Je shoote avec un Reflex num=E9rique dont le capteur est =E0 6 MPx (et
quelques).
Quand je passe ma photo par photoshop, la r=E9solution est de 72
Pixels/pouces.
Si je passe ma photo =E0 150 pixels/pouces (via la commande "taille de
l'image), la taille en pixels augmente.
Cette nouvelle r=E9solution me permet des agrandissements sur des sites
internet de tirage photo, alors que la r=E9solution originale ne me le
permet pas : Je peux alors tirer une image 40x60 cm.
La question : est ce qu'augmenter la r=E9solution d'une image de la
fa=E7on dont je vous ai parl=E9 risque de nuire =E0 sa qualit=E9 sur le
grand tirage final ?
J'esp=E8re que je me suis fait comprendre ! (pas facile d'expliquer tous
ces trucs techniques) :-)
"Didier Dalbera" <dalbera.didier chez doudou> wrote:
Les encres des imprimantes sont des encres transparentes, et sont supperposables [...]
Il faut quand même savoir qu'à l'heure actuelle, très peu de constructeurs maîtrisent de façon satisfaisante la technologie des encres superposées, à cause notamment de la forme quasi-sphérique des gouttes et de leur viscosité élevée qui rend leur superposition très instable. Certains fabricants ont tenté de résoudre le problème en concevant des papiers spéciaux (structure de type micro-carton-à-oeufs), d'autres en utilisant des gouttes de forme spéciale (multi-polyédrique auto-imbricante) mais les résultats restent cependant très aléatoire.
A++ -- Christian (superposeur de gouttes chez Canon)
"Didier Dalbera" <dalbera.didier chez doudou> wrote:
Les encres des imprimantes sont des encres transparentes, et sont
supperposables [...]
Il faut quand même savoir qu'à l'heure actuelle, très peu de
constructeurs maîtrisent de façon satisfaisante la technologie des
encres superposées, à cause notamment de la forme quasi-sphérique des
gouttes et de leur viscosité élevée qui rend leur superposition très
instable. Certains fabricants ont tenté de résoudre le problème en
concevant des papiers spéciaux (structure de type micro-carton-à-oeufs),
d'autres en utilisant des gouttes de forme spéciale (multi-polyédrique
auto-imbricante) mais les résultats restent cependant très aléatoire.
A++
--
Christian (superposeur de gouttes chez Canon)
"Didier Dalbera" <dalbera.didier chez doudou> wrote:
Les encres des imprimantes sont des encres transparentes, et sont supperposables [...]
Il faut quand même savoir qu'à l'heure actuelle, très peu de constructeurs maîtrisent de façon satisfaisante la technologie des encres superposées, à cause notamment de la forme quasi-sphérique des gouttes et de leur viscosité élevée qui rend leur superposition très instable. Certains fabricants ont tenté de résoudre le problème en concevant des papiers spéciaux (structure de type micro-carton-à-oeufs), d'autres en utilisant des gouttes de forme spéciale (multi-polyédrique auto-imbricante) mais les résultats restent cependant très aléatoire.
A++ -- Christian (superposeur de gouttes chez Canon)
Noëlle Adam
Didier Dalbera wrote:
Et comment tu fais pour faire un gris si tu trames pas ?? De même pour toutes les couleurs (ou presque)
Il a raison le Fred, les encres des imprimantes sont plus ou moins transparentes, d'où d'ailleurs les problèmes de métamérisme pas piqués des hannetons. Pour les gris c'est justement un problème crucial en impression jet d'encre, on ne cause que de ça dans les chaumières après le JT. Et la tendance actuelle est bien d'aller vers des encres grises supplémentaires quand on veut faire du NB joli.
Noëlle
Didier Dalbera wrote:
Et comment tu fais pour faire un gris si tu trames pas ?? De même pour toutes
les couleurs (ou presque)
Il a raison le Fred, les encres des imprimantes sont plus ou moins
transparentes, d'où d'ailleurs les problèmes de métamérisme pas piqués
des hannetons. Pour les gris c'est justement un problème crucial en
impression jet d'encre, on ne cause que de ça dans les chaumières après
le JT. Et la tendance actuelle est bien d'aller vers des encres grises
supplémentaires quand on veut faire du NB joli.
Et comment tu fais pour faire un gris si tu trames pas ?? De même pour toutes les couleurs (ou presque)
Il a raison le Fred, les encres des imprimantes sont plus ou moins transparentes, d'où d'ailleurs les problèmes de métamérisme pas piqués des hannetons. Pour les gris c'est justement un problème crucial en impression jet d'encre, on ne cause que de ça dans les chaumières après le JT. Et la tendance actuelle est bien d'aller vers des encres grises supplémentaires quand on veut faire du NB joli.
Noëlle
Didier Dalbera
"fred.bleu11" a écrit
"fred.bleu11" a écrit:
la nuance est issue du mélange dosé d'encres transparentes de plusieurs couleurs
Et comment tu fais pour faire un gris si tu trames pas ??
ben c'est bien le probléme des imprimantes couleur. elles ne savent pas faire du vrai gris (d'ou le métamerisme) par contre les autres (HP par exemple) sont dotées de 3 niveaux de vrai gris. reste plus qu'a dosé tout cela, en jouant sur les trasparence par rapport au blanc du papier
Si on pouvait jouer sur la transparence de l'encre oui, mais ce n'est pas le cas. Une goutte d'une couleur ne peut avoir que la couleur de l'encre. C'est tout. Les nuances sont créées par une trame plus ou moins sérée des ces points. Après, quand on a plusieurs encres grises, ça permet de faire un gris clair en tramant plus sérées des points gris clairs plutot que de tramer large des points noir, d'où un gain de qualité. Mais on reste tramé.
De même pour toutes les couleurs (ou presque)
avec un choix de mélange entre 8 couleurs, des tailles de gouttes différentes, on doit tout de même pouvoir en produire des millions de teintes, tu crois pas ?
D'abord, quand on parle de taille de goutte variable, j'aimerai bien connaitre les spécification de cette variation... je n'ai jamais trouvé de doc là dessus (bon, j'ai pas cherché beaucoup non plus, mais c'est pas donner dans les specs des imprimantes) Après, que la goutte soit grosse ou petite, elle fait un point qui est plus ou moins gros, mais avec une seule couleur. Regarde une impression à la loupe, et tu verras la trame...
Pour obtenir ce que tu dit, il faudrait pouvoir jouer sur la nuance de chaque couleur primaire en la diluant avec de l'eau par exemple, et dans ce cas là, on n'aurait pas besoin de passer en 6 ou 8 cartouches, puisque les teintes claires serait alors directement disponible à partir de la couleur primaire. Mais ça, à ma connaissance, ça n'existe pas (je vais d'ailleurs le breveter...)
-- Didier
"fred.bleu11" a écrit
"fred.bleu11" a écrit:
la nuance est issue du mélange dosé d'encres transparentes de plusieurs
couleurs
Et comment tu fais pour faire un gris si tu trames pas ??
ben c'est bien le probléme des imprimantes couleur. elles ne savent pas faire
du vrai gris (d'ou le métamerisme)
par contre les autres (HP par exemple) sont dotées de 3 niveaux de vrai gris.
reste plus qu'a dosé tout cela, en jouant sur les trasparence par rapport au
blanc du papier
Si on pouvait jouer sur la transparence de l'encre oui, mais ce n'est pas le
cas. Une goutte d'une couleur ne peut avoir que la couleur de l'encre. C'est
tout. Les nuances sont créées par une trame plus ou moins sérée des ces points.
Après, quand on a plusieurs encres grises, ça permet de faire un gris clair en
tramant plus sérées des points gris clairs plutot que de tramer large des points
noir, d'où un gain de qualité. Mais on reste tramé.
De même pour toutes
les couleurs (ou presque)
avec un choix de mélange entre 8 couleurs, des tailles de gouttes différentes,
on doit tout de même pouvoir en produire des millions de teintes, tu crois
pas ?
D'abord, quand on parle de taille de goutte variable, j'aimerai bien connaitre
les spécification de cette variation... je n'ai jamais trouvé de doc là dessus
(bon, j'ai pas cherché beaucoup non plus, mais c'est pas donner dans les specs
des imprimantes)
Après, que la goutte soit grosse ou petite, elle fait un point qui est plus ou
moins gros, mais avec une seule couleur. Regarde une impression à la loupe, et
tu verras la trame...
Pour obtenir ce que tu dit, il faudrait pouvoir jouer sur la nuance de chaque
couleur primaire en la diluant avec de l'eau par exemple, et dans ce cas là, on
n'aurait pas besoin de passer en 6 ou 8 cartouches, puisque les teintes claires
serait alors directement disponible à partir de la couleur primaire. Mais ça, à
ma connaissance, ça n'existe pas (je vais d'ailleurs le breveter...)
la nuance est issue du mélange dosé d'encres transparentes de plusieurs couleurs
Et comment tu fais pour faire un gris si tu trames pas ??
ben c'est bien le probléme des imprimantes couleur. elles ne savent pas faire du vrai gris (d'ou le métamerisme) par contre les autres (HP par exemple) sont dotées de 3 niveaux de vrai gris. reste plus qu'a dosé tout cela, en jouant sur les trasparence par rapport au blanc du papier
Si on pouvait jouer sur la transparence de l'encre oui, mais ce n'est pas le cas. Une goutte d'une couleur ne peut avoir que la couleur de l'encre. C'est tout. Les nuances sont créées par une trame plus ou moins sérée des ces points. Après, quand on a plusieurs encres grises, ça permet de faire un gris clair en tramant plus sérées des points gris clairs plutot que de tramer large des points noir, d'où un gain de qualité. Mais on reste tramé.
De même pour toutes les couleurs (ou presque)
avec un choix de mélange entre 8 couleurs, des tailles de gouttes différentes, on doit tout de même pouvoir en produire des millions de teintes, tu crois pas ?
D'abord, quand on parle de taille de goutte variable, j'aimerai bien connaitre les spécification de cette variation... je n'ai jamais trouvé de doc là dessus (bon, j'ai pas cherché beaucoup non plus, mais c'est pas donner dans les specs des imprimantes) Après, que la goutte soit grosse ou petite, elle fait un point qui est plus ou moins gros, mais avec une seule couleur. Regarde une impression à la loupe, et tu verras la trame...
Pour obtenir ce que tu dit, il faudrait pouvoir jouer sur la nuance de chaque couleur primaire en la diluant avec de l'eau par exemple, et dans ce cas là, on n'aurait pas besoin de passer en 6 ou 8 cartouches, puisque les teintes claires serait alors directement disponible à partir de la couleur primaire. Mais ça, à ma connaissance, ça n'existe pas (je vais d'ailleurs le breveter...)
-- Didier
Noëlle Adam
Christian Fauchier wrote:
Il faut quand même savoir que si la taille des gouttes est variable en théorie, elle est en principe strictement contrôlée à la production
Excellent ! Dans la FAQ celle là !
Noëlle
Christian Fauchier wrote:
Il faut quand même savoir que si la taille des gouttes est variable en
théorie, elle est en principe strictement contrôlée à la production
Il faut quand même savoir que si la taille des gouttes est variable en théorie, elle est en principe strictement contrôlée à la production
Excellent ! Dans la FAQ celle là !
Noëlle
Didier Dalbera
"Noëlle Adam" a écrit
Didier Dalbera wrote:
Et comment tu fais pour faire un gris si tu trames pas ?? De même pour toutes les couleurs (ou presque)
Il a raison le Fred, les encres des imprimantes sont plus ou moins transparentes, d'où d'ailleurs les problèmes de métamérisme pas piqués des hannetons. Pour les gris c'est justement un problème crucial en impression jet d'encre, on ne cause que de ça dans les chaumières après le JT. Et la tendance actuelle est bien d'aller vers des encres grises supplémentaires quand on veut faire du NB joli.
Les encres offset sont aussi transparentes, et pourtant... Le problème vient plus, à mon avis, du fait qu'on ne maitrise pas le support, et que le gain (l'encre qui bave) n'est pas controlé. Après, l'ajout d'encres grises, c'est que pour faire un gris 5% il y a 1 point sur 20 si on imprime en noir, et ça ne fait pas un ton visiblement régulier. En revanche, si on imprime 1 point sur 10 avec une encre grise 50%, c'est plus dense et plus beau. On fait ça aussi en imprimerie, où pour avoir un beau rendu noir et blanc, on utilise de la bichromie gris et noir ; ça se rapproche plus d'un rendu photo qu'un impression qu'en noir seulement.
-- Didier
"Noëlle Adam" a écrit
Didier Dalbera wrote:
Et comment tu fais pour faire un gris si tu trames pas ?? De même pour toutes
les couleurs (ou presque)
Il a raison le Fred, les encres des imprimantes sont plus ou moins
transparentes, d'où d'ailleurs les problèmes de métamérisme pas piqués des
hannetons. Pour les gris c'est justement un problème crucial en impression jet
d'encre, on ne cause que de ça dans les chaumières après le JT. Et la tendance
actuelle est bien d'aller vers des encres grises supplémentaires quand on veut
faire du NB joli.
Les encres offset sont aussi transparentes, et pourtant...
Le problème vient plus, à mon avis, du fait qu'on ne maitrise pas le support, et
que le gain (l'encre qui bave) n'est pas controlé. Après, l'ajout d'encres
grises, c'est que pour faire un gris 5% il y a 1 point sur 20 si on imprime en
noir, et ça ne fait pas un ton visiblement régulier. En revanche, si on imprime
1 point sur 10 avec une encre grise 50%, c'est plus dense et plus beau. On fait
ça aussi en imprimerie, où pour avoir un beau rendu noir et blanc, on utilise de
la bichromie gris et noir ; ça se rapproche plus d'un rendu photo qu'un
impression qu'en noir seulement.
Et comment tu fais pour faire un gris si tu trames pas ?? De même pour toutes les couleurs (ou presque)
Il a raison le Fred, les encres des imprimantes sont plus ou moins transparentes, d'où d'ailleurs les problèmes de métamérisme pas piqués des hannetons. Pour les gris c'est justement un problème crucial en impression jet d'encre, on ne cause que de ça dans les chaumières après le JT. Et la tendance actuelle est bien d'aller vers des encres grises supplémentaires quand on veut faire du NB joli.
Les encres offset sont aussi transparentes, et pourtant... Le problème vient plus, à mon avis, du fait qu'on ne maitrise pas le support, et que le gain (l'encre qui bave) n'est pas controlé. Après, l'ajout d'encres grises, c'est que pour faire un gris 5% il y a 1 point sur 20 si on imprime en noir, et ça ne fait pas un ton visiblement régulier. En revanche, si on imprime 1 point sur 10 avec une encre grise 50%, c'est plus dense et plus beau. On fait ça aussi en imprimerie, où pour avoir un beau rendu noir et blanc, on utilise de la bichromie gris et noir ; ça se rapproche plus d'un rendu photo qu'un impression qu'en noir seulement.
-- Didier
Pehache XVII
Noëlle Adam wrote:
Il a raison le Fred, les encres des imprimantes sont plus ou moins transparentes, d'où d'ailleurs les problèmes de métamérisme pas piqués des hannetons.
Je ne sais pas si les encres sont transparentes ou pas, mais je ne vois en quoi c'est ça qui causerait le métamérisme ? Le métamérisme est dû au fait que le spectre de réflexion des encres n'est pas plat mais plus ou moins bosselé. Le rapport avec la transparence ne me parait pas évident...
Pour les gris c'est justement un problème crucial en impression jet d'encre, on ne cause que de ça dans les chaumières après le JT. Et la tendance actuelle est bien d'aller vers des encres grises supplémentaires quand on veut faire du NB joli.
Avec la finesse des goutelettes actuellement atteinte par certaines imprimantes, combinée à la technologie des goutelettes de taille variable, je me demande si les encres grises est forcément la tendance pour le futur.
Car pour produire plus de nuances de gris, soit il faut des encres grises, soit il faut réduire la taille des goutelettes en imprimant avec du noir seul. Cette deuxième voie a l'avantage de ne pas souffrir de métamérisme (le noir pur ne posant pas de problème). Sinon, pour des encres grises sans métamérisme, il faut taper dans le encres piezography, mais c'est cher...
copie frpln
-- pehache enlever NOSPAM. etc... pour répondre / remove NOSPAM... to reply http://pehache.free.fr/public.html
Noëlle Adam wrote:
Il a raison le Fred, les encres des imprimantes sont plus ou moins
transparentes, d'où d'ailleurs les problèmes de métamérisme pas piqués
des hannetons.
Je ne sais pas si les encres sont transparentes ou pas, mais je ne vois en
quoi c'est ça qui causerait le métamérisme ? Le métamérisme est dû au fait
que le spectre de réflexion des encres n'est pas plat mais plus ou moins
bosselé. Le rapport avec la transparence ne me parait pas évident...
Pour les gris c'est justement un problème crucial en
impression jet d'encre, on ne cause que de ça dans les chaumières
après le JT. Et la tendance actuelle est bien d'aller vers des encres
grises supplémentaires quand on veut faire du NB joli.
Avec la finesse des goutelettes actuellement atteinte par certaines
imprimantes, combinée à la technologie des goutelettes de taille variable,
je me demande si les encres grises est forcément la tendance pour le futur.
Car pour produire plus de nuances de gris, soit il faut des encres grises,
soit il faut réduire la taille des goutelettes en imprimant avec du noir
seul. Cette deuxième voie a l'avantage de ne pas souffrir de métamérisme (le
noir pur ne posant pas de problème). Sinon, pour des encres grises sans
métamérisme, il faut taper dans le encres piezography, mais c'est cher...
copie frpln
--
pehache
enlever NOSPAM. etc... pour répondre / remove NOSPAM... to reply
http://pehache.free.fr/public.html
Il a raison le Fred, les encres des imprimantes sont plus ou moins transparentes, d'où d'ailleurs les problèmes de métamérisme pas piqués des hannetons.
Je ne sais pas si les encres sont transparentes ou pas, mais je ne vois en quoi c'est ça qui causerait le métamérisme ? Le métamérisme est dû au fait que le spectre de réflexion des encres n'est pas plat mais plus ou moins bosselé. Le rapport avec la transparence ne me parait pas évident...
Pour les gris c'est justement un problème crucial en impression jet d'encre, on ne cause que de ça dans les chaumières après le JT. Et la tendance actuelle est bien d'aller vers des encres grises supplémentaires quand on veut faire du NB joli.
Avec la finesse des goutelettes actuellement atteinte par certaines imprimantes, combinée à la technologie des goutelettes de taille variable, je me demande si les encres grises est forcément la tendance pour le futur.
Car pour produire plus de nuances de gris, soit il faut des encres grises, soit il faut réduire la taille des goutelettes en imprimant avec du noir seul. Cette deuxième voie a l'avantage de ne pas souffrir de métamérisme (le noir pur ne posant pas de problème). Sinon, pour des encres grises sans métamérisme, il faut taper dans le encres piezography, mais c'est cher...
copie frpln
-- pehache enlever NOSPAM. etc... pour répondre / remove NOSPAM... to reply http://pehache.free.fr/public.html
oeilnopourspamoeil
Noëlle Adam wrote:
Je n'appelle pas ça casse-noix pour autant.
Certains le font ! ;^)
A+ !
NoNo.
-- Anyway The Wind Blows...
Noëlle Adam <adam.noelle@wanadoo.frinvalid> wrote:
Il a raison le Fred, les encres des imprimantes sont plus ou moins transparentes, d'où d'ailleurs les problèmes de métamérisme pas piqués des hannetons.
Je ne sais pas si les encres sont transparentes ou pas, mais je ne vois en quoi c'est ça qui causerait le métamérisme ? Le métamérisme est dû au fait que le spectre de réflexion des encres n'est pas plat mais plus ou moins bosselé. Le rapport avec la transparence ne me parait pas évident...
Sans doute le fait que les encres soient superposées plus ou moins fait que le spectre de reflexion devient encore moins régulier : le problème ne serait pas que les couleurs changent suivant l'eclairement, c'est assez fatal, mais qu'elles changent d'une façon qui perturbe leur rapport entre elles.
Pour les gris c'est justement un problème crucial en impression jet d'encre, on ne cause que de ça dans les chaumières après le JT. Et la tendance actuelle est bien d'aller vers des encres grises supplémentaires quand on veut faire du NB joli.
Avec la finesse des goutelettes actuellement atteinte par certaines imprimantes, combinée à la technologie des goutelettes de taille variable, je me demande si les encres grises est forcément la tendance pour le futur.
Le futur proche on dirait : epson sort justement la 4800 avec un gris en plus. Plus loin, tout peut changer.
Car pour produire plus de nuances de gris, soit il faut des encres grises, soit il faut réduire la taille des goutelettes en imprimant avec du noir seul. Cette deuxième voie a l'avantage de ne pas souffrir de métamérisme (le noir pur ne posant pas de problème). Sinon, pour des encres grises sans métamérisme, il faut taper dans le encres piezography, mais c'est cher...
C'est toujours cher.
Noëlle
Pehache XVII wrote:
Noëlle Adam wrote:
Il a raison le Fred, les encres des imprimantes sont plus ou moins
transparentes, d'où d'ailleurs les problèmes de métamérisme pas piqués
des hannetons.
Je ne sais pas si les encres sont transparentes ou pas, mais je ne vois en
quoi c'est ça qui causerait le métamérisme ? Le métamérisme est dû au fait
que le spectre de réflexion des encres n'est pas plat mais plus ou moins
bosselé. Le rapport avec la transparence ne me parait pas évident...
Sans doute le fait que les encres soient superposées plus ou moins fait
que le spectre de reflexion devient encore moins régulier : le problème
ne serait pas que les couleurs changent suivant l'eclairement, c'est
assez fatal, mais qu'elles changent d'une façon qui perturbe leur
rapport entre elles.
Pour les gris c'est justement un problème crucial en
impression jet d'encre, on ne cause que de ça dans les chaumières
après le JT. Et la tendance actuelle est bien d'aller vers des encres
grises supplémentaires quand on veut faire du NB joli.
Avec la finesse des goutelettes actuellement atteinte par certaines
imprimantes, combinée à la technologie des goutelettes de taille variable,
je me demande si les encres grises est forcément la tendance pour le futur.
Le futur proche on dirait : epson sort justement la 4800 avec un gris en
plus. Plus loin, tout peut changer.
Car pour produire plus de nuances de gris, soit il faut des encres grises,
soit il faut réduire la taille des goutelettes en imprimant avec du noir
seul. Cette deuxième voie a l'avantage de ne pas souffrir de métamérisme (le
noir pur ne posant pas de problème). Sinon, pour des encres grises sans
métamérisme, il faut taper dans le encres piezography, mais c'est cher...
Il a raison le Fred, les encres des imprimantes sont plus ou moins transparentes, d'où d'ailleurs les problèmes de métamérisme pas piqués des hannetons.
Je ne sais pas si les encres sont transparentes ou pas, mais je ne vois en quoi c'est ça qui causerait le métamérisme ? Le métamérisme est dû au fait que le spectre de réflexion des encres n'est pas plat mais plus ou moins bosselé. Le rapport avec la transparence ne me parait pas évident...
Sans doute le fait que les encres soient superposées plus ou moins fait que le spectre de reflexion devient encore moins régulier : le problème ne serait pas que les couleurs changent suivant l'eclairement, c'est assez fatal, mais qu'elles changent d'une façon qui perturbe leur rapport entre elles.
Pour les gris c'est justement un problème crucial en impression jet d'encre, on ne cause que de ça dans les chaumières après le JT. Et la tendance actuelle est bien d'aller vers des encres grises supplémentaires quand on veut faire du NB joli.
Avec la finesse des goutelettes actuellement atteinte par certaines imprimantes, combinée à la technologie des goutelettes de taille variable, je me demande si les encres grises est forcément la tendance pour le futur.
Le futur proche on dirait : epson sort justement la 4800 avec un gris en plus. Plus loin, tout peut changer.
Car pour produire plus de nuances de gris, soit il faut des encres grises, soit il faut réduire la taille des goutelettes en imprimant avec du noir seul. Cette deuxième voie a l'avantage de ne pas souffrir de métamérisme (le noir pur ne posant pas de problème). Sinon, pour des encres grises sans métamérisme, il faut taper dans le encres piezography, mais c'est cher...
C'est toujours cher.
Noëlle
Denis Vanneste
copie frpln
Et suivi frpln, c'est pas possible ? Ça devient pénible, ces discussions à cheval sur deux forums.
-- Denis Vanneste
copie frpln
Et suivi frpln, c'est pas possible ? Ça devient pénible, ces
discussions à cheval sur deux forums.
Et suivi frpln, c'est pas possible ? Ça devient pénible, ces discussions à cheval sur deux forums.
-- Denis Vanneste
Jacques Dassié
Le Thu, 20 Oct 2005 21:51:07 +0200, "Didier Dalbera" <dalbera.didier chez doudou> écrit:
Si tu veux encore des mesures en point, il y a le Fournier, le Révolutionnaire
Puis-je me permettre (sur la pointe des pieds) de remarquer que dans cet échange nous traitions de points lumineux, visibles sur un écran d'ordinateur... Ce n'est pas du tout de l'imprimerie. (:-o)
Quand à Papy Bernard, qui écrit :
Et en-deça de laquelle il n'est pas possible d'afficher un pixel. Ou alors tu nous dis comment !!!!
Eternel provocateur ! Ma grand-mère eut dit : "Il fait l'âne pour avoir du foin !"... J'essaye seulement de raisonner, les pieds par terre, si possible avec un peu de bon sens. A propos de sens, dans lequel devons-nous interpréter ta question ? Plus grande ou plus petite, ta résolution de l'image appliquée ?
Et en-deça de laquelle il n'est pas possible d'afficher un pixel.
Vieux sacripant, déformateur patenté, c'est toi qui me fait dire cette phrase idiote... que bien sûr, je n'ai jamais prononcé ou écrite !
Mais, dans ma magnanimité (on dirait du Melmoth !), je vais essayer de donner mon point de vue sur cette affirmation con ( oui, là, tu l'as cherché !) :
1° Résolution physique. Constituante physique d'un écran. C'est clair.
2° Résolution observée. C'est celle que l'on voit et que l'on peut parfois mesurer sur un écran. C'est également clair.
3° Résolution de balayage (liée à un écran) Il s'agit là du signal électrique informationnel de commande d'un écran. C'est une taille d'image qui lui arrive par le câble et cette résolution va dépendre des dimensions de l'écran.
Il faut considérer le nombre de pixels composant une ligne et la largeur utile de l'écran ? On peut ainsi parfaitement définir une résolution que l'on pourrait qualifier "de balayage".. En supposant toujours que l'écran est bien réglé et que la ligne de balayage remplit exactement la largeur utile de cet écran. Un même fichier peut correspondre à des résolutions de balayage différentes en fonction de la taille des écrans
Bon, maintenant essayons de raisonner sur le fond de la question de Papy
Un truisme : si une triade colorée d'un écran reçoit un signal convenable, elle restituera un point lumineux dont l'intensité et la composition spectrale seront fonction des caractéristiques du signal.
Un autre : si les dimensions d'un fichier changent, c'est la taille de l'image qui va changer. Sur un écran balayé en 1024 x 768, si on applique une image de 800 x 600 pixels, elle sera plus petite et ne remplira pas l'écran. Une évidence.
Venons au cas d'une résolution de balayage correspondant parfaitement aux caractéristiques de l'écran, mais dont la résolution OBSERVABLE de l'image diffère de la résolution physique. Pour faciliter les choses, l'image sera composée d'une mire de traits verticaux, blancs et noirs alternés (les paire de traits des photographes), remplissant complètement le cadre de l'image.
1° Pour un écran balayé en 800 x 600, de 25 cm de largeur, d'un pitch de 0,31 mm et d'une résolution physique de 81 DPI, nous supposerons que le fichier graphique fait 800 x 600 pixels et que l'image de la mire plein cadre, comporte 400 traits blancs et 400 traits noirs, soit 800 points au total par ligne. La synchronisation étant parfaite, nous pourrons observer à la loupe, au long d'une ligne, qu'un point lumineux sur deux est éclairé. Si la largeur utile de l'écran est de 25 cm, nous pouvons estimer que la résolution observé est de 800 / 250 x 25,4 = 81 DPI. Il y a concordance entre les résolutions physique et observées.
2° Même écran. Le fichier graphique fait toujours 800 x 600, mais l'image ne reproduit plus, plein cadre, que 200 barres blanches et 200 barres noires. Observé à la loupe, nous constatons que la largeur des barres a doublé et que nous avons une succession de 2 points éclairés, 2 points obscurs, 2 points éclairés etc L'image est tout à fait correcte et montre une résolution observée de (200 + 200) / 250 x 25,4 = 40 DPI. Ce qui est conforme à la théorie.
3° Même écran. Le fichier graphique fait toujours 800 x 600 mais l'image de la mire fait 390 traits blancs et 390 traits noirs. L'image résultante est très mauvaise : une espèce d'ondulation où l'intensité lumineuse varie à peu près sinusoidalement une dizaine de fois au long de la ligne... Nous sommes en présence d'une frange d'interférence. Il est évident que c'est lié à la nature du sujet représenté et que cela ne se produirait pas sur un paysage ou un portrait !
Je vous laisse imaginer tous les autres cas de figure possibles... C'était long, mais vous l'avez cherché !
-- Jacques DASSIÉ Acribologiste (ou "logue", selon le degrès de purisme...). http://archeo.new.fr/definitions.htm
Le Thu, 20 Oct 2005 21:51:07 +0200, "Didier Dalbera" <dalbera.didier
chez doudou> écrit:
Si tu veux encore des mesures en point, il y a le Fournier, le Révolutionnaire
Puis-je me permettre (sur la pointe des pieds) de remarquer que dans cet
échange nous traitions de points lumineux, visibles sur un écran
d'ordinateur... Ce n'est pas du tout de l'imprimerie. (:-o)
Quand à Papy Bernard, qui écrit :
Et en-deça de laquelle il n'est pas possible d'afficher un pixel.
Ou alors tu nous dis comment !!!!
Eternel provocateur ! Ma grand-mère eut dit :
"Il fait l'âne pour avoir du foin !"... J'essaye seulement de raisonner,
les pieds par terre, si possible avec un peu de bon sens.
A propos de sens, dans lequel devons-nous interpréter ta question ?
Plus grande ou plus petite, ta résolution de l'image appliquée ?
Et en-deça de laquelle il n'est pas possible d'afficher un pixel.
Vieux sacripant, déformateur patenté, c'est toi qui me fait dire cette
phrase idiote... que bien sûr, je n'ai jamais prononcé ou écrite !
Mais, dans ma magnanimité (on dirait du Melmoth !), je vais essayer de
donner mon point de vue sur cette affirmation con ( oui, là, tu l'as
cherché !) :
1° Résolution physique. Constituante physique d'un écran. C'est clair.
2° Résolution observée. C'est celle que l'on voit et que l'on peut
parfois mesurer sur un écran. C'est également clair.
3° Résolution de balayage (liée à un écran) Il s'agit là du signal
électrique informationnel de commande d'un écran. C'est une taille
d'image qui lui arrive par le câble et cette résolution va dépendre des
dimensions de l'écran.
Il faut considérer le nombre de pixels composant une ligne et la largeur
utile de l'écran ? On peut ainsi parfaitement définir une résolution que
l'on pourrait qualifier "de balayage".. En supposant toujours que
l'écran est bien réglé et que la ligne de balayage remplit exactement la
largeur utile de cet écran.
Un même fichier peut correspondre à des résolutions de balayage
différentes en fonction de la taille des écrans
Bon, maintenant essayons de raisonner sur le fond de la question de Papy
Un truisme : si une triade colorée d'un écran reçoit un signal
convenable, elle restituera un point lumineux dont l'intensité et la
composition spectrale seront fonction des caractéristiques du signal.
Un autre : si les dimensions d'un fichier changent, c'est la taille de
l'image qui va changer. Sur un écran balayé en 1024 x 768, si on
applique une image de 800 x 600 pixels, elle sera plus petite et ne
remplira pas l'écran. Une évidence.
Venons au cas d'une résolution de balayage correspondant parfaitement
aux caractéristiques de l'écran, mais dont la résolution OBSERVABLE de
l'image diffère de la résolution physique. Pour faciliter les choses,
l'image sera composée d'une mire de traits verticaux, blancs et noirs
alternés (les paire de traits des photographes), remplissant
complètement le cadre de l'image.
1° Pour un écran balayé en 800 x 600, de 25 cm de largeur, d'un pitch de
0,31 mm et d'une résolution physique de 81 DPI, nous supposerons que le
fichier graphique fait 800 x 600 pixels et que l'image de la mire plein
cadre, comporte 400 traits blancs et 400 traits noirs, soit 800 points
au total par ligne.
La synchronisation étant parfaite, nous pourrons observer à la loupe, au
long d'une ligne, qu'un point lumineux sur deux est éclairé. Si la
largeur utile de l'écran est de 25 cm, nous pouvons estimer que la
résolution observé est de 800 / 250 x 25,4 = 81 DPI.
Il y a concordance entre les résolutions physique et observées.
2° Même écran. Le fichier graphique fait toujours 800 x 600, mais
l'image ne reproduit plus, plein cadre, que 200 barres blanches et 200
barres noires.
Observé à la loupe, nous constatons que la largeur des barres a doublé
et que nous avons une succession de 2 points éclairés, 2 points obscurs,
2 points éclairés etc
L'image est tout à fait correcte et montre une résolution observée de
(200 + 200) / 250 x 25,4 = 40 DPI. Ce qui est conforme à la théorie.
3° Même écran. Le fichier graphique fait toujours 800 x 600 mais l'image
de la mire fait 390 traits blancs et 390 traits noirs.
L'image résultante est très mauvaise : une espèce d'ondulation où
l'intensité lumineuse varie à peu près sinusoidalement une dizaine de
fois au long de la ligne...
Nous sommes en présence d'une frange d'interférence. Il est évident que
c'est lié à la nature du sujet représenté et que cela ne se produirait
pas sur un paysage ou un portrait !
Je vous laisse imaginer tous les autres cas de figure possibles...
C'était long, mais vous l'avez cherché !
--
Jacques DASSIÉ
Acribologiste (ou "logue", selon le degrès de purisme...).
http://archeo.new.fr/definitions.htm
Le Thu, 20 Oct 2005 21:51:07 +0200, "Didier Dalbera" <dalbera.didier chez doudou> écrit:
Si tu veux encore des mesures en point, il y a le Fournier, le Révolutionnaire
Puis-je me permettre (sur la pointe des pieds) de remarquer que dans cet échange nous traitions de points lumineux, visibles sur un écran d'ordinateur... Ce n'est pas du tout de l'imprimerie. (:-o)
Quand à Papy Bernard, qui écrit :
Et en-deça de laquelle il n'est pas possible d'afficher un pixel. Ou alors tu nous dis comment !!!!
Eternel provocateur ! Ma grand-mère eut dit : "Il fait l'âne pour avoir du foin !"... J'essaye seulement de raisonner, les pieds par terre, si possible avec un peu de bon sens. A propos de sens, dans lequel devons-nous interpréter ta question ? Plus grande ou plus petite, ta résolution de l'image appliquée ?
Et en-deça de laquelle il n'est pas possible d'afficher un pixel.
Vieux sacripant, déformateur patenté, c'est toi qui me fait dire cette phrase idiote... que bien sûr, je n'ai jamais prononcé ou écrite !
Mais, dans ma magnanimité (on dirait du Melmoth !), je vais essayer de donner mon point de vue sur cette affirmation con ( oui, là, tu l'as cherché !) :
1° Résolution physique. Constituante physique d'un écran. C'est clair.
2° Résolution observée. C'est celle que l'on voit et que l'on peut parfois mesurer sur un écran. C'est également clair.
3° Résolution de balayage (liée à un écran) Il s'agit là du signal électrique informationnel de commande d'un écran. C'est une taille d'image qui lui arrive par le câble et cette résolution va dépendre des dimensions de l'écran.
Il faut considérer le nombre de pixels composant une ligne et la largeur utile de l'écran ? On peut ainsi parfaitement définir une résolution que l'on pourrait qualifier "de balayage".. En supposant toujours que l'écran est bien réglé et que la ligne de balayage remplit exactement la largeur utile de cet écran. Un même fichier peut correspondre à des résolutions de balayage différentes en fonction de la taille des écrans
Bon, maintenant essayons de raisonner sur le fond de la question de Papy
Un truisme : si une triade colorée d'un écran reçoit un signal convenable, elle restituera un point lumineux dont l'intensité et la composition spectrale seront fonction des caractéristiques du signal.
Un autre : si les dimensions d'un fichier changent, c'est la taille de l'image qui va changer. Sur un écran balayé en 1024 x 768, si on applique une image de 800 x 600 pixels, elle sera plus petite et ne remplira pas l'écran. Une évidence.
Venons au cas d'une résolution de balayage correspondant parfaitement aux caractéristiques de l'écran, mais dont la résolution OBSERVABLE de l'image diffère de la résolution physique. Pour faciliter les choses, l'image sera composée d'une mire de traits verticaux, blancs et noirs alternés (les paire de traits des photographes), remplissant complètement le cadre de l'image.
1° Pour un écran balayé en 800 x 600, de 25 cm de largeur, d'un pitch de 0,31 mm et d'une résolution physique de 81 DPI, nous supposerons que le fichier graphique fait 800 x 600 pixels et que l'image de la mire plein cadre, comporte 400 traits blancs et 400 traits noirs, soit 800 points au total par ligne. La synchronisation étant parfaite, nous pourrons observer à la loupe, au long d'une ligne, qu'un point lumineux sur deux est éclairé. Si la largeur utile de l'écran est de 25 cm, nous pouvons estimer que la résolution observé est de 800 / 250 x 25,4 = 81 DPI. Il y a concordance entre les résolutions physique et observées.
2° Même écran. Le fichier graphique fait toujours 800 x 600, mais l'image ne reproduit plus, plein cadre, que 200 barres blanches et 200 barres noires. Observé à la loupe, nous constatons que la largeur des barres a doublé et que nous avons une succession de 2 points éclairés, 2 points obscurs, 2 points éclairés etc L'image est tout à fait correcte et montre une résolution observée de (200 + 200) / 250 x 25,4 = 40 DPI. Ce qui est conforme à la théorie.
3° Même écran. Le fichier graphique fait toujours 800 x 600 mais l'image de la mire fait 390 traits blancs et 390 traits noirs. L'image résultante est très mauvaise : une espèce d'ondulation où l'intensité lumineuse varie à peu près sinusoidalement une dizaine de fois au long de la ligne... Nous sommes en présence d'une frange d'interférence. Il est évident que c'est lié à la nature du sujet représenté et que cela ne se produirait pas sur un paysage ou un portrait !
Je vous laisse imaginer tous les autres cas de figure possibles... C'était long, mais vous l'avez cherché !
-- Jacques DASSIÉ Acribologiste (ou "logue", selon le degrès de purisme...). http://archeo.new.fr/definitions.htm