement les _mêmes_ matières et le niveau atteint dans ces matières (français, mathématiques, philo...), le résultat est tout autre.
Mais c'est justement le coeur de l'argument : comparer rigoureusement les mêmes matières est totalement stupide.
Non, cela permet une comparaison sans biais.
Certainement pas.
Il y a de nouvelles matières et aucune matière n'a disparue.
Ton biais, c'est de ne comparer que le tronc commun et d'en déduire quelque chose sur le niveau global alors que le tronc commun, qui comprend la totalité de la connaissance de ta génération, n'est qu'une partie infime de la connaissance des élèves de la génération actuelle.