On Thu, 21 Apr 2005 16:49:22 +0200, Izaho Ihany wrote:
"Ici, c'est le fait de "faire des maths pour faire des maths" qui ne tient plus la route. Par contre,[...]
[...]. Finalement, les maths pour les maths, c'est plutôt plus simple.
Je voudrais juste évoquer une dimension qui n'apparait pas,[...] Pourquoi cette place des maths ? Je transpose en concret:
Faire des gammes [...], c'est comme tu dis, la matière appliquée.
mon pauvre ,
Hum, en fait, je suis riche, *très*, selon certains ;)
j'ai regardé le cours de terminale d'un ami africain et
je peux te dire qu'il contenait des choses que l'on voit en france en première année de deug
Un an d' écart, la belle affaire ! Je ne saisis pas bien le rapport.
Il faudrait peut-être désacraliser les mathématiques ,
Ou plutôt trouver sa *juste* place et images associées.
car finalement ce n'est que 90% de calcul et 10 % de réfléxion.
Par contre je ne m'engagerais pas de la sorte, ici. Pourquoi pas l' inverse ?
Il faut aussi se poser la question du rapport de l'élève au mathèmatique ,
Oui. Sur qui faudrait-il taper ? (l'EN, les parents, l'UMP/PS/etc?)
la perception qu'il a de son niveau et de ses capacités
Mêmes questions que ci-dessus.
Enfin , les gammes sont nécéssaire ,
Plus ou moins, donc selon les prédispositions.
car elle permette de faire naitre une certaines "intimité" avec les math ,
Ou une haine/phobie durable.
ce qui engendre une "intuition"
Ou un blocage irréversible. -- Né (approx) 553.737.600 secondes avant É.J.
Jerome Lambert
Blaise Potard wrote:
Irvin Probst wrote:
On 2005-04-22, Blaise Potard wrote:
Oui, enfin, les maths « avancées » maintenant ça commence au niveau de la licence, et les maths vraiment intéressantes au niveau DEA, et encore, ça dépend des facs. C'est impressionnant comme le niveau du bac est bas, par rapport à ce qu'il était, quelles que soient les matières d'ailleurs : l'orthographe est déplorable, l'Anglais pitoyable, les maths au niveau du brevet des collèges d'il y a 20 ans... Pour te faire une idée, j'ai donné un cours de probabilités à des élèves de licence d'info : beaucoup découvraient la factorielle, le binôme de Newton et le pivot de Gauss...
Ne néglige pas non plus la capacité des élèves à jouer aux idiots... Celui qui te dit ne pas avoir vu la factorielle en licence d'info à mon avis il ment.
Ouais, ce sont aussi les mêmes qui se retrouvent avec des notes de 3/20 au partiel. Le mensonge est tout de même sacrément poussé.
Le plus comique est quand on a ces élèves deux années de suite, dans deux cours différents: certains afirment avec aplomb que telle matière n'a pas été vue, alors qu'elle faisait partie du cours qu'on a justement donné l'année précédente... Mais bon, ce genre d'élève arrive rarement au bout du cursus...
Blaise Potard wrote:
Irvin Probst wrote:
On 2005-04-22, Blaise Potard <monnom@loria.fr> wrote:
Oui, enfin, les maths « avancées » maintenant ça commence au niveau de
la licence, et les maths vraiment intéressantes au niveau DEA, et
encore, ça dépend des facs. C'est impressionnant comme le niveau du
bac est bas, par rapport à ce qu'il était, quelles que soient les
matières d'ailleurs : l'orthographe est déplorable, l'Anglais
pitoyable, les
maths au niveau du brevet des collèges d'il y a 20 ans... Pour te faire
une idée, j'ai donné un cours de probabilités à des élèves de licence
d'info : beaucoup découvraient la factorielle, le binôme de Newton et le
pivot de Gauss...
Ne néglige pas non plus la capacité des élèves à jouer aux idiots...
Celui qui te dit ne pas avoir vu la factorielle en licence d'info à mon
avis il ment.
Ouais, ce sont aussi les mêmes qui se retrouvent avec des notes de 3/20
au partiel. Le mensonge est tout de même sacrément poussé.
Le plus comique est quand on a ces élèves deux années de suite, dans
deux cours différents: certains afirment avec aplomb que telle matière
n'a pas été vue, alors qu'elle faisait partie du cours qu'on a justement
donné l'année précédente...
Mais bon, ce genre d'élève arrive rarement au bout du cursus...
Oui, enfin, les maths « avancées » maintenant ça commence au niveau de la licence, et les maths vraiment intéressantes au niveau DEA, et encore, ça dépend des facs. C'est impressionnant comme le niveau du bac est bas, par rapport à ce qu'il était, quelles que soient les matières d'ailleurs : l'orthographe est déplorable, l'Anglais pitoyable, les maths au niveau du brevet des collèges d'il y a 20 ans... Pour te faire une idée, j'ai donné un cours de probabilités à des élèves de licence d'info : beaucoup découvraient la factorielle, le binôme de Newton et le pivot de Gauss...
Ne néglige pas non plus la capacité des élèves à jouer aux idiots... Celui qui te dit ne pas avoir vu la factorielle en licence d'info à mon avis il ment.
Ouais, ce sont aussi les mêmes qui se retrouvent avec des notes de 3/20 au partiel. Le mensonge est tout de même sacrément poussé.
Le plus comique est quand on a ces élèves deux années de suite, dans deux cours différents: certains afirment avec aplomb que telle matière n'a pas été vue, alors qu'elle faisait partie du cours qu'on a justement donné l'année précédente... Mais bon, ce genre d'élève arrive rarement au bout du cursus...
Jerome Lambert
Izaho Ihany wrote: (...)
Enfin , les gammes sont nécéssaire ,
Plus ou moins, donc selon les prédispositions.
car elle permette de faire naitre une certaines "intimité" avec les math ,
Ou une haine/phobie durable.
ce qui engendre une "intuition"
Ou un blocage irréversible.
De mon expérience de prof de math en collège et lycée, j'aurais tendance à penser comme toi. Je ne compte plus le nombre d'élèves que j'ai dégouté durablement des maths parce que je dois *absolument* voir telle ou telle matière qui, de toutes façons, leur passe complètement "au-dessus de la tête". Les maths ne sont pas enseignés qu'aux futurs normaliens, loin de là...
Izaho Ihany wrote:
(...)
Enfin , les
gammes sont nécéssaire ,
Plus ou moins, donc selon les prédispositions.
car elle permette de faire naitre une
certaines "intimité" avec les math ,
Ou une haine/phobie durable.
ce qui engendre une "intuition"
Ou un blocage irréversible.
De mon expérience de prof de math en collège et lycée, j'aurais tendance
à penser comme toi. Je ne compte plus le nombre d'élèves que j'ai
dégouté durablement des maths parce que je dois *absolument* voir telle
ou telle matière qui, de toutes façons, leur passe complètement
"au-dessus de la tête".
Les maths ne sont pas enseignés qu'aux futurs normaliens, loin de là...
car elle permette de faire naitre une certaines "intimité" avec les math ,
Ou une haine/phobie durable.
ce qui engendre une "intuition"
Ou un blocage irréversible.
De mon expérience de prof de math en collège et lycée, j'aurais tendance à penser comme toi. Je ne compte plus le nombre d'élèves que j'ai dégouté durablement des maths parce que je dois *absolument* voir telle ou telle matière qui, de toutes façons, leur passe complètement "au-dessus de la tête". Les maths ne sont pas enseignés qu'aux futurs normaliens, loin de là...
Galkine
On Sat, 23 Apr 2005 02:09:35 +0200, Izaho Ihany wrote:
On Thu, 21 Apr 2005 16:49:22 +0200, Izaho Ihany wrote:
"Ici, c'est le fait de "faire des maths pour faire des maths" qui ne tient plus la route. Par contre,[...]
[...]. Finalement, les maths pour les maths, c'est plutôt plus simple.
Je voudrais juste évoquer une dimension qui n'apparait pas,[...] Pourquoi cette place des maths ? Je transpose en concret:
Faire des gammes [...], c'est comme tu dis, la matière appliquée.
mon pauvre ,
Hum, en fait, je suis riche, *très*, selon certains ;)
j'ai regardé le cours de terminale d'un ami africain et je peux te dire qu'il contenait des choses que l'on voit en france en première année de deug
Un an d' écart, la belle affaire ! Je ne saisis pas bien le rapport.
s'il n'arrive pas a faire ce qu'il font en terminale ,tu imagine s'il devait faire ce qu'il y a aprés De plus , ce programme doit être l'ancine programme qui était celui de la france , il y a ...
Il faudrait peut-être désacraliser les mathématiques ,
Ou plutôt trouver sa *juste* place et images associées.
Je parlais de la perception des MATH , pas de sa place
car finalement les maths ce n'est que 90% de calcul et 10 % de réfléxion.
Par contre je ne m'engagerais pas de la sorte, ici. Pourquoi pas l' inverse ?
non , les math en term c'est plus ou moins mécanique , je dirais même scolaire , donc peu de réfléxion
Il faut aussi se poser la question du rapport de l'élève au mathèmatique ,
Oui. Sur qui faudrait-il taper ? (l'EN, les parents, l'UMP/PS/etc?) pourquoi taper ?
la perception qu'il a de son niveau et de ses capacités
Mêmes questions que ci-dessus.
Enfin , les gammes sont nécéssaire ,
Plus ou moins, donc selon les prédispositions.
les predispositions n'existe pas , elle se crée , en faisant des gammes ou des math ludiques a l'ecole primaire
car elle permette de faire naitre une certaines "intimité" avec les
math ,
Ou une haine/phobie durable.
la on parle du rapport au math , le type ne fait plus de gamme
ce qui engendre une "intuition"
Ou un blocage irréversible.
même remarque
On Sat, 23 Apr 2005 02:09:35 +0200, Izaho Ihany wrote:
On Thu, 21 Apr 2005 16:49:22 +0200, Izaho Ihany wrote:
"Ici, c'est le fait de "faire des maths pour faire des maths" qui
ne tient plus la route. Par contre,[...]
[...]. Finalement, les maths pour les maths, c'est plutôt plus
simple.
Je voudrais juste évoquer une dimension qui n'apparait
pas,[...] Pourquoi cette place des maths ? Je transpose en concret:
Faire des gammes [...], c'est comme tu dis, la matière appliquée.
mon pauvre ,
Hum, en fait, je suis riche, *très*, selon certains ;)
j'ai regardé le cours de terminale d'un ami africain et
je peux te dire qu'il contenait des choses que l'on voit en france en
première année de deug
Un an d' écart, la belle affaire ! Je ne saisis pas bien le rapport.
s'il n'arrive pas a faire ce qu'il font en terminale ,tu imagine s'il
devait faire ce qu'il y a aprés
De plus , ce programme doit être l'ancine programme qui était celui de
la france , il y a ...
Il faudrait peut-être désacraliser les mathématiques ,
Ou plutôt trouver sa *juste* place et images associées.
Je parlais de la perception des MATH , pas de sa place
car finalement les maths ce n'est que 90% de calcul et 10 % de
réfléxion.
Par contre je ne m'engagerais pas de la sorte, ici. Pourquoi pas l'
inverse ?
non , les math en term c'est plus ou moins mécanique , je dirais même
scolaire , donc peu de réfléxion
Il faut aussi se poser la question du rapport de l'élève au
mathèmatique ,
Oui. Sur qui faudrait-il taper ? (l'EN, les parents, l'UMP/PS/etc?)
pourquoi taper ?
la
perception qu'il a de son niveau et de ses capacités
Mêmes questions que ci-dessus.
Enfin , les gammes sont nécéssaire ,
Plus ou moins, donc selon les prédispositions.
les predispositions n'existe pas , elle se crée , en faisant des gammes
ou des math ludiques a l'ecole primaire
car elle permette de faire naitre une certaines
"intimité" avec les
math ,
Ou une haine/phobie durable.
la on parle du rapport au math , le type ne fait plus de gamme
On Sat, 23 Apr 2005 02:09:35 +0200, Izaho Ihany wrote:
On Thu, 21 Apr 2005 16:49:22 +0200, Izaho Ihany wrote:
"Ici, c'est le fait de "faire des maths pour faire des maths" qui ne tient plus la route. Par contre,[...]
[...]. Finalement, les maths pour les maths, c'est plutôt plus simple.
Je voudrais juste évoquer une dimension qui n'apparait pas,[...] Pourquoi cette place des maths ? Je transpose en concret:
Faire des gammes [...], c'est comme tu dis, la matière appliquée.
mon pauvre ,
Hum, en fait, je suis riche, *très*, selon certains ;)
j'ai regardé le cours de terminale d'un ami africain et je peux te dire qu'il contenait des choses que l'on voit en france en première année de deug
Un an d' écart, la belle affaire ! Je ne saisis pas bien le rapport.
s'il n'arrive pas a faire ce qu'il font en terminale ,tu imagine s'il devait faire ce qu'il y a aprés De plus , ce programme doit être l'ancine programme qui était celui de la france , il y a ...
Il faudrait peut-être désacraliser les mathématiques ,
Ou plutôt trouver sa *juste* place et images associées.
Je parlais de la perception des MATH , pas de sa place
car finalement les maths ce n'est que 90% de calcul et 10 % de réfléxion.
Par contre je ne m'engagerais pas de la sorte, ici. Pourquoi pas l' inverse ?
non , les math en term c'est plus ou moins mécanique , je dirais même scolaire , donc peu de réfléxion
Il faut aussi se poser la question du rapport de l'élève au mathèmatique ,
Oui. Sur qui faudrait-il taper ? (l'EN, les parents, l'UMP/PS/etc?) pourquoi taper ?
la perception qu'il a de son niveau et de ses capacités
Mêmes questions que ci-dessus.
Enfin , les gammes sont nécéssaire ,
Plus ou moins, donc selon les prédispositions.
les predispositions n'existe pas , elle se crée , en faisant des gammes ou des math ludiques a l'ecole primaire
car elle permette de faire naitre une certaines "intimité" avec les
math ,
Ou une haine/phobie durable.
la on parle du rapport au math , le type ne fait plus de gamme
ce qui engendre une "intuition"
Ou un blocage irréversible.
même remarque
Izaho Ihany
On Sat, 23 Apr 2005 02:09:35 +0200, Izaho Ihany wrote:
[ ... ]
Pour (te) résumer, considérant:
- qu' ils sont largués en 1ere année de deug car les programmes actuels sont moins bien qu'il y a x années,
- qu' il faille désacraliser les maths,
- qu' il n' y a pas besoin de réflexions avant la fac,
- que les prédispositions, ça n'existe pas, nyaka faire plus ludique à l' école primaire,
- qu'il n' y a pas de haine/phobie durable possible ni blocage irréversible juste parce que l' élève doit savoir ses tables,
je répète ma question «Sur qui faudrait-il taper ? (l'EN, les parents, l'UMP/PS/etc?)» parce qu' amha à défaut d' actions (lesquelles¹?), on peut parler de plusieurs générations impactées.
<je reste en charte moi>
¹ imposer gnome/kde/gnu-edu à grands renforts de *.swf pour les nuls ?
</je reste en charte moi>
-- Né (approx) 553.737.600 secondes avant É.J.
On Sat, 23 Apr 2005 02:09:35 +0200, Izaho Ihany wrote:
[ ... ]
Pour (te) résumer, considérant:
- qu' ils sont largués en 1ere année de deug car les programmes
actuels sont moins bien qu'il y a x années,
- qu' il faille désacraliser les maths,
- qu' il n' y a pas besoin de réflexions avant la fac,
- que les prédispositions, ça n'existe pas, nyaka faire plus
ludique à l' école primaire,
- qu'il n' y a pas de haine/phobie durable possible ni blocage
irréversible juste parce que l' élève doit savoir ses tables,
je répète ma question «Sur qui faudrait-il taper ? (l'EN, les parents,
l'UMP/PS/etc?)» parce qu' amha à défaut d' actions (lesquelles¹?), on
peut parler de plusieurs générations impactées.
<je reste en charte moi>
¹ imposer gnome/kde/gnu-edu à grands renforts de *.swf pour les nuls ?
On Sat, 23 Apr 2005 02:09:35 +0200, Izaho Ihany wrote:
[ ... ]
Pour (te) résumer, considérant:
- qu' ils sont largués en 1ere année de deug car les programmes actuels sont moins bien qu'il y a x années,
- qu' il faille désacraliser les maths,
- qu' il n' y a pas besoin de réflexions avant la fac,
- que les prédispositions, ça n'existe pas, nyaka faire plus ludique à l' école primaire,
- qu'il n' y a pas de haine/phobie durable possible ni blocage irréversible juste parce que l' élève doit savoir ses tables,
je répète ma question «Sur qui faudrait-il taper ? (l'EN, les parents, l'UMP/PS/etc?)» parce qu' amha à défaut d' actions (lesquelles¹?), on peut parler de plusieurs générations impactées.
<je reste en charte moi>
¹ imposer gnome/kde/gnu-edu à grands renforts de *.swf pour les nuls ?
</je reste en charte moi>
-- Né (approx) 553.737.600 secondes avant É.J.
Galkine
On Sun, 24 Apr 2005 08:56:29 +0200, Izaho Ihany wrote:
On Sat, 23 Apr 2005 02:09:35 +0200, Izaho Ihany wrote:
[ ... ]
Pour (te) résumer, considérant:
- qu' ils sont largués en 1ere année de deug car les programmes actuels sont moins bien qu'il y a x années, le taux de redoublement de la première année doit être de 50% , mais
tout va bien
- qu' il faille désacraliser les maths, oui
- qu' il n' y a pas besoin de réflexions avant la fac, j'ai dit du calcul , du calcul et un peu de refléxion
- que les prédispositions, ça n'existe pas, nyaka faire plus ludique à l' école primaire, pourquoi on aime les roses et pas les orties ?
l'intérèt pour quelque chose de chiant est dure a trouver , celui pour quelque chose d'amusant est plus facile . De plus je n'ai pas dit que je voulais faire une classe d'age de polytechnicien
- qu'il n' y a pas de haine/phobie durable possible ni blocage irréversible juste parce que l' élève doit savoir ses tables, il n' y a rien d'irreversible , mais cela dépent du rapport de la
personne a la matière et sa perception de lui Je n'ai jamais dit que cela était facile ,non plus , on peut utiliser d'autre activité valorisante
je répète ma question «Sur qui faudrait-il taper ? (l'EN, les parents, l'UMP/PS/etc?)» parce qu' amha à défaut d' actions (lesquelles¹?), on peut parler de plusieurs générations impactées. les parents d'abord , ensuite les parents et pout poursuivre les parents
tu comprends bien que s'il y avait des solutions miracles , ça se saurait. on peut commencer par respecter le rythme biologique de l'élève , pas de cours avant 14h
<je reste en charte moi>
¹ imposer gnome/kde/gnu-edu à grands renforts de *.swf pour les nuls ?
</je reste en charte moi>
On Sun, 24 Apr 2005 08:56:29 +0200, Izaho Ihany wrote:
On Sat, 23 Apr 2005 02:09:35 +0200, Izaho Ihany wrote:
[ ... ]
Pour (te) résumer, considérant:
- qu' ils sont largués en 1ere année de deug car les programmes
actuels sont moins bien qu'il y a x années,
le taux de redoublement de la première année doit être de 50% , mais
tout va bien
- qu' il faille désacraliser les maths,
oui
- qu' il n' y a pas besoin de réflexions avant la fac,
j'ai dit du calcul , du calcul et un peu de refléxion
- que les prédispositions, ça n'existe pas, nyaka faire plus
ludique à l' école primaire,
pourquoi on aime les roses et pas les orties ?
l'intérèt pour quelque chose de chiant est dure a trouver , celui pour
quelque chose d'amusant est plus facile .
De plus je n'ai pas dit que je voulais faire une classe d'age de
polytechnicien
- qu'il n' y a pas de haine/phobie durable possible ni blocage
irréversible juste parce que l' élève doit savoir ses
tables,
il n' y a rien d'irreversible , mais cela dépent du rapport de la
personne a la matière et sa perception de lui
Je n'ai jamais dit que cela était facile ,non plus , on peut utiliser
d'autre activité valorisante
je répète ma question «Sur qui faudrait-il taper ? (l'EN, les
parents, l'UMP/PS/etc?)» parce qu' amha à défaut d' actions
(lesquelles¹?), on peut parler de plusieurs générations impactées.
les parents d'abord , ensuite les parents et pout poursuivre les parents
tu comprends bien que s'il y avait des solutions miracles , ça se saurait.
on peut commencer par respecter le rythme biologique de l'élève , pas de
cours avant 14h
<je reste en charte moi>
¹ imposer gnome/kde/gnu-edu à grands renforts de *.swf pour les nuls ?
On Sun, 24 Apr 2005 08:56:29 +0200, Izaho Ihany wrote:
On Sat, 23 Apr 2005 02:09:35 +0200, Izaho Ihany wrote:
[ ... ]
Pour (te) résumer, considérant:
- qu' ils sont largués en 1ere année de deug car les programmes actuels sont moins bien qu'il y a x années, le taux de redoublement de la première année doit être de 50% , mais
tout va bien
- qu' il faille désacraliser les maths, oui
- qu' il n' y a pas besoin de réflexions avant la fac, j'ai dit du calcul , du calcul et un peu de refléxion
- que les prédispositions, ça n'existe pas, nyaka faire plus ludique à l' école primaire, pourquoi on aime les roses et pas les orties ?
l'intérèt pour quelque chose de chiant est dure a trouver , celui pour quelque chose d'amusant est plus facile . De plus je n'ai pas dit que je voulais faire une classe d'age de polytechnicien
- qu'il n' y a pas de haine/phobie durable possible ni blocage irréversible juste parce que l' élève doit savoir ses tables, il n' y a rien d'irreversible , mais cela dépent du rapport de la
personne a la matière et sa perception de lui Je n'ai jamais dit que cela était facile ,non plus , on peut utiliser d'autre activité valorisante
je répète ma question «Sur qui faudrait-il taper ? (l'EN, les parents, l'UMP/PS/etc?)» parce qu' amha à défaut d' actions (lesquelles¹?), on peut parler de plusieurs générations impactées. les parents d'abord , ensuite les parents et pout poursuivre les parents
tu comprends bien que s'il y avait des solutions miracles , ça se saurait. on peut commencer par respecter le rythme biologique de l'élève , pas de cours avant 14h
<je reste en charte moi>
¹ imposer gnome/kde/gnu-edu à grands renforts de *.swf pour les nuls ?
</je reste en charte moi>
talon
Galkine wrote:
je répète ma question «Sur qui faudrait-il taper ? (l'EN, les parents, l'UMP/PS/etc?)» parce qu' amha à défaut d' actions (lesquelles¹?), on peut parler de plusieurs générations impactées. les parents d'abord , ensuite les parents et pout poursuivre les parents
tu comprends bien que s'il y avait des solutions miracles , ça se saurait. on peut commencer par respecter le rythme biologique de l'élève , pas de cours avant 14h
Par curiosité tu es ou a été parent toi? Espérer que les parents vont faire le travail des enseignants, c'est profondément irréaliste à mon avis. Aussi ton histoire de "pas de cours avant 14h" ça me fait doucement rigoler. Quand j'étais au lycée, ça commençait à 8h et ça ne terminait jamais avant 17 ou 18h. Arrivé à la maison il y avait encore je ne sais combien de devoirs à faire. Evidemment tout ça a profondément changé.
Galkine <g.galkine@free.fr> wrote:
je répète ma question «Sur qui faudrait-il taper ? (l'EN, les
parents, l'UMP/PS/etc?)» parce qu' amha à défaut d' actions
(lesquelles¹?), on peut parler de plusieurs générations impactées.
les parents d'abord , ensuite les parents et pout poursuivre les parents
tu comprends bien que s'il y avait des solutions miracles , ça se saurait.
on peut commencer par respecter le rythme biologique de l'élève , pas de
cours avant 14h
Par curiosité tu es ou a été parent toi? Espérer que les parents vont faire
le travail des enseignants, c'est profondément irréaliste à mon avis.
Aussi ton histoire de "pas de cours avant 14h" ça me fait doucement rigoler.
Quand j'étais au lycée, ça commençait à 8h et ça ne terminait jamais avant
17 ou 18h. Arrivé à la maison il y avait encore je ne sais combien de devoirs
à faire. Evidemment tout ça a profondément changé.
je répète ma question «Sur qui faudrait-il taper ? (l'EN, les parents, l'UMP/PS/etc?)» parce qu' amha à défaut d' actions (lesquelles¹?), on peut parler de plusieurs générations impactées. les parents d'abord , ensuite les parents et pout poursuivre les parents
tu comprends bien que s'il y avait des solutions miracles , ça se saurait. on peut commencer par respecter le rythme biologique de l'élève , pas de cours avant 14h
Par curiosité tu es ou a été parent toi? Espérer que les parents vont faire le travail des enseignants, c'est profondément irréaliste à mon avis. Aussi ton histoire de "pas de cours avant 14h" ça me fait doucement rigoler. Quand j'étais au lycée, ça commençait à 8h et ça ne terminait jamais avant 17 ou 18h. Arrivé à la maison il y avait encore je ne sais combien de devoirs à faire. Evidemment tout ça a profondément changé.
Galkine
On Sun, 24 Apr 2005 13:18:20 +0000, Michel Talon wrote:
c'était de l'humour
On Sun, 24 Apr 2005 13:18:20 +0000, Michel Talon wrote:
On Sun, 24 Apr 2005 13:18:20 +0000, Michel Talon wrote:
c'était de l'humour
Jerome Lambert
Michel Talon wrote:
Galkine wrote:
je répète ma question «Sur qui faudrait-il taper ? (l'EN, les parents, l'UMP/PS/etc?)» parce qu' amha à défaut d' actions (lesquelles¹?), on peut parler de plusieurs générations impactées.
les parents d'abord , ensuite les parents et pout poursuivre les parents tu comprends bien que s'il y avait des solutions miracles , ça se saurait. on peut commencer par respecter le rythme biologique de l'élève , pas de cours avant 14h
Par curiosité tu es ou a été parent toi? Espérer que les parents vont faire le travail des enseignants, c'est profondément irréaliste à mon avis.
Sur le terrain, c'est plutot le contraire: les enseignants doivent faire le boulot d'éducation des parents. Je suis toujours atteré quand je discute avec mes collègues instituteurs, où ils doivent apprendre aux enfants le b.a.ba de l'éducation, style "demander avant de faire qqch", "respecter les consignes", etc.
Michel Talon wrote:
Galkine <g.galkine@free.fr> wrote:
je répète ma question «Sur qui faudrait-il taper ? (l'EN, les
parents, l'UMP/PS/etc?)» parce qu' amha à défaut d' actions
(lesquelles¹?), on peut parler de plusieurs générations impactées.
les parents d'abord , ensuite les parents et pout poursuivre les parents
tu comprends bien que s'il y avait des solutions miracles , ça se saurait.
on peut commencer par respecter le rythme biologique de l'élève , pas de
cours avant 14h
Par curiosité tu es ou a été parent toi? Espérer que les parents vont faire
le travail des enseignants, c'est profondément irréaliste à mon avis.
Sur le terrain, c'est plutot le contraire: les enseignants doivent faire
le boulot d'éducation des parents. Je suis toujours atteré quand je
discute avec mes collègues instituteurs, où ils doivent apprendre aux
enfants le b.a.ba de l'éducation, style "demander avant de faire qqch",
"respecter les consignes", etc.
je répète ma question «Sur qui faudrait-il taper ? (l'EN, les parents, l'UMP/PS/etc?)» parce qu' amha à défaut d' actions (lesquelles¹?), on peut parler de plusieurs générations impactées.
les parents d'abord , ensuite les parents et pout poursuivre les parents tu comprends bien que s'il y avait des solutions miracles , ça se saurait. on peut commencer par respecter le rythme biologique de l'élève , pas de cours avant 14h
Par curiosité tu es ou a été parent toi? Espérer que les parents vont faire le travail des enseignants, c'est profondément irréaliste à mon avis.
Sur le terrain, c'est plutot le contraire: les enseignants doivent faire le boulot d'éducation des parents. Je suis toujours atteré quand je discute avec mes collègues instituteurs, où ils doivent apprendre aux enfants le b.a.ba de l'éducation, style "demander avant de faire qqch", "respecter les consignes", etc.
talon
Jerome Lambert wrote:
Sur le terrain, c'est plutot le contraire: les enseignants doivent faire le boulot d'éducation des parents. Je suis toujours atteré quand je discute avec mes collègues instituteurs, où ils doivent apprendre aux enfants le b.a.ba de l'éducation, style "demander avant de faire qqch", "respecter les consignes", etc.
Là où on diffère c'est quand tu considères que c'est le boulot des parents. Quand au début du 20°s les instituteurs se sont pointés dans les campagnes où les parents n'avaient absolument rien à secouer que leurs enfants aillent à l'école ou y fassent quelque chose, c'est eux qui ont pris les choses en main, ont exigé que les enfants soient assidus à l'école, bossent, etc. Je suis d'accord qu'à cette époque les parents ne se permettaient pas trop de contester l'autorité des enseignants ou de se plaindre qu'on punissait leurs petits chéris. Au contraire ils doublaient la punition de l'instit. Le résultat est que le nombre d'illettrés au moment du "certificat d'études était extrêment faible alors qu'il est grand maintenant au niveau du baccalauréat.
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Michel TALON
Jerome Lambert <jerome.lambert@swing.be> wrote:
Sur le terrain, c'est plutot le contraire: les enseignants doivent faire
le boulot d'éducation des parents. Je suis toujours atteré quand je
discute avec mes collègues instituteurs, où ils doivent apprendre aux
enfants le b.a.ba de l'éducation, style "demander avant de faire qqch",
"respecter les consignes", etc.
Là où on diffère c'est quand tu considères que c'est le boulot des parents.
Quand au début du 20°s les instituteurs se sont pointés dans les campagnes
où les parents n'avaient absolument rien à secouer que leurs enfants aillent à
l'école ou y fassent quelque chose, c'est eux qui ont pris les choses en main,
ont exigé que les enfants soient assidus à l'école, bossent, etc. Je suis
d'accord qu'à cette époque les parents ne se permettaient pas trop de contester
l'autorité des enseignants ou de se plaindre qu'on punissait leurs petits
chéris. Au contraire ils doublaient la punition de l'instit. Le résultat
est que le nombre d'illettrés au moment du "certificat d'études était
extrêment faible alors qu'il est grand maintenant au niveau du baccalauréat.
Sur le terrain, c'est plutot le contraire: les enseignants doivent faire le boulot d'éducation des parents. Je suis toujours atteré quand je discute avec mes collègues instituteurs, où ils doivent apprendre aux enfants le b.a.ba de l'éducation, style "demander avant de faire qqch", "respecter les consignes", etc.
Là où on diffère c'est quand tu considères que c'est le boulot des parents. Quand au début du 20°s les instituteurs se sont pointés dans les campagnes où les parents n'avaient absolument rien à secouer que leurs enfants aillent à l'école ou y fassent quelque chose, c'est eux qui ont pris les choses en main, ont exigé que les enfants soient assidus à l'école, bossent, etc. Je suis d'accord qu'à cette époque les parents ne se permettaient pas trop de contester l'autorité des enseignants ou de se plaindre qu'on punissait leurs petits chéris. Au contraire ils doublaient la punition de l'instit. Le résultat est que le nombre d'illettrés au moment du "certificat d'études était extrêment faible alors qu'il est grand maintenant au niveau du baccalauréat.