il n'y a que dans les bandes dessinées qu'on trie des papiers efficacement
avec un cactus.
il n'y a que dans les bandes dessinées qu'on trie des papiers efficacement
avec un cactus.
il n'y a que dans les bandes dessinées qu'on trie des papiers efficacement
avec un cactus.
Benjamin FRANCOIS , dans le message- Subjectif parce que ton appréciation du bordel n'est pas la même que
la mienne, ni la même que celle de n'importe qui.
Admettons. Il y a quand même une certaine objectivité dans le bordel, il n'y
a que dans les bandes dessinées qu'on trie des papiers efficacement avec un
cactus.
- Discutable parce que l'utilisateur débutant y voit un espace de
travail sur lequel il peut déposer, temporairement ou non, des
fichiers, créer des répertoires, sans avoir à aller se perdre dans une
arborescence que lui infligerait l'ouverture d'un gestionnaire de
fichiers. Ça n'est en rien exceptionnel.
Ça ne contredit pas ce que je dis : l'utilisateur ne sait pas à quoi
correspond réellement cet espace : didactiquement c'est mauvais. On trouve
d'ailleurs régulièrement des gens qui croient ne pas occuper de place sur
disque dur en stockant sur le fond d'écran.
- Faux parce qu'on peut passer le bureau devant et réduire toutes les
autres fenêtres en appuyant sur un simple icône.
Comme tu le dis toi-même, c'est bien réduire toutes les fenêtres, tu abondes
dans mon sens. Ce fond d'écran se retrouve avec une manipulation
exceptionnelle (au sens : différente de tout le reste).
Benjamin FRANCOIS , dans le message
- Subjectif parce que ton appréciation du bordel n'est pas la même que
la mienne, ni la même que celle de n'importe qui.
Admettons. Il y a quand même une certaine objectivité dans le bordel, il n'y
a que dans les bandes dessinées qu'on trie des papiers efficacement avec un
cactus.
- Discutable parce que l'utilisateur débutant y voit un espace de
travail sur lequel il peut déposer, temporairement ou non, des
fichiers, créer des répertoires, sans avoir à aller se perdre dans une
arborescence que lui infligerait l'ouverture d'un gestionnaire de
fichiers. Ça n'est en rien exceptionnel.
Ça ne contredit pas ce que je dis : l'utilisateur ne sait pas à quoi
correspond réellement cet espace : didactiquement c'est mauvais. On trouve
d'ailleurs régulièrement des gens qui croient ne pas occuper de place sur
disque dur en stockant sur le fond d'écran.
- Faux parce qu'on peut passer le bureau devant et réduire toutes les
autres fenêtres en appuyant sur un simple icône.
Comme tu le dis toi-même, c'est bien réduire toutes les fenêtres, tu abondes
dans mon sens. Ce fond d'écran se retrouve avec une manipulation
exceptionnelle (au sens : différente de tout le reste).
Benjamin FRANCOIS , dans le message- Subjectif parce que ton appréciation du bordel n'est pas la même que
la mienne, ni la même que celle de n'importe qui.
Admettons. Il y a quand même une certaine objectivité dans le bordel, il n'y
a que dans les bandes dessinées qu'on trie des papiers efficacement avec un
cactus.
- Discutable parce que l'utilisateur débutant y voit un espace de
travail sur lequel il peut déposer, temporairement ou non, des
fichiers, créer des répertoires, sans avoir à aller se perdre dans une
arborescence que lui infligerait l'ouverture d'un gestionnaire de
fichiers. Ça n'est en rien exceptionnel.
Ça ne contredit pas ce que je dis : l'utilisateur ne sait pas à quoi
correspond réellement cet espace : didactiquement c'est mauvais. On trouve
d'ailleurs régulièrement des gens qui croient ne pas occuper de place sur
disque dur en stockant sur le fond d'écran.
- Faux parce qu'on peut passer le bureau devant et réduire toutes les
autres fenêtres en appuyant sur un simple icône.
Comme tu le dis toi-même, c'est bien réduire toutes les fenêtres, tu abondes
dans mon sens. Ce fond d'écran se retrouve avec une manipulation
exceptionnelle (au sens : différente de tout le reste).
Je crois qu'on ne parlait pas d'encodage, mais de lecture.
Je crois qu'on ne parlait pas d'encodage, mais de lecture.
Je crois qu'on ne parlait pas d'encodage, mais de lecture.
Le problème est que tu rames à contre-courant:
Pour t'en convaincre, il suffit de jeter un coup d'oeil sur des
logiciels comme iPhoto et iTunes (ou dans une moindre mesure RythmBox):
l'utilisateur gère ses photos ou ses mp3, les classe, etc via le
programme, sans se poser le moins du monde la question "où se trouvent
mes fichiers", puisque les programmes sus-cités vont justement les
rechercher pour lui.
De même, si la mode est aux "systèmes de fichiers mode base de données"
(Spotlight sur Mac ou WinFS chez MS), c'est justement pour faciliter la
recherche du "bon document" et le présenter à l'utilisateur, sans que
celui-ci ne doive farfouiller dans l'arborescence du disque pour mettre
la main dessus.
Ce qui est normal, vu que ce bureau est "la fenêtre de base" de
l'interface.
C'est d'ailleurs pour cela que les interfaces modernes y
font p.ex. apparaître automatiquement les partitions montées, sans que
l'utilisateur ait à aller trifouiller dans /mnt/ (ou dans /media/) pour
voir ce qui est disponible (et sur ce on rejoint le point précédent...).
J'ai parfois l'impression qu'au niveau des interfaces utilisateurs tu
veux revenir 20 ans en arrière.
Le problème est que tu rames à contre-courant:
Pour t'en convaincre, il suffit de jeter un coup d'oeil sur des
logiciels comme iPhoto et iTunes (ou dans une moindre mesure RythmBox):
l'utilisateur gère ses photos ou ses mp3, les classe, etc via le
programme, sans se poser le moins du monde la question "où se trouvent
mes fichiers", puisque les programmes sus-cités vont justement les
rechercher pour lui.
De même, si la mode est aux "systèmes de fichiers mode base de données"
(Spotlight sur Mac ou WinFS chez MS), c'est justement pour faciliter la
recherche du "bon document" et le présenter à l'utilisateur, sans que
celui-ci ne doive farfouiller dans l'arborescence du disque pour mettre
la main dessus.
Ce qui est normal, vu que ce bureau est "la fenêtre de base" de
l'interface.
C'est d'ailleurs pour cela que les interfaces modernes y
font p.ex. apparaître automatiquement les partitions montées, sans que
l'utilisateur ait à aller trifouiller dans /mnt/ (ou dans /media/) pour
voir ce qui est disponible (et sur ce on rejoint le point précédent...).
J'ai parfois l'impression qu'au niveau des interfaces utilisateurs tu
veux revenir 20 ans en arrière.
Le problème est que tu rames à contre-courant:
Pour t'en convaincre, il suffit de jeter un coup d'oeil sur des
logiciels comme iPhoto et iTunes (ou dans une moindre mesure RythmBox):
l'utilisateur gère ses photos ou ses mp3, les classe, etc via le
programme, sans se poser le moins du monde la question "où se trouvent
mes fichiers", puisque les programmes sus-cités vont justement les
rechercher pour lui.
De même, si la mode est aux "systèmes de fichiers mode base de données"
(Spotlight sur Mac ou WinFS chez MS), c'est justement pour faciliter la
recherche du "bon document" et le présenter à l'utilisateur, sans que
celui-ci ne doive farfouiller dans l'arborescence du disque pour mettre
la main dessus.
Ce qui est normal, vu que ce bureau est "la fenêtre de base" de
l'interface.
C'est d'ailleurs pour cela que les interfaces modernes y
font p.ex. apparaître automatiquement les partitions montées, sans que
l'utilisateur ait à aller trifouiller dans /mnt/ (ou dans /media/) pour
voir ce qui est disponible (et sur ce on rejoint le point précédent...).
J'ai parfois l'impression qu'au niveau des interfaces utilisateurs tu
veux revenir 20 ans en arrière.
Jerome Lambert , dans le message , a
(...)
Pour t'en convaincre, il suffit de jeter un coup d'oeil sur des
logiciels comme iPhoto et iTunes (ou dans une moindre mesure RythmBox):
l'utilisateur gère ses photos ou ses mp3, les classe, etc via le
programme, sans se poser le moins du monde la question "où se trouvent
mes fichiers", puisque les programmes sus-cités vont justement les
rechercher pour lui.
Le problème, c'est que ce que tu évoques est quelque chose
d'hyper-spécialisé, qui permet une infime proportion de ce que fait un
ordinateur généraliste.
De même, si la mode est aux "systèmes de fichiers mode base de données"
(Spotlight sur Mac ou WinFS chez MS), c'est justement pour faciliter la
recherche du "bon document" et le présenter à l'utilisateur, sans que
celui-ci ne doive farfouiller dans l'arborescence du disque pour mettre
la main dessus.
Ça, pour le moment, ça ne m'évoque qu'un mot : vaporware.
C'est d'ailleurs pour cela que les interfaces modernes y
font p.ex. apparaître automatiquement les partitions montées, sans que
l'utilisateur ait à aller trifouiller dans /mnt/ (ou dans /media/) pour
voir ce qui est disponible (et sur ce on rejoint le point précédent...).
Et encore une : <URL:
http://www.nizkor.org/features/fallacies/false-dilemma.html >. Il y a
d'autres possibilités que l'icône sur le fond d'écran et l'épouvantail
« trifouiller dans /mnt/ » : une fenêtre dédiée, un menu, une zône de
boutons sont déjà trois possibilités qui viennent à l'esprit immédiatement.
J'ai parfois l'impression qu'au niveau des interfaces utilisateurs tu
veux revenir 20 ans en arrière.
Non, tu mésinterprètes ma position sur deux points :
D'une, le critique un point particulier d'interface (les icônes sur le fond
d'écran). Ce style d'interface est apparu il y a X années, ça en veut pas
dire que je rejette également toutes les améliorations qui ont eu lieu
pendant ces X années.
De deux, je ne suis pas contre l'utilisation sans apprentissage, mais force
est de constater que l'intelligence de la bestiole n'est pas encore au point
pour suppléer à la compétence de l'utilisateur. Dans ces conditions, une
interface qui prétend cacher les détails, c'est mettre la charrue avant les
boeufs. Ce serait comme enlever la jauge d'essence sur une voiture
actuelle : ça simplifie le tableau de bord, mais au final on tombe en panne
sèche ; qu'on invente d'abord les voitures électriques qui se rechargent
automatiquement quand nécessaire, et ensuite on pourra enlever la jauge
d'essence.
Jerome Lambert , dans le message <3cdhtvF6mcfleU1@individual.net>, a
(...)
Pour t'en convaincre, il suffit de jeter un coup d'oeil sur des
logiciels comme iPhoto et iTunes (ou dans une moindre mesure RythmBox):
l'utilisateur gère ses photos ou ses mp3, les classe, etc via le
programme, sans se poser le moins du monde la question "où se trouvent
mes fichiers", puisque les programmes sus-cités vont justement les
rechercher pour lui.
Le problème, c'est que ce que tu évoques est quelque chose
d'hyper-spécialisé, qui permet une infime proportion de ce que fait un
ordinateur généraliste.
De même, si la mode est aux "systèmes de fichiers mode base de données"
(Spotlight sur Mac ou WinFS chez MS), c'est justement pour faciliter la
recherche du "bon document" et le présenter à l'utilisateur, sans que
celui-ci ne doive farfouiller dans l'arborescence du disque pour mettre
la main dessus.
Ça, pour le moment, ça ne m'évoque qu'un mot : vaporware.
C'est d'ailleurs pour cela que les interfaces modernes y
font p.ex. apparaître automatiquement les partitions montées, sans que
l'utilisateur ait à aller trifouiller dans /mnt/ (ou dans /media/) pour
voir ce qui est disponible (et sur ce on rejoint le point précédent...).
Et encore une : <URL:
http://www.nizkor.org/features/fallacies/false-dilemma.html >. Il y a
d'autres possibilités que l'icône sur le fond d'écran et l'épouvantail
« trifouiller dans /mnt/ » : une fenêtre dédiée, un menu, une zône de
boutons sont déjà trois possibilités qui viennent à l'esprit immédiatement.
J'ai parfois l'impression qu'au niveau des interfaces utilisateurs tu
veux revenir 20 ans en arrière.
Non, tu mésinterprètes ma position sur deux points :
D'une, le critique un point particulier d'interface (les icônes sur le fond
d'écran). Ce style d'interface est apparu il y a X années, ça en veut pas
dire que je rejette également toutes les améliorations qui ont eu lieu
pendant ces X années.
De deux, je ne suis pas contre l'utilisation sans apprentissage, mais force
est de constater que l'intelligence de la bestiole n'est pas encore au point
pour suppléer à la compétence de l'utilisateur. Dans ces conditions, une
interface qui prétend cacher les détails, c'est mettre la charrue avant les
boeufs. Ce serait comme enlever la jauge d'essence sur une voiture
actuelle : ça simplifie le tableau de bord, mais au final on tombe en panne
sèche ; qu'on invente d'abord les voitures électriques qui se rechargent
automatiquement quand nécessaire, et ensuite on pourra enlever la jauge
d'essence.
Jerome Lambert , dans le message , a
(...)
Pour t'en convaincre, il suffit de jeter un coup d'oeil sur des
logiciels comme iPhoto et iTunes (ou dans une moindre mesure RythmBox):
l'utilisateur gère ses photos ou ses mp3, les classe, etc via le
programme, sans se poser le moins du monde la question "où se trouvent
mes fichiers", puisque les programmes sus-cités vont justement les
rechercher pour lui.
Le problème, c'est que ce que tu évoques est quelque chose
d'hyper-spécialisé, qui permet une infime proportion de ce que fait un
ordinateur généraliste.
De même, si la mode est aux "systèmes de fichiers mode base de données"
(Spotlight sur Mac ou WinFS chez MS), c'est justement pour faciliter la
recherche du "bon document" et le présenter à l'utilisateur, sans que
celui-ci ne doive farfouiller dans l'arborescence du disque pour mettre
la main dessus.
Ça, pour le moment, ça ne m'évoque qu'un mot : vaporware.
C'est d'ailleurs pour cela que les interfaces modernes y
font p.ex. apparaître automatiquement les partitions montées, sans que
l'utilisateur ait à aller trifouiller dans /mnt/ (ou dans /media/) pour
voir ce qui est disponible (et sur ce on rejoint le point précédent...).
Et encore une : <URL:
http://www.nizkor.org/features/fallacies/false-dilemma.html >. Il y a
d'autres possibilités que l'icône sur le fond d'écran et l'épouvantail
« trifouiller dans /mnt/ » : une fenêtre dédiée, un menu, une zône de
boutons sont déjà trois possibilités qui viennent à l'esprit immédiatement.
J'ai parfois l'impression qu'au niveau des interfaces utilisateurs tu
veux revenir 20 ans en arrière.
Non, tu mésinterprètes ma position sur deux points :
D'une, le critique un point particulier d'interface (les icônes sur le fond
d'écran). Ce style d'interface est apparu il y a X années, ça en veut pas
dire que je rejette également toutes les améliorations qui ont eu lieu
pendant ces X années.
De deux, je ne suis pas contre l'utilisation sans apprentissage, mais force
est de constater que l'intelligence de la bestiole n'est pas encore au point
pour suppléer à la compétence de l'utilisateur. Dans ces conditions, une
interface qui prétend cacher les détails, c'est mettre la charrue avant les
boeufs. Ce serait comme enlever la jauge d'essence sur une voiture
actuelle : ça simplifie le tableau de bord, mais au final on tombe en panne
sèche ; qu'on invente d'abord les voitures électriques qui se rechargent
automatiquement quand nécessaire, et ensuite on pourra enlever la jauge
d'essence.
Ce que tu ne sembles pas voir, c'est que le vent vient de là.
Cela ne m'étonnerais guère qu'à terme la plupart des logiciels
"généralistes" présentent les données de cette manière...
SpotLight, c'est dans MacOS X.4 qui sort le 29 de ce mois. Je ne sais
pas comment tu appelles du vaporware prévu pour dans deux semaines (et
déjà en précommande, qui plus est)...
Et si tu veux du concret, BeOS (et ses résurgences) fonctionnent de
cette manière depuis fort longtemps...
Ce que tu oublie, c'est que l'interface qui a servi de référence aux
autres est celle de Mac OS, et sur celui-ci le bureau est un "répertoire
dématérialisé" accueillant les fichiers et répertoires représentées sous
forme d'icônes.
Si tu faisais une interface qui fonctionne d'une autre manière, la
sanction serait immédiate: seuls quelques afficionados en voudraient, et
certainement pas ceux qui "rament" quelque peu avec l'informatique...
Non. Pour l'utilisateur lambda l'informatique est un *outil* et non une
fin en soi.
Il est donc normal que les concepteurs choisissent d'en
masquer au maximum le fonctionnement afin que l'utilisateur puisse se
consacrer sans soucis à sa tâche.
<snip>
Ce que tu ne sembles pas voir, c'est que le vent vient de là.
Cela ne m'étonnerais guère qu'à terme la plupart des logiciels
"généralistes" présentent les données de cette manière...
SpotLight, c'est dans MacOS X.4 qui sort le 29 de ce mois. Je ne sais
pas comment tu appelles du vaporware prévu pour dans deux semaines (et
déjà en précommande, qui plus est)...
Et si tu veux du concret, BeOS (et ses résurgences) fonctionnent de
cette manière depuis fort longtemps...
Ce que tu oublie, c'est que l'interface qui a servi de référence aux
autres est celle de Mac OS, et sur celui-ci le bureau est un "répertoire
dématérialisé" accueillant les fichiers et répertoires représentées sous
forme d'icônes.
Si tu faisais une interface qui fonctionne d'une autre manière, la
sanction serait immédiate: seuls quelques afficionados en voudraient, et
certainement pas ceux qui "rament" quelque peu avec l'informatique...
Non. Pour l'utilisateur lambda l'informatique est un *outil* et non une
fin en soi.
Il est donc normal que les concepteurs choisissent d'en
masquer au maximum le fonctionnement afin que l'utilisateur puisse se
consacrer sans soucis à sa tâche.
<snip>
Ce que tu ne sembles pas voir, c'est que le vent vient de là.
Cela ne m'étonnerais guère qu'à terme la plupart des logiciels
"généralistes" présentent les données de cette manière...
SpotLight, c'est dans MacOS X.4 qui sort le 29 de ce mois. Je ne sais
pas comment tu appelles du vaporware prévu pour dans deux semaines (et
déjà en précommande, qui plus est)...
Et si tu veux du concret, BeOS (et ses résurgences) fonctionnent de
cette manière depuis fort longtemps...
Ce que tu oublie, c'est que l'interface qui a servi de référence aux
autres est celle de Mac OS, et sur celui-ci le bureau est un "répertoire
dématérialisé" accueillant les fichiers et répertoires représentées sous
forme d'icônes.
Si tu faisais une interface qui fonctionne d'une autre manière, la
sanction serait immédiate: seuls quelques afficionados en voudraient, et
certainement pas ceux qui "rament" quelque peu avec l'informatique...
Non. Pour l'utilisateur lambda l'informatique est un *outil* et non une
fin en soi.
Il est donc normal que les concepteurs choisissent d'en
masquer au maximum le fonctionnement afin que l'utilisateur puisse se
consacrer sans soucis à sa tâche.
<snip>
Je crois qu'on ne parlait pas d'encodage, mais de lecture.
Mais même: C'est bien de boycotter un format proprio :-).
Je crois qu'on ne parlait pas d'encodage, mais de lecture.
Mais même: C'est bien de boycotter un format proprio :-).
Je crois qu'on ne parlait pas d'encodage, mais de lecture.
Mais même: C'est bien de boycotter un format proprio :-).
L'émergence et la popularisation de
l'informatique vient justement du fait que pour *utiliser* un ordinateur
il est de moins en moins nécessaire d'en connaître le fonctionnement
(tout comme on conduit une voiture sans avoir besoin de savoir ce qui se
passe réellement "sous le capot").
L'émergence et la popularisation de
l'informatique vient justement du fait que pour *utiliser* un ordinateur
il est de moins en moins nécessaire d'en connaître le fonctionnement
(tout comme on conduit une voiture sans avoir besoin de savoir ce qui se
passe réellement "sous le capot").
L'émergence et la popularisation de
l'informatique vient justement du fait que pour *utiliser* un ordinateur
il est de moins en moins nécessaire d'en connaître le fonctionnement
(tout comme on conduit une voiture sans avoir besoin de savoir ce qui se
passe réellement "sous le capot").
SpotLight, c'est dans MacOS X.4 qui sort le 29 de ce mois. Je ne sais
pas comment tu appelles du vaporware prévu pour dans deux semaines (et
déjà en précommande, qui plus est)...
Et si tu veux du concret, BeOS (et ses résurgences) fonctionnent de
cette manière depuis fort longtemps...
Avec le succès "grand public" que l'on connait tous...
SpotLight, c'est dans MacOS X.4 qui sort le 29 de ce mois. Je ne sais
pas comment tu appelles du vaporware prévu pour dans deux semaines (et
déjà en précommande, qui plus est)...
Et si tu veux du concret, BeOS (et ses résurgences) fonctionnent de
cette manière depuis fort longtemps...
Avec le succès "grand public" que l'on connait tous...
SpotLight, c'est dans MacOS X.4 qui sort le 29 de ce mois. Je ne sais
pas comment tu appelles du vaporware prévu pour dans deux semaines (et
déjà en précommande, qui plus est)...
Et si tu veux du concret, BeOS (et ses résurgences) fonctionnent de
cette manière depuis fort longtemps...
Avec le succès "grand public" que l'on connait tous...
On 2005-04-16, Jerome Lambert wrote:L'émergence et la popularisation de
l'informatique vient justement du fait que pour *utiliser* un ordinateur
il est de moins en moins nécessaire d'en connaître le fonctionnement
(tout comme on conduit une voiture sans avoir besoin de savoir ce qui se
passe réellement "sous le capot").
Reprenons du début: quelle quantité d'instruction _théorique_ et
_pratique_ faut-il assimiler avant d'être _autorisé_ à utiliser
une voiture sans (presque) mettre en danger la vie d'autrui ?
On 2005-04-16, Jerome Lambert <jerome.lambert@swing.be> wrote:
L'émergence et la popularisation de
l'informatique vient justement du fait que pour *utiliser* un ordinateur
il est de moins en moins nécessaire d'en connaître le fonctionnement
(tout comme on conduit une voiture sans avoir besoin de savoir ce qui se
passe réellement "sous le capot").
Reprenons du début: quelle quantité d'instruction _théorique_ et
_pratique_ faut-il assimiler avant d'être _autorisé_ à utiliser
une voiture sans (presque) mettre en danger la vie d'autrui ?
On 2005-04-16, Jerome Lambert wrote:L'émergence et la popularisation de
l'informatique vient justement du fait que pour *utiliser* un ordinateur
il est de moins en moins nécessaire d'en connaître le fonctionnement
(tout comme on conduit une voiture sans avoir besoin de savoir ce qui se
passe réellement "sous le capot").
Reprenons du début: quelle quantité d'instruction _théorique_ et
_pratique_ faut-il assimiler avant d'être _autorisé_ à utiliser
une voiture sans (presque) mettre en danger la vie d'autrui ?