J'ai des yeux qui couvrent le Lab, moi.
Fichtre ! Celle-là, je vais l'encadrer.
Bonne pour la collec de frp, je vote. Pierre !
Celà dit, ça peut être assez correct, puisque le Lab couvre la
perception humaine, théoriquement.[...]
J'ai des yeux qui couvrent le Lab, moi.
Fichtre ! Celle-là, je vais l'encadrer.
Bonne pour la collec de frp, je vote. Pierre !
Celà dit, ça peut être assez correct, puisque le Lab couvre la
perception humaine, théoriquement.[...]
J'ai des yeux qui couvrent le Lab, moi.
Fichtre ! Celle-là, je vais l'encadrer.
Bonne pour la collec de frp, je vote. Pierre !
Celà dit, ça peut être assez correct, puisque le Lab couvre la
perception humaine, théoriquement.[...]
Delestaque a écritJe ne sais plus ici qui disait qu'il avait laissé tomber tout ça et
donnait ses photos a tirer à l'exterieur, peut être toi du reste ?
C'est bien moi.
J'ai trop ramé avec les jets d'encre.
Fallait vraiment mouiller sa chemise pour obtenir ce que l'on voulait, des
réglages sans fin pour arriver à la limite accessible, et ceci pour une
seule image avec tel papier. On change, tout à refaire. Au bout d'un moment
on commence à prévoir, donc on devient bon, mais ce n'est pas le système
qui l'est.
maintenant si tes noirs sont trop chargés, c'est sûr que tu ne vas pas en
sortir
Disons que si pour y arriver on doit faire un travail d'imprimeur (enfin ce
que j'imagine de l'imprimeur), cela ne m'intéresse pas.
Tiens, pour dire, j'avais un papier jet d'encre Kodak les noirs me
faisaient
carrément un bourrelet. Il y avait un effet de bascule dans les ombres, un
équivalent du bronzing si on veut, que d'un coup t'avais une zone entière
qui gonflait ! Celui-là je m'en suis beaucoup servi pour des illustrations
couleur avec dessin au trait, en regardant en biais ça fait carrément
l'effet d'un cloisonné.
J'avais un autre papier, du Canon semi-mat (ou semi-brillant c'est selon)
qu'à chaque fois que je mettais une feuille ça partait en sucette en milieu
d'impression. Horrible. Je préparais tout, des réglages sophistiqués,
j'imprimais sur une feuille de test c'était ok, je mettais la bonne feuille
et je recommençais en plein milieu j'avais toujours une embrouille. Mes
jurons ont tant mis en péril l'harmonie de ma petite famille que
l'imprimante s'est retrouvée sur le trottoir le jour des encombrants.
Depuis j'ai une laser couleur pour le tout venant, les enseignes de tirage
photo pour le spécial, et je vis dans la sérénité.
Delestaque a écrit
Je ne sais plus ici qui disait qu'il avait laissé tomber tout ça et
donnait ses photos a tirer à l'exterieur, peut être toi du reste ?
C'est bien moi.
J'ai trop ramé avec les jets d'encre.
Fallait vraiment mouiller sa chemise pour obtenir ce que l'on voulait, des
réglages sans fin pour arriver à la limite accessible, et ceci pour une
seule image avec tel papier. On change, tout à refaire. Au bout d'un moment
on commence à prévoir, donc on devient bon, mais ce n'est pas le système
qui l'est.
maintenant si tes noirs sont trop chargés, c'est sûr que tu ne vas pas en
sortir
Disons que si pour y arriver on doit faire un travail d'imprimeur (enfin ce
que j'imagine de l'imprimeur), cela ne m'intéresse pas.
Tiens, pour dire, j'avais un papier jet d'encre Kodak les noirs me
faisaient
carrément un bourrelet. Il y avait un effet de bascule dans les ombres, un
équivalent du bronzing si on veut, que d'un coup t'avais une zone entière
qui gonflait ! Celui-là je m'en suis beaucoup servi pour des illustrations
couleur avec dessin au trait, en regardant en biais ça fait carrément
l'effet d'un cloisonné.
J'avais un autre papier, du Canon semi-mat (ou semi-brillant c'est selon)
qu'à chaque fois que je mettais une feuille ça partait en sucette en milieu
d'impression. Horrible. Je préparais tout, des réglages sophistiqués,
j'imprimais sur une feuille de test c'était ok, je mettais la bonne feuille
et je recommençais en plein milieu j'avais toujours une embrouille. Mes
jurons ont tant mis en péril l'harmonie de ma petite famille que
l'imprimante s'est retrouvée sur le trottoir le jour des encombrants.
Depuis j'ai une laser couleur pour le tout venant, les enseignes de tirage
photo pour le spécial, et je vis dans la sérénité.
Delestaque a écritJe ne sais plus ici qui disait qu'il avait laissé tomber tout ça et
donnait ses photos a tirer à l'exterieur, peut être toi du reste ?
C'est bien moi.
J'ai trop ramé avec les jets d'encre.
Fallait vraiment mouiller sa chemise pour obtenir ce que l'on voulait, des
réglages sans fin pour arriver à la limite accessible, et ceci pour une
seule image avec tel papier. On change, tout à refaire. Au bout d'un moment
on commence à prévoir, donc on devient bon, mais ce n'est pas le système
qui l'est.
maintenant si tes noirs sont trop chargés, c'est sûr que tu ne vas pas en
sortir
Disons que si pour y arriver on doit faire un travail d'imprimeur (enfin ce
que j'imagine de l'imprimeur), cela ne m'intéresse pas.
Tiens, pour dire, j'avais un papier jet d'encre Kodak les noirs me
faisaient
carrément un bourrelet. Il y avait un effet de bascule dans les ombres, un
équivalent du bronzing si on veut, que d'un coup t'avais une zone entière
qui gonflait ! Celui-là je m'en suis beaucoup servi pour des illustrations
couleur avec dessin au trait, en regardant en biais ça fait carrément
l'effet d'un cloisonné.
J'avais un autre papier, du Canon semi-mat (ou semi-brillant c'est selon)
qu'à chaque fois que je mettais une feuille ça partait en sucette en milieu
d'impression. Horrible. Je préparais tout, des réglages sophistiqués,
j'imprimais sur une feuille de test c'était ok, je mettais la bonne feuille
et je recommençais en plein milieu j'avais toujours une embrouille. Mes
jurons ont tant mis en péril l'harmonie de ma petite famille que
l'imprimante s'est retrouvée sur le trottoir le jour des encombrants.
Depuis j'ai une laser couleur pour le tout venant, les enseignes de tirage
photo pour le spécial, et je vis dans la sérénité.
Bour-Brown a écrit :Delestaque a écritJe ne sais plus ici qui disait qu'il avait laissé tomber tout ça et
donnait ses photos a tirer à l'exterieur, peut être toi du reste ?
C'est bien moi.
Moi aussi, moi aussi ! Me too...J'ai trop ramé avec les jets d'encre.
En plus, si on en a plusieurs, c'est la vraie galère pour le coup.Fallait vraiment mouiller sa chemise pour obtenir ce que l'on
voulait, des réglages sans fin pour arriver à la limite accessible,
et ceci pour une seule image avec tel papier. On change, tout à
refaire. Au bout d'un moment on commence à prévoir, donc on devient
bon, mais ce n'est pas le système qui l'est.
Je ne suis jamais devenu bon. Mes imprimantes ont fini par m'avoir, et
le pilote Epson, qui parle espagnol en plus !maintenant si tes noirs sont trop chargés, c'est sûr que tu ne vas
pas en sortir
Disons que si pour y arriver on doit faire un travail d'imprimeur
(enfin ce que j'imagine de l'imprimeur), cela ne m'intéresse pas.
Ça serait intéressant si c'était une science à peu près exacte, donc
que les résultats soient reproductibles. Mais hélas ! Il faut
s'appeler Elizabeth Teissier pour y voir un lien de causalité.
http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article386Tiens, pour dire, j'avais un papier jet d'encre Kodak les noirs me
faisaient
carrément un bourrelet. Il y avait un effet de bascule dans les
ombres, un équivalent du bronzing si on veut, que d'un coup t'avais
une zone entière qui gonflait ! Celui-là je m'en suis beaucoup servi
pour des illustrations couleur avec dessin au trait, en regardant en
biais ça fait carrément l'effet d'un cloisonné.
Même chose chez moi, mes photos en noir et blanc étaient, soient
violettes, soit en bas-relief. C'est joli, le bas-relief, mais les
cartouches se vident à vitesse V.J'avais un autre papier, du Canon semi-mat (ou semi-brillant c'est
selon) qu'à chaque fois que je mettais une feuille ça partait en
sucette en milieu d'impression. Horrible. Je préparais tout, des
réglages sophistiqués, j'imprimais sur une feuille de test c'était
ok, je mettais la bonne feuille et je recommençais en plein milieu
j'avais toujours une embrouille. Mes jurons ont tant mis en péril
l'harmonie de ma petite famille que l'imprimante s'est retrouvée sur
le trottoir le jour des encombrants.
J'ai gardé mon Epson A3. Une vieille maîtresse dispendieuse mais je
n'ose pas la larguer. J'imprime seulement des tableaux de chiffres en
A3, après une bonne séance de débouchage des buses.
L'autre jour, j'imprime un tableau de chiffres en noir et rouge.
Impeccable. Je le ré-imprime : y'a plus que le rouge! Je débouche les
buses. Ça remarche.
J'ai dépensé des fortunes en photos A3 imprimées à moitié.Depuis j'ai une laser couleur pour le tout venant, les enseignes de
tirage photo pour le spécial, et je vis dans la sérénité.
Une laser couleur ! J'ai aussi. Il suffit de s'habituer aux couleurs
un peu passées. Une géniale HP à sublimation pour le 10x15 familial
et la FNAC pour le 30x40. Jamais été déçu par la FNAC.
Bour-Brown a écrit :
Delestaque a écrit
Je ne sais plus ici qui disait qu'il avait laissé tomber tout ça et
donnait ses photos a tirer à l'exterieur, peut être toi du reste ?
C'est bien moi.
Moi aussi, moi aussi ! Me too...
J'ai trop ramé avec les jets d'encre.
En plus, si on en a plusieurs, c'est la vraie galère pour le coup.
Fallait vraiment mouiller sa chemise pour obtenir ce que l'on
voulait, des réglages sans fin pour arriver à la limite accessible,
et ceci pour une seule image avec tel papier. On change, tout à
refaire. Au bout d'un moment on commence à prévoir, donc on devient
bon, mais ce n'est pas le système qui l'est.
Je ne suis jamais devenu bon. Mes imprimantes ont fini par m'avoir, et
le pilote Epson, qui parle espagnol en plus !
maintenant si tes noirs sont trop chargés, c'est sûr que tu ne vas
pas en sortir
Disons que si pour y arriver on doit faire un travail d'imprimeur
(enfin ce que j'imagine de l'imprimeur), cela ne m'intéresse pas.
Ça serait intéressant si c'était une science à peu près exacte, donc
que les résultats soient reproductibles. Mais hélas ! Il faut
s'appeler Elizabeth Teissier pour y voir un lien de causalité.
http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article386
Tiens, pour dire, j'avais un papier jet d'encre Kodak les noirs me
faisaient
carrément un bourrelet. Il y avait un effet de bascule dans les
ombres, un équivalent du bronzing si on veut, que d'un coup t'avais
une zone entière qui gonflait ! Celui-là je m'en suis beaucoup servi
pour des illustrations couleur avec dessin au trait, en regardant en
biais ça fait carrément l'effet d'un cloisonné.
Même chose chez moi, mes photos en noir et blanc étaient, soient
violettes, soit en bas-relief. C'est joli, le bas-relief, mais les
cartouches se vident à vitesse V.
J'avais un autre papier, du Canon semi-mat (ou semi-brillant c'est
selon) qu'à chaque fois que je mettais une feuille ça partait en
sucette en milieu d'impression. Horrible. Je préparais tout, des
réglages sophistiqués, j'imprimais sur une feuille de test c'était
ok, je mettais la bonne feuille et je recommençais en plein milieu
j'avais toujours une embrouille. Mes jurons ont tant mis en péril
l'harmonie de ma petite famille que l'imprimante s'est retrouvée sur
le trottoir le jour des encombrants.
J'ai gardé mon Epson A3. Une vieille maîtresse dispendieuse mais je
n'ose pas la larguer. J'imprime seulement des tableaux de chiffres en
A3, après une bonne séance de débouchage des buses.
L'autre jour, j'imprime un tableau de chiffres en noir et rouge.
Impeccable. Je le ré-imprime : y'a plus que le rouge! Je débouche les
buses. Ça remarche.
J'ai dépensé des fortunes en photos A3 imprimées à moitié.
Depuis j'ai une laser couleur pour le tout venant, les enseignes de
tirage photo pour le spécial, et je vis dans la sérénité.
Une laser couleur ! J'ai aussi. Il suffit de s'habituer aux couleurs
un peu passées. Une géniale HP à sublimation pour le 10x15 familial
et la FNAC pour le 30x40. Jamais été déçu par la FNAC.
Bour-Brown a écrit :Delestaque a écritJe ne sais plus ici qui disait qu'il avait laissé tomber tout ça et
donnait ses photos a tirer à l'exterieur, peut être toi du reste ?
C'est bien moi.
Moi aussi, moi aussi ! Me too...J'ai trop ramé avec les jets d'encre.
En plus, si on en a plusieurs, c'est la vraie galère pour le coup.Fallait vraiment mouiller sa chemise pour obtenir ce que l'on
voulait, des réglages sans fin pour arriver à la limite accessible,
et ceci pour une seule image avec tel papier. On change, tout à
refaire. Au bout d'un moment on commence à prévoir, donc on devient
bon, mais ce n'est pas le système qui l'est.
Je ne suis jamais devenu bon. Mes imprimantes ont fini par m'avoir, et
le pilote Epson, qui parle espagnol en plus !maintenant si tes noirs sont trop chargés, c'est sûr que tu ne vas
pas en sortir
Disons que si pour y arriver on doit faire un travail d'imprimeur
(enfin ce que j'imagine de l'imprimeur), cela ne m'intéresse pas.
Ça serait intéressant si c'était une science à peu près exacte, donc
que les résultats soient reproductibles. Mais hélas ! Il faut
s'appeler Elizabeth Teissier pour y voir un lien de causalité.
http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article386Tiens, pour dire, j'avais un papier jet d'encre Kodak les noirs me
faisaient
carrément un bourrelet. Il y avait un effet de bascule dans les
ombres, un équivalent du bronzing si on veut, que d'un coup t'avais
une zone entière qui gonflait ! Celui-là je m'en suis beaucoup servi
pour des illustrations couleur avec dessin au trait, en regardant en
biais ça fait carrément l'effet d'un cloisonné.
Même chose chez moi, mes photos en noir et blanc étaient, soient
violettes, soit en bas-relief. C'est joli, le bas-relief, mais les
cartouches se vident à vitesse V.J'avais un autre papier, du Canon semi-mat (ou semi-brillant c'est
selon) qu'à chaque fois que je mettais une feuille ça partait en
sucette en milieu d'impression. Horrible. Je préparais tout, des
réglages sophistiqués, j'imprimais sur une feuille de test c'était
ok, je mettais la bonne feuille et je recommençais en plein milieu
j'avais toujours une embrouille. Mes jurons ont tant mis en péril
l'harmonie de ma petite famille que l'imprimante s'est retrouvée sur
le trottoir le jour des encombrants.
J'ai gardé mon Epson A3. Une vieille maîtresse dispendieuse mais je
n'ose pas la larguer. J'imprime seulement des tableaux de chiffres en
A3, après une bonne séance de débouchage des buses.
L'autre jour, j'imprime un tableau de chiffres en noir et rouge.
Impeccable. Je le ré-imprime : y'a plus que le rouge! Je débouche les
buses. Ça remarche.
J'ai dépensé des fortunes en photos A3 imprimées à moitié.Depuis j'ai une laser couleur pour le tout venant, les enseignes de
tirage photo pour le spécial, et je vis dans la sérénité.
Une laser couleur ! J'ai aussi. Il suffit de s'habituer aux couleurs
un peu passées. Une géniale HP à sublimation pour le 10x15 familial
et la FNAC pour le 30x40. Jamais été déçu par la FNAC.
Merci aux 3 qui m'ont apporté beaucoup de cette enfilade, charles,
Noëlle et toi.
Merci aux 3 qui m'ont apporté beaucoup de cette enfilade, charles,
Noëlle et toi.
Merci aux 3 qui m'ont apporté beaucoup de cette enfilade, charles,
Noëlle et toi.
Anne wrote:Merci aux 3 qui m'ont apporté beaucoup de cette enfilade, charles,
Noëlle et toi.
"enfilade" est le mot :-)
Anne wrote:
Merci aux 3 qui m'ont apporté beaucoup de cette enfilade, charles,
Noëlle et toi.
"enfilade" est le mot :-)
Anne wrote:Merci aux 3 qui m'ont apporté beaucoup de cette enfilade, charles,
Noëlle et toi.
"enfilade" est le mot :-)
L'espace LAB est infini dans tous les sens, tout comme les espaces RVB
Il ne colle pas davantage à la perception de l'oeil que les espaces RVB ou
XYZ
L'espace LAB est infini dans tous les sens, tout comme les espaces RVB
Il ne colle pas davantage à la perception de l'oeil que les espaces RVB ou
XYZ
L'espace LAB est infini dans tous les sens, tout comme les espaces RVB
Il ne colle pas davantage à la perception de l'oeil que les espaces RVB ou
XYZ
Et quand je sors « J'ai des yeux qui couvrent le Lab, moi. » pour exprimer
la limitation des espaces inférieurs, ça ne justifie pas ton attitude
paternaliste devant une énorme bourde (Fichtre ! Celle-là, je vais
l'encadrer).
Plus ça va plus je me dis que la gestion de la couleur pour les
photographes, c'est quand même du grand n'importe quoi, un hochet pour les
cuistres.
Et quand je sors « J'ai des yeux qui couvrent le Lab, moi. » pour exprimer
la limitation des espaces inférieurs, ça ne justifie pas ton attitude
paternaliste devant une énorme bourde (Fichtre ! Celle-là, je vais
l'encadrer).
Plus ça va plus je me dis que la gestion de la couleur pour les
photographes, c'est quand même du grand n'importe quoi, un hochet pour les
cuistres.
Et quand je sors « J'ai des yeux qui couvrent le Lab, moi. » pour exprimer
la limitation des espaces inférieurs, ça ne justifie pas ton attitude
paternaliste devant une énorme bourde (Fichtre ! Celle-là, je vais
l'encadrer).
Plus ça va plus je me dis que la gestion de la couleur pour les
photographes, c'est quand même du grand n'importe quoi, un hochet pour les
cuistres.
Je répéterais une dernière fois que LAB est infini, tout comme les RVB ou
XYZ. Toutes les couleurs visibles sont dedans, mais ça va bien au-delà, et
dire qu'on «voit tout LAB» montre simplement qu'on ne comprend pas. Point
barre.
Je répéterais une dernière fois que LAB est infini, tout comme les RVB ou
XYZ. Toutes les couleurs visibles sont dedans, mais ça va bien au-delà, et
dire qu'on «voit tout LAB» montre simplement qu'on ne comprend pas. Point
barre.
Je répéterais une dernière fois que LAB est infini, tout comme les RVB ou
XYZ. Toutes les couleurs visibles sont dedans, mais ça va bien au-delà, et
dire qu'on «voit tout LAB» montre simplement qu'on ne comprend pas. Point
barre.
"Charles VASSALLO" a écritJe répéterais une dernière fois que LAB est infini, tout comme les
RVB ou XYZ. Toutes les couleurs visibles sont dedans, mais ça va
bien au-delà, et dire qu'on «voit tout LAB» montre simplement qu'on
ne comprend pas. Point barre.
bon boilà :
tout est infini mais y'a des infinis qui sont plus petits
et d'autre plus grands
j'ai bon ??
bien franchement je ne comprend pas
mais sincèrement je suis pas certain du tout quand je te lis que
t'en comprenne beaucoup plus que moi...
"Charles VASSALLO" <charles.rosemarie.vassallo@waoo.fr> a écrit
Je répéterais une dernière fois que LAB est infini, tout comme les
RVB ou XYZ. Toutes les couleurs visibles sont dedans, mais ça va
bien au-delà, et dire qu'on «voit tout LAB» montre simplement qu'on
ne comprend pas. Point barre.
bon boilà :
tout est infini mais y'a des infinis qui sont plus petits
et d'autre plus grands
j'ai bon ??
bien franchement je ne comprend pas
mais sincèrement je suis pas certain du tout quand je te lis que
t'en comprenne beaucoup plus que moi...
"Charles VASSALLO" a écritJe répéterais une dernière fois que LAB est infini, tout comme les
RVB ou XYZ. Toutes les couleurs visibles sont dedans, mais ça va
bien au-delà, et dire qu'on «voit tout LAB» montre simplement qu'on
ne comprend pas. Point barre.
bon boilà :
tout est infini mais y'a des infinis qui sont plus petits
et d'autre plus grands
j'ai bon ??
bien franchement je ne comprend pas
mais sincèrement je suis pas certain du tout quand je te lis que
t'en comprenne beaucoup plus que moi...
Je vois que tu ne peux pas comprendre ce qui est exact et et ce qui n'est
qu'une approximation dans les extraits que tu rapportes.
Je répéterais une dernière fois que LAB est infini, tout comme les RVB ou
XYZ.
montre simplement qu'on ne comprend pas.
Je vois que tu ne peux pas comprendre ce qui est exact et et ce qui n'est
qu'une approximation dans les extraits que tu rapportes.
Je répéterais une dernière fois que LAB est infini, tout comme les RVB ou
XYZ.
montre simplement qu'on ne comprend pas.
Je vois que tu ne peux pas comprendre ce qui est exact et et ce qui n'est
qu'une approximation dans les extraits que tu rapportes.
Je répéterais une dernière fois que LAB est infini, tout comme les RVB ou
XYZ.
montre simplement qu'on ne comprend pas.