Tous à Paris le 8 mars contre la GPA (Gestation Pour Autrui)
424 réponses
jean0280
La GPA est une atteinte grave =E0 la dignit=E9 humaine.=20
Dans un avis pr=E9sent=E9 le 23 f=E9vrier au parlement europ=E9en, le group=
e de r=E9flexion bio=E9thique de la Commission des =E9piscopats de la Commu=
naut=E9 europ=E9enne (Comece) met en garde contre =AB une soci=E9t=E9 o=F9 =
les enfants sont fabriqu=E9s et vendus comme des produits =BB. Une manifest=
ation est organis=E9e =E0 Paris le 8 mars prochain : http://www.lamanifpour=
tous.fr/fr/=20
a écrit dans le message de groupe de discussion : mdq3hd$kh6$
L'individu est donc une espèce récente. Je me demande ce que c'était avant qu'on découvre les gènes et leur codage. Ah oui, un don de Dieu.
Tu es le seul ici avec Gerald à utiliser des arguments théologiques.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
Cl.Massé
"Dominique G." a écrit dans le message de groupe de discussion : 1m14tiu.1vv8p6u1dbw09lN%
Il est autonome par rapport au corps de la femme qui le portait en ce sens qu'il n'a plus besoin de vivre au dedans d'elle.
Il n'est pas autonome par rapport à un être humain, voire un animal, qui le soigne. Il n'est pas capable de trouver sa nourriture ni d'éloigner les bactéries de ses déjections. Il meure soit de soif soit de maladie.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
"Dominique G." a écrit dans le message de groupe de discussion :
1m14tiu.1vv8p6u1dbw09lN%dmkgbt@free.invalid...
Il est autonome par rapport au corps de la femme qui le portait en ce sens
qu'il n'a plus besoin de vivre au dedans d'elle.
Il n'est pas autonome par rapport à un être humain, voire un animal, qui le
soigne. Il n'est pas capable de trouver sa nourriture ni d'éloigner les
bactéries de ses déjections. Il meure soit de soif soit de maladie.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
"Dominique G." a écrit dans le message de groupe de discussion : 1m14tiu.1vv8p6u1dbw09lN%
Il est autonome par rapport au corps de la femme qui le portait en ce sens qu'il n'a plus besoin de vivre au dedans d'elle.
Il n'est pas autonome par rapport à un être humain, voire un animal, qui le soigne. Il n'est pas capable de trouver sa nourriture ni d'éloigner les bactéries de ses déjections. Il meure soit de soif soit de maladie.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone Liberté, Egalité, Sale assisté.
Alabenne
Le 11/03/2015 12:24, Patoultan a écrit :
Le très faible taux de suicide montre en tout cas que la très grande majorité des personnes préfèrent être que ne pas être, malgré parfois de très dures conditions d'existence.
remarque aussi qu'aucun mort n'a jamais demandé à redevenir vivant non plus, ce qui laisse supposer qu'il préfère rester mort.
Après, sur les raisons qui font qu'on a envie ou pas d'engendrer une descendance, il en existe sûrement tout un tas de différentes, mais je doute qu'il soit courant chez de futurs parents de craindre que leurs enfants leur reprochent plus tard de leur avoir donné le jour.
ça servirait à quoi de reprocher ? c'est bien plus simple de les envoyer attendre la mort en maison "de retraite".
Le 11/03/2015 12:24, Patoultan a écrit :
Le très faible taux de suicide montre en tout cas que la très grande
majorité des personnes préfèrent être que ne pas être, malgré
parfois de très dures conditions d'existence.
remarque aussi qu'aucun mort n'a jamais demandé à redevenir vivant non
plus,
ce qui laisse supposer qu'il préfère rester mort.
Après, sur les raisons qui font qu'on a envie ou pas d'engendrer
une descendance, il en existe sûrement tout un tas de différentes,
mais je doute qu'il soit courant chez de futurs parents de craindre
que leurs enfants leur reprochent plus tard de leur avoir donné
le jour.
ça servirait à quoi de reprocher ? c'est bien plus simple de les envoyer
attendre
la mort en maison "de retraite".
Le très faible taux de suicide montre en tout cas que la très grande majorité des personnes préfèrent être que ne pas être, malgré parfois de très dures conditions d'existence.
remarque aussi qu'aucun mort n'a jamais demandé à redevenir vivant non plus, ce qui laisse supposer qu'il préfère rester mort.
Après, sur les raisons qui font qu'on a envie ou pas d'engendrer une descendance, il en existe sûrement tout un tas de différentes, mais je doute qu'il soit courant chez de futurs parents de craindre que leurs enfants leur reprochent plus tard de leur avoir donné le jour.
ça servirait à quoi de reprocher ? c'est bien plus simple de les envoyer attendre la mort en maison "de retraite".
Jesus Hans Hubert FORM
Le 11/03/2015 08:41, Gerald a écrit :
Jesus Hans Hubert FORM wrote:
"(le nouveau né n'est) pas comme un OBJET, mais jusqu'à la 22e semaine de grossesse il n'est qu'un ORGANE non viable de manière autonome, dépendant (en l'état actuel du moins !) d'un hôte féminin dont la liberté, par essence, prévaut sur la sienne. "
A vous relire on comprend que bruler un billet/OBJET de 500 francs sera plus scandaleux que de tuer un "ORGANE" !!
Merci de vous relire.
Plus je me relis et moins je vois de ma part l'allusion à un quelconque billet de 500 francs (suisses ?), ni cette inférence. Apprenez à (re)lire.
ok. Vous dites : "(le nouveau né n'est) pas comme un OBJET, mais jusqu'à la 22e semaine de grossesse il n'est qu'un ORGANE non viable de manière autonome"
Ce qui veut dire: ce n'est pas un objet mais, MOINS que cela, il n'est QU'UN ORGANE non viable !! Il fallait comprendre quoi ? que l organe vaut moins qu'un objet, non ?
en effet, l'article ne démontre rien sauf à mettre en évidence (COMME PAR HASARD)la PERSISTANCE d'un lien avec les parents biologiques. Cela semble évident dans l'article mais bien sur ne généralisons pas !!!
Là encore vous créez une inférence qui n'y est pas : cette persistance est *volontaire*, principalement via la *demande* des parents biologiques et non via une demande de la mère porteuse.
?!? c est la meme, non ?
Vous faites de cette demande quelque chose de non culturel, conscient,
vous vouliez dire incosncient, non ?
qui dépendrait de lois "naturelles", moi pas. Ils auraient parfaitement pu faire des *choix* inverses, d'un côté comme de l'autre et on en trouverait facilement des exemples contraires.
Je doute fort que dans le cadre d'une gestation altruiste, le don soit limité par un cadre dont le détachement. L'altruisme a géométrie variable, je n'y crois pas dans cet acte là.
Si vous arrivez à discerner ou opposer ce qui releve de la loi "naturelle" et ce qui releve de la "culture" c'est que vous etes vraiment trop trop fort !!
La culture qui en tant que tel regroupe tout ce qui releve des rapports humains directs ou a travers des arts, regroupe forcément les "lois naturelles".
Expliquez moi.
Mais pouvez vous nous dire ou est le **droit du nouveau né** ? lequel est moins qu'une POTICHE ce qui ne semble pas vous gener vu qu'il est inexistant DANS VOS CONSIDERATIONS !!
J'adore le "vu que" : encore une inférence que vous m'attribuez mais qui n'est pas présente dans mes écrits. Ça vous démange de me créer une légende ?
le "vu que" relevait une absence, un silence dans vos propos : j'ai le droit de remarquer votre absence de considération (en mots) pour ce nouveau né.
Moi, plus ça va et plus votre "légende" à vous correspond à une pathologie de mythomane monomaniaque qui ramène tout dans son prisme étroit d'analyse.
C'est possible, on est tous étroit, mais dites moi ou.
Un arrachement à la relation maternelle pour un nouveau né, arrachement décidé ou pas par les parents est forcément un arrachement, non ?
Le nouveau né qui perd son jumeau à la naissance, le cherche partout en retournant des coussins après : qu’est ce qu'il cherche selon vous ?
La gamine qui a perdu sa mère se voit imposer une mère de substitution comme étant sa "maman" !!! Les pbs amènent les parents cons comme des balais à consulter et la psy de découvrir le mensonge et la vérité cachée à l'enfant : c'est "culturel" selon vous ? Une culture artificielle bien sur, pas naturelle, ca va de soi !!
Le 11/03/2015 08:41, Gerald a écrit :
Jesus Hans Hubert FORM <tresgrosseboite@gmail.com> wrote:
"(le nouveau né n'est) pas comme un OBJET, mais jusqu'à la 22e semaine
de grossesse il n'est qu'un ORGANE non viable de manière autonome,
dépendant (en l'état actuel du moins !) d'un hôte féminin dont la
liberté, par essence, prévaut sur la sienne. "
A vous relire on comprend que bruler un billet/OBJET de 500 francs sera
plus scandaleux que de tuer un "ORGANE" !!
Merci de vous relire.
Plus je me relis et moins je vois de ma part l'allusion à un quelconque
billet de 500 francs (suisses ?), ni cette inférence. Apprenez à
(re)lire.
ok.
Vous dites : "(le nouveau né n'est) pas comme un OBJET, mais jusqu'à la
22e semaine de grossesse il n'est qu'un ORGANE non viable de manière
autonome"
Ce qui veut dire: ce n'est pas un objet mais, MOINS que cela, il n'est
QU'UN ORGANE non viable !!
Il fallait comprendre quoi ? que l organe vaut moins qu'un objet, non ?
en effet, l'article ne démontre rien sauf à mettre en évidence (COMME
PAR HASARD)la PERSISTANCE d'un lien avec les parents biologiques.
Cela semble évident dans l'article mais bien sur ne généralisons pas !!!
Là encore vous créez une inférence qui n'y est pas : cette persistance
est *volontaire*, principalement via la *demande* des parents
biologiques et non via une demande de la mère porteuse.
?!? c est la meme, non ?
Vous faites de
cette demande quelque chose de non culturel, conscient,
vous vouliez dire incosncient, non ?
qui dépendrait
de lois "naturelles", moi pas. Ils auraient parfaitement pu faire des
*choix* inverses, d'un côté comme de l'autre et on en trouverait
facilement des exemples contraires.
Je doute fort que dans le cadre d'une gestation altruiste, le don
soit limité par un cadre dont le détachement.
L'altruisme a géométrie variable, je n'y crois pas dans cet acte là.
Si vous arrivez à discerner ou opposer ce qui releve de la loi
"naturelle" et ce qui releve de la "culture" c'est que vous etes
vraiment trop trop fort !!
La culture qui en tant que tel regroupe tout ce qui releve des rapports
humains directs ou a travers des arts, regroupe forcément les "lois
naturelles".
Expliquez moi.
Mais pouvez vous nous dire ou est le **droit du nouveau né** ?
lequel est moins qu'une POTICHE ce qui ne semble pas vous gener vu qu'il
est inexistant DANS VOS CONSIDERATIONS !!
J'adore le "vu que" : encore une inférence que vous m'attribuez mais qui
n'est pas présente dans mes écrits. Ça vous démange de me créer une
légende ?
le "vu que" relevait une absence, un silence dans vos propos : j'ai le
droit de remarquer votre absence de considération (en mots) pour ce
nouveau né.
Moi, plus ça va et plus votre "légende" à vous correspond à une
pathologie de mythomane monomaniaque qui ramène tout dans son prisme
étroit d'analyse.
C'est possible, on est tous étroit, mais dites moi ou.
Un arrachement à la relation maternelle pour un nouveau né, arrachement
décidé ou pas par les parents est forcément un arrachement, non ?
Le nouveau né qui perd son jumeau à la naissance, le cherche partout en
retournant des coussins après : qu’est ce qu'il cherche selon vous ?
La gamine qui a perdu sa mère se voit imposer une mère de substitution
comme étant sa "maman" !!!
Les pbs amènent les parents cons comme des balais à consulter et la psy
de découvrir le mensonge et la vérité cachée à l'enfant : c'est
"culturel" selon vous ?
Une culture artificielle bien sur, pas naturelle, ca va de soi !!
"(le nouveau né n'est) pas comme un OBJET, mais jusqu'à la 22e semaine de grossesse il n'est qu'un ORGANE non viable de manière autonome, dépendant (en l'état actuel du moins !) d'un hôte féminin dont la liberté, par essence, prévaut sur la sienne. "
A vous relire on comprend que bruler un billet/OBJET de 500 francs sera plus scandaleux que de tuer un "ORGANE" !!
Merci de vous relire.
Plus je me relis et moins je vois de ma part l'allusion à un quelconque billet de 500 francs (suisses ?), ni cette inférence. Apprenez à (re)lire.
ok. Vous dites : "(le nouveau né n'est) pas comme un OBJET, mais jusqu'à la 22e semaine de grossesse il n'est qu'un ORGANE non viable de manière autonome"
Ce qui veut dire: ce n'est pas un objet mais, MOINS que cela, il n'est QU'UN ORGANE non viable !! Il fallait comprendre quoi ? que l organe vaut moins qu'un objet, non ?
en effet, l'article ne démontre rien sauf à mettre en évidence (COMME PAR HASARD)la PERSISTANCE d'un lien avec les parents biologiques. Cela semble évident dans l'article mais bien sur ne généralisons pas !!!
Là encore vous créez une inférence qui n'y est pas : cette persistance est *volontaire*, principalement via la *demande* des parents biologiques et non via une demande de la mère porteuse.
?!? c est la meme, non ?
Vous faites de cette demande quelque chose de non culturel, conscient,
vous vouliez dire incosncient, non ?
qui dépendrait de lois "naturelles", moi pas. Ils auraient parfaitement pu faire des *choix* inverses, d'un côté comme de l'autre et on en trouverait facilement des exemples contraires.
Je doute fort que dans le cadre d'une gestation altruiste, le don soit limité par un cadre dont le détachement. L'altruisme a géométrie variable, je n'y crois pas dans cet acte là.
Si vous arrivez à discerner ou opposer ce qui releve de la loi "naturelle" et ce qui releve de la "culture" c'est que vous etes vraiment trop trop fort !!
La culture qui en tant que tel regroupe tout ce qui releve des rapports humains directs ou a travers des arts, regroupe forcément les "lois naturelles".
Expliquez moi.
Mais pouvez vous nous dire ou est le **droit du nouveau né** ? lequel est moins qu'une POTICHE ce qui ne semble pas vous gener vu qu'il est inexistant DANS VOS CONSIDERATIONS !!
J'adore le "vu que" : encore une inférence que vous m'attribuez mais qui n'est pas présente dans mes écrits. Ça vous démange de me créer une légende ?
le "vu que" relevait une absence, un silence dans vos propos : j'ai le droit de remarquer votre absence de considération (en mots) pour ce nouveau né.
Moi, plus ça va et plus votre "légende" à vous correspond à une pathologie de mythomane monomaniaque qui ramène tout dans son prisme étroit d'analyse.
C'est possible, on est tous étroit, mais dites moi ou.
Un arrachement à la relation maternelle pour un nouveau né, arrachement décidé ou pas par les parents est forcément un arrachement, non ?
Le nouveau né qui perd son jumeau à la naissance, le cherche partout en retournant des coussins après : qu’est ce qu'il cherche selon vous ?
La gamine qui a perdu sa mère se voit imposer une mère de substitution comme étant sa "maman" !!! Les pbs amènent les parents cons comme des balais à consulter et la psy de découvrir le mensonge et la vérité cachée à l'enfant : c'est "culturel" selon vous ? Une culture artificielle bien sur, pas naturelle, ca va de soi !!
jr
Gerald wrote:
jr wrote:
Par parenthèse je ne sais pas à quel titre elle donnait des cours.
Probablement au même titre que celui qui lui permettait d'exercer au sein de l'hôpital Trousseau. Elle enseignait en amphi dans le cadre du certificat intégré de psychiatrie. Ça n'avait pas l'air clandestin :-)
Je veux dire qu'elle n'était pas prof ni universitaire. Il y a plein de toubib qui "exercent" en hopital. Elle devait avoir des vacations. Sinon, qu'elle ait eu du charisme est évident, ce n'est pas exactement un bon point. Il y a un gus sur un forum d'à côté qui a sauté sur ses genoux dans son intimité familiale, pour l'anecdote.
Par parenthèse je
ne sais pas à quel titre elle donnait des cours.
Probablement au même titre que celui qui lui permettait d'exercer au
sein de l'hôpital Trousseau. Elle enseignait en amphi dans le cadre du
certificat intégré de psychiatrie. Ça n'avait pas l'air clandestin :-)
Je veux dire qu'elle n'était pas prof ni universitaire. Il y a plein de
toubib qui "exercent" en hopital. Elle devait avoir des vacations.
Sinon, qu'elle ait eu du charisme est évident, ce n'est pas exactement un
bon point. Il y a un gus sur un forum d'à côté qui a sauté sur ses genoux
dans son intimité familiale, pour l'anecdote.
Par parenthèse je ne sais pas à quel titre elle donnait des cours.
Probablement au même titre que celui qui lui permettait d'exercer au sein de l'hôpital Trousseau. Elle enseignait en amphi dans le cadre du certificat intégré de psychiatrie. Ça n'avait pas l'air clandestin :-)
Je veux dire qu'elle n'était pas prof ni universitaire. Il y a plein de toubib qui "exercent" en hopital. Elle devait avoir des vacations. Sinon, qu'elle ait eu du charisme est évident, ce n'est pas exactement un bon point. Il y a un gus sur un forum d'à côté qui a sauté sur ses genoux dans son intimité familiale, pour l'anecdote.
-- Naturellement trouble.
Jesus Hans Hubert FORM
Le 11/03/2015 08:41, Gerald a écrit :
Jesus Hans Hubert FORM wrote:
Mais, de meme, acceptez vous que le détachement maternel organisé puisse interroger ?
On peut toujours s'interroger. Pour ce qui me concerne il ne me semble pas facilement *identifiable* (perdu au milieu de trop de paramètres voisins), donc non pertinent.
plus precisement : vous pensez à quoi ? que l'attachement maternel se confond avec quoi d'autre ? et/ou que les pbs du détachement maternels se confondent avec quoi d'autre ?
Le seul droit que vous évoquez pour le nouveau né, c'est celui de l'abriter des sectes et des religions mais pas de le protéger du tabac (risque réel) et du détachement VOULU du lien maternel.
Je n'ai pas dit ça. J'ai constaté que le législateur, en l'état actuel, en dispose plus ou moins ainsi (modulo l'interdiction du tabac dans les lieux publics et mesures associées... et modulo les limites (issues des libertés fondamentales) aux actions anti-sectes.
Mais là encore les études isolant tel ou tel facteur de risque me semblent délicates. On en est réduits à des tentatives d'amélioration progressive et globale de la situation par diminution progressive de facteurs pathogènes. Pour l'alcool et le tabac, le lien est établi. Pour le lien maternel il n'existe, JAPAI, que dans vos croyances.
vous voulez dire que l'on peut à la naissance substituer une mere sans que le gosse le ressente ? sans que cela le trouble ? je veux bien l'imaginer.
Ce qui me gene, c'est ce qui se passe quand ca se passe mal : j'ai trop en mémoire des adoptions assez ratées pour avoir envie de les généraliser à tout va au motif que la mère est libre de son corps et de sa "production". (comme une Dominique le dirait)
La question c'est : est ce que les adoptione marchent bien et si elles marchent mal, est ce le lien maternel qui a manqué (du coté des parents, si l'enfant "n'a rien vu")
Le 11/03/2015 08:41, Gerald a écrit :
Jesus Hans Hubert FORM <tresgrosseboite@gmail.com> wrote:
Mais, de meme, acceptez vous que le détachement maternel organisé puisse
interroger ?
On peut toujours s'interroger. Pour ce qui me concerne il ne me semble
pas facilement *identifiable* (perdu au milieu de trop de paramètres
voisins), donc non pertinent.
plus precisement : vous pensez à quoi ?
que l'attachement maternel se confond avec quoi d'autre ?
et/ou que les pbs du détachement maternels se confondent avec quoi d'autre ?
Le seul droit que vous évoquez pour le nouveau né, c'est celui de
l'abriter des sectes et des religions
mais pas de le protéger du tabac (risque réel) et du détachement
VOULU du lien maternel.
Je n'ai pas dit ça. J'ai constaté que le législateur, en l'état actuel,
en dispose plus ou moins ainsi (modulo l'interdiction du tabac dans les
lieux publics et mesures associées... et modulo les limites (issues des
libertés fondamentales) aux actions anti-sectes.
Mais là encore les études isolant tel ou tel facteur de risque me
semblent délicates. On en est réduits à des tentatives d'amélioration
progressive et globale de la situation par diminution progressive de
facteurs pathogènes. Pour l'alcool et le tabac, le lien est établi. Pour
le lien maternel il n'existe, JAPAI, que dans vos croyances.
vous voulez dire que l'on peut à la naissance substituer une mere sans
que le gosse le ressente ? sans que cela le trouble ?
je veux bien l'imaginer.
Ce qui me gene, c'est ce qui se passe quand ca se passe mal :
j'ai trop en mémoire des adoptions assez ratées pour avoir envie de les
généraliser à tout va au motif que la mère est libre de son corps et de
sa "production". (comme une Dominique le dirait)
La question c'est : est ce que les adoptione marchent bien et si elles
marchent mal, est ce le lien maternel qui a manqué (du coté des parents,
si l'enfant "n'a rien vu")
Mais, de meme, acceptez vous que le détachement maternel organisé puisse interroger ?
On peut toujours s'interroger. Pour ce qui me concerne il ne me semble pas facilement *identifiable* (perdu au milieu de trop de paramètres voisins), donc non pertinent.
plus precisement : vous pensez à quoi ? que l'attachement maternel se confond avec quoi d'autre ? et/ou que les pbs du détachement maternels se confondent avec quoi d'autre ?
Le seul droit que vous évoquez pour le nouveau né, c'est celui de l'abriter des sectes et des religions mais pas de le protéger du tabac (risque réel) et du détachement VOULU du lien maternel.
Je n'ai pas dit ça. J'ai constaté que le législateur, en l'état actuel, en dispose plus ou moins ainsi (modulo l'interdiction du tabac dans les lieux publics et mesures associées... et modulo les limites (issues des libertés fondamentales) aux actions anti-sectes.
Mais là encore les études isolant tel ou tel facteur de risque me semblent délicates. On en est réduits à des tentatives d'amélioration progressive et globale de la situation par diminution progressive de facteurs pathogènes. Pour l'alcool et le tabac, le lien est établi. Pour le lien maternel il n'existe, JAPAI, que dans vos croyances.
vous voulez dire que l'on peut à la naissance substituer une mere sans que le gosse le ressente ? sans que cela le trouble ? je veux bien l'imaginer.
Ce qui me gene, c'est ce qui se passe quand ca se passe mal : j'ai trop en mémoire des adoptions assez ratées pour avoir envie de les généraliser à tout va au motif que la mère est libre de son corps et de sa "production". (comme une Dominique le dirait)
La question c'est : est ce que les adoptione marchent bien et si elles marchent mal, est ce le lien maternel qui a manqué (du coté des parents, si l'enfant "n'a rien vu")
voir_le_reply-to
Jesus Hans Hubert FORM wrote:
vous voulez dire que l'on peut à la naissance substituer une mere sans que le gosse le ressente ? sans que cela le trouble ? je veux bien l'imaginer.
Oui. Ça n'a pas valeur d'exemple, mais notez que dans le film "La vie n'est pas un long fleuve tranquille", les conséquences (pour la fille) démarrent exactement au moment où elle apprend la nouvelle, pas avant.
La question c'est : est ce que les adoptione marchent bien et si elles marchent mal, est ce le lien maternel qui a manqué (du coté des parents, si l'enfant "n'a rien vu")
Ma réponse serait : au vu du paragraphe précédent, rien ne permet de le dire et surtout rien ne permet de savoir si ce facteur serait plus déterminant que d'autres.
-- Gérald
Jesus Hans Hubert FORM <tresgrosseboite@gmail.com> wrote:
vous voulez dire que l'on peut à la naissance substituer une mere sans
que le gosse le ressente ? sans que cela le trouble ?
je veux bien l'imaginer.
Oui. Ça n'a pas valeur d'exemple, mais notez que dans le film "La vie
n'est pas un long fleuve tranquille", les conséquences (pour la fille)
démarrent exactement au moment où elle apprend la nouvelle, pas avant.
La question c'est : est ce que les adoptione marchent bien et si elles
marchent mal, est ce le lien maternel qui a manqué (du coté des parents,
si l'enfant "n'a rien vu")
Ma réponse serait : au vu du paragraphe précédent, rien ne permet de le
dire et surtout rien ne permet de savoir si ce facteur serait plus
déterminant que d'autres.
vous voulez dire que l'on peut à la naissance substituer une mere sans que le gosse le ressente ? sans que cela le trouble ? je veux bien l'imaginer.
Oui. Ça n'a pas valeur d'exemple, mais notez que dans le film "La vie n'est pas un long fleuve tranquille", les conséquences (pour la fille) démarrent exactement au moment où elle apprend la nouvelle, pas avant.
La question c'est : est ce que les adoptione marchent bien et si elles marchent mal, est ce le lien maternel qui a manqué (du coté des parents, si l'enfant "n'a rien vu")
Ma réponse serait : au vu du paragraphe précédent, rien ne permet de le dire et surtout rien ne permet de savoir si ce facteur serait plus déterminant que d'autres.
-- Gérald
voir_le_reply-to
Jesus Hans Hubert FORM wrote:
Un arrachement à la relation maternelle pour un nouveau né, arrachement décidé ou pas par les parents est forcément un arrachement, non ?
Ce mot vous trahit : pourquoi l'utiliser ? La diversité en matière de prise en charge des jeunes enfants est la règle sur la planète. Nourrices, précepteurs, assistantes maternelles, crèches, parents séparés (garde donnée au père ? parfois exclusive ?), prises en charge collectives de diverses natures... sans parler des contextes de violence, dénutrition, maladies, exposition au froid... qui peuvent faire passer la relation maternelle (si tant est qu'elle existe) au second plan.
Dans l'aristocratie et la grande bourgeoisie il était même de règle que les parents (et en particulier la mère) ne croisent leurs enfants qu'occasionnellement, et avec des contacts physiques réduits au minimum.
Je confirme que cette diversité et ces choix assumés ne permettent pas d'identifier ce que vous appelez "arrachement" comme spécifiquement générateur de conséquences.
Concernant les effets de l'ocytocine dont vous parliez, que ce soit chez l'animal ou chez l'homme, ne peut-on les analyser comme une forme d'instinct de protection envers les plus faibles et vulnérables ? Les nombreux exemples de chats élevés par des chiennes, de Mowglis, Tarzans et d'enfants-loups, remontant jusqu'à Romulus et Rémus, ne viennent-ils pas abonder dans ce sens ? A contrario les mères dévorant leurs petits, dans le règne animal...
-- Gérald
Jesus Hans Hubert FORM <tresgrosseboite@gmail.com> wrote:
Un arrachement à la relation maternelle pour un nouveau né, arrachement
décidé ou pas par les parents est forcément un arrachement, non ?
Ce mot vous trahit : pourquoi l'utiliser ? La diversité en matière de
prise en charge des jeunes enfants est la règle sur la planète.
Nourrices, précepteurs, assistantes maternelles, crèches, parents
séparés (garde donnée au père ? parfois exclusive ?), prises en charge
collectives de diverses natures... sans parler des contextes de
violence, dénutrition, maladies, exposition au froid... qui peuvent
faire passer la relation maternelle (si tant est qu'elle existe) au
second plan.
Dans l'aristocratie et la grande bourgeoisie il était même de règle que
les parents (et en particulier la mère) ne croisent leurs enfants
qu'occasionnellement, et avec des contacts physiques réduits au minimum.
Je confirme que cette diversité et ces choix assumés ne permettent pas
d'identifier ce que vous appelez "arrachement" comme spécifiquement
générateur de conséquences.
Concernant les effets de l'ocytocine dont vous parliez, que ce soit chez
l'animal ou chez l'homme, ne peut-on les analyser comme une forme
d'instinct de protection envers les plus faibles et vulnérables ? Les
nombreux exemples de chats élevés par des chiennes, de Mowglis, Tarzans
et d'enfants-loups, remontant jusqu'à Romulus et Rémus, ne viennent-ils
pas abonder dans ce sens ? A contrario les mères dévorant leurs petits,
dans le règne animal...
Un arrachement à la relation maternelle pour un nouveau né, arrachement décidé ou pas par les parents est forcément un arrachement, non ?
Ce mot vous trahit : pourquoi l'utiliser ? La diversité en matière de prise en charge des jeunes enfants est la règle sur la planète. Nourrices, précepteurs, assistantes maternelles, crèches, parents séparés (garde donnée au père ? parfois exclusive ?), prises en charge collectives de diverses natures... sans parler des contextes de violence, dénutrition, maladies, exposition au froid... qui peuvent faire passer la relation maternelle (si tant est qu'elle existe) au second plan.
Dans l'aristocratie et la grande bourgeoisie il était même de règle que les parents (et en particulier la mère) ne croisent leurs enfants qu'occasionnellement, et avec des contacts physiques réduits au minimum.
Je confirme que cette diversité et ces choix assumés ne permettent pas d'identifier ce que vous appelez "arrachement" comme spécifiquement générateur de conséquences.
Concernant les effets de l'ocytocine dont vous parliez, que ce soit chez l'animal ou chez l'homme, ne peut-on les analyser comme une forme d'instinct de protection envers les plus faibles et vulnérables ? Les nombreux exemples de chats élevés par des chiennes, de Mowglis, Tarzans et d'enfants-loups, remontant jusqu'à Romulus et Rémus, ne viennent-ils pas abonder dans ce sens ? A contrario les mères dévorant leurs petits, dans le règne animal...
-- Gérald
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Cl.Massé wrote:
Tu es le seul ici avec Gerald à utiliser des arguments théologiques.
euh... hors humour ?
-- Gérald
Cl.Massé <contact@nospam.invalid> wrote:
Tu es le seul ici avec Gerald à utiliser des arguments théologiques.