Euh, n'étant pas français, je ne vois pas trop de quoi tu parles.
Je sais juste qu'Allègre avait lancé une série de réformes qui ont fait
descendre l'ensemble du monde universitaire dans les rues, mais je n'en
connais ni les tenants ni les aboutissants...
(...)
Euh, n'étant pas français, je ne vois pas trop de quoi tu parles.
Je sais juste qu'Allègre avait lancé une série de réformes qui ont fait
descendre l'ensemble du monde universitaire dans les rues, mais je n'en
connais ni les tenants ni les aboutissants...
(...)
Euh, n'étant pas français, je ne vois pas trop de quoi tu parles.
Je sais juste qu'Allègre avait lancé une série de réformes qui ont fait
descendre l'ensemble du monde universitaire dans les rues, mais je n'en
connais ni les tenants ni les aboutissants...
(...)
"Ici, c'est le fait de "faire des maths pour faire des maths" qui ne
tient plus la route. Par contre, les maths comme outils pour les
sciences ou l'économie donne du sens à ce que l'on fait, et permet d'en
justifier leur apprentissage..."
Je n'ai rien contre l'apprentissage d'une matière, tant qu'on lui donne
un *sens*, et je suis bien placé pour savoir que c'est sur ce point-là
que beaucoup de jeunes "coincent"...
"Ici, c'est le fait de "faire des maths pour faire des maths" qui ne
tient plus la route. Par contre, les maths comme outils pour les
sciences ou l'économie donne du sens à ce que l'on fait, et permet d'en
justifier leur apprentissage..."
Je n'ai rien contre l'apprentissage d'une matière, tant qu'on lui donne
un *sens*, et je suis bien placé pour savoir que c'est sur ce point-là
que beaucoup de jeunes "coincent"...
"Ici, c'est le fait de "faire des maths pour faire des maths" qui ne
tient plus la route. Par contre, les maths comme outils pour les
sciences ou l'économie donne du sens à ce que l'on fait, et permet d'en
justifier leur apprentissage..."
Je n'ai rien contre l'apprentissage d'une matière, tant qu'on lui donne
un *sens*, et je suis bien placé pour savoir que c'est sur ce point-là
que beaucoup de jeunes "coincent"...
Problème de poule et d'oeuf
Problème de poule et d'oeuf
Problème de poule et d'oeuf
Je tiens d'ailleurs à préciser que je ne m'offusquerais pas si
quelqu'un me pointait ainsi de telles erreurs de ma part,
au contraire.
Je tiens d'ailleurs à préciser que je ne m'offusquerais pas si
quelqu'un me pointait ainsi de telles erreurs de ma part,
au contraire.
Je tiens d'ailleurs à préciser que je ne m'offusquerais pas si
quelqu'un me pointait ainsi de telles erreurs de ma part,
au contraire.
Hum. Tu as commencé par dire que le concept du bureau conduisait
au bordel. Tu n'étais pas très loin du "A permet B mais B est
Mal donc A aussi". Ca se joue sur "conduit" vs "permet" mais
la démonstration que le bureau implique le bordel, je ne l'ai pas
lue.
Il y a aussi plus simplement "B est mal" à propos de bureau avec
plein d'icônes. Après tout, dans la vraie vie il y a des vrais
bureaux "bordéliques" mais j'ai pourtant un peu de mal à porter
des jugements de valeurs sur leurs utilisateurs et leurs façons
de travailler.
Et en supposant que je le fasse, je me vois mal
en déduire un problème de fond avec le concept d'un plan de
travail en bois devant une chaise.
Et puis, tu as écrit qu'il y avait une manipulation spéciale
pour accéder au bureau. C'est vrai, et c'est vrai aussi que
les manipulations "spéciales" doivent être minimisées. Mais
personne n'a dit qu'il n'en fallait jamais.
Le vrai débat se situe je crois sur les liens entre le bureau
et le disque dur. Tu pourrais avoir là quelques arguments,
encore faudrait-il que tu détailles une solution alternative,
mais si cette solution est du genre "l'arborescence du disque,
point barre", j'ai peur que tu sois un peu anachronique. Le futur
de demain bientôt qui roxe des mamans ours, c'est la convergence,
la mobilité, la transparence, l'espace virtuel personnel
accessible les doigts dans le nez depuis le PC du bureau, de
la maison, le PDA, dans la rue toussa. Ca va passer par la
mise en place de quelques niveaux d'abstraction qui masqueront
forcément quelques détails contrariants à propos des disques durs.
Hum. Tu as commencé par dire que le concept du bureau conduisait
au bordel. Tu n'étais pas très loin du "A permet B mais B est
Mal donc A aussi". Ca se joue sur "conduit" vs "permet" mais
la démonstration que le bureau implique le bordel, je ne l'ai pas
lue.
Il y a aussi plus simplement "B est mal" à propos de bureau avec
plein d'icônes. Après tout, dans la vraie vie il y a des vrais
bureaux "bordéliques" mais j'ai pourtant un peu de mal à porter
des jugements de valeurs sur leurs utilisateurs et leurs façons
de travailler.
Et en supposant que je le fasse, je me vois mal
en déduire un problème de fond avec le concept d'un plan de
travail en bois devant une chaise.
Et puis, tu as écrit qu'il y avait une manipulation spéciale
pour accéder au bureau. C'est vrai, et c'est vrai aussi que
les manipulations "spéciales" doivent être minimisées. Mais
personne n'a dit qu'il n'en fallait jamais.
Le vrai débat se situe je crois sur les liens entre le bureau
et le disque dur. Tu pourrais avoir là quelques arguments,
encore faudrait-il que tu détailles une solution alternative,
mais si cette solution est du genre "l'arborescence du disque,
point barre", j'ai peur que tu sois un peu anachronique. Le futur
de demain bientôt qui roxe des mamans ours, c'est la convergence,
la mobilité, la transparence, l'espace virtuel personnel
accessible les doigts dans le nez depuis le PC du bureau, de
la maison, le PDA, dans la rue toussa. Ca va passer par la
mise en place de quelques niveaux d'abstraction qui masqueront
forcément quelques détails contrariants à propos des disques durs.
Hum. Tu as commencé par dire que le concept du bureau conduisait
au bordel. Tu n'étais pas très loin du "A permet B mais B est
Mal donc A aussi". Ca se joue sur "conduit" vs "permet" mais
la démonstration que le bureau implique le bordel, je ne l'ai pas
lue.
Il y a aussi plus simplement "B est mal" à propos de bureau avec
plein d'icônes. Après tout, dans la vraie vie il y a des vrais
bureaux "bordéliques" mais j'ai pourtant un peu de mal à porter
des jugements de valeurs sur leurs utilisateurs et leurs façons
de travailler.
Et en supposant que je le fasse, je me vois mal
en déduire un problème de fond avec le concept d'un plan de
travail en bois devant une chaise.
Et puis, tu as écrit qu'il y avait une manipulation spéciale
pour accéder au bureau. C'est vrai, et c'est vrai aussi que
les manipulations "spéciales" doivent être minimisées. Mais
personne n'a dit qu'il n'en fallait jamais.
Le vrai débat se situe je crois sur les liens entre le bureau
et le disque dur. Tu pourrais avoir là quelques arguments,
encore faudrait-il que tu détailles une solution alternative,
mais si cette solution est du genre "l'arborescence du disque,
point barre", j'ai peur que tu sois un peu anachronique. Le futur
de demain bientôt qui roxe des mamans ours, c'est la convergence,
la mobilité, la transparence, l'espace virtuel personnel
accessible les doigts dans le nez depuis le PC du bureau, de
la maison, le PDA, dans la rue toussa. Ca va passer par la
mise en place de quelques niveaux d'abstraction qui masqueront
forcément quelques détails contrariants à propos des disques durs.
« Bordélique » sous-entend en particulier perte de temps pour trouver les
choses. C'est un point sur lequel on peut faire un jugement de valeur sur la
façon de travailler.
« Bordélique » sous-entend en particulier perte de temps pour trouver les
choses. C'est un point sur lequel on peut faire un jugement de valeur sur la
façon de travailler.
« Bordélique » sous-entend en particulier perte de temps pour trouver les
choses. C'est un point sur lequel on peut faire un jugement de valeur sur la
façon de travailler.
Jerome Lambert , dans le message , aQue l'on explique aux jeunes p.ex. l'utilité des dérivées premières et
secondes pour l'élaboration du graphique d'une fonction ne me gène pas,
mais qu'après on les gave d'exercices pour élaborer des graphiques que
des machines tracent en quelques secondes me semble quelque peu idiot.
Ces exercices sont justifiés sur plusieurs points. D'une part, ils sont
souvent nécessaires pour que la plupart des élèves finissent par réellement
comprendre ce qui se passe : c'est par la répétition qu'on apprend. D'autre
part, les études de lycée sont également censées fournir une base technique
acquise pour les études supérieures.
Problème de poule et d'oeuf: l'industrie est au service de l'homme, mais
sans homme à son service, point d'industrie...
Et qu'en déduis-tu ?
Jerome Lambert , dans le message <3cga3jF6n3bj3U1@individual.net>, a
Que l'on explique aux jeunes p.ex. l'utilité des dérivées premières et
secondes pour l'élaboration du graphique d'une fonction ne me gène pas,
mais qu'après on les gave d'exercices pour élaborer des graphiques que
des machines tracent en quelques secondes me semble quelque peu idiot.
Ces exercices sont justifiés sur plusieurs points. D'une part, ils sont
souvent nécessaires pour que la plupart des élèves finissent par réellement
comprendre ce qui se passe : c'est par la répétition qu'on apprend. D'autre
part, les études de lycée sont également censées fournir une base technique
acquise pour les études supérieures.
Problème de poule et d'oeuf: l'industrie est au service de l'homme, mais
sans homme à son service, point d'industrie...
Et qu'en déduis-tu ?
Jerome Lambert , dans le message , aQue l'on explique aux jeunes p.ex. l'utilité des dérivées premières et
secondes pour l'élaboration du graphique d'une fonction ne me gène pas,
mais qu'après on les gave d'exercices pour élaborer des graphiques que
des machines tracent en quelques secondes me semble quelque peu idiot.
Ces exercices sont justifiés sur plusieurs points. D'une part, ils sont
souvent nécessaires pour que la plupart des élèves finissent par réellement
comprendre ce qui se passe : c'est par la répétition qu'on apprend. D'autre
part, les études de lycée sont également censées fournir une base technique
acquise pour les études supérieures.
Problème de poule et d'oeuf: l'industrie est au service de l'homme, mais
sans homme à son service, point d'industrie...
Et qu'en déduis-tu ?
Argument quelque peu éculé: ici en Belgique, 20% des jeunes de 18 à 21
an suivent des études supérieures, et certainement pas tous dans des
filières scientifiques...
Rien. Que privilégier l'un ou l'autre est un choix au sens premier du
terme. Perso j'aurais tendance à privilégier la deuxième partie, mais
c'est mon choix...
Argument quelque peu éculé: ici en Belgique, 20% des jeunes de 18 à 21
an suivent des études supérieures, et certainement pas tous dans des
filières scientifiques...
Rien. Que privilégier l'un ou l'autre est un choix au sens premier du
terme. Perso j'aurais tendance à privilégier la deuxième partie, mais
c'est mon choix...
Argument quelque peu éculé: ici en Belgique, 20% des jeunes de 18 à 21
an suivent des études supérieures, et certainement pas tous dans des
filières scientifiques...
Rien. Que privilégier l'un ou l'autre est un choix au sens premier du
terme. Perso j'aurais tendance à privilégier la deuxième partie, mais
c'est mon choix...
Jerome Lambert , dans le message , aArgument quelque peu éculé: ici en Belgique, 20% des jeunes de 18 à 21
an suivent des études supérieures, et certainement pas tous dans des
filières scientifiques...
Ça me paraît bien faible, mais bon ; ou alors nous ne recouvrons pas la même
chose sous ce mot.
En tout cas, ça soulève la question de l'âge auquel
différentier les études, et de l'âge auquel les professionnaliser. Les
employeurs ont tendance à réclamer des études toujours plus
professionnalisées, ça donne des employés jetables bon marché. Pour
l'épanouissement personnel et le long terme, il vaut mieux un socle d'études
généralistes plus solide.
Rien. Que privilégier l'un ou l'autre est un choix au sens premier du
terme. Perso j'aurais tendance à privilégier la deuxième partie, mais
c'est mon choix...
Je ne comprends pas ce que tu appelles deuxième partie ici.
Je répète mon
point, qui me semble la seule position tenable : l'industrie est au service
de l'homme, et pas le contraire. Il faut évidemment que quelqu'un fasse le
boulot nécessaire, mais ce boulot est une corvée, pas la finalité de la vie
d'un homme.
Jerome Lambert , dans le message <3ci9eeF6oev2uU1@individual.net>, a
Argument quelque peu éculé: ici en Belgique, 20% des jeunes de 18 à 21
an suivent des études supérieures, et certainement pas tous dans des
filières scientifiques...
Ça me paraît bien faible, mais bon ; ou alors nous ne recouvrons pas la même
chose sous ce mot.
En tout cas, ça soulève la question de l'âge auquel
différentier les études, et de l'âge auquel les professionnaliser. Les
employeurs ont tendance à réclamer des études toujours plus
professionnalisées, ça donne des employés jetables bon marché. Pour
l'épanouissement personnel et le long terme, il vaut mieux un socle d'études
généralistes plus solide.
Rien. Que privilégier l'un ou l'autre est un choix au sens premier du
terme. Perso j'aurais tendance à privilégier la deuxième partie, mais
c'est mon choix...
Je ne comprends pas ce que tu appelles deuxième partie ici.
Je répète mon
point, qui me semble la seule position tenable : l'industrie est au service
de l'homme, et pas le contraire. Il faut évidemment que quelqu'un fasse le
boulot nécessaire, mais ce boulot est une corvée, pas la finalité de la vie
d'un homme.
Jerome Lambert , dans le message , aArgument quelque peu éculé: ici en Belgique, 20% des jeunes de 18 à 21
an suivent des études supérieures, et certainement pas tous dans des
filières scientifiques...
Ça me paraît bien faible, mais bon ; ou alors nous ne recouvrons pas la même
chose sous ce mot.
En tout cas, ça soulève la question de l'âge auquel
différentier les études, et de l'âge auquel les professionnaliser. Les
employeurs ont tendance à réclamer des études toujours plus
professionnalisées, ça donne des employés jetables bon marché. Pour
l'épanouissement personnel et le long terme, il vaut mieux un socle d'études
généralistes plus solide.
Rien. Que privilégier l'un ou l'autre est un choix au sens premier du
terme. Perso j'aurais tendance à privilégier la deuxième partie, mais
c'est mon choix...
Je ne comprends pas ce que tu appelles deuxième partie ici.
Je répète mon
point, qui me semble la seule position tenable : l'industrie est au service
de l'homme, et pas le contraire. Il faut évidemment que quelqu'un fasse le
boulot nécessaire, mais ce boulot est une corvée, pas la finalité de la vie
d'un homme.
Jerome Lambert wrote:Euh, n'étant pas français, je ne vois pas trop de quoi tu parles.
Je sais juste qu'Allègre avait lancé une série de réformes qui ont fait
descendre l'ensemble du monde universitaire dans les rues, mais je n'en
connais ni les tenants ni les aboutissants...
(...)
L'une de ses gaffes célèbres a été de dire que les maths ne servaient
plus à rien puisqu'il y a des calculettes.
Je crois que des sa nomination , il n'était déja pas aimé du tout.
Jerome Lambert <jerome.lambert@swing.be> wrote:
Euh, n'étant pas français, je ne vois pas trop de quoi tu parles.
Je sais juste qu'Allègre avait lancé une série de réformes qui ont fait
descendre l'ensemble du monde universitaire dans les rues, mais je n'en
connais ni les tenants ni les aboutissants...
(...)
L'une de ses gaffes célèbres a été de dire que les maths ne servaient
plus à rien puisqu'il y a des calculettes.
Je crois que des sa nomination , il n'était déja pas aimé du tout.
Jerome Lambert wrote:Euh, n'étant pas français, je ne vois pas trop de quoi tu parles.
Je sais juste qu'Allègre avait lancé une série de réformes qui ont fait
descendre l'ensemble du monde universitaire dans les rues, mais je n'en
connais ni les tenants ni les aboutissants...
(...)
L'une de ses gaffes célèbres a été de dire que les maths ne servaient
plus à rien puisqu'il y a des calculettes.
Je crois que des sa nomination , il n'était déja pas aimé du tout.