Après avoir testé nombre de distributions, plus ou moins inégale, que
j'ai souvent trouvées intéressantes, je constate tout de même que
- la fiabilité Linux n'est pas au rendez-vous, sur mes différentes
machines, j'ai passablement d'incompatibilité
- Les programmes fournis sont obsolètes, c'est à daire que sous
Windows, je peux télécharger Open Office 3.01 alors que sous Linux,
cela vient encore avec des versions 2 ou 2.1, et c'est très difficile
de faire des mises à jour sans tout planter le système
- Les logiciels Linux sont intéressants, mais bon, à part Firefox queje
connais bien, les autres sont de qualité assez modeste, alors que sous
Windows on trouve des superlogiciels, comme Office Famille (pour env.
70 Euros) et des logiciels de gravures permettan de graver gratuitement
- Les logiciels sont trop nombreux à faire la même chose; par exemple,
vous avez un fichier mp3, on ne sait plus avec quoi le lire (J'utilise
normalement Amarok...) tellement il y'a de possibilités, et qucun ne
marche bien sauf celui que je viens de cité. Pourquoi faire autant de
programmes malfichus ?
- Si on trouve autant de programmes malfichus (des milliers de petits
logiciels...) très peu sont par contre bons, j'ai fait une liste des
meilleures à mon sens
- Mozilla
- OpenOffice (quand on trouve la dernière version)
- Amarok (lecteur multimédia)
- ThunderBird (pour les messages)
Maintenant, pour faire de la retouche photos, on me parle de GIMP, mais
je trouve que c'est trop le foutoir, y'a t'il quelque chose comme
Photoshop Elemens ?
Mais voilà, malgré les heures et les heures que je passe devant Linux,
je ne comprends toujours pas pourquoi cela serait sensé être mieux que
Windows, alors que c'est beaucoup plus durs à faire marcher
Est-ce que l'on peut dire que c'est surtout pour les étudiants ?
Cumbalero , dans le message <h2sscs$ish$, a écrit :
C'est une acquisition, le fruit de l'apprentissage. Que ça devienne un automatisme, oui, mais à mon sens, le terme reflex est trop connoté "inné".
Un réflexe peut parfaitement être acquis ; cf. les expériences de Pavlov. C'est peut-être même possible pour d'authentiques réflexes au sens biologique, je ne sais pas exactement.
Dans le langage courant, ça désigne ce qu'on fait instantanément, sans réflexion consciente.
Cumbalero , dans le message <h2sscs$ish$1@writer.imaginet.fr>, a écrit :
C'est une acquisition, le fruit de l'apprentissage. Que ça devienne un
automatisme, oui, mais à mon sens, le terme reflex est trop connoté "inné".
Un réflexe peut parfaitement être acquis ; cf. les expériences de Pavlov.
C'est peut-être même possible pour d'authentiques réflexes au sens
biologique, je ne sais pas exactement.
Dans le langage courant, ça désigne ce qu'on fait instantanément, sans
réflexion consciente.
Cumbalero , dans le message <h2sscs$ish$, a écrit :
C'est une acquisition, le fruit de l'apprentissage. Que ça devienne un automatisme, oui, mais à mon sens, le terme reflex est trop connoté "inné".
Un réflexe peut parfaitement être acquis ; cf. les expériences de Pavlov. C'est peut-être même possible pour d'authentiques réflexes au sens biologique, je ne sais pas exactement.
Dans le langage courant, ça désigne ce qu'on fait instantanément, sans réflexion consciente.
totof2000
On 6 juil, 15:46, Nicolas George <nicolas$ wrote:
Cumbalero , dans le message <h2sscs$, a écrit :
> C'est une acquisition, le fruit de l'apprentissage. Que ça devienne u n > automatisme, oui, mais à mon sens, le terme reflex est trop connoté "inné".
Un réflexe peut parfaitement être acquis ; cf. les expériences de P avlov. C'est peut-être même possible pour d'authentiques réflexes au sens biologique, je ne sais pas exactement.
C'est d'ailleurs le but des entrainements des sportifs .... acquérir des réflexes ....
Dans le langage courant, ça désigne ce qu'on fait instantanément, s ans réflexion consciente.
On 6 juil, 15:46, Nicolas George <nicolas$geo...@salle-s.org> wrote:
Cumbalero , dans le message <h2sscs$is...@writer.imaginet.fr>, a écrit :
> C'est une acquisition, le fruit de l'apprentissage. Que ça devienne u n
> automatisme, oui, mais à mon sens, le terme reflex est trop connoté "inné".
Un réflexe peut parfaitement être acquis ; cf. les expériences de P avlov.
C'est peut-être même possible pour d'authentiques réflexes au sens
biologique, je ne sais pas exactement.
C'est d'ailleurs le but des entrainements des sportifs .... acquérir
des réflexes ....
Dans le langage courant, ça désigne ce qu'on fait instantanément, s ans
réflexion consciente.
> C'est une acquisition, le fruit de l'apprentissage. Que ça devienne u n > automatisme, oui, mais à mon sens, le terme reflex est trop connoté "inné".
Un réflexe peut parfaitement être acquis ; cf. les expériences de P avlov. C'est peut-être même possible pour d'authentiques réflexes au sens biologique, je ne sais pas exactement.
C'est d'ailleurs le but des entrainements des sportifs .... acquérir des réflexes ....
Dans le langage courant, ça désigne ce qu'on fait instantanément, s ans réflexion consciente.
totof2000
On 6 juil, 15:39, Nicolas George <nicolas$ wrote:
totof2000 , dans le message , a écrit :
> Aujourd'hui on a un nivellement par le bas ....
Non.
Si.
On 6 juil, 15:39, Nicolas George <nicolas$geo...@salle-s.org> wrote:
totof2000 , dans le message
<25bde68b-3a10-4883-ad51-25bf49907...@i6g2000yqj.googlegroups.com>, a
écrit :
> On 6 juil, 14:47, Patrice Karatchentzeff > wrote:
[...]
>> Chez nous, en primaire, il y a des classes multi-niveaux (mélange do nc >> de CP, CE1, CE2, etc.) et cela se passe très bien. > Ce n'est pas dans ce sens là que le manque d'homogénéité pose > problème. Tant que tu peux occuperles CP pendant que tu travailles > avec les CE1 par exemple, ça ne pose pas problème, tout est questio n > d'organisation.
Qu'est-ce qui t'empêche de le faire avec les bons, les pas bons et les pas motivés ?
Le bordel que vont mettre les pas bons qui ne sont pas motivés pendant que les bons/motivés voudront travailler. C'est du vécu ....
Sinon il faut pousser le truc à l'extrême : des éléments très bon qui comprennent très vite et qui ne prendront que 10% du temps de l'enseignant avec des très mauvais qui eux nécessiteront 90% du temps de l'enseignant. Par contre ceux qui ont un niuveau moyen, on les met ensemble.
On 6 juil, 15:32, Patrice Karatchentzeff <p.karatchentz...@free.fr>
wrote:
totof2000 <cdesques...@ifrance.com> a écrit :
> On 6 juil, 14:47, Patrice Karatchentzeff <p.karatchentz...@free.fr>
> wrote:
[...]
>> Chez nous, en primaire, il y a des classes multi-niveaux (mélange do nc
>> de CP, CE1, CE2, etc.) et cela se passe très bien.
> Ce n'est pas dans ce sens là que le manque d'homogénéité pose
> problème. Tant que tu peux occuperles CP pendant que tu travailles
> avec les CE1 par exemple, ça ne pose pas problème, tout est questio n
> d'organisation.
Qu'est-ce qui t'empêche de le faire avec les bons, les pas bons et
les pas motivés ?
Le bordel que vont mettre les pas bons qui ne sont pas motivés
pendant que les bons/motivés voudront travailler.
C'est du vécu ....
Sinon il faut pousser le truc à l'extrême : des éléments très bon qui
comprennent très vite et qui ne prendront que 10% du temps de
l'enseignant avec des très mauvais qui eux nécessiteront 90% du temps
de l'enseignant. Par contre ceux qui ont un niuveau moyen, on les met
ensemble.
> On 6 juil, 14:47, Patrice Karatchentzeff > wrote:
[...]
>> Chez nous, en primaire, il y a des classes multi-niveaux (mélange do nc >> de CP, CE1, CE2, etc.) et cela se passe très bien. > Ce n'est pas dans ce sens là que le manque d'homogénéité pose > problème. Tant que tu peux occuperles CP pendant que tu travailles > avec les CE1 par exemple, ça ne pose pas problème, tout est questio n > d'organisation.
Qu'est-ce qui t'empêche de le faire avec les bons, les pas bons et les pas motivés ?
Le bordel que vont mettre les pas bons qui ne sont pas motivés pendant que les bons/motivés voudront travailler. C'est du vécu ....
Sinon il faut pousser le truc à l'extrême : des éléments très bon qui comprennent très vite et qui ne prendront que 10% du temps de l'enseignant avec des très mauvais qui eux nécessiteront 90% du temps de l'enseignant. Par contre ceux qui ont un niuveau moyen, on les met ensemble.
C'est parfaitement faux. Un ingénieur diplômé du CNAM vaut largement plus sur le marché de l'emploi qu'un ingénieur frais émoulu d'une
Il en est de même pour les "BAC + 2" de l'AFPA par rapports aux BTS et DUT.
Franchement bof, j'ai fais un truc par l'AFPA (y'a 15 ans) équivalent BTS et c'était à mon avis loin d'avoir le niveau d'un BTS (info indus).
j'ai pas fait l'afpa mais le cnam si l'on met de côté la première année qui est un peu scolaire à partir de la 2 ou 3 ième année tu te retrouves à une dizaine avec un prof de fac rien que pour toi
et comme tu es coincé jusqu'à 21h autant se faire plaisir en général on leur servait de cobaye pour leurs cours ou de petites mains pour leur pôle fac entreprise je me souviens d'un certain simplexe qui était clairement pour une boite
mais c'était il y a quelques années
-- http://remyaumeunier.chez-alice.fr/
Patrick Lamaizière a écrit :
Cumbalero :
C'est parfaitement faux. Un ingénieur diplômé du CNAM vaut largement
plus sur le marché de l'emploi qu'un ingénieur frais émoulu d'une
Il en est de même pour les "BAC + 2" de l'AFPA par rapports aux BTS et DUT.
Franchement bof, j'ai fais un truc par l'AFPA (y'a 15 ans) équivalent
BTS et c'était à mon avis loin d'avoir le niveau d'un BTS (info indus).
j'ai pas fait l'afpa mais le cnam
si l'on met de côté la première année
qui est un peu scolaire à partir de la 2 ou 3 ième année
tu te retrouves à une dizaine avec un prof de fac rien que pour toi
et comme tu es coincé jusqu'à 21h autant se faire plaisir
en général on leur servait de cobaye pour leurs cours
ou de petites mains pour leur pôle fac entreprise
je me souviens d'un certain simplexe qui était clairement pour une boite
C'est parfaitement faux. Un ingénieur diplômé du CNAM vaut largement plus sur le marché de l'emploi qu'un ingénieur frais émoulu d'une
Il en est de même pour les "BAC + 2" de l'AFPA par rapports aux BTS et DUT.
Franchement bof, j'ai fais un truc par l'AFPA (y'a 15 ans) équivalent BTS et c'était à mon avis loin d'avoir le niveau d'un BTS (info indus).
j'ai pas fait l'afpa mais le cnam si l'on met de côté la première année qui est un peu scolaire à partir de la 2 ou 3 ième année tu te retrouves à une dizaine avec un prof de fac rien que pour toi
et comme tu es coincé jusqu'à 21h autant se faire plaisir en général on leur servait de cobaye pour leurs cours ou de petites mains pour leur pôle fac entreprise je me souviens d'un certain simplexe qui était clairement pour une boite
mais c'était il y a quelques années
-- http://remyaumeunier.chez-alice.fr/
remy
totof2000 a écrit :
On 6 juil, 15:39, Nicolas George <nicolas$ wrote:
totof2000 , dans le message , a écrit :
Aujourd'hui on a un nivellement par le bas ....
Non.
Si.
ha
-- http://remyaumeunier.chez-alice.fr/
totof2000 a écrit :
On 6 juil, 15:39, Nicolas George <nicolas$geo...@salle-s.org> wrote:
totof2000 , dans le message
<25bde68b-3a10-4883-ad51-25bf49907...@i6g2000yqj.googlegroups.com>, a
écrit :
C'est d'ailleurs le but des entrainements des sportifs .... acquérir des réflexes ....
Dans le sens courant de ce mot.
Que ce soit en physiologie ou en psychologie, on appelle ça un automatisme, un conditionnement, mais pas un reflex.
Un reflex, tu n'as pas à l'apprendre, et tu ne peux pas lutter contre (Tu peux essayer de retenir ta jambe quand le toubib te frappe le genou, ça marchera pas), au contraire d'un automatisme ou d'un conditionnement .
L'influx nerveux d'un reflex n'a pas besoin de passer par le système nerveux supérieur, un arc nerveux au niveau de la moelle épinière s uffit.
Dans le cas d'une dictée ou d'un comportement sportif acquis par l'entrainement, il est assez facile de montrer qu'une activité céré brale est en place. L'entraînement, le conditionnement ont pour rôle de déplacer et limiter les zones concernées (on va plus utiliser la mé moire que le cortex pré-frontal par exemple).
C'est peut-être du chipotage de vocabulaire, mais il existe une différence fondamentale entre un comportement acquis (je n'ai plus à réfléchir à comment dire à mes jambes de marcher ni à mes mains comment mettre la nourriture dans ma bouche à l'aide d'ustensiles, et pourtant, c'est le fuit d'un looooooong travail, il y a fort longtemps) et un réflex, un vrai...
A+ JF
totof2000 a écrit :
C'est d'ailleurs le but des entrainements des sportifs .... acquérir
des réflexes ....
Dans le sens courant de ce mot.
Que ce soit en physiologie ou en psychologie, on appelle ça un
automatisme, un conditionnement, mais pas un reflex.
Un reflex, tu n'as pas à l'apprendre, et tu ne peux pas lutter contre
(Tu peux essayer de retenir ta jambe quand le toubib te frappe le genou,
ça marchera pas), au contraire d'un automatisme ou d'un conditionnement .
L'influx nerveux d'un reflex n'a pas besoin de passer par le système
nerveux supérieur, un arc nerveux au niveau de la moelle épinière s uffit.
Dans le cas d'une dictée ou d'un comportement sportif acquis par
l'entrainement, il est assez facile de montrer qu'une activité céré brale
est en place. L'entraînement, le conditionnement ont pour rôle de
déplacer et limiter les zones concernées (on va plus utiliser la mé moire
que le cortex pré-frontal par exemple).
C'est peut-être du chipotage de vocabulaire, mais il existe une
différence fondamentale entre un comportement acquis (je n'ai plus à
réfléchir à comment dire à mes jambes de marcher ni à mes mains comment
mettre la nourriture dans ma bouche à l'aide d'ustensiles, et pourtant,
c'est le fuit d'un looooooong travail, il y a fort longtemps) et un
réflex, un vrai...
C'est d'ailleurs le but des entrainements des sportifs .... acquérir des réflexes ....
Dans le sens courant de ce mot.
Que ce soit en physiologie ou en psychologie, on appelle ça un automatisme, un conditionnement, mais pas un reflex.
Un reflex, tu n'as pas à l'apprendre, et tu ne peux pas lutter contre (Tu peux essayer de retenir ta jambe quand le toubib te frappe le genou, ça marchera pas), au contraire d'un automatisme ou d'un conditionnement .
L'influx nerveux d'un reflex n'a pas besoin de passer par le système nerveux supérieur, un arc nerveux au niveau de la moelle épinière s uffit.
Dans le cas d'une dictée ou d'un comportement sportif acquis par l'entrainement, il est assez facile de montrer qu'une activité céré brale est en place. L'entraînement, le conditionnement ont pour rôle de déplacer et limiter les zones concernées (on va plus utiliser la mé moire que le cortex pré-frontal par exemple).
C'est peut-être du chipotage de vocabulaire, mais il existe une différence fondamentale entre un comportement acquis (je n'ai plus à réfléchir à comment dire à mes jambes de marcher ni à mes mains comment mettre la nourriture dans ma bouche à l'aide d'ustensiles, et pourtant, c'est le fuit d'un looooooong travail, il y a fort longtemps) et un réflex, un vrai...
A+ JF
Richard Delorme
Le 05/07/2009 14:56, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Le plus amusant est de voir des « scientifiques » se plaindre de ne pas pouvoir écrire sans faute,
Je ne comprends pas pourquoi ils se plaignent d'écrire avec une seule faute ; s'il n'y en a qu'une, ce n'est pas si grave. Peut-être se plaignent-t-ils plutôt de ne pas pouvoir écrire sans faute*s*?
alors que la grammaire se réduit à une simple machine d'états...
Pas si simple. D'ailleurs, je ne connais pas un seul correcteur grammatical valable. La traduction de la grammaire française en algorithmes n'est sans doute (sans s) pas si simple. Le pluriel ou singulier après sans est une des innombrables difficultés du français, ou la grammaire dépend du sens de la phrase.
-- Richard
Le 05/07/2009 14:56, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Le plus amusant est de voir des « scientifiques » se plaindre de ne
pas pouvoir écrire sans faute,
Je ne comprends pas pourquoi ils se plaignent d'écrire avec une seule
faute ; s'il n'y en a qu'une, ce n'est pas si grave. Peut-être se
plaignent-t-ils plutôt de ne pas pouvoir écrire sans faute*s*?
alors que la grammaire se réduit à une simple machine d'états...
Pas si simple. D'ailleurs, je ne connais pas un seul correcteur
grammatical valable. La traduction de la grammaire française en
algorithmes n'est sans doute (sans s) pas si simple. Le pluriel ou
singulier après sans est une des innombrables difficultés du français,
ou la grammaire dépend du sens de la phrase.
Le 05/07/2009 14:56, Patrice Karatchentzeff a écrit :
Le plus amusant est de voir des « scientifiques » se plaindre de ne pas pouvoir écrire sans faute,
Je ne comprends pas pourquoi ils se plaignent d'écrire avec une seule faute ; s'il n'y en a qu'une, ce n'est pas si grave. Peut-être se plaignent-t-ils plutôt de ne pas pouvoir écrire sans faute*s*?
alors que la grammaire se réduit à une simple machine d'états...
Pas si simple. D'ailleurs, je ne connais pas un seul correcteur grammatical valable. La traduction de la grammaire française en algorithmes n'est sans doute (sans s) pas si simple. Le pluriel ou singulier après sans est une des innombrables difficultés du français, ou la grammaire dépend du sens de la phrase.
-- Richard
Richard Delorme
Le 05/07/2009 12:36, Nicolas George a écrit :
Le système éducatif français connaît des hauts et des bas, qui dépendent essentiellement des moyens qu'on veut y mettre (parce qu'il n'y a pas de miracle, quelle que soit la méthode appliquée, un prof donne de meilleurs résultats quand il s'occupe de 24 élèves que quand il s'occupe de 40 élèves), et on est effectivement plutôt dans un bas.
Je ne crois pas que le problème soit uniquement dans la taille des effectifs ; mais aussi dans leur qualité. Professeur était un métier beaucoup plus attrayant il y a quelques décennies qu'aujourd'hui : respect de la fonction, aspect pécuniaire, etc. J'ai peur que la qualité des enseignants en pâtisse.
-- Richard
Le 05/07/2009 12:36, Nicolas George a écrit :
Le système éducatif français connaît des hauts et des bas, qui dépendent
essentiellement des moyens qu'on veut y mettre (parce qu'il n'y a pas de
miracle, quelle que soit la méthode appliquée, un prof donne de meilleurs
résultats quand il s'occupe de 24 élèves que quand il s'occupe de
40 élèves), et on est effectivement plutôt dans un bas.
Je ne crois pas que le problème soit uniquement dans la taille des
effectifs ; mais aussi dans leur qualité. Professeur était un métier
beaucoup plus attrayant il y a quelques décennies qu'aujourd'hui :
respect de la fonction, aspect pécuniaire, etc. J'ai peur que la qualité
des enseignants en pâtisse.
Le système éducatif français connaît des hauts et des bas, qui dépendent essentiellement des moyens qu'on veut y mettre (parce qu'il n'y a pas de miracle, quelle que soit la méthode appliquée, un prof donne de meilleurs résultats quand il s'occupe de 24 élèves que quand il s'occupe de 40 élèves), et on est effectivement plutôt dans un bas.
Je ne crois pas que le problème soit uniquement dans la taille des effectifs ; mais aussi dans leur qualité. Professeur était un métier beaucoup plus attrayant il y a quelques décennies qu'aujourd'hui : respect de la fonction, aspect pécuniaire, etc. J'ai peur que la qualité des enseignants en pâtisse.
-- Richard
Jo Kerr
Cumbalero avait écrit le 06/07/2009 :
Jo Kerr a écrit :
Cumbalero vient de nous annoncer :
Il y en gros 80% de réussite au bac, et 100% des jeunes français ne le passent pas.
?????
Ben oui, il y a des tas de jeunes français qui ne passent pas le bac. Donc les 80% d'une classe d'age au bac... C'est un peu le veau d'or.
A+ JF
Ben non. 100% des jeunes français qui ne le passent pas, ça veut dire que les jeunes ne le passent pas. Les 80% ce sont donc des vieux ?
-- In gold we trust (c)
Cumbalero avait écrit le 06/07/2009 :
Jo Kerr a écrit :
Cumbalero vient de nous annoncer :
Il y en gros 80% de réussite au bac, et 100% des jeunes français ne le
passent pas.
?????
Ben oui, il y a des tas de jeunes français qui ne passent pas le bac. Donc
les 80% d'une classe d'age au bac... C'est un peu le veau d'or.
A+
JF
Ben non. 100% des jeunes français qui ne le passent pas, ça veut dire
que les jeunes ne le passent pas. Les 80% ce sont donc des vieux ?