"Il serait plus simple de consid=C3=A9rer le num=C3=A9rique comme un outil
compl=C3=A9mentaire et non pas comme une alternative d=C3=A9finitive. Le
num=C3=A9rique est simplement pratique. On nous pousse =C3=A0 utiliser un
"cloud" (qui ne fait pas l'unanimit=C3=A9), =C3=A0 d=C3=A9mat=C3=A9rialiser=
nos photos, nos
musiques, nos documents etc. Certains jeunes s'aper=C3=A7oivent qu'ils non
rien, ni collection de disques, ni biblioth=C3=A8que. Le vinyle revient en
force ainsi que la Cassette (j'en ai trouv=C3=A9 une dizaine en un mois
utilis=C3=A9e par des nouveaux groupes !). Une fa=C3=A7on pour ces jeunes d=
e dire
F... aux majors et aux geeks de la Silicone Valley. Ensemble
REMAT=C3=89RIALISONS."
Harvest fait partie de mes quelques 1000 vinyles répertoriés avec soin malgré sa pochette un peu fatiguée et mes descendants musiciens se battent pour me le piquer. Mais c'était "Hôtel California" des Eagles également en 1970 qui était chanté en 2000 en navigation et en choeur dans l'Atlantique par 4 équipiers de toutes origines (un israélien, une sud-africaine, un suédois et un allemand). Souvenir... souvenir...
Raconte-nous encore ta traversée des 50èmes hurlants en solitaire sur ton 421...
Le 02/05/2014 14:06, birdy a écrit :
Harvest fait partie de mes quelques 1000 vinyles répertoriés avec soin
malgré sa pochette un peu fatiguée et mes descendants musiciens se
battent pour me le piquer. Mais c'était "Hôtel California" des Eagles
également en 1970 qui était chanté en 2000 en navigation et en choeur
dans l'Atlantique par 4 équipiers de toutes origines (un israélien, une
sud-africaine, un suédois et un allemand). Souvenir... souvenir...
Raconte-nous encore ta traversée des 50èmes hurlants en solitaire sur
ton 421...
Harvest fait partie de mes quelques 1000 vinyles répertoriés avec soin malgré sa pochette un peu fatiguée et mes descendants musiciens se battent pour me le piquer. Mais c'était "Hôtel California" des Eagles également en 1970 qui était chanté en 2000 en navigation et en choeur dans l'Atlantique par 4 équipiers de toutes origines (un israélien, une sud-africaine, un suédois et un allemand). Souvenir... souvenir...
Raconte-nous encore ta traversée des 50èmes hurlants en solitaire sur ton 421...
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Marinella Marionossi wrote:
Bottage en touche.
Marechal 1- Geraldo 0
Pas de bottage en touche du tout : Rolling Stone est considéré comme référence nullissime en matière de musique (de musique en tant qu'art, s'entend). Il ne s'occupe (mais par contre : bien) QUE de music-business qui est à la musique ce que la bicyclette est au poisson rouge.
En musique, le concept artistique unitaire est d'une *½uvre*. Une oeuvre a un début, un déroulement, une fin, elle se suffit à elle-même. Elle a éventuellement des découpages, des mouvements, ou une structure (suite, variations...), et sa durée est très généralement contrainte par... RIEN ou plutôt par la logique stylistique, syntaxique et grammaticale de la musique elle-même.
L'album est un concept commercial et matériel à durée figée (avec une part variable, mais assez faible en réalité). Il regroupe en général des oeuvres disparates et sans lien *musical*.
IL A EXISTÉ des albums qu'on a appelé souvent "concept-albums" en pop musique, dans lesquels une logique musicale (parfois une histoire) se développait sur la durée d'une plage de vinyle ou de CD. Cette volonté a parfois été illustrée par un enregistrement en continu, ou quasi sans interruption. On a cité les Pink Floyd, on pourrait citer "L'homme à la tête de choux" de Gainsbourg, et dans une certaine mesure la face B de Abbey Road des Beatles (ici en direct "live" en studio) : <http://vimeo.com/11237479>
Juste pour dire que je ne m'isole pas dans une tour d'ivoire plus ou moins élitiste pour parler. C'est parce que je connais (et pratique !) *aussi* la pop musique (et pas seulement du J.S. Bach ou du jazz) que je m'autorise à *proposer* une lecture un peu distanciée de ce qui était dit et qui cédait beaucoup à la poudre aux yeux et aux affirmations péremptoires (par exemple de ce magazine) ainsi qu'à la mode.
Reste une question : le fait de *savoir jouer* (et pas seulement en parler) comme dans l'exemple ci-dessus autorise-t-il au moins à exprimer une opinion discordante parce que fondée sur la pratique et sur des éléments techniques vérifiables ? Si je "tape le boeuf" avec Maréchal (ou qui veut !), pour démontrer ce que j'avance, je lui mets combien de points dans la tête ? :-)
Pas de bottage en touche du tout : Rolling Stone est considéré comme
référence nullissime en matière de musique (de musique en tant qu'art,
s'entend). Il ne s'occupe (mais par contre : bien) QUE de music-business
qui est à la musique ce que la bicyclette est au poisson rouge.
En musique, le concept artistique unitaire est d'une *½uvre*. Une oeuvre
a un début, un déroulement, une fin, elle se suffit à elle-même. Elle a
éventuellement des découpages, des mouvements, ou une structure (suite,
variations...), et sa durée est très généralement contrainte par... RIEN
ou plutôt par la logique stylistique, syntaxique et grammaticale de la
musique elle-même.
L'album est un concept commercial et matériel à durée figée (avec une
part variable, mais assez faible en réalité). Il regroupe en général des
oeuvres disparates et sans lien *musical*.
IL A EXISTÉ des albums qu'on a appelé souvent "concept-albums" en pop
musique, dans lesquels une logique musicale (parfois une histoire) se
développait sur la durée d'une plage de vinyle ou de CD. Cette volonté a
parfois été illustrée par un enregistrement en continu, ou quasi sans
interruption. On a cité les Pink Floyd, on pourrait citer "L'homme à la
tête de choux" de Gainsbourg, et dans une certaine mesure la face B de
Abbey Road des Beatles (ici en direct "live" en studio) :
<http://vimeo.com/11237479>
Juste pour dire que je ne m'isole pas dans une tour d'ivoire plus ou
moins élitiste pour parler. C'est parce que je connais (et pratique !)
*aussi* la pop musique (et pas seulement du J.S. Bach ou du jazz) que je
m'autorise à *proposer* une lecture un peu distanciée de ce qui était
dit et qui cédait beaucoup à la poudre aux yeux et aux affirmations
péremptoires (par exemple de ce magazine) ainsi qu'à la mode.
Reste une question : le fait de *savoir jouer* (et pas seulement en
parler) comme dans l'exemple ci-dessus autorise-t-il au moins à exprimer
une opinion discordante parce que fondée sur la pratique et sur des
éléments techniques vérifiables ? Si je "tape le boeuf" avec Maréchal
(ou qui veut !), pour démontrer ce que j'avance, je lui mets combien de
points dans la tête ? :-)
Pas de bottage en touche du tout : Rolling Stone est considéré comme référence nullissime en matière de musique (de musique en tant qu'art, s'entend). Il ne s'occupe (mais par contre : bien) QUE de music-business qui est à la musique ce que la bicyclette est au poisson rouge.
En musique, le concept artistique unitaire est d'une *½uvre*. Une oeuvre a un début, un déroulement, une fin, elle se suffit à elle-même. Elle a éventuellement des découpages, des mouvements, ou une structure (suite, variations...), et sa durée est très généralement contrainte par... RIEN ou plutôt par la logique stylistique, syntaxique et grammaticale de la musique elle-même.
L'album est un concept commercial et matériel à durée figée (avec une part variable, mais assez faible en réalité). Il regroupe en général des oeuvres disparates et sans lien *musical*.
IL A EXISTÉ des albums qu'on a appelé souvent "concept-albums" en pop musique, dans lesquels une logique musicale (parfois une histoire) se développait sur la durée d'une plage de vinyle ou de CD. Cette volonté a parfois été illustrée par un enregistrement en continu, ou quasi sans interruption. On a cité les Pink Floyd, on pourrait citer "L'homme à la tête de choux" de Gainsbourg, et dans une certaine mesure la face B de Abbey Road des Beatles (ici en direct "live" en studio) : <http://vimeo.com/11237479>
Juste pour dire que je ne m'isole pas dans une tour d'ivoire plus ou moins élitiste pour parler. C'est parce que je connais (et pratique !) *aussi* la pop musique (et pas seulement du J.S. Bach ou du jazz) que je m'autorise à *proposer* une lecture un peu distanciée de ce qui était dit et qui cédait beaucoup à la poudre aux yeux et aux affirmations péremptoires (par exemple de ce magazine) ainsi qu'à la mode.
Reste une question : le fait de *savoir jouer* (et pas seulement en parler) comme dans l'exemple ci-dessus autorise-t-il au moins à exprimer une opinion discordante parce que fondée sur la pratique et sur des éléments techniques vérifiables ? Si je "tape le boeuf" avec Maréchal (ou qui veut !), pour démontrer ce que j'avance, je lui mets combien de points dans la tête ? :-)
-- Gérald
jdd
Le 02/05/2014 14:51, Gerald a écrit :
Reste une question : le fait de *savoir jouer* (et pas seulement en parler) comme dans l'exemple ci-dessus autorise-t-il...
non, à rien de plus que n'importe qui d'autre.
je dirais presque au contraire, celui qui joue a forcément une vision de la musique très différente du reste du monde, donc biaisée.
on a jamais défini ce qu'est une "grande oeuvre", est-ce celle qui réjouit des millions de personnes à un instant donné (les blagues de Bigard) ou celles qui durent plusieurs siècles dans la mémoire collective (Mozart).
au titre de la plus jouée depuis la genèse, la musique traditionnelle chinoise est sans doute en tête, si on se restreint aux dix dernières années la pop est devant - et encore...
jdd
-- http://www.dodin.org
Le 02/05/2014 14:51, Gerald a écrit :
Reste une question : le fait de *savoir jouer* (et pas seulement en
parler) comme dans l'exemple ci-dessus autorise-t-il...
non, à rien de plus que n'importe qui d'autre.
je dirais presque au contraire, celui qui joue a forcément une vision de la
musique très différente du reste du monde, donc biaisée.
on a jamais défini ce qu'est une "grande oeuvre", est-ce celle qui réjouit des
millions de personnes à un instant donné (les blagues de Bigard) ou celles qui
durent plusieurs siècles dans la mémoire collective (Mozart).
au titre de la plus jouée depuis la genèse, la musique traditionnelle chinoise
est sans doute en tête, si on se restreint aux dix dernières années la pop est
devant - et encore...
Reste une question : le fait de *savoir jouer* (et pas seulement en parler) comme dans l'exemple ci-dessus autorise-t-il...
non, à rien de plus que n'importe qui d'autre.
je dirais presque au contraire, celui qui joue a forcément une vision de la musique très différente du reste du monde, donc biaisée.
on a jamais défini ce qu'est une "grande oeuvre", est-ce celle qui réjouit des millions de personnes à un instant donné (les blagues de Bigard) ou celles qui durent plusieurs siècles dans la mémoire collective (Mozart).
au titre de la plus jouée depuis la genèse, la musique traditionnelle chinoise est sans doute en tête, si on se restreint aux dix dernières années la pop est devant - et encore...
jdd
-- http://www.dodin.org
Ghost-Raider
Le 02/05/2014 14:51, Gerald a écrit :
IL A EXISTÉ des albums qu'on a appelé souvent "concept-albums" en pop musique, dans lesquels une logique musicale (parfois une histoire) se développait sur la durée d'une plage de vinyle ou de CD. Cette volonté a parfois été illustrée par un enregistrement en continu, ou quasi sans interruption. On a cité les Pink Floyd, on pourrait citer "L'homme à la tête de choux" de Gainsbourg, et dans une certaine mesure la face B de Abbey Road des Beatles (ici en direct "live" en studio) : <http://vimeo.com/11237479>
Je m'insinue dans ce débat qui me dépasse pour rappeler que certains ont été plus loin encore, comme les Who avec leur excellent opéra-rock "Tommy" qui a donné lieu à un bon film (1/2 retour en charte)..
Reste une question : le fait de *savoir jouer* (et pas seulement en parler) comme dans l'exemple ci-dessus autorise-t-il au moins à exprimer une opinion discordante parce que fondée sur la pratique et sur des éléments techniques vérifiables ? Si je "tape le boeuf" avec Maréchal (ou qui veut !), pour démontrer ce que j'avance, je lui mets combien de points dans la tête ? :-)
Savoir jouer d'un instrument implique presque toujours d'avoir des connaissances en théorie musicale, et ces connaissances aident énormément à comprendre la musique. Mais ça, on ne le comprend guère si on ne les a pas.
Le 02/05/2014 14:51, Gerald a écrit :
IL A EXISTÉ des albums qu'on a appelé souvent "concept-albums" en pop
musique, dans lesquels une logique musicale (parfois une histoire) se
développait sur la durée d'une plage de vinyle ou de CD. Cette volonté a
parfois été illustrée par un enregistrement en continu, ou quasi sans
interruption. On a cité les Pink Floyd, on pourrait citer "L'homme à la
tête de choux" de Gainsbourg, et dans une certaine mesure la face B de
Abbey Road des Beatles (ici en direct "live" en studio) :
<http://vimeo.com/11237479>
Je m'insinue dans ce débat qui me dépasse pour rappeler que certains ont
été plus loin encore, comme les Who avec leur excellent opéra-rock
"Tommy" qui a donné lieu à un bon film (1/2 retour en charte)..
Reste une question : le fait de *savoir jouer* (et pas seulement en
parler) comme dans l'exemple ci-dessus autorise-t-il au moins à exprimer
une opinion discordante parce que fondée sur la pratique et sur des
éléments techniques vérifiables ? Si je "tape le boeuf" avec Maréchal
(ou qui veut !), pour démontrer ce que j'avance, je lui mets combien de
points dans la tête ? :-)
Savoir jouer d'un instrument implique presque toujours d'avoir des
connaissances en théorie musicale, et ces connaissances aident
énormément à comprendre la musique.
Mais ça, on ne le comprend guère si on ne les a pas.
IL A EXISTÉ des albums qu'on a appelé souvent "concept-albums" en pop musique, dans lesquels une logique musicale (parfois une histoire) se développait sur la durée d'une plage de vinyle ou de CD. Cette volonté a parfois été illustrée par un enregistrement en continu, ou quasi sans interruption. On a cité les Pink Floyd, on pourrait citer "L'homme à la tête de choux" de Gainsbourg, et dans une certaine mesure la face B de Abbey Road des Beatles (ici en direct "live" en studio) : <http://vimeo.com/11237479>
Je m'insinue dans ce débat qui me dépasse pour rappeler que certains ont été plus loin encore, comme les Who avec leur excellent opéra-rock "Tommy" qui a donné lieu à un bon film (1/2 retour en charte)..
Reste une question : le fait de *savoir jouer* (et pas seulement en parler) comme dans l'exemple ci-dessus autorise-t-il au moins à exprimer une opinion discordante parce que fondée sur la pratique et sur des éléments techniques vérifiables ? Si je "tape le boeuf" avec Maréchal (ou qui veut !), pour démontrer ce que j'avance, je lui mets combien de points dans la tête ? :-)
Savoir jouer d'un instrument implique presque toujours d'avoir des connaissances en théorie musicale, et ces connaissances aident énormément à comprendre la musique. Mais ça, on ne le comprend guère si on ne les a pas.
Karl
"Ghost-Raider" a écrit dans le message de news: lk0bus$cg$
Je m'insinue dans ce débat qui me dépasse
Et la balise HS, elle est où ?
"Ghost-Raider" <ghost-rider@compuserve.com> a écrit dans le message de news:
lk0bus$cg$1@dont-email.me...
Savoir jouer d'un instrument implique presque toujours d'avoir des connaissances en théorie musicale, et ces connaissances aident énormément à comprendre la musique. Mais ça, on ne le comprend guère si on ne les a pas.
Tout est dans le presque ! Deux exemples contraires, aucun n'a appris la théorie musicale, parfaits autodidactes et portant...
Django Reinhardt Paul Mac Cartney
et l'on oubliera toute la lignée des bluesmen noirs américains, de nombre d'autres encore comme les peuples que l'on dit premier, pour qui la musique est juste ce qui sonne joliment à leur oreille
S'il avait fallu attendre la théorie, la notation, les règles de composition, on attendrai, aussi, encore la musique
Le 02/05/2014 17:00, Ghost-Raider a écrit :
Savoir jouer d'un instrument implique presque toujours d'avoir des
connaissances en théorie musicale, et ces connaissances aident
énormément à comprendre la musique.
Mais ça, on ne le comprend guère si on ne les a pas.
Tout est dans le presque !
Deux exemples contraires, aucun n'a appris la théorie musicale, parfaits
autodidactes et portant...
Django Reinhardt
Paul Mac Cartney
et l'on oubliera toute la lignée des bluesmen noirs américains, de
nombre d'autres encore comme les peuples que l'on dit premier, pour qui
la musique est juste ce qui sonne joliment à leur oreille
S'il avait fallu attendre la théorie, la notation, les règles de
composition, on attendrai, aussi, encore la musique
Savoir jouer d'un instrument implique presque toujours d'avoir des connaissances en théorie musicale, et ces connaissances aident énormément à comprendre la musique. Mais ça, on ne le comprend guère si on ne les a pas.
Tout est dans le presque ! Deux exemples contraires, aucun n'a appris la théorie musicale, parfaits autodidactes et portant...
Django Reinhardt Paul Mac Cartney
et l'on oubliera toute la lignée des bluesmen noirs américains, de nombre d'autres encore comme les peuples que l'on dit premier, pour qui la musique est juste ce qui sonne joliment à leur oreille
S'il avait fallu attendre la théorie, la notation, les règles de composition, on attendrai, aussi, encore la musique
Karl
"Ghost-Raider" a écrit dans le message de news: lk0inr$l7v$
Le 02/05/2014 18:03, Karl a écrit :
"Ghost-Raider" a écrit dans le message de
Je m'insinue dans ce débat qui me dépasse
Et la balise HS, elle est où ?
Ben, tu ne l'as pas mise ?
"Faites ce que je dit, moi j'vous zankul" disait le gr.........
povmec
"Ghost-Raider" <ghost-rider@compuserve.com> a écrit dans le message de news:
lk0inr$l7v$1@dont-email.me...
Le 02/05/2014 18:03, Karl a écrit :
"Ghost-Raider" <ghost-rider@compuserve.com> a écrit dans le message de
Je m'insinue dans ce débat qui me dépasse
Et la balise HS, elle est où ?
Ben, tu ne l'as pas mise ?
"Faites ce que je dit, moi j'vous zankul" disait le gr.........
"Faites ce que je dit, moi j'vous zankul" disait le gr.........
povmec
Cachez la queue d'un âne, il montrera toujours les oreilles.
Ghost-Raider
Le 02/05/2014 19:12, jean jacques a écrit :
Le 02/05/2014 17:00, Ghost-Raider a écrit :
Savoir jouer d'un instrument implique presque toujours d'avoir des connaissances en théorie musicale, et ces connaissances aident énormément à comprendre la musique. Mais ça, on ne le comprend guère si on ne les a pas.
Tout est dans le presque ! Deux exemples contraires, aucun n'a appris la théorie musicale, parfaits autodidactes et portant...
Django Reinhardt Paul Mac Cartney
et l'on oubliera toute la lignée des bluesmen noirs américains, de nombre d'autres encore comme les peuples que l'on dit premier, pour qui la musique est juste ce qui sonne joliment à leur oreille
S'il avait fallu attendre la théorie, la notation, les règles de composition, on attendrai, aussi, encore la musique
Oui, il y a des contre-exemples, et nombreux, et d'ailleurs, sont-ce des contre-exemples ? Il a bien fallu que quelqu'un commence.
Mais sauf à avoir justement le talent particulier de l'oreille absolue, pour apprendre à jouer d'un instrument, il est préférable d'apprendre aussi la musique. Et en tous cas, si on arrive finalement au même but, on gagne énormément de temps et de peine. Et ça dépend des instruments, certains sont plus accessibles que d'autres sans connaissances musicales. Enfin, on peut jouer par imitation, comme des violoneux de village, mais lorsqu'il s'agit de jouer autre chose que ce que l'on a appris sur le tas, savoir lire la musique n'est pas inutile. Et d'ailleurs, si on s'inscrit dans une école de musique, un conservatoire municipal, il est absolument obligatoire d'apprendre le solfège et la théorie musicale, au moins au point de savoir déchiffrer.
Le 02/05/2014 19:12, jean jacques a écrit :
Le 02/05/2014 17:00, Ghost-Raider a écrit :
Savoir jouer d'un instrument implique presque toujours d'avoir des
connaissances en théorie musicale, et ces connaissances aident
énormément à comprendre la musique.
Mais ça, on ne le comprend guère si on ne les a pas.
Tout est dans le presque !
Deux exemples contraires, aucun n'a appris la théorie musicale, parfaits
autodidactes et portant...
Django Reinhardt
Paul Mac Cartney
et l'on oubliera toute la lignée des bluesmen noirs américains, de
nombre d'autres encore comme les peuples que l'on dit premier, pour qui
la musique est juste ce qui sonne joliment à leur oreille
S'il avait fallu attendre la théorie, la notation, les règles de
composition, on attendrai, aussi, encore la musique
Oui, il y a des contre-exemples, et nombreux, et d'ailleurs, sont-ce des
contre-exemples ? Il a bien fallu que quelqu'un commence.
Mais sauf à avoir justement le talent particulier de l'oreille absolue,
pour apprendre à jouer d'un instrument, il est préférable d'apprendre
aussi la musique.
Et en tous cas, si on arrive finalement au même but, on gagne énormément
de temps et de peine.
Et ça dépend des instruments, certains sont plus accessibles que
d'autres sans connaissances musicales.
Enfin, on peut jouer par imitation, comme des violoneux de village, mais
lorsqu'il s'agit de jouer autre chose que ce que l'on a appris sur le
tas, savoir lire la musique n'est pas inutile.
Et d'ailleurs, si on s'inscrit dans une école de musique, un
conservatoire municipal, il est absolument obligatoire d'apprendre le
solfège et la théorie musicale, au moins au point de savoir déchiffrer.
Savoir jouer d'un instrument implique presque toujours d'avoir des connaissances en théorie musicale, et ces connaissances aident énormément à comprendre la musique. Mais ça, on ne le comprend guère si on ne les a pas.
Tout est dans le presque ! Deux exemples contraires, aucun n'a appris la théorie musicale, parfaits autodidactes et portant...
Django Reinhardt Paul Mac Cartney
et l'on oubliera toute la lignée des bluesmen noirs américains, de nombre d'autres encore comme les peuples que l'on dit premier, pour qui la musique est juste ce qui sonne joliment à leur oreille
S'il avait fallu attendre la théorie, la notation, les règles de composition, on attendrai, aussi, encore la musique
Oui, il y a des contre-exemples, et nombreux, et d'ailleurs, sont-ce des contre-exemples ? Il a bien fallu que quelqu'un commence.
Mais sauf à avoir justement le talent particulier de l'oreille absolue, pour apprendre à jouer d'un instrument, il est préférable d'apprendre aussi la musique. Et en tous cas, si on arrive finalement au même but, on gagne énormément de temps et de peine. Et ça dépend des instruments, certains sont plus accessibles que d'autres sans connaissances musicales. Enfin, on peut jouer par imitation, comme des violoneux de village, mais lorsqu'il s'agit de jouer autre chose que ce que l'on a appris sur le tas, savoir lire la musique n'est pas inutile. Et d'ailleurs, si on s'inscrit dans une école de musique, un conservatoire municipal, il est absolument obligatoire d'apprendre le solfège et la théorie musicale, au moins au point de savoir déchiffrer.