Le Sun, 24 Apr 2005 14:46:54 +0000, Michel Talon a écrit :Le résultat
est que le nombre d'illettrés au moment du "certificat d'études était
extrêment faible alors qu'il est grand maintenant au niveau du baccalauréat.
Pas besoin de remonter aussi loin : quand j'étais gamin la moitié des
enfants d'une classe voulait êtrer "maitresse" (ou pompier, ou policier,
ou infirmière, ou médecin). Maintenant les gamins n'ont plus ce genre de
rêves "service public", les mentalités ont profondément changé (en
mal, est il nécessaire de le dire).
Le Sun, 24 Apr 2005 14:46:54 +0000, Michel Talon a écrit :
Le résultat
est que le nombre d'illettrés au moment du "certificat d'études était
extrêment faible alors qu'il est grand maintenant au niveau du baccalauréat.
Pas besoin de remonter aussi loin : quand j'étais gamin la moitié des
enfants d'une classe voulait êtrer "maitresse" (ou pompier, ou policier,
ou infirmière, ou médecin). Maintenant les gamins n'ont plus ce genre de
rêves "service public", les mentalités ont profondément changé (en
mal, est il nécessaire de le dire).
Le Sun, 24 Apr 2005 14:46:54 +0000, Michel Talon a écrit :Le résultat
est que le nombre d'illettrés au moment du "certificat d'études était
extrêment faible alors qu'il est grand maintenant au niveau du baccalauréat.
Pas besoin de remonter aussi loin : quand j'étais gamin la moitié des
enfants d'une classe voulait êtrer "maitresse" (ou pompier, ou policier,
ou infirmière, ou médecin). Maintenant les gamins n'ont plus ce genre de
rêves "service public", les mentalités ont profondément changé (en
mal, est il nécessaire de le dire).
Pas besoin de remonter aussi loin : quand j'étais gamin la moitié des
enfants d'une classe voulait êtrer "maitresse" (ou pompier, ou policier,
ou infirmière, ou médecin). Maintenant les gamins n'ont plus ce genre de
rêves "service public", les mentalités ont profondément changé (en
mal, est il nécessaire de le dire).
D'après Enjeux/Les Echos (de ce mois-ci je crois), 2/3 des 15-25 ans
veulent finir fonctionnaires. Pas par bonté d'âme cela dit, mais à cause
de la sécurité de l'emploi. Et honnêtement je ne leur jette pas la pierre.
Pas besoin de remonter aussi loin : quand j'étais gamin la moitié des
enfants d'une classe voulait êtrer "maitresse" (ou pompier, ou policier,
ou infirmière, ou médecin). Maintenant les gamins n'ont plus ce genre de
rêves "service public", les mentalités ont profondément changé (en
mal, est il nécessaire de le dire).
D'après Enjeux/Les Echos (de ce mois-ci je crois), 2/3 des 15-25 ans
veulent finir fonctionnaires. Pas par bonté d'âme cela dit, mais à cause
de la sécurité de l'emploi. Et honnêtement je ne leur jette pas la pierre.
Pas besoin de remonter aussi loin : quand j'étais gamin la moitié des
enfants d'une classe voulait êtrer "maitresse" (ou pompier, ou policier,
ou infirmière, ou médecin). Maintenant les gamins n'ont plus ce genre de
rêves "service public", les mentalités ont profondément changé (en
mal, est il nécessaire de le dire).
D'après Enjeux/Les Echos (de ce mois-ci je crois), 2/3 des 15-25 ans
veulent finir fonctionnaires. Pas par bonté d'âme cela dit, mais à cause
de la sécurité de l'emploi. Et honnêtement je ne leur jette pas la pierre.
Hum. Tu as commencé par dire que le concept du bureau conduisait au
bordel. Tu n'étais pas très loin du "A permet B mais B est Mal donc
A aussi". Ca se joue sur "conduit" vs "permet" mais la
démonstration que le bureau implique le bordel, je ne l'ai pas lue.
C'est vrai. En l'occurrence, je le considère comme une constatation
expérimentale, statistique : la plupart des fonds d'écran à icônes
que j'ai pu observer évoluent invariablement vers le bordel.
Il y a aussi plus simplement "B est mal" à propos de bureau avec
plein d'icônes. Après tout, dans la vraie vie il y a des vrais
bureaux "bordéliques" mais j'ai pourtant un peu de mal à porter
des jugements de valeurs sur leurs utilisateurs et leurs façons
de travailler.
« Bordélique » sous-entend en particulier perte de temps pour trouver
les choses. C'est un point sur lequel on peut faire un jugement de
valeur sur la façon de travailler.
Et en supposant que je le fasse, je me vois mal en déduire un
problème de fond avec le concept d'un plan de travail en bois
devant une chaise.
Les analogies sont bien pour faire comprendre une idée, mais elles ne
suffisent pas pour constituer un argument. Un plan de travail en bois
avec des objets dessus est peut-être très bien, mais un écran n'est
pas en bois,
et on ne pose pas réellement ses fichiers.
Plus pratiquement : peut-être qu'un ordinateur permet une
organisation meilleure que celle du plan de travail, mais qui
n'est pas possible dans le monde physique. L'existence de cette
organisation justifie donc que dans le monde informatique le modèle
du plan de travail ne soit pas bon.
Je vais évoquer l'idée que je me fais de cette organisation un peu
plus bas.
Pour mieux faire comprendre l'idée, je vais faire une analogie.
Supposons qu'on ait une grosse addition à faire. Si l'on dispose
d'un papier, on pose l'addition, et on a le résultat ; c'est le
mieux qu'on puisse faire. Si l'on dispose d'un tableur sur
ordinateur, on peut tout à fait s'en servir pour poser l'addition
et faire le calcul à la main. Ça marche, mais c'est crétin : le
tableur peut faire le calcul lui-même, et c'est beaucoup plus
efficace.
Et puis, tu as écrit qu'il y avait une manipulation spéciale
pour accéder au bureau. C'est vrai, et c'est vrai aussi que
les manipulations "spéciales" doivent être minimisées. Mais
personne n'a dit qu'il n'en fallait jamais.
Certes, mais ça justifie qu'on les élimine si ça n'apporte pas
d'inconvénients par ailleurs.
Le vrai débat se situe je crois sur les liens entre le bureau
et le disque dur [...]
En fait, il y a deux arguments assez indépendants ici : l'aspect
ergonomie de l'interface, et le lien entre l'interface et la
structure interne.
Pour le premier point, voici ce que je pense être meilleur que les
icônes sur le fond d'écran. [...]
Bref, pour schématiser : tout ce qui était sur le fond d'écran se
retrouve dans des fenêtres rapidement accessibles, mais de
manipulation régulière, et on en profite pour faire le tri entre
documents, applications et objets spéciaux.
Du point de vue du lien entre interface et structure interne, mon avis
est que la logique interne n'est pas encore assez intelligente pour
permettre une trop grande abstraction, donc je conseille pour le moment
ces quelques points :
[trucs simples et cohérents]
Hum. Tu as commencé par dire que le concept du bureau conduisait au
bordel. Tu n'étais pas très loin du "A permet B mais B est Mal donc
A aussi". Ca se joue sur "conduit" vs "permet" mais la
démonstration que le bureau implique le bordel, je ne l'ai pas lue.
C'est vrai. En l'occurrence, je le considère comme une constatation
expérimentale, statistique : la plupart des fonds d'écran à icônes
que j'ai pu observer évoluent invariablement vers le bordel.
Il y a aussi plus simplement "B est mal" à propos de bureau avec
plein d'icônes. Après tout, dans la vraie vie il y a des vrais
bureaux "bordéliques" mais j'ai pourtant un peu de mal à porter
des jugements de valeurs sur leurs utilisateurs et leurs façons
de travailler.
« Bordélique » sous-entend en particulier perte de temps pour trouver
les choses. C'est un point sur lequel on peut faire un jugement de
valeur sur la façon de travailler.
Et en supposant que je le fasse, je me vois mal en déduire un
problème de fond avec le concept d'un plan de travail en bois
devant une chaise.
Les analogies sont bien pour faire comprendre une idée, mais elles ne
suffisent pas pour constituer un argument. Un plan de travail en bois
avec des objets dessus est peut-être très bien, mais un écran n'est
pas en bois,
et on ne pose pas réellement ses fichiers.
Plus pratiquement : peut-être qu'un ordinateur permet une
organisation meilleure que celle du plan de travail, mais qui
n'est pas possible dans le monde physique. L'existence de cette
organisation justifie donc que dans le monde informatique le modèle
du plan de travail ne soit pas bon.
Je vais évoquer l'idée que je me fais de cette organisation un peu
plus bas.
Pour mieux faire comprendre l'idée, je vais faire une analogie.
Supposons qu'on ait une grosse addition à faire. Si l'on dispose
d'un papier, on pose l'addition, et on a le résultat ; c'est le
mieux qu'on puisse faire. Si l'on dispose d'un tableur sur
ordinateur, on peut tout à fait s'en servir pour poser l'addition
et faire le calcul à la main. Ça marche, mais c'est crétin : le
tableur peut faire le calcul lui-même, et c'est beaucoup plus
efficace.
Et puis, tu as écrit qu'il y avait une manipulation spéciale
pour accéder au bureau. C'est vrai, et c'est vrai aussi que
les manipulations "spéciales" doivent être minimisées. Mais
personne n'a dit qu'il n'en fallait jamais.
Certes, mais ça justifie qu'on les élimine si ça n'apporte pas
d'inconvénients par ailleurs.
Le vrai débat se situe je crois sur les liens entre le bureau
et le disque dur [...]
En fait, il y a deux arguments assez indépendants ici : l'aspect
ergonomie de l'interface, et le lien entre l'interface et la
structure interne.
Pour le premier point, voici ce que je pense être meilleur que les
icônes sur le fond d'écran. [...]
Bref, pour schématiser : tout ce qui était sur le fond d'écran se
retrouve dans des fenêtres rapidement accessibles, mais de
manipulation régulière, et on en profite pour faire le tri entre
documents, applications et objets spéciaux.
Du point de vue du lien entre interface et structure interne, mon avis
est que la logique interne n'est pas encore assez intelligente pour
permettre une trop grande abstraction, donc je conseille pour le moment
ces quelques points :
[trucs simples et cohérents]
Hum. Tu as commencé par dire que le concept du bureau conduisait au
bordel. Tu n'étais pas très loin du "A permet B mais B est Mal donc
A aussi". Ca se joue sur "conduit" vs "permet" mais la
démonstration que le bureau implique le bordel, je ne l'ai pas lue.
C'est vrai. En l'occurrence, je le considère comme une constatation
expérimentale, statistique : la plupart des fonds d'écran à icônes
que j'ai pu observer évoluent invariablement vers le bordel.
Il y a aussi plus simplement "B est mal" à propos de bureau avec
plein d'icônes. Après tout, dans la vraie vie il y a des vrais
bureaux "bordéliques" mais j'ai pourtant un peu de mal à porter
des jugements de valeurs sur leurs utilisateurs et leurs façons
de travailler.
« Bordélique » sous-entend en particulier perte de temps pour trouver
les choses. C'est un point sur lequel on peut faire un jugement de
valeur sur la façon de travailler.
Et en supposant que je le fasse, je me vois mal en déduire un
problème de fond avec le concept d'un plan de travail en bois
devant une chaise.
Les analogies sont bien pour faire comprendre une idée, mais elles ne
suffisent pas pour constituer un argument. Un plan de travail en bois
avec des objets dessus est peut-être très bien, mais un écran n'est
pas en bois,
et on ne pose pas réellement ses fichiers.
Plus pratiquement : peut-être qu'un ordinateur permet une
organisation meilleure que celle du plan de travail, mais qui
n'est pas possible dans le monde physique. L'existence de cette
organisation justifie donc que dans le monde informatique le modèle
du plan de travail ne soit pas bon.
Je vais évoquer l'idée que je me fais de cette organisation un peu
plus bas.
Pour mieux faire comprendre l'idée, je vais faire une analogie.
Supposons qu'on ait une grosse addition à faire. Si l'on dispose
d'un papier, on pose l'addition, et on a le résultat ; c'est le
mieux qu'on puisse faire. Si l'on dispose d'un tableur sur
ordinateur, on peut tout à fait s'en servir pour poser l'addition
et faire le calcul à la main. Ça marche, mais c'est crétin : le
tableur peut faire le calcul lui-même, et c'est beaucoup plus
efficace.
Et puis, tu as écrit qu'il y avait une manipulation spéciale
pour accéder au bureau. C'est vrai, et c'est vrai aussi que
les manipulations "spéciales" doivent être minimisées. Mais
personne n'a dit qu'il n'en fallait jamais.
Certes, mais ça justifie qu'on les élimine si ça n'apporte pas
d'inconvénients par ailleurs.
Le vrai débat se situe je crois sur les liens entre le bureau
et le disque dur [...]
En fait, il y a deux arguments assez indépendants ici : l'aspect
ergonomie de l'interface, et le lien entre l'interface et la
structure interne.
Pour le premier point, voici ce que je pense être meilleur que les
icônes sur le fond d'écran. [...]
Bref, pour schématiser : tout ce qui était sur le fond d'écran se
retrouve dans des fenêtres rapidement accessibles, mais de
manipulation régulière, et on en profite pour faire le tri entre
documents, applications et objets spéciaux.
Du point de vue du lien entre interface et structure interne, mon avis
est que la logique interne n'est pas encore assez intelligente pour
permettre une trop grande abstraction, donc je conseille pour le moment
ces quelques points :
[trucs simples et cohérents]
Peut être, mais :
1) je vois du bordel
2) il est sur un bureau
3) c'est la faute au bureau
N'est pas une "Fallacy" ?
et on ne pose pas réellement ses fichiers.
Je trouve que si. Ca m'arrive même de plus en plus souvent.
Je pense comprendre un peu ce que tu veux dire, mais tu ne m'ôteras
pas de l'idée que toute évolution future et génialissime des interfaces
continuera à s'appuyer sur la notion fondamentale d'icône. Que ta
solution exclue cette belle invention de la surface accueil me
chagrine quelque peu.
Très bonne analogie... une fois que tu as réalisé à quel point la
"feuille de calcul" est basée sur la "feuille" tout court, même si
une telle feuille n'existe pas dans la réalité :-)
Sauf que là, l'inconvénient est de taille. Si le bureau est une
sorte de point d'entrée, de racine, il est naturel qu'il dispose
d'une commande spéciale, comme en disposerait tout autre "lieu"
destiné à le remplacer.
En mathématicien, tu commences par faire table rase, puis tu classes
et cherches à dégager les catégories. Car c'est vrai que le joyeux
mélange entre "icônes", "barre", "fenêtre", "menu", "objets", "document",
"applications" etc finit par être un peu complexe, et pas si
naturel.
Mais, une fois le bureau correctement structuré, le bordel serait
immédiatement déplacé par l'utilisateur dans le premier espace de
rangement disponible.
Avec quels gains ?
En ce qui me concerne, du moment que j'ai moyen d'avoir accès très vite
à quelques icônes de lancement (barre(s) d'accès rapide toujours
visibles), ça me va.
Mon problème est, et a toujours été, l'accès aux
données. Plus le temps passe, plus cette "arborescence de répertoire"
me gonfle !
Peut être, mais :
1) je vois du bordel
2) il est sur un bureau
3) c'est la faute au bureau
N'est pas une "Fallacy" ?
et on ne pose pas réellement ses fichiers.
Je trouve que si. Ca m'arrive même de plus en plus souvent.
Je pense comprendre un peu ce que tu veux dire, mais tu ne m'ôteras
pas de l'idée que toute évolution future et génialissime des interfaces
continuera à s'appuyer sur la notion fondamentale d'icône. Que ta
solution exclue cette belle invention de la surface accueil me
chagrine quelque peu.
Très bonne analogie... une fois que tu as réalisé à quel point la
"feuille de calcul" est basée sur la "feuille" tout court, même si
une telle feuille n'existe pas dans la réalité :-)
Sauf que là, l'inconvénient est de taille. Si le bureau est une
sorte de point d'entrée, de racine, il est naturel qu'il dispose
d'une commande spéciale, comme en disposerait tout autre "lieu"
destiné à le remplacer.
En mathématicien, tu commences par faire table rase, puis tu classes
et cherches à dégager les catégories. Car c'est vrai que le joyeux
mélange entre "icônes", "barre", "fenêtre", "menu", "objets", "document",
"applications" etc finit par être un peu complexe, et pas si
naturel.
Mais, une fois le bureau correctement structuré, le bordel serait
immédiatement déplacé par l'utilisateur dans le premier espace de
rangement disponible.
Avec quels gains ?
En ce qui me concerne, du moment que j'ai moyen d'avoir accès très vite
à quelques icônes de lancement (barre(s) d'accès rapide toujours
visibles), ça me va.
Mon problème est, et a toujours été, l'accès aux
données. Plus le temps passe, plus cette "arborescence de répertoire"
me gonfle !
Peut être, mais :
1) je vois du bordel
2) il est sur un bureau
3) c'est la faute au bureau
N'est pas une "Fallacy" ?
et on ne pose pas réellement ses fichiers.
Je trouve que si. Ca m'arrive même de plus en plus souvent.
Je pense comprendre un peu ce que tu veux dire, mais tu ne m'ôteras
pas de l'idée que toute évolution future et génialissime des interfaces
continuera à s'appuyer sur la notion fondamentale d'icône. Que ta
solution exclue cette belle invention de la surface accueil me
chagrine quelque peu.
Très bonne analogie... une fois que tu as réalisé à quel point la
"feuille de calcul" est basée sur la "feuille" tout court, même si
une telle feuille n'existe pas dans la réalité :-)
Sauf que là, l'inconvénient est de taille. Si le bureau est une
sorte de point d'entrée, de racine, il est naturel qu'il dispose
d'une commande spéciale, comme en disposerait tout autre "lieu"
destiné à le remplacer.
En mathématicien, tu commences par faire table rase, puis tu classes
et cherches à dégager les catégories. Car c'est vrai que le joyeux
mélange entre "icônes", "barre", "fenêtre", "menu", "objets", "document",
"applications" etc finit par être un peu complexe, et pas si
naturel.
Mais, une fois le bureau correctement structuré, le bordel serait
immédiatement déplacé par l'utilisateur dans le premier espace de
rangement disponible.
Avec quels gains ?
En ce qui me concerne, du moment que j'ai moyen d'avoir accès très vite
à quelques icônes de lancement (barre(s) d'accès rapide toujours
visibles), ça me va.
Mon problème est, et a toujours été, l'accès aux
données. Plus le temps passe, plus cette "arborescence de répertoire"
me gonfle !
Une corrélation statistique est signe d'un lien causal.
Une corrélation statistique est signe d'un lien causal.
Une corrélation statistique est signe d'un lien causal.
Une corrélation statistique est signe d'un
lien causal.
Une corrélation statistique est signe d'un
lien causal.
Une corrélation statistique est signe d'un
lien causal.
Les femmes sont statistiquement moins payées que les hommes à poste
équivalent, c'est donc que les femmes sont moins méritantes.
Les femmes sont statistiquement moins payées que les hommes à poste
équivalent, c'est donc que les femmes sont moins méritantes.
Les femmes sont statistiquement moins payées que les hommes à poste
équivalent, c'est donc que les femmes sont moins méritantes.
On 2005-04-25, Nicolas George <nicolas$ wrote:
Une corrélation statistique est signe d'un
lien causal.
Les femmes sont statistiquement moins payées que les hommes à poste
équivalent, c'est donc que les femmes sont moins méritantes.
On 2005-04-25, Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> wrote:
Une corrélation statistique est signe d'un
lien causal.
Les femmes sont statistiquement moins payées que les hommes à poste
équivalent, c'est donc que les femmes sont moins méritantes.
On 2005-04-25, Nicolas George <nicolas$ wrote:
Une corrélation statistique est signe d'un
lien causal.
Les femmes sont statistiquement moins payées que les hommes à poste
équivalent, c'est donc que les femmes sont moins méritantes.
Irvin Probst , dans le message
, a écrit :Les femmes sont statistiquement moins payées que les hommes à poste
équivalent, c'est donc que les femmes sont moins méritantes.
Va t'acheter un cerveau.
Il y a évidemment un lien causal être une femme =>
moins payé, qui s'explique par le machisme de la société. Le « moins
méritantes », en revanche, c'est toi qui l'inventes.
Irvin Probst , dans le message
<slrnd6qcbe.8qv.irvin.fcold@trinity.irvinig.org>, a écrit :
Les femmes sont statistiquement moins payées que les hommes à poste
équivalent, c'est donc que les femmes sont moins méritantes.
Va t'acheter un cerveau.
Il y a évidemment un lien causal être une femme =>
moins payé, qui s'explique par le machisme de la société. Le « moins
méritantes », en revanche, c'est toi qui l'inventes.
Irvin Probst , dans le message
, a écrit :Les femmes sont statistiquement moins payées que les hommes à poste
équivalent, c'est donc que les femmes sont moins méritantes.
Va t'acheter un cerveau.
Il y a évidemment un lien causal être une femme =>
moins payé, qui s'explique par le machisme de la société. Le « moins
méritantes », en revanche, c'est toi qui l'inventes.
Une corrélation statistique est signe d'un
lien causal.
Les femmes sont statistiquement moins payées que les hommes à poste
équivalent, c'est donc que les femmes sont moins méritantes.
mauvaise cause. La vraie cause, c'est que des valeurs périmées
subsistent toujours et forcent la femme a accepter d'être moins bien
payé.
Une corrélation statistique est signe d'un
lien causal.
Les femmes sont statistiquement moins payées que les hommes à poste
équivalent, c'est donc que les femmes sont moins méritantes.
mauvaise cause. La vraie cause, c'est que des valeurs périmées
subsistent toujours et forcent la femme a accepter d'être moins bien
payé.
Une corrélation statistique est signe d'un
lien causal.
Les femmes sont statistiquement moins payées que les hommes à poste
équivalent, c'est donc que les femmes sont moins méritantes.
mauvaise cause. La vraie cause, c'est que des valeurs périmées
subsistent toujours et forcent la femme a accepter d'être moins bien
payé.