JKB a écrit :Le 06-07-2009, ? propos de
Re: A quoi peut bien servir Linux ?,
remy ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :Jean-Baptiste 'JBCKB' Bourgoin a écrit :
haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa je craque
je n'ai même pas tout lu
mais l'on a pas le droit de tout dévaloriser, ils bossent comme des brutes
avoir un certain niveau ne veut absolument rien dire, c'est l'écart
qui est important
le bac vous paraît dévalorisé mais c'est une fable, un leurre
l'on est passé d'un système de bachotage à une approche construite
où on aborde des notions hautement plus complexes
Que naturellement, on peut aborder intelligemment sans avoir les
bases. C'est pour cela qu'on se retrouve en école d'ingénieurs avec des
(super) techniciens mais plus des ingénieurs parce que, dès qu'on leur
demande autre chose que d'assembler des trucs qu'ils ont appris sans les
comprendre, il n'y a plus personne.
tout le monde na pas forcement envie d'être inventif
l'on a aussi le droit de vouloir vivre sur ses acquis
3/4 des 1G
oui, l'on n'écrit plus à la plume et l'on apprend plus les tables de
log, la règle à calcul est rangée au placard, l'on a remplacé ses
matières utilitaires par un discours autrement plus élaboré et construit
à mon sens, il n'y a pas de hiérarchie dans les savoirs,
mais comme il vous semble que la forme prime sur le fond, je
m'insurge, le fond est toujours à l'ordre du jour que vous n'y
retrouviez pas vos petits en est la démonstration flagrante
il suffit de regarder les questions du bac pour s'en rendre compte
Justement...et je fais l'impasse sur les possibilités qu'il existait avant, à
justement exister sans le bac
le niveau est loin d'être faible, les notions et la culture générale
sont énormes,
La culture _générale_ chez l'étudiant moyen ? Tu rigoles ?
non non elle me paraît très nettement en hausse
globalisation de l'information oblige
par contre aucune conscience politique bande de petits cons
à chaque époque ses préoccupations
vous me faites penser à un rassemblement d'anciens élèves de prépa qui
malgré la pression de papa ,l'investissement ,les cours en sup,
et je ne sais quelle autre torture mentale autoaffligée,
ont tout de même été obligés de bosser comme des brutes ,et qui se la
joue vierge effarouchée
Certainement pas. Mais ne pas avoir les bases de mathématiques
handicape sérieusement lorsqu'il faut attaquer certaines notions
scientifiques. Je n'ai encore jamais vu un type travaillant dans mon
domaine de recherche est une bille en mathématique (mais on va
certainement m'en trouver un quelque part). Là encore, on va me dire que
c'est un cas particulier.oh my god comment tu ne savais pas
mais vous apprenez quoi à l'école de mon temps ttttttttttttt
il faut bien en profiter parce que maintenant il y a le réseau et son
savoir instantané qui est actuellement à l'ordre du jour
Le savoir instantané. Belle notion.
disons que le réseau aide à la diffusion d'une certain connaissance
le reste est à venir
remy vieux con qui est passé par dessus votre sacro saint bac
et entre nous je ne pense pas que cela soit encore possible
5ième ->cours du soir fac ->maîtrise math info moins 2UV
Figure-toi que tu trouves des gens parfaitement compétents qui n'ont
pas le bac et qui ont fait tout leur cursus en cours du soir. Il y en a
même qui terminent par un doctorat et ces gens-là sont doués, et
largement plus que ceux qui sortent actuellement du circuit _normal_
parce qu'ils ont justement une culture générale importante.
ils doivent être certainement plus couillus ou doués que moi
parce que l'une des choses que les cours du soir m'ont appris
c'est que les diplômes ne servent que si tu les as en même temps que
les autres mais je ne regrette rien non rien de r...
JKB a écrit :
Le 06-07-2009, ? propos de
Re: A quoi peut bien servir Linux ?,
remy ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Jean-Baptiste 'JBCKB' Bourgoin a écrit :
haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa je craque
je n'ai même pas tout lu
mais l'on a pas le droit de tout dévaloriser, ils bossent comme des brutes
avoir un certain niveau ne veut absolument rien dire, c'est l'écart
qui est important
le bac vous paraît dévalorisé mais c'est une fable, un leurre
l'on est passé d'un système de bachotage à une approche construite
où on aborde des notions hautement plus complexes
Que naturellement, on peut aborder intelligemment sans avoir les
bases. C'est pour cela qu'on se retrouve en école d'ingénieurs avec des
(super) techniciens mais plus des ingénieurs parce que, dès qu'on leur
demande autre chose que d'assembler des trucs qu'ils ont appris sans les
comprendre, il n'y a plus personne.
tout le monde na pas forcement envie d'être inventif
l'on a aussi le droit de vouloir vivre sur ses acquis
3/4 des 1G
oui, l'on n'écrit plus à la plume et l'on apprend plus les tables de
log, la règle à calcul est rangée au placard, l'on a remplacé ses
matières utilitaires par un discours autrement plus élaboré et construit
à mon sens, il n'y a pas de hiérarchie dans les savoirs,
mais comme il vous semble que la forme prime sur le fond, je
m'insurge, le fond est toujours à l'ordre du jour que vous n'y
retrouviez pas vos petits en est la démonstration flagrante
il suffit de regarder les questions du bac pour s'en rendre compte
Justement...
et je fais l'impasse sur les possibilités qu'il existait avant, à
justement exister sans le bac
le niveau est loin d'être faible, les notions et la culture générale
sont énormes,
La culture _générale_ chez l'étudiant moyen ? Tu rigoles ?
non non elle me paraît très nettement en hausse
globalisation de l'information oblige
par contre aucune conscience politique bande de petits cons
à chaque époque ses préoccupations
vous me faites penser à un rassemblement d'anciens élèves de prépa qui
malgré la pression de papa ,l'investissement ,les cours en sup,
et je ne sais quelle autre torture mentale autoaffligée,
ont tout de même été obligés de bosser comme des brutes ,et qui se la
joue vierge effarouchée
Certainement pas. Mais ne pas avoir les bases de mathématiques
handicape sérieusement lorsqu'il faut attaquer certaines notions
scientifiques. Je n'ai encore jamais vu un type travaillant dans mon
domaine de recherche est une bille en mathématique (mais on va
certainement m'en trouver un quelque part). Là encore, on va me dire que
c'est un cas particulier.
oh my god comment tu ne savais pas
mais vous apprenez quoi à l'école de mon temps ttttttttttttt
il faut bien en profiter parce que maintenant il y a le réseau et son
savoir instantané qui est actuellement à l'ordre du jour
Le savoir instantané. Belle notion.
disons que le réseau aide à la diffusion d'une certain connaissance
le reste est à venir
remy vieux con qui est passé par dessus votre sacro saint bac
et entre nous je ne pense pas que cela soit encore possible
5ième ->cours du soir fac ->maîtrise math info moins 2UV
Figure-toi que tu trouves des gens parfaitement compétents qui n'ont
pas le bac et qui ont fait tout leur cursus en cours du soir. Il y en a
même qui terminent par un doctorat et ces gens-là sont doués, et
largement plus que ceux qui sortent actuellement du circuit _normal_
parce qu'ils ont justement une culture générale importante.
ils doivent être certainement plus couillus ou doués que moi
parce que l'une des choses que les cours du soir m'ont appris
c'est que les diplômes ne servent que si tu les as en même temps que
les autres mais je ne regrette rien non rien de r...
JKB a écrit :Le 06-07-2009, ? propos de
Re: A quoi peut bien servir Linux ?,
remy ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :Jean-Baptiste 'JBCKB' Bourgoin a écrit :
haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa je craque
je n'ai même pas tout lu
mais l'on a pas le droit de tout dévaloriser, ils bossent comme des brutes
avoir un certain niveau ne veut absolument rien dire, c'est l'écart
qui est important
le bac vous paraît dévalorisé mais c'est une fable, un leurre
l'on est passé d'un système de bachotage à une approche construite
où on aborde des notions hautement plus complexes
Que naturellement, on peut aborder intelligemment sans avoir les
bases. C'est pour cela qu'on se retrouve en école d'ingénieurs avec des
(super) techniciens mais plus des ingénieurs parce que, dès qu'on leur
demande autre chose que d'assembler des trucs qu'ils ont appris sans les
comprendre, il n'y a plus personne.
tout le monde na pas forcement envie d'être inventif
l'on a aussi le droit de vouloir vivre sur ses acquis
3/4 des 1G
oui, l'on n'écrit plus à la plume et l'on apprend plus les tables de
log, la règle à calcul est rangée au placard, l'on a remplacé ses
matières utilitaires par un discours autrement plus élaboré et construit
à mon sens, il n'y a pas de hiérarchie dans les savoirs,
mais comme il vous semble que la forme prime sur le fond, je
m'insurge, le fond est toujours à l'ordre du jour que vous n'y
retrouviez pas vos petits en est la démonstration flagrante
il suffit de regarder les questions du bac pour s'en rendre compte
Justement...et je fais l'impasse sur les possibilités qu'il existait avant, à
justement exister sans le bac
le niveau est loin d'être faible, les notions et la culture générale
sont énormes,
La culture _générale_ chez l'étudiant moyen ? Tu rigoles ?
non non elle me paraît très nettement en hausse
globalisation de l'information oblige
par contre aucune conscience politique bande de petits cons
à chaque époque ses préoccupations
vous me faites penser à un rassemblement d'anciens élèves de prépa qui
malgré la pression de papa ,l'investissement ,les cours en sup,
et je ne sais quelle autre torture mentale autoaffligée,
ont tout de même été obligés de bosser comme des brutes ,et qui se la
joue vierge effarouchée
Certainement pas. Mais ne pas avoir les bases de mathématiques
handicape sérieusement lorsqu'il faut attaquer certaines notions
scientifiques. Je n'ai encore jamais vu un type travaillant dans mon
domaine de recherche est une bille en mathématique (mais on va
certainement m'en trouver un quelque part). Là encore, on va me dire que
c'est un cas particulier.oh my god comment tu ne savais pas
mais vous apprenez quoi à l'école de mon temps ttttttttttttt
il faut bien en profiter parce que maintenant il y a le réseau et son
savoir instantané qui est actuellement à l'ordre du jour
Le savoir instantané. Belle notion.
disons que le réseau aide à la diffusion d'une certain connaissance
le reste est à venir
remy vieux con qui est passé par dessus votre sacro saint bac
et entre nous je ne pense pas que cela soit encore possible
5ième ->cours du soir fac ->maîtrise math info moins 2UV
Figure-toi que tu trouves des gens parfaitement compétents qui n'ont
pas le bac et qui ont fait tout leur cursus en cours du soir. Il y en a
même qui terminent par un doctorat et ces gens-là sont doués, et
largement plus que ceux qui sortent actuellement du circuit _normal_
parce qu'ils ont justement une culture générale importante.
ils doivent être certainement plus couillus ou doués que moi
parce que l'une des choses que les cours du soir m'ont appris
c'est que les diplômes ne servent que si tu les as en même temps que
les autres mais je ne regrette rien non rien de r...
Cumbalero vient de nous annoncer :
Il y en gros 80% de réussite au bac, et 100% des jeunes français n e le
passent pas.
?????
Cumbalero vient de nous annoncer :
Il y en gros 80% de réussite au bac, et 100% des jeunes français n e le
passent pas.
?????
Cumbalero vient de nous annoncer :
Il y en gros 80% de réussite au bac, et 100% des jeunes français n e le
passent pas.
?????
totof2000 , dans le message
, a
écrit :
> Beaucoup de ceux qui sortent avec le BAC aujourd'hui ont moins de sens
> pratique et de "jugeotte" que ceux qui sortaient avec un certificat
> d'études il y a 60 ans ....
Tu as des faits objectifs pour étayer cette affirmation, ou bien tu
t'appuies uniquement sur une impression subjective ?
totof2000 , dans le message
<a9fbc080-8560-4a15-8e2c-08e8df9a1...@g1g2000yqh.googlegroups.com>, a
écrit :
> Beaucoup de ceux qui sortent avec le BAC aujourd'hui ont moins de sens
> pratique et de "jugeotte" que ceux qui sortaient avec un certificat
> d'études il y a 60 ans ....
Tu as des faits objectifs pour étayer cette affirmation, ou bien tu
t'appuies uniquement sur une impression subjective ?
totof2000 , dans le message
, a
écrit :
> Beaucoup de ceux qui sortent avec le BAC aujourd'hui ont moins de sens
> pratique et de "jugeotte" que ceux qui sortaient avec un certificat
> d'études il y a 60 ans ....
Tu as des faits objectifs pour étayer cette affirmation, ou bien tu
t'appuies uniquement sur une impression subjective ?
Aujourd'hui, des usines, y'en a plus. On n'a plus besoin d'agriculteurs
et d'ouvriers. Logique que les enseignements ne soient plus les mêmes.
Aujourd'hui, des usines, y'en a plus. On n'a plus besoin d'agriculteurs
et d'ouvriers. Logique que les enseignements ne soient plus les mêmes.
Aujourd'hui, des usines, y'en a plus. On n'a plus besoin d'agriculteurs
et d'ouvriers. Logique que les enseignements ne soient plus les mêmes.
Le 04-07-2009, ? propos de
Re: A quoi peut bien servir Linux ?,
Patrice Karatchentzeff ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
> Nicolas George <nicolas$ a écrit :
>> JKB , dans le message
>> , a
>> écrit :
>>> parce que la base de connaissance est
>>> plus grande. Mais si on compare rigoureusement les _mêmes_ matièr es
>>> et le niveau atteint dans ces matières (français, mathématiques ,
>>> philo...), le résultat est tout autre.
>> Mais c'est justement le coeur de l'argument : comparer
>> rigoureusement les mêmes matières est totalement stupide.
> Non, cela permet une comparaison sans biais.
> Par contre, dire que les « étudiants » actuels en savent plus
> quantitativement et en déduire que les études modernes sont
> « meilleures » est encore plus rigolo...
> Ils en savent plus en quoi ?
> * en biolo ? C'est de la bouillie qui n'a aucune utilité (ADN, etc.)
> * en chimie ? idem. On leur file un catalogue de formules.
> * en physique ? idem que la chimie.
> * en maths ? C'est tout simplement risible (comparons les épreuves du
> bac C d'il y a ne serait-ce que 25 ans !)
Eh oh !... On ne peut pas passer d'un mathélem^WC d'il y a 25 a ns à
un S qui a viré un bon tiers des heures disponibles (l'option math ét ant
du rabachage plus que des nouveautés) sans niveler par le bas. Et comme
on veut donner le bac à 80% d'une classe d'âge alors que les capacit és
moyennes du bipède médian sont les mêmes...
> On a ajouté des tas de trucs inutiles (dont l'informatique, c'tte
> bonne blague) pour faire croire à un semblant de culture à ces
> « étudiants »
> Au final, ils ne savent rien et surtout n'ont aucune méthode de
> travail.
Et c'est une litote !
> À la fin, on a des cons ignares qui ne sont même pas foutu
> d'apprendre. On trouvera évidemment dans le lot le paquet d'exception s
> qui justifient la règle.
> Je ne crois pas une seconde qu'un « étudiant » ayant fait *cinq*
> années *après* le bac ne soit pas capable d'apprendre la b-a-ba de la
> grammaire et du vocabulaire d'un gamin de CM2 d'il y a cinquante ans.
Surtout qu'il y a une étude marante qui est sortie. Le niveau d e
français d'un bachelier de 1996 était celui d'un CM1 de 1983. Et celu i
d'un bachelier de 2005 celui d'un CM1 de 1996. Statistiques officielles
de l'EN, il faudrait que je retrouve la papier qui est dans ceux de mon
épouse...
> Ou alors, on nous prend *vraiment* pour des cons.
Et oui ;-)
> Un candidat postulant pour un poste d'ingénieur qui me dit qu'il n'es t
> pas capable d'écrire sans faute (sans une solide raison comme la
> dyslexie), je le vire. Je ne crois pas en son avenir.
Dyslexie, gaucher, toussa, de bonnes excuses pour ne pas regarder
les choses en face. Effectivement, ça existe, mais c'est _rare_.
Aujourd'hui, on a 35% de gaucher qui ne sont dus qu'à des manques de
coups de pied au cul et non à des problèmes physiques. Idem pour la
dyslexie (dont au passage les causes sont connues, ce qui permet de
séparer les quelques vrais dyslexiques des prétendus tels parce que
c'est confortable). De beaux alibis...
Et je ne parle pas de tout le battage autour du français qui es t
soi-disant une langue difficile. Foutaises pour en avoir essayé plus
d'une autre. Le français est carré, mais il faut apprendre les règl es.
C'est tellement plus facile de se dire que c'est une langue difficile et
que c'est pour cela qu'on est ignare...
JKB
--
Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2 % de notre
masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous
consommons tous les jours.
Le 04-07-2009, ? propos de
Re: A quoi peut bien servir Linux ?,
Patrice Karatchentzeff ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
> Nicolas George <nicolas$geo...@salle-s.org> a écrit :
>> JKB , dans le message
>> <slrnh4vf26.tkq.knatsc...@rayleigh.systella.fr>, a
>> écrit :
>>> parce que la base de connaissance est
>>> plus grande. Mais si on compare rigoureusement les _mêmes_ matièr es
>>> et le niveau atteint dans ces matières (français, mathématiques ,
>>> philo...), le résultat est tout autre.
>> Mais c'est justement le coeur de l'argument : comparer
>> rigoureusement les mêmes matières est totalement stupide.
> Non, cela permet une comparaison sans biais.
> Par contre, dire que les « étudiants » actuels en savent plus
> quantitativement et en déduire que les études modernes sont
> « meilleures » est encore plus rigolo...
> Ils en savent plus en quoi ?
> * en biolo ? C'est de la bouillie qui n'a aucune utilité (ADN, etc.)
> * en chimie ? idem. On leur file un catalogue de formules.
> * en physique ? idem que la chimie.
> * en maths ? C'est tout simplement risible (comparons les épreuves du
> bac C d'il y a ne serait-ce que 25 ans !)
Eh oh !... On ne peut pas passer d'un mathélem^WC d'il y a 25 a ns à
un S qui a viré un bon tiers des heures disponibles (l'option math ét ant
du rabachage plus que des nouveautés) sans niveler par le bas. Et comme
on veut donner le bac à 80% d'une classe d'âge alors que les capacit és
moyennes du bipède médian sont les mêmes...
> On a ajouté des tas de trucs inutiles (dont l'informatique, c'tte
> bonne blague) pour faire croire à un semblant de culture à ces
> « étudiants »
> Au final, ils ne savent rien et surtout n'ont aucune méthode de
> travail.
Et c'est une litote !
> À la fin, on a des cons ignares qui ne sont même pas foutu
> d'apprendre. On trouvera évidemment dans le lot le paquet d'exception s
> qui justifient la règle.
> Je ne crois pas une seconde qu'un « étudiant » ayant fait *cinq*
> années *après* le bac ne soit pas capable d'apprendre la b-a-ba de la
> grammaire et du vocabulaire d'un gamin de CM2 d'il y a cinquante ans.
Surtout qu'il y a une étude marante qui est sortie. Le niveau d e
français d'un bachelier de 1996 était celui d'un CM1 de 1983. Et celu i
d'un bachelier de 2005 celui d'un CM1 de 1996. Statistiques officielles
de l'EN, il faudrait que je retrouve la papier qui est dans ceux de mon
épouse...
> Ou alors, on nous prend *vraiment* pour des cons.
Et oui ;-)
> Un candidat postulant pour un poste d'ingénieur qui me dit qu'il n'es t
> pas capable d'écrire sans faute (sans une solide raison comme la
> dyslexie), je le vire. Je ne crois pas en son avenir.
Dyslexie, gaucher, toussa, de bonnes excuses pour ne pas regarder
les choses en face. Effectivement, ça existe, mais c'est _rare_.
Aujourd'hui, on a 35% de gaucher qui ne sont dus qu'à des manques de
coups de pied au cul et non à des problèmes physiques. Idem pour la
dyslexie (dont au passage les causes sont connues, ce qui permet de
séparer les quelques vrais dyslexiques des prétendus tels parce que
c'est confortable). De beaux alibis...
Et je ne parle pas de tout le battage autour du français qui es t
soi-disant une langue difficile. Foutaises pour en avoir essayé plus
d'une autre. Le français est carré, mais il faut apprendre les règl es.
C'est tellement plus facile de se dire que c'est une langue difficile et
que c'est pour cela qu'on est ignare...
JKB
--
Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2 % de notre
masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous
consommons tous les jours.
Le 04-07-2009, ? propos de
Re: A quoi peut bien servir Linux ?,
Patrice Karatchentzeff ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
> Nicolas George <nicolas$ a écrit :
>> JKB , dans le message
>> , a
>> écrit :
>>> parce que la base de connaissance est
>>> plus grande. Mais si on compare rigoureusement les _mêmes_ matièr es
>>> et le niveau atteint dans ces matières (français, mathématiques ,
>>> philo...), le résultat est tout autre.
>> Mais c'est justement le coeur de l'argument : comparer
>> rigoureusement les mêmes matières est totalement stupide.
> Non, cela permet une comparaison sans biais.
> Par contre, dire que les « étudiants » actuels en savent plus
> quantitativement et en déduire que les études modernes sont
> « meilleures » est encore plus rigolo...
> Ils en savent plus en quoi ?
> * en biolo ? C'est de la bouillie qui n'a aucune utilité (ADN, etc.)
> * en chimie ? idem. On leur file un catalogue de formules.
> * en physique ? idem que la chimie.
> * en maths ? C'est tout simplement risible (comparons les épreuves du
> bac C d'il y a ne serait-ce que 25 ans !)
Eh oh !... On ne peut pas passer d'un mathélem^WC d'il y a 25 a ns à
un S qui a viré un bon tiers des heures disponibles (l'option math ét ant
du rabachage plus que des nouveautés) sans niveler par le bas. Et comme
on veut donner le bac à 80% d'une classe d'âge alors que les capacit és
moyennes du bipède médian sont les mêmes...
> On a ajouté des tas de trucs inutiles (dont l'informatique, c'tte
> bonne blague) pour faire croire à un semblant de culture à ces
> « étudiants »
> Au final, ils ne savent rien et surtout n'ont aucune méthode de
> travail.
Et c'est une litote !
> À la fin, on a des cons ignares qui ne sont même pas foutu
> d'apprendre. On trouvera évidemment dans le lot le paquet d'exception s
> qui justifient la règle.
> Je ne crois pas une seconde qu'un « étudiant » ayant fait *cinq*
> années *après* le bac ne soit pas capable d'apprendre la b-a-ba de la
> grammaire et du vocabulaire d'un gamin de CM2 d'il y a cinquante ans.
Surtout qu'il y a une étude marante qui est sortie. Le niveau d e
français d'un bachelier de 1996 était celui d'un CM1 de 1983. Et celu i
d'un bachelier de 2005 celui d'un CM1 de 1996. Statistiques officielles
de l'EN, il faudrait que je retrouve la papier qui est dans ceux de mon
épouse...
> Ou alors, on nous prend *vraiment* pour des cons.
Et oui ;-)
> Un candidat postulant pour un poste d'ingénieur qui me dit qu'il n'es t
> pas capable d'écrire sans faute (sans une solide raison comme la
> dyslexie), je le vire. Je ne crois pas en son avenir.
Dyslexie, gaucher, toussa, de bonnes excuses pour ne pas regarder
les choses en face. Effectivement, ça existe, mais c'est _rare_.
Aujourd'hui, on a 35% de gaucher qui ne sont dus qu'à des manques de
coups de pied au cul et non à des problèmes physiques. Idem pour la
dyslexie (dont au passage les causes sont connues, ce qui permet de
séparer les quelques vrais dyslexiques des prétendus tels parce que
c'est confortable). De beaux alibis...
Et je ne parle pas de tout le battage autour du français qui es t
soi-disant une langue difficile. Foutaises pour en avoir essayé plus
d'une autre. Le français est carré, mais il faut apprendre les règl es.
C'est tellement plus facile de se dire que c'est une langue difficile et
que c'est pour cela qu'on est ignare...
JKB
--
Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2 % de notre
masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous
consommons tous les jours.
On 5 juil, 09:38, JKB wrote:Dyslexie, gaucher, toussa, de bonnes excuses pour ne pas regarder
les choses en face. Effectivement, ça existe, mais c'est _rare_.
Aujourd'hui, on a 35% de gaucher qui ne sont dus qu'à des manques de
coups de pied au cul et non à des problèmes physiques. Idem pour la
dyslexie (dont au passage les causes sont connues, ce qui permet de
séparer les quelques vrais dyslexiques des prétendus tels parce que
c'est confortable). De beaux alibis...
En quoi le fait d'être gaucher provoquerait-il des problèmes ? Mettre
les gauchers au même plan que la dyslexie, je trouve ça assez extrême
(bien que je sois d'accord sur le fait que l'on se serve de ce genre
de "problème" pour excuser les incompétences des uns et des autres).
On 5 juil, 09:38, JKB <knatsc...@koenigsberg.fr> wrote:
Dyslexie, gaucher, toussa, de bonnes excuses pour ne pas regarder
les choses en face. Effectivement, ça existe, mais c'est _rare_.
Aujourd'hui, on a 35% de gaucher qui ne sont dus qu'à des manques de
coups de pied au cul et non à des problèmes physiques. Idem pour la
dyslexie (dont au passage les causes sont connues, ce qui permet de
séparer les quelques vrais dyslexiques des prétendus tels parce que
c'est confortable). De beaux alibis...
En quoi le fait d'être gaucher provoquerait-il des problèmes ? Mettre
les gauchers au même plan que la dyslexie, je trouve ça assez extrême
(bien que je sois d'accord sur le fait que l'on se serve de ce genre
de "problème" pour excuser les incompétences des uns et des autres).
On 5 juil, 09:38, JKB wrote:Dyslexie, gaucher, toussa, de bonnes excuses pour ne pas regarder
les choses en face. Effectivement, ça existe, mais c'est _rare_.
Aujourd'hui, on a 35% de gaucher qui ne sont dus qu'à des manques de
coups de pied au cul et non à des problèmes physiques. Idem pour la
dyslexie (dont au passage les causes sont connues, ce qui permet de
séparer les quelques vrais dyslexiques des prétendus tels parce que
c'est confortable). De beaux alibis...
En quoi le fait d'être gaucher provoquerait-il des problèmes ? Mettre
les gauchers au même plan que la dyslexie, je trouve ça assez extrême
(bien que je sois d'accord sur le fait que l'on se serve de ce genre
de "problème" pour excuser les incompétences des uns et des autres).
Qui parle actuellement de l'Iran ? Personne.
Qui parle actuellement du scandale bancaire qui se profile ?
C'est parfaitement faux. Un ingénieur diplômé du CNAM vaut largement
plus sur le marché de l'emploi qu'un ingénieur frais émoulu d'une
grande école (au passage, je ne suis pas ingénieur CNAM et je n'ai
strictement aucun intérêt à le dire.).
Qui parle actuellement de l'Iran ? Personne.
Qui parle actuellement du scandale bancaire qui se profile ?
C'est parfaitement faux. Un ingénieur diplômé du CNAM vaut largement
plus sur le marché de l'emploi qu'un ingénieur frais émoulu d'une
grande école (au passage, je ne suis pas ingénieur CNAM et je n'ai
strictement aucun intérêt à le dire.).
Qui parle actuellement de l'Iran ? Personne.
Qui parle actuellement du scandale bancaire qui se profile ?
C'est parfaitement faux. Un ingénieur diplômé du CNAM vaut largement
plus sur le marché de l'emploi qu'un ingénieur frais émoulu d'une
grande école (au passage, je ne suis pas ingénieur CNAM et je n'ai
strictement aucun intérêt à le dire.).
JKB , dans le message , a
écrit :
> Là encore, il faut vraiment arrêter de dire des conneries. Le
> problème n'est ni dans les moyens (une fois qu'on a passé une certa ine
> limite, on pourra doubler le budget sans aucune évolution notoire) ni
> dans le nombre d'élèves par classe. Le problème est qu'on doit se
> concentrer sur les enseignements de base et qu'il faut avoir un minimum
> d'ordre dans les salles de classe. Ce n'est pas au prof de faire le
> gendarme, pendant qu'il fait ça, il ne fait pas son boulot. Dans les
> années 60, il n'était pas rare d'avoir 45 élèves par classe, ça
> fonctionnait. Dans certains pays dans lesquels j'ai bossé, il y avait
> plus de 40 élèves par classe et le niveau était bon lui aussi. Do nne-moi
> donc unse seule raison pour laquelle ça ne fonctionne pas en France e t
> qu'on pourrait résoudre soit en mettant plus de profs soit en augment ant
> le budget de l'éducation.
Il y a clairement une évolution dans le respect accordé à l'enseign ant par
les élèves.
J'ai quelques idées sur son origine (et le discours de ceux qui
dénigrent sans cesse le travail des enseignants est une des premières ),
et hélas pas trop sur comment l'endiguer.
Il est clair que ça réduit l'efficacité à moyens constants. Mais la question
de faire évoluer les mentalités dans le bon sens et la question d'ens eigner
efficacement avec les mentalités actuelles sont essentiellement
orthogonales.
Ah, et si tu ne te rends pas compte qu'il est plus facile d'assurer le ca lme
parmi 20 élèves que parmi 45... je ne peux rien pour toi.
> Le niveau se casse la gueule depuis une grosse dizaine d'années da ns
> le supérieur.
La proportion de la population qui accède au supérieur évolue de m ême.
> Il y a de moments où le niveau a objectivement monté, d'autres o ù il
> baisse lamentablement.
Et pourtant, même aux moments où le niveau a monté, les gens comme toi se
plaignaient que le niveau baissait.
> Si. Je te rappelle aimablement que les écoles d'ingé (les vieill es)
> recrutent sur _concours_ et non sur examen parce que les places sont
> limitées.
Et moi je te réponds que le nombre total d'écoles d'ingénieurs et d e places
offertes ne cesse d'augmenter, alors même qu'il y a un désintérêt pour les
métiers de l'ingénierie (en faveur des métiers du commerce au sens large).
Je te laisse faire les déductions qui s'imposent.
JKB , dans le message <slrnh5183b.km0.knatsc...@rayleigh.systella.fr>, a
écrit :
> Là encore, il faut vraiment arrêter de dire des conneries. Le
> problème n'est ni dans les moyens (une fois qu'on a passé une certa ine
> limite, on pourra doubler le budget sans aucune évolution notoire) ni
> dans le nombre d'élèves par classe. Le problème est qu'on doit se
> concentrer sur les enseignements de base et qu'il faut avoir un minimum
> d'ordre dans les salles de classe. Ce n'est pas au prof de faire le
> gendarme, pendant qu'il fait ça, il ne fait pas son boulot. Dans les
> années 60, il n'était pas rare d'avoir 45 élèves par classe, ça
> fonctionnait. Dans certains pays dans lesquels j'ai bossé, il y avait
> plus de 40 élèves par classe et le niveau était bon lui aussi. Do nne-moi
> donc unse seule raison pour laquelle ça ne fonctionne pas en France e t
> qu'on pourrait résoudre soit en mettant plus de profs soit en augment ant
> le budget de l'éducation.
Il y a clairement une évolution dans le respect accordé à l'enseign ant par
les élèves.
J'ai quelques idées sur son origine (et le discours de ceux qui
dénigrent sans cesse le travail des enseignants est une des premières ),
et hélas pas trop sur comment l'endiguer.
Il est clair que ça réduit l'efficacité à moyens constants. Mais la question
de faire évoluer les mentalités dans le bon sens et la question d'ens eigner
efficacement avec les mentalités actuelles sont essentiellement
orthogonales.
Ah, et si tu ne te rends pas compte qu'il est plus facile d'assurer le ca lme
parmi 20 élèves que parmi 45... je ne peux rien pour toi.
> Le niveau se casse la gueule depuis une grosse dizaine d'années da ns
> le supérieur.
La proportion de la population qui accède au supérieur évolue de m ême.
> Il y a de moments où le niveau a objectivement monté, d'autres o ù il
> baisse lamentablement.
Et pourtant, même aux moments où le niveau a monté, les gens comme toi se
plaignaient que le niveau baissait.
> Si. Je te rappelle aimablement que les écoles d'ingé (les vieill es)
> recrutent sur _concours_ et non sur examen parce que les places sont
> limitées.
Et moi je te réponds que le nombre total d'écoles d'ingénieurs et d e places
offertes ne cesse d'augmenter, alors même qu'il y a un désintérêt pour les
métiers de l'ingénierie (en faveur des métiers du commerce au sens large).
Je te laisse faire les déductions qui s'imposent.
JKB , dans le message , a
écrit :
> Là encore, il faut vraiment arrêter de dire des conneries. Le
> problème n'est ni dans les moyens (une fois qu'on a passé une certa ine
> limite, on pourra doubler le budget sans aucune évolution notoire) ni
> dans le nombre d'élèves par classe. Le problème est qu'on doit se
> concentrer sur les enseignements de base et qu'il faut avoir un minimum
> d'ordre dans les salles de classe. Ce n'est pas au prof de faire le
> gendarme, pendant qu'il fait ça, il ne fait pas son boulot. Dans les
> années 60, il n'était pas rare d'avoir 45 élèves par classe, ça
> fonctionnait. Dans certains pays dans lesquels j'ai bossé, il y avait
> plus de 40 élèves par classe et le niveau était bon lui aussi. Do nne-moi
> donc unse seule raison pour laquelle ça ne fonctionne pas en France e t
> qu'on pourrait résoudre soit en mettant plus de profs soit en augment ant
> le budget de l'éducation.
Il y a clairement une évolution dans le respect accordé à l'enseign ant par
les élèves.
J'ai quelques idées sur son origine (et le discours de ceux qui
dénigrent sans cesse le travail des enseignants est une des premières ),
et hélas pas trop sur comment l'endiguer.
Il est clair que ça réduit l'efficacité à moyens constants. Mais la question
de faire évoluer les mentalités dans le bon sens et la question d'ens eigner
efficacement avec les mentalités actuelles sont essentiellement
orthogonales.
Ah, et si tu ne te rends pas compte qu'il est plus facile d'assurer le ca lme
parmi 20 élèves que parmi 45... je ne peux rien pour toi.
> Le niveau se casse la gueule depuis une grosse dizaine d'années da ns
> le supérieur.
La proportion de la population qui accède au supérieur évolue de m ême.
> Il y a de moments où le niveau a objectivement monté, d'autres o ù il
> baisse lamentablement.
Et pourtant, même aux moments où le niveau a monté, les gens comme toi se
plaignaient que le niveau baissait.
> Si. Je te rappelle aimablement que les écoles d'ingé (les vieill es)
> recrutent sur _concours_ et non sur examen parce que les places sont
> limitées.
Et moi je te réponds que le nombre total d'écoles d'ingénieurs et d e places
offertes ne cesse d'augmenter, alors même qu'il y a un désintérêt pour les
métiers de l'ingénierie (en faveur des métiers du commerce au sens large).
Je te laisse faire les déductions qui s'imposent.
Je n'ai pas dit que cela posait des problèmes en tant que tels
(quoique, un tas de choses sont avant tout fait pour droitiers). Par
contre, dès qu'un élève écrit comme un porc, lorsqu'il est droitier,
on entend que c'est un gaucher contrarié; lorsqu'il est gaucher, on
met ça sur le compte de sa gauchitude. C'est un peu facile.
Je n'ai pas dit que cela posait des problèmes en tant que tels
(quoique, un tas de choses sont avant tout fait pour droitiers). Par
contre, dès qu'un élève écrit comme un porc, lorsqu'il est droitier,
on entend que c'est un gaucher contrarié; lorsqu'il est gaucher, on
met ça sur le compte de sa gauchitude. C'est un peu facile.
Je n'ai pas dit que cela posait des problèmes en tant que tels
(quoique, un tas de choses sont avant tout fait pour droitiers). Par
contre, dès qu'un élève écrit comme un porc, lorsqu'il est droitier,
on entend que c'est un gaucher contrarié; lorsqu'il est gaucher, on
met ça sur le compte de sa gauchitude. C'est un peu facile.
Le 06-07-2009, JKB a écrit :Qui parle actuellement de l'Iran ? Personne.
Mais si, twitter.Qui parle actuellement du scandale bancaire qui se profile ?
Mais si, ces pauvres riches qui n'ont plus confiance dans les banques
vont pouvoir bénéficier d'un placement garanti par l'état. Emprunt
Fillon qu'il s'appelle. Abondé par les plus riches, payé pendant
plusieurs années par tout le monde, donc par une majorité de pauvres
pour renflouer ces pauvres riches Pauvres hommes riches,
hein, avec la crise ils ne savent plus ou mettre leur argent.
Le plus scandaleux, c'est que l'état ne sait même pas quoi faire
de ce fric; le dernier truc que j'ai lu consistait à lancer une
consultation nationale.
Petit chiffre. Le dernier emprunt en date, L'emprunt Giscard avait
ramené 7.5milliards de francs à l'état et coûté 90 Milliards au
contribuable. Une paille.
Ah, et dans le dernier truc rigolo, c'est Madoff. Scandaleux, tricherie
menterie, escroc et j'en passe.
Ceci dit, j'aurais bien aimé investir chez Madoff, moi.
In fine, j'aurais gagné 6-7% par an, et aujourd'hui, l'état me
rembourserait. Si si, le capital investi chez Madoff est déductible
à 95% des impôts. Hônnetement, qui perd dans ce jeu?
Madoff gagne, les souscripteurs gagnent et ne perdent pas leur mise
de départ.
Des fois, j'aimerai bien être riche. Même quand tu perds, tu gagnes
quand même.
Quand on est pauvre, la banque te dit que les trois économies et
demies mises à la banque non seulement ne valent plus rien, mais
qu'en plus tu devras leur payer des frais de garde. Ca va pour
les banques. Elles t'ont goinfré ton capital, ne t'ont versé aucun
dividende, et te demandent de payer en plus pour leur gestion
calamiteuse. Et en plus, elles vont augmenter leur frais, c'est
la crise, mon bon m'sieur.C'est parfaitement faux. Un ingénieur diplômé du CNAM vaut largement
plus sur le marché de l'emploi qu'un ingénieur frais émoulu d'une
grande école (au passage, je ne suis pas ingénieur CNAM et je n'ai
strictement aucun intérêt à le dire.).
Sur fmbl, ne disais tu pas que le niveau baissait? (je ne retrouve plus
le fil). Pour toi, ce n'était qu'un technicien supérieur depuis
la réforme LMD.
Le 06-07-2009, JKB <knatschke@koenigsberg.fr> a écrit :
Qui parle actuellement de l'Iran ? Personne.
Mais si, twitter.
Qui parle actuellement du scandale bancaire qui se profile ?
Mais si, ces pauvres riches qui n'ont plus confiance dans les banques
vont pouvoir bénéficier d'un placement garanti par l'état. Emprunt
Fillon qu'il s'appelle. Abondé par les plus riches, payé pendant
plusieurs années par tout le monde, donc par une majorité de pauvres
pour renflouer ces pauvres riches Pauvres hommes riches,
hein, avec la crise ils ne savent plus ou mettre leur argent.
Le plus scandaleux, c'est que l'état ne sait même pas quoi faire
de ce fric; le dernier truc que j'ai lu consistait à lancer une
consultation nationale.
Petit chiffre. Le dernier emprunt en date, L'emprunt Giscard avait
ramené 7.5milliards de francs à l'état et coûté 90 Milliards au
contribuable. Une paille.
Ah, et dans le dernier truc rigolo, c'est Madoff. Scandaleux, tricherie
menterie, escroc et j'en passe.
Ceci dit, j'aurais bien aimé investir chez Madoff, moi.
In fine, j'aurais gagné 6-7% par an, et aujourd'hui, l'état me
rembourserait. Si si, le capital investi chez Madoff est déductible
à 95% des impôts. Hônnetement, qui perd dans ce jeu?
Madoff gagne, les souscripteurs gagnent et ne perdent pas leur mise
de départ.
Des fois, j'aimerai bien être riche. Même quand tu perds, tu gagnes
quand même.
Quand on est pauvre, la banque te dit que les trois économies et
demies mises à la banque non seulement ne valent plus rien, mais
qu'en plus tu devras leur payer des frais de garde. Ca va pour
les banques. Elles t'ont goinfré ton capital, ne t'ont versé aucun
dividende, et te demandent de payer en plus pour leur gestion
calamiteuse. Et en plus, elles vont augmenter leur frais, c'est
la crise, mon bon m'sieur.
C'est parfaitement faux. Un ingénieur diplômé du CNAM vaut largement
plus sur le marché de l'emploi qu'un ingénieur frais émoulu d'une
grande école (au passage, je ne suis pas ingénieur CNAM et je n'ai
strictement aucun intérêt à le dire.).
Sur fmbl, ne disais tu pas que le niveau baissait? (je ne retrouve plus
le fil). Pour toi, ce n'était qu'un technicien supérieur depuis
la réforme LMD.
Le 06-07-2009, JKB a écrit :Qui parle actuellement de l'Iran ? Personne.
Mais si, twitter.Qui parle actuellement du scandale bancaire qui se profile ?
Mais si, ces pauvres riches qui n'ont plus confiance dans les banques
vont pouvoir bénéficier d'un placement garanti par l'état. Emprunt
Fillon qu'il s'appelle. Abondé par les plus riches, payé pendant
plusieurs années par tout le monde, donc par une majorité de pauvres
pour renflouer ces pauvres riches Pauvres hommes riches,
hein, avec la crise ils ne savent plus ou mettre leur argent.
Le plus scandaleux, c'est que l'état ne sait même pas quoi faire
de ce fric; le dernier truc que j'ai lu consistait à lancer une
consultation nationale.
Petit chiffre. Le dernier emprunt en date, L'emprunt Giscard avait
ramené 7.5milliards de francs à l'état et coûté 90 Milliards au
contribuable. Une paille.
Ah, et dans le dernier truc rigolo, c'est Madoff. Scandaleux, tricherie
menterie, escroc et j'en passe.
Ceci dit, j'aurais bien aimé investir chez Madoff, moi.
In fine, j'aurais gagné 6-7% par an, et aujourd'hui, l'état me
rembourserait. Si si, le capital investi chez Madoff est déductible
à 95% des impôts. Hônnetement, qui perd dans ce jeu?
Madoff gagne, les souscripteurs gagnent et ne perdent pas leur mise
de départ.
Des fois, j'aimerai bien être riche. Même quand tu perds, tu gagnes
quand même.
Quand on est pauvre, la banque te dit que les trois économies et
demies mises à la banque non seulement ne valent plus rien, mais
qu'en plus tu devras leur payer des frais de garde. Ca va pour
les banques. Elles t'ont goinfré ton capital, ne t'ont versé aucun
dividende, et te demandent de payer en plus pour leur gestion
calamiteuse. Et en plus, elles vont augmenter leur frais, c'est
la crise, mon bon m'sieur.C'est parfaitement faux. Un ingénieur diplômé du CNAM vaut largement
plus sur le marché de l'emploi qu'un ingénieur frais émoulu d'une
grande école (au passage, je ne suis pas ingénieur CNAM et je n'ai
strictement aucun intérêt à le dire.).
Sur fmbl, ne disais tu pas que le niveau baissait? (je ne retrouve plus
le fil). Pour toi, ce n'était qu'un technicien supérieur depuis
la réforme LMD.