OK. Peut-on en admettre que l'utilisation de logiciel libre dans le
cadre du RAW ne tient pas de la bidouille, de l'empirique, ou
autre ... ? On peut parler de manque de fonctionnalités, de résultat
meilleur dans l'absolu pour les logiciels commerciaux, cela est
objectif (si argumenté bien évidemment) mais dénigrer une solution en
la qualifiant d'informaticienne est uniquement subjectif dans ce cas-
là.
Peux-tu dire alors ce qui manque à ce jour à UFRaw ? Quelles sont les
fonctionnalités présentes dans d'autres produits, indispensables ou
utiles ou intéressantes, qui ne sont pas dans UFRaw ? Je suis persuadé
qu'il y en a et j'aimerais les connaître. Comme cela, on pourra
objectivement proposer ou non des solutions alternatives.
Quand quelqu'un demande des logiciels freeware ou non pour traiter les
fichiers RAW, je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas lui proposer
les solutions ; il lui suffit alors de comparer les avantages /
inconvénients de chacun (fonctionnalités, prix, ...) pour se faire une
idée. Peut-être que c'est quelqu'un qui apprécie le libre mais n'est
pas au courant de ce qui s'y fait en termes de traitement de RAW. Hé
oui, certains disent qu'il faut être informaticien pour faire du RAW
en libre, cela fait peur. Etc, etc ...
OK. Peut-on en admettre que l'utilisation de logiciel libre dans le
cadre du RAW ne tient pas de la bidouille, de l'empirique, ou
autre ... ? On peut parler de manque de fonctionnalités, de résultat
meilleur dans l'absolu pour les logiciels commerciaux, cela est
objectif (si argumenté bien évidemment) mais dénigrer une solution en
la qualifiant d'informaticienne est uniquement subjectif dans ce cas-
là.
Peux-tu dire alors ce qui manque à ce jour à UFRaw ? Quelles sont les
fonctionnalités présentes dans d'autres produits, indispensables ou
utiles ou intéressantes, qui ne sont pas dans UFRaw ? Je suis persuadé
qu'il y en a et j'aimerais les connaître. Comme cela, on pourra
objectivement proposer ou non des solutions alternatives.
Quand quelqu'un demande des logiciels freeware ou non pour traiter les
fichiers RAW, je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas lui proposer
les solutions ; il lui suffit alors de comparer les avantages /
inconvénients de chacun (fonctionnalités, prix, ...) pour se faire une
idée. Peut-être que c'est quelqu'un qui apprécie le libre mais n'est
pas au courant de ce qui s'y fait en termes de traitement de RAW. Hé
oui, certains disent qu'il faut être informaticien pour faire du RAW
en libre, cela fait peur. Etc, etc ...
OK. Peut-on en admettre que l'utilisation de logiciel libre dans le
cadre du RAW ne tient pas de la bidouille, de l'empirique, ou
autre ... ? On peut parler de manque de fonctionnalités, de résultat
meilleur dans l'absolu pour les logiciels commerciaux, cela est
objectif (si argumenté bien évidemment) mais dénigrer une solution en
la qualifiant d'informaticienne est uniquement subjectif dans ce cas-
là.
Peux-tu dire alors ce qui manque à ce jour à UFRaw ? Quelles sont les
fonctionnalités présentes dans d'autres produits, indispensables ou
utiles ou intéressantes, qui ne sont pas dans UFRaw ? Je suis persuadé
qu'il y en a et j'aimerais les connaître. Comme cela, on pourra
objectivement proposer ou non des solutions alternatives.
Quand quelqu'un demande des logiciels freeware ou non pour traiter les
fichiers RAW, je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas lui proposer
les solutions ; il lui suffit alors de comparer les avantages /
inconvénients de chacun (fonctionnalités, prix, ...) pour se faire une
idée. Peut-être que c'est quelqu'un qui apprécie le libre mais n'est
pas au courant de ce qui s'y fait en termes de traitement de RAW. Hé
oui, certains disent qu'il faut être informaticien pour faire du RAW
en libre, cela fait peur. Etc, etc ...
C'est pas un "manque" (comme déjà dit) c'est un *concept* différent.
Dans un cas, on "derawtise" (donc on se débarrasse du raw ce qui est
une curieuse façon de l'utiliser), dans l'autre on travaille avec.
Eventuellement, dans un logiciel comme Lightroom, en appelant des
fonctions de Photoshop pour arriver à l'image finale sans sortir du
raw. C'est donc complètement différent.
C'est pas un "manque" (comme déjà dit) c'est un *concept* différent.
Dans un cas, on "derawtise" (donc on se débarrasse du raw ce qui est
une curieuse façon de l'utiliser), dans l'autre on travaille avec.
Eventuellement, dans un logiciel comme Lightroom, en appelant des
fonctions de Photoshop pour arriver à l'image finale sans sortir du
raw. C'est donc complètement différent.
C'est pas un "manque" (comme déjà dit) c'est un *concept* différent.
Dans un cas, on "derawtise" (donc on se débarrasse du raw ce qui est
une curieuse façon de l'utiliser), dans l'autre on travaille avec.
Eventuellement, dans un logiciel comme Lightroom, en appelant des
fonctions de Photoshop pour arriver à l'image finale sans sortir du
raw. C'est donc complètement différent.
Je ne comprends pas bien, là...
Que J'utilise la fonction RAW de capture NX, Rawtherapee, PE6, Je peux
travailler sur le fichier RAW lui-même, sauvegarder ensuite l'_image_ en
JPG (par exemple), mais _conserver_ le fichier RAW d'origine pour
éventuellement le "reprendre" plus tard...
J'ai tout faux ?...
Je ne comprends pas bien, là...
Que J'utilise la fonction RAW de capture NX, Rawtherapee, PE6, Je peux
travailler sur le fichier RAW lui-même, sauvegarder ensuite l'_image_ en
JPG (par exemple), mais _conserver_ le fichier RAW d'origine pour
éventuellement le "reprendre" plus tard...
J'ai tout faux ?...
Je ne comprends pas bien, là...
Que J'utilise la fonction RAW de capture NX, Rawtherapee, PE6, Je peux
travailler sur le fichier RAW lui-même, sauvegarder ensuite l'_image_ en
JPG (par exemple), mais _conserver_ le fichier RAW d'origine pour
éventuellement le "reprendre" plus tard...
J'ai tout faux ?...
a écrit :
> OK. Peut-on en admettre que l'utilisation de logiciel libre dans le
> cadre du RAW ne tient pas de la bidouille, de l'empirique, ou
> autre ... ? On peut parler de manque de fonctionnalités, de résulta t
> meilleur dans l'absolu pour les logiciels commerciaux, cela est
> objectif (si argumenté bien évidemment) mais dénigrer une solutio n en
> la qualifiant d'informaticienne est uniquement subjectif dans ce cas-
> là.
Par ma profession je dois faire la distinction entre ce qui
est accessible au grand public et ce qui ne l'est pas. D'une
façon générale, tout ce qui sort de Windows ne l'est pas.
C'est pas un "manque" (comme déjà dit) c'est un *concept*
différent. Dans un cas, on "derawtise" (donc on se
débarrasse du raw ce qui est une curieuse façon de
l'utiliser), dans l'autre on travaille avec. Eventuellement,
dans un logiciel comme Lightroom, en appelant des fonctions
de Photoshop pour arriver à l'image finale sans sortir du
raw. C'est donc complètement différent.
Je pense donc que quelqu'un qui a décidé de faire de la
photo en raw a intérêt à le faire avec les concepts les plus
actuels au lieu de passer par les contorsions de systèmes
anciens.
step...@photonature.fr a écrit :
> OK. Peut-on en admettre que l'utilisation de logiciel libre dans le
> cadre du RAW ne tient pas de la bidouille, de l'empirique, ou
> autre ... ? On peut parler de manque de fonctionnalités, de résulta t
> meilleur dans l'absolu pour les logiciels commerciaux, cela est
> objectif (si argumenté bien évidemment) mais dénigrer une solutio n en
> la qualifiant d'informaticienne est uniquement subjectif dans ce cas-
> là.
Par ma profession je dois faire la distinction entre ce qui
est accessible au grand public et ce qui ne l'est pas. D'une
façon générale, tout ce qui sort de Windows ne l'est pas.
C'est pas un "manque" (comme déjà dit) c'est un *concept*
différent. Dans un cas, on "derawtise" (donc on se
débarrasse du raw ce qui est une curieuse façon de
l'utiliser), dans l'autre on travaille avec. Eventuellement,
dans un logiciel comme Lightroom, en appelant des fonctions
de Photoshop pour arriver à l'image finale sans sortir du
raw. C'est donc complètement différent.
Je pense donc que quelqu'un qui a décidé de faire de la
photo en raw a intérêt à le faire avec les concepts les plus
actuels au lieu de passer par les contorsions de systèmes
anciens.
a écrit :
> OK. Peut-on en admettre que l'utilisation de logiciel libre dans le
> cadre du RAW ne tient pas de la bidouille, de l'empirique, ou
> autre ... ? On peut parler de manque de fonctionnalités, de résulta t
> meilleur dans l'absolu pour les logiciels commerciaux, cela est
> objectif (si argumenté bien évidemment) mais dénigrer une solutio n en
> la qualifiant d'informaticienne est uniquement subjectif dans ce cas-
> là.
Par ma profession je dois faire la distinction entre ce qui
est accessible au grand public et ce qui ne l'est pas. D'une
façon générale, tout ce qui sort de Windows ne l'est pas.
C'est pas un "manque" (comme déjà dit) c'est un *concept*
différent. Dans un cas, on "derawtise" (donc on se
débarrasse du raw ce qui est une curieuse façon de
l'utiliser), dans l'autre on travaille avec. Eventuellement,
dans un logiciel comme Lightroom, en appelant des fonctions
de Photoshop pour arriver à l'image finale sans sortir du
raw. C'est donc complètement différent.
Je pense donc que quelqu'un qui a décidé de faire de la
photo en raw a intérêt à le faire avec les concepts les plus
actuels au lieu de passer par les contorsions de systèmes
anciens.
On est dans le cadre de la poule et de l'oeuf. Tu ne parles pas des
solutions alternatives parce qu'elles ne sont pas développées et elles
ne se développent pas (suffisamment) parce que l'on n'en parle pas
assez.
Donc toujours basée sur la notion d'efficacité pour le professionnel.
Il peut donc travailler les courbes, la saturation, la gestion du
bruit en appliquant un bruit de référence, l'écrêtage de hautes
lumières, ... Ce sont des opérations de ce style ? Il y en a d'autres,
j'en suis sûr. Tu as des exemples ?
Ensuite, une fois que l'on a récupéré tous les avantage du RAW par
rapport au JPEG en quoi est-ce gênant de passer dans le logiciel de
traitement d'images ?
"J'ouvre mon RAW avec un logiciel et je finalise avec un deuxième"
tient de la contorsion ? Qu'est-ce que je gagne à faire tout dans le
logiciel de gestion de RAW, pratiquement, réellement, objectivement ?
On est dans le cadre de la poule et de l'oeuf. Tu ne parles pas des
solutions alternatives parce qu'elles ne sont pas développées et elles
ne se développent pas (suffisamment) parce que l'on n'en parle pas
assez.
Donc toujours basée sur la notion d'efficacité pour le professionnel.
Il peut donc travailler les courbes, la saturation, la gestion du
bruit en appliquant un bruit de référence, l'écrêtage de hautes
lumières, ... Ce sont des opérations de ce style ? Il y en a d'autres,
j'en suis sûr. Tu as des exemples ?
Ensuite, une fois que l'on a récupéré tous les avantage du RAW par
rapport au JPEG en quoi est-ce gênant de passer dans le logiciel de
traitement d'images ?
"J'ouvre mon RAW avec un logiciel et je finalise avec un deuxième"
tient de la contorsion ? Qu'est-ce que je gagne à faire tout dans le
logiciel de gestion de RAW, pratiquement, réellement, objectivement ?
On est dans le cadre de la poule et de l'oeuf. Tu ne parles pas des
solutions alternatives parce qu'elles ne sont pas développées et elles
ne se développent pas (suffisamment) parce que l'on n'en parle pas
assez.
Donc toujours basée sur la notion d'efficacité pour le professionnel.
Il peut donc travailler les courbes, la saturation, la gestion du
bruit en appliquant un bruit de référence, l'écrêtage de hautes
lumières, ... Ce sont des opérations de ce style ? Il y en a d'autres,
j'en suis sûr. Tu as des exemples ?
Ensuite, une fois que l'on a récupéré tous les avantage du RAW par
rapport au JPEG en quoi est-ce gênant de passer dans le logiciel de
traitement d'images ?
"J'ouvre mon RAW avec un logiciel et je finalise avec un deuxième"
tient de la contorsion ? Qu'est-ce que je gagne à faire tout dans le
logiciel de gestion de RAW, pratiquement, réellement, objectivement ?
On 29 août, 09:48, Jean-Pierre Roche wrote:a écrit :
Je pense donc que quelqu'un qui a décidé de faire de la
photo en raw a intérêt à le faire avec les concepts les plus
actuels au lieu de passer par les contorsions de systèmes
anciens.
"J'ouvre mon RAW avec un logiciel et je finalise avec un deuxième"
tient de la contorsion ? Qu'est-ce que je gagne à faire tout dans le
logiciel de gestion de RAW, pratiquement, réellement, objectivement ?
On 29 août, 09:48, Jean-Pierre Roche <jpro...@sanspub.invalid> wrote:
step...@photonature.fr a écrit :
Je pense donc que quelqu'un qui a décidé de faire de la
photo en raw a intérêt à le faire avec les concepts les plus
actuels au lieu de passer par les contorsions de systèmes
anciens.
"J'ouvre mon RAW avec un logiciel et je finalise avec un deuxième"
tient de la contorsion ? Qu'est-ce que je gagne à faire tout dans le
logiciel de gestion de RAW, pratiquement, réellement, objectivement ?
On 29 août, 09:48, Jean-Pierre Roche wrote:a écrit :
Je pense donc que quelqu'un qui a décidé de faire de la
photo en raw a intérêt à le faire avec les concepts les plus
actuels au lieu de passer par les contorsions de systèmes
anciens.
"J'ouvre mon RAW avec un logiciel et je finalise avec un deuxième"
tient de la contorsion ? Qu'est-ce que je gagne à faire tout dans le
logiciel de gestion de RAW, pratiquement, réellement, objectivement ?
Euh... C'est pas tout à fait ça. C'est que le plus souvent
les solutions alternatives sont des chapelles où le béotien
doit venir faire pénitence avant d'avoir accès au Graal...
Et que les tenants de ces chapelles ne se rendent pas compte
des obstacles mis sur leur voie d'accès.
Ce qui est évident pour le professionnel d'un domaine
demande souvent une longue éducation ou initiation pour être
compris du béotien...
Il y a des tas d'exemples puisqu'on peut faire du dégradé,
de la correction localisée avec sélection et masque
automatique. Par exemple faire les lèvres bien rouges sur un
portrait, éclaircir les yeux, corriger le ciel sur un
paysage, etc.
Mais pourquoi vouloir une seconde étape si on peut se
contenter d'une seule ???
Sans compter que les corrections
et traitement peuvent être enregistrées en tant que telles
(donc modifiables à postériori) ce qui n'est plus possible
dès qu'on "derawtise"...
Objectivement un résultat en une étape au lieu de deux est
mieux ou alors il faut remettre beaucoup de choses en
question...
Ensuite conserver toujours le potentiel d'une
image au lieu de le réduire à un moment donnée est mieux,
etc. Pourquoi faire compliqué si on peut faire simple et mieux ?
Euh... C'est pas tout à fait ça. C'est que le plus souvent
les solutions alternatives sont des chapelles où le béotien
doit venir faire pénitence avant d'avoir accès au Graal...
Et que les tenants de ces chapelles ne se rendent pas compte
des obstacles mis sur leur voie d'accès.
Ce qui est évident pour le professionnel d'un domaine
demande souvent une longue éducation ou initiation pour être
compris du béotien...
Il y a des tas d'exemples puisqu'on peut faire du dégradé,
de la correction localisée avec sélection et masque
automatique. Par exemple faire les lèvres bien rouges sur un
portrait, éclaircir les yeux, corriger le ciel sur un
paysage, etc.
Mais pourquoi vouloir une seconde étape si on peut se
contenter d'une seule ???
Sans compter que les corrections
et traitement peuvent être enregistrées en tant que telles
(donc modifiables à postériori) ce qui n'est plus possible
dès qu'on "derawtise"...
Objectivement un résultat en une étape au lieu de deux est
mieux ou alors il faut remettre beaucoup de choses en
question...
Ensuite conserver toujours le potentiel d'une
image au lieu de le réduire à un moment donnée est mieux,
etc. Pourquoi faire compliqué si on peut faire simple et mieux ?
Euh... C'est pas tout à fait ça. C'est que le plus souvent
les solutions alternatives sont des chapelles où le béotien
doit venir faire pénitence avant d'avoir accès au Graal...
Et que les tenants de ces chapelles ne se rendent pas compte
des obstacles mis sur leur voie d'accès.
Ce qui est évident pour le professionnel d'un domaine
demande souvent une longue éducation ou initiation pour être
compris du béotien...
Il y a des tas d'exemples puisqu'on peut faire du dégradé,
de la correction localisée avec sélection et masque
automatique. Par exemple faire les lèvres bien rouges sur un
portrait, éclaircir les yeux, corriger le ciel sur un
paysage, etc.
Mais pourquoi vouloir une seconde étape si on peut se
contenter d'une seule ???
Sans compter que les corrections
et traitement peuvent être enregistrées en tant que telles
(donc modifiables à postériori) ce qui n'est plus possible
dès qu'on "derawtise"...
Objectivement un résultat en une étape au lieu de deux est
mieux ou alors il faut remettre beaucoup de choses en
question...
Ensuite conserver toujours le potentiel d'une
image au lieu de le réduire à un moment donnée est mieux,
etc. Pourquoi faire compliqué si on peut faire simple et mieux ?
Dans cas, l'image fait le chemin RAW -> Jpeg/Tiff/etc. -> Retouche, dans
l'autre la retouche se fait directement dans le Raw, avec les avantages
bien connus de ce format telle que la retouche non destructive p.ex.
Dans cas, l'image fait le chemin RAW -> Jpeg/Tiff/etc. -> Retouche, dans
l'autre la retouche se fait directement dans le Raw, avec les avantages
bien connus de ce format telle que la retouche non destructive p.ex.
Dans cas, l'image fait le chemin RAW -> Jpeg/Tiff/etc. -> Retouche, dans
l'autre la retouche se fait directement dans le Raw, avec les avantages
bien connus de ce format telle que la retouche non destructive p.ex.
On 29 août, 10:53, Jerome Lambert wrote:Dans cas, l'image fait le chemin RAW -> Jpeg/Tiff/etc. -> Retouche, dans
l'autre la retouche se fait directement dans le Raw, avec les avantages
bien connus de ce format telle que la retouche non destructive p.ex.
Même question que pour Jean-Pierre. Quelles sont les informations
perdues dans un tif par rapport à l'image en mémoire du logiciel ?
On 29 août, 10:53, Jerome Lambert <jerome.lamb...@swing.be> wrote:
Dans cas, l'image fait le chemin RAW -> Jpeg/Tiff/etc. -> Retouche, dans
l'autre la retouche se fait directement dans le Raw, avec les avantages
bien connus de ce format telle que la retouche non destructive p.ex.
Même question que pour Jean-Pierre. Quelles sont les informations
perdues dans un tif par rapport à l'image en mémoire du logiciel ?
On 29 août, 10:53, Jerome Lambert wrote:Dans cas, l'image fait le chemin RAW -> Jpeg/Tiff/etc. -> Retouche, dans
l'autre la retouche se fait directement dans le Raw, avec les avantages
bien connus de ce format telle que la retouche non destructive p.ex.
Même question que pour Jean-Pierre. Quelles sont les informations
perdues dans un tif par rapport à l'image en mémoire du logiciel ?
Eh voilà, tu retombes dans le travers que je trouve déplacé. Mais bon,
tu ne changeras pas.
Tu vois, j'ai la vision inverse de la tienne sur le sujet. Ceux qui ne
connaissent pas les solutions alternatives ne se rendent pas compte de
la facilité d'accès de celles-ci.
Tu m'expliqueras comment ma femme réussit à installer ses logiciels,
les mettre à jour, faire toute sa gestion des photos, les
retoucher, ... sans être sous windows et sans rien connaître à
l'informatique. Il lui a fallu environ 10 minutes pour s'y mettre et
quelques questions après.
Tout cela peut se faire dans un logiciel de retouche.
Parce que je peux avoir envie d'utiliser un produit pour le traitement
qui sera plus efficace à mes yeux que ce que me propose le logiciel
tout en un.
Toujours pas un avantage du tout intégré mais uniquement de la
possibilité de conserver les traitements du derawtiseur.
Pas obligé ; si l'étape de stockage dans un fichier pour aller dans
l'étape 2 ne génère pas de dégradation de l'information fournie par
l'étape 1, il n'y aura pas de différence.
En quoi un fichier tiff contient moins d'informations que l'image en
mémoire ? Tu peux me l'expliquer ?
C'est quoi le mieux ? Peux-tu me donner un exemple permettant de se
faire une idée de l'écart entre les deux types de traitements ? Parce
que si c'est pour gagner 0,05%, en tant qu'amateur je peux très bien
m'en passer (d'autres non, je suis bien d'accord).
Eh voilà, tu retombes dans le travers que je trouve déplacé. Mais bon,
tu ne changeras pas.
Tu vois, j'ai la vision inverse de la tienne sur le sujet. Ceux qui ne
connaissent pas les solutions alternatives ne se rendent pas compte de
la facilité d'accès de celles-ci.
Tu m'expliqueras comment ma femme réussit à installer ses logiciels,
les mettre à jour, faire toute sa gestion des photos, les
retoucher, ... sans être sous windows et sans rien connaître à
l'informatique. Il lui a fallu environ 10 minutes pour s'y mettre et
quelques questions après.
Tout cela peut se faire dans un logiciel de retouche.
Parce que je peux avoir envie d'utiliser un produit pour le traitement
qui sera plus efficace à mes yeux que ce que me propose le logiciel
tout en un.
Toujours pas un avantage du tout intégré mais uniquement de la
possibilité de conserver les traitements du derawtiseur.
Pas obligé ; si l'étape de stockage dans un fichier pour aller dans
l'étape 2 ne génère pas de dégradation de l'information fournie par
l'étape 1, il n'y aura pas de différence.
En quoi un fichier tiff contient moins d'informations que l'image en
mémoire ? Tu peux me l'expliquer ?
C'est quoi le mieux ? Peux-tu me donner un exemple permettant de se
faire une idée de l'écart entre les deux types de traitements ? Parce
que si c'est pour gagner 0,05%, en tant qu'amateur je peux très bien
m'en passer (d'autres non, je suis bien d'accord).
Eh voilà, tu retombes dans le travers que je trouve déplacé. Mais bon,
tu ne changeras pas.
Tu vois, j'ai la vision inverse de la tienne sur le sujet. Ceux qui ne
connaissent pas les solutions alternatives ne se rendent pas compte de
la facilité d'accès de celles-ci.
Tu m'expliqueras comment ma femme réussit à installer ses logiciels,
les mettre à jour, faire toute sa gestion des photos, les
retoucher, ... sans être sous windows et sans rien connaître à
l'informatique. Il lui a fallu environ 10 minutes pour s'y mettre et
quelques questions après.
Tout cela peut se faire dans un logiciel de retouche.
Parce que je peux avoir envie d'utiliser un produit pour le traitement
qui sera plus efficace à mes yeux que ce que me propose le logiciel
tout en un.
Toujours pas un avantage du tout intégré mais uniquement de la
possibilité de conserver les traitements du derawtiseur.
Pas obligé ; si l'étape de stockage dans un fichier pour aller dans
l'étape 2 ne génère pas de dégradation de l'information fournie par
l'étape 1, il n'y aura pas de différence.
En quoi un fichier tiff contient moins d'informations que l'image en
mémoire ? Tu peux me l'expliquer ?
C'est quoi le mieux ? Peux-tu me donner un exemple permettant de se
faire une idée de l'écart entre les deux types de traitements ? Parce
que si c'est pour gagner 0,05%, en tant qu'amateur je peux très bien
m'en passer (d'autres non, je suis bien d'accord).