Tu vois quand tu veux... Alors maintenant tu nous expliques quel est le
fameux "lien causal" entre icones sur le fond d'écran et bordel ?
Tu vois quand tu veux... Alors maintenant tu nous expliques quel est le
fameux "lien causal" entre icones sur le fond d'écran et bordel ?
Tu vois quand tu veux... Alors maintenant tu nous expliques quel est le
fameux "lien causal" entre icones sur le fond d'écran et bordel ?
Irvin Probst , dans le message
, a écrit :Tu vois quand tu veux... Alors maintenant tu nous expliques quel est le
fameux "lien causal" entre icones sur le fond d'écran et bordel ?
J'ai expliqué ce qu'il y avait à expliquer. Si tu refuses de lire, et que tu
préfères faire du lattage systématique à mon encontre, je m'en fous, fais
mumuse tout seul.
Irvin Probst , dans le message
<slrnd6qdb7.8qv.irvin.fcold@trinity.irvinig.org>, a écrit :
Tu vois quand tu veux... Alors maintenant tu nous expliques quel est le
fameux "lien causal" entre icones sur le fond d'écran et bordel ?
J'ai expliqué ce qu'il y avait à expliquer. Si tu refuses de lire, et que tu
préfères faire du lattage systématique à mon encontre, je m'en fous, fais
mumuse tout seul.
Irvin Probst , dans le message
, a écrit :Tu vois quand tu veux... Alors maintenant tu nous expliques quel est le
fameux "lien causal" entre icones sur le fond d'écran et bordel ?
J'ai expliqué ce qu'il y avait à expliquer. Si tu refuses de lire, et que tu
préfères faire du lattage systématique à mon encontre, je m'en fous, fais
mumuse tout seul.
Oui, mais personne ne veut passer les concours. Tout le monde rêve du coup de
piston providentiel qui a marché il y a quelques décennies. Quand il s'agit
rééllement d'avoir un dossier sérieux pour postuler à un emploi, alors comme
par miracle les candidats découvrent que le salaire est trop bas, qu'on peut
avoir deux fois mieux à l'étranger, etc.
Oui, mais personne ne veut passer les concours. Tout le monde rêve du coup de
piston providentiel qui a marché il y a quelques décennies. Quand il s'agit
rééllement d'avoir un dossier sérieux pour postuler à un emploi, alors comme
par miracle les candidats découvrent que le salaire est trop bas, qu'on peut
avoir deux fois mieux à l'étranger, etc.
Oui, mais personne ne veut passer les concours. Tout le monde rêve du coup de
piston providentiel qui a marché il y a quelques décennies. Quand il s'agit
rééllement d'avoir un dossier sérieux pour postuler à un emploi, alors comme
par miracle les candidats découvrent que le salaire est trop bas, qu'on peut
avoir deux fois mieux à l'étranger, etc.
Oh que si, mais il faut en accepter les conséquences, et c'est là que le
bât blesse.
Tu serais surpris du nombre de gens qui se plaignent de leur boulot, et
qui, lorsqu'on évoque un éventuel changement, te sortent subitement
plein d'arguments pour y rester, style distance, salaire, environnement
"connu", etc, bref ne veulent pas en *assumer* les conséquences...
Je sais parfaitement bien "qu'il faut bien bouffer",
Oh que si, mais il faut en accepter les conséquences, et c'est là que le
bât blesse.
Tu serais surpris du nombre de gens qui se plaignent de leur boulot, et
qui, lorsqu'on évoque un éventuel changement, te sortent subitement
plein d'arguments pour y rester, style distance, salaire, environnement
"connu", etc, bref ne veulent pas en *assumer* les conséquences...
Je sais parfaitement bien "qu'il faut bien bouffer",
Oh que si, mais il faut en accepter les conséquences, et c'est là que le
bât blesse.
Tu serais surpris du nombre de gens qui se plaignent de leur boulot, et
qui, lorsqu'on évoque un éventuel changement, te sortent subitement
plein d'arguments pour y rester, style distance, salaire, environnement
"connu", etc, bref ne veulent pas en *assumer* les conséquences...
Je sais parfaitement bien "qu'il faut bien bouffer",
Le problème des MP3 n'est pas exclusif. Il n'y a que les distributions
communautaires qui peuvent encore se le permettre et encore...
Sauf que l'user final s'en fout. L'user final, il veut pouvoir lire ses
mp3 après l'install, avec une Debian ou une Slack, il peut, avec une
Ubuntu ou une Fedora, il peut pas. Ce n'est pas insurmontable à
Le problème des MP3 n'est pas exclusif. Il n'y a que les distributions
communautaires qui peuvent encore se le permettre et encore...
Sauf que l'user final s'en fout. L'user final, il veut pouvoir lire ses
mp3 après l'install, avec une Debian ou une Slack, il peut, avec une
Ubuntu ou une Fedora, il peut pas. Ce n'est pas insurmontable à
Le problème des MP3 n'est pas exclusif. Il n'y a que les distributions
communautaires qui peuvent encore se le permettre et encore...
Sauf que l'user final s'en fout. L'user final, il veut pouvoir lire ses
mp3 après l'install, avec une Debian ou une Slack, il peut, avec une
Ubuntu ou une Fedora, il peut pas. Ce n'est pas insurmontable à
Peut être, mais :
1) je vois du bordel
2) il est sur un bureau
3) c'est la faute au bureau
N'est pas une "Fallacy" ?
Disons-le autrement : j'ai observé une corrélation statistique
entre icônes sur le fond d'écran et bordel. Une corrélation
statistique est signe d'un lien causal. Comme je ne parvient
pas à concevoir un mécanisme pour une cause commune, ou pour une
implication dans le sens bordel => icônes sur le fond d'écran,
alors que je vois des mécanismes pour la troisième possibilité,
je prends comme hypothèse plausible que c'est cette dernière.
et on ne pose pas réellement ses fichiers.
Je trouve que si. Ca m'arrive même de plus en plus souvent.
Non (ou alors tu parles de fichiers non-informatiques). Tout ce
qu'on peut faire avec des fichiers, c'est les manipuler avec une
interface. Si cette interface choisit de présenter ça comme poser
sur un bureau, ça ressemble à poser sur un bureau, mais ce n'est
pas intrinsèque.
Mais justement, pour moi, le fond d'écran n'est pas une _surface_,
c'est un espace, qui n'a donc pas de support pour poser des icônes.
Les seuls tels supports sont les fenêtres.
Très bonne analogie... une fois que tu as réalisé à quel
point la "feuille de calcul" est basée sur la "feuille"
tout court, même si une telle feuille n'existe pas dans
la réalité :-)
Certains aspects sont repris d'une feuille de papier, d'autres
non. Évidemment, et alors ?
Sauf que là, l'inconvénient est de taille. Si le bureau est
une sorte de point d'entrée, de racine, il est naturel qu'il
dispose d'une commande spéciale, comme en disposerait tout
autre "lieu" destiné à le remplacer.
Mais cette commande peut être plus ou moins régulière. Le bouton
qui ouvre le gestionnaire de fichier sur le répertoire principal
donne lui aussi un statut particulier à ce répertoire principal,
mais de manière plus régulière.
En mathématicien, tu commences par faire table rase, puis tu
classes et cherches à dégager les catégories. Car c'est vrai
que le joyeux mélange entre "icônes", "barre", "fenêtre",
"menu", "objets", "document", "applications" etc finit par
être un peu complexe, et pas si naturel.
Je pense au contraire que les trois catégories (1) fenêtre,
(2) document et (3) point d'accès à une application sont tout
à fait naturelles et évidentes.
Mais, une fois le bureau correctement structuré, le bordel serait
immédiatement déplacé par l'utilisateur dans le premier espace de
rangement disponible.
Avec quels gains ?
Si l'interface guide correctement l'utilisateur, on gagne déjà
un tri entre les points d'accès à des applications et les documents,
et je trouve ça assez considérable.
En ce qui me concerne, du moment que j'ai moyen d'avoir accès très
vite à quelques icônes de lancement (barre(s) d'accès rapide toujours
visibles), ça me va.
Oui, c'est aussi mon principal objectif. C'est bien l'une des raisons
pour lesquelles je n'aime pas qu'il y ait des choses sur le fond
d'écran : y accéder suppose de déranger toutes les fenêtres, et même
s'il y a moyen ensuite de les réarranger comme elles l'étaient, c'est
pénible.
Peut être, mais :
1) je vois du bordel
2) il est sur un bureau
3) c'est la faute au bureau
N'est pas une "Fallacy" ?
Disons-le autrement : j'ai observé une corrélation statistique
entre icônes sur le fond d'écran et bordel. Une corrélation
statistique est signe d'un lien causal. Comme je ne parvient
pas à concevoir un mécanisme pour une cause commune, ou pour une
implication dans le sens bordel => icônes sur le fond d'écran,
alors que je vois des mécanismes pour la troisième possibilité,
je prends comme hypothèse plausible que c'est cette dernière.
et on ne pose pas réellement ses fichiers.
Je trouve que si. Ca m'arrive même de plus en plus souvent.
Non (ou alors tu parles de fichiers non-informatiques). Tout ce
qu'on peut faire avec des fichiers, c'est les manipuler avec une
interface. Si cette interface choisit de présenter ça comme poser
sur un bureau, ça ressemble à poser sur un bureau, mais ce n'est
pas intrinsèque.
Mais justement, pour moi, le fond d'écran n'est pas une _surface_,
c'est un espace, qui n'a donc pas de support pour poser des icônes.
Les seuls tels supports sont les fenêtres.
Très bonne analogie... une fois que tu as réalisé à quel
point la "feuille de calcul" est basée sur la "feuille"
tout court, même si une telle feuille n'existe pas dans
la réalité :-)
Certains aspects sont repris d'une feuille de papier, d'autres
non. Évidemment, et alors ?
Sauf que là, l'inconvénient est de taille. Si le bureau est
une sorte de point d'entrée, de racine, il est naturel qu'il
dispose d'une commande spéciale, comme en disposerait tout
autre "lieu" destiné à le remplacer.
Mais cette commande peut être plus ou moins régulière. Le bouton
qui ouvre le gestionnaire de fichier sur le répertoire principal
donne lui aussi un statut particulier à ce répertoire principal,
mais de manière plus régulière.
En mathématicien, tu commences par faire table rase, puis tu
classes et cherches à dégager les catégories. Car c'est vrai
que le joyeux mélange entre "icônes", "barre", "fenêtre",
"menu", "objets", "document", "applications" etc finit par
être un peu complexe, et pas si naturel.
Je pense au contraire que les trois catégories (1) fenêtre,
(2) document et (3) point d'accès à une application sont tout
à fait naturelles et évidentes.
Mais, une fois le bureau correctement structuré, le bordel serait
immédiatement déplacé par l'utilisateur dans le premier espace de
rangement disponible.
Avec quels gains ?
Si l'interface guide correctement l'utilisateur, on gagne déjà
un tri entre les points d'accès à des applications et les documents,
et je trouve ça assez considérable.
En ce qui me concerne, du moment que j'ai moyen d'avoir accès très
vite à quelques icônes de lancement (barre(s) d'accès rapide toujours
visibles), ça me va.
Oui, c'est aussi mon principal objectif. C'est bien l'une des raisons
pour lesquelles je n'aime pas qu'il y ait des choses sur le fond
d'écran : y accéder suppose de déranger toutes les fenêtres, et même
s'il y a moyen ensuite de les réarranger comme elles l'étaient, c'est
pénible.
Peut être, mais :
1) je vois du bordel
2) il est sur un bureau
3) c'est la faute au bureau
N'est pas une "Fallacy" ?
Disons-le autrement : j'ai observé une corrélation statistique
entre icônes sur le fond d'écran et bordel. Une corrélation
statistique est signe d'un lien causal. Comme je ne parvient
pas à concevoir un mécanisme pour une cause commune, ou pour une
implication dans le sens bordel => icônes sur le fond d'écran,
alors que je vois des mécanismes pour la troisième possibilité,
je prends comme hypothèse plausible que c'est cette dernière.
et on ne pose pas réellement ses fichiers.
Je trouve que si. Ca m'arrive même de plus en plus souvent.
Non (ou alors tu parles de fichiers non-informatiques). Tout ce
qu'on peut faire avec des fichiers, c'est les manipuler avec une
interface. Si cette interface choisit de présenter ça comme poser
sur un bureau, ça ressemble à poser sur un bureau, mais ce n'est
pas intrinsèque.
Mais justement, pour moi, le fond d'écran n'est pas une _surface_,
c'est un espace, qui n'a donc pas de support pour poser des icônes.
Les seuls tels supports sont les fenêtres.
Très bonne analogie... une fois que tu as réalisé à quel
point la "feuille de calcul" est basée sur la "feuille"
tout court, même si une telle feuille n'existe pas dans
la réalité :-)
Certains aspects sont repris d'une feuille de papier, d'autres
non. Évidemment, et alors ?
Sauf que là, l'inconvénient est de taille. Si le bureau est
une sorte de point d'entrée, de racine, il est naturel qu'il
dispose d'une commande spéciale, comme en disposerait tout
autre "lieu" destiné à le remplacer.
Mais cette commande peut être plus ou moins régulière. Le bouton
qui ouvre le gestionnaire de fichier sur le répertoire principal
donne lui aussi un statut particulier à ce répertoire principal,
mais de manière plus régulière.
En mathématicien, tu commences par faire table rase, puis tu
classes et cherches à dégager les catégories. Car c'est vrai
que le joyeux mélange entre "icônes", "barre", "fenêtre",
"menu", "objets", "document", "applications" etc finit par
être un peu complexe, et pas si naturel.
Je pense au contraire que les trois catégories (1) fenêtre,
(2) document et (3) point d'accès à une application sont tout
à fait naturelles et évidentes.
Mais, une fois le bureau correctement structuré, le bordel serait
immédiatement déplacé par l'utilisateur dans le premier espace de
rangement disponible.
Avec quels gains ?
Si l'interface guide correctement l'utilisateur, on gagne déjà
un tri entre les points d'accès à des applications et les documents,
et je trouve ça assez considérable.
En ce qui me concerne, du moment que j'ai moyen d'avoir accès très
vite à quelques icônes de lancement (barre(s) d'accès rapide toujours
visibles), ça me va.
Oui, c'est aussi mon principal objectif. C'est bien l'une des raisons
pour lesquelles je n'aime pas qu'il y ait des choses sur le fond
d'écran : y accéder suppose de déranger toutes les fenêtres, et même
s'il y a moyen ensuite de les réarranger comme elles l'étaient, c'est
pénible.
Le mécanisme pour une cause commune est pourtant bien connu de
tout unixien : c'est ce pauvre 'luser'. Enlève le bureau et
remplace le par plusieurs autres endroits : tu y verra le
bordel s'installer.
Entendons nous bien : je pourrais être d'accord avec certaines
des critiques que tu portes sur le bureau. Ici, je suis juste
en train de te chercher des poux dans la tête, vu que tu fais
grand cas de la logique, mais n'en applique pas toujours les
règles.
Si j'insistais sur la "notion fondamentale d'icône", ce n'était
pas par hasard. Il se trouve que les icônes, il y en quand même
un peu partout, y compris dans des endroits que j'ai du mal à
appeler des "fenêtres". L'icône fait sens dés qu'il y a la
place d'en mettre.
Pour quelles raisons refuses tu le statut de "surface" au
bureau ?
1) On ne doit pas pouvoir poser d'icône sur le bureau.
2) Et pourquoi donc ?
3) Parce que c'est un endroit qui ne fait pas partie
de ceux sur lesquels on doit pouvoir poser des icônes.
Tu avais un argument comme quoi on pouvait faire des choses
en informatique qui étaient impossibles dans la vraie vie, ce
qui rendait inadéquate l'usage de métaphores trop connectées
à cette vraie vie,
sous entendu : de telles métaphores seraient
par trop trompeuses.
Quand j'utilise le bureau, c'est bien pour ne pas avoir à passer
par une fenêtre
J'aimerais partager cette vision simple et claire où tout
est rangé en document, application, fenêtre etc. mais c'est
au dessus de mes forces. Je peux juste ressentir que ta vision
me paraî datée et que l'informatique personnelle me semble
s'éloigner chaque jour un peu plus de cette classification
"d'un côté des documents, de l'autre des applications".
Pas moi. Je crois que les progrès en termes d'interfaces sont à
rechercher dans la prise en compte du "contexte", de la "situation
de travail", de "l'historique".
A ce titre, que l'interface soit
basée sur une première dichotomie du type "appli vs doc" me semble
au mieux hors sujet, au pire une mauvaise direction.
Je me sert un peu du bureau façon "corbeille arrivée" :-)
"Petit drapeau"+M ==> le bureau
Shift+"Petit drapeau"+M ==> comme avant.
Ce n'est pas si pénible, que ça quand même.
Le mécanisme pour une cause commune est pourtant bien connu de
tout unixien : c'est ce pauvre 'luser'. Enlève le bureau et
remplace le par plusieurs autres endroits : tu y verra le
bordel s'installer.
Entendons nous bien : je pourrais être d'accord avec certaines
des critiques que tu portes sur le bureau. Ici, je suis juste
en train de te chercher des poux dans la tête, vu que tu fais
grand cas de la logique, mais n'en applique pas toujours les
règles.
Si j'insistais sur la "notion fondamentale d'icône", ce n'était
pas par hasard. Il se trouve que les icônes, il y en quand même
un peu partout, y compris dans des endroits que j'ai du mal à
appeler des "fenêtres". L'icône fait sens dés qu'il y a la
place d'en mettre.
Pour quelles raisons refuses tu le statut de "surface" au
bureau ?
1) On ne doit pas pouvoir poser d'icône sur le bureau.
2) Et pourquoi donc ?
3) Parce que c'est un endroit qui ne fait pas partie
de ceux sur lesquels on doit pouvoir poser des icônes.
Tu avais un argument comme quoi on pouvait faire des choses
en informatique qui étaient impossibles dans la vraie vie, ce
qui rendait inadéquate l'usage de métaphores trop connectées
à cette vraie vie,
sous entendu : de telles métaphores seraient
par trop trompeuses.
Quand j'utilise le bureau, c'est bien pour ne pas avoir à passer
par une fenêtre
J'aimerais partager cette vision simple et claire où tout
est rangé en document, application, fenêtre etc. mais c'est
au dessus de mes forces. Je peux juste ressentir que ta vision
me paraî datée et que l'informatique personnelle me semble
s'éloigner chaque jour un peu plus de cette classification
"d'un côté des documents, de l'autre des applications".
Pas moi. Je crois que les progrès en termes d'interfaces sont à
rechercher dans la prise en compte du "contexte", de la "situation
de travail", de "l'historique".
A ce titre, que l'interface soit
basée sur une première dichotomie du type "appli vs doc" me semble
au mieux hors sujet, au pire une mauvaise direction.
Je me sert un peu du bureau façon "corbeille arrivée" :-)
"Petit drapeau"+M ==> le bureau
Shift+"Petit drapeau"+M ==> comme avant.
Ce n'est pas si pénible, que ça quand même.
Le mécanisme pour une cause commune est pourtant bien connu de
tout unixien : c'est ce pauvre 'luser'. Enlève le bureau et
remplace le par plusieurs autres endroits : tu y verra le
bordel s'installer.
Entendons nous bien : je pourrais être d'accord avec certaines
des critiques que tu portes sur le bureau. Ici, je suis juste
en train de te chercher des poux dans la tête, vu que tu fais
grand cas de la logique, mais n'en applique pas toujours les
règles.
Si j'insistais sur la "notion fondamentale d'icône", ce n'était
pas par hasard. Il se trouve que les icônes, il y en quand même
un peu partout, y compris dans des endroits que j'ai du mal à
appeler des "fenêtres". L'icône fait sens dés qu'il y a la
place d'en mettre.
Pour quelles raisons refuses tu le statut de "surface" au
bureau ?
1) On ne doit pas pouvoir poser d'icône sur le bureau.
2) Et pourquoi donc ?
3) Parce que c'est un endroit qui ne fait pas partie
de ceux sur lesquels on doit pouvoir poser des icônes.
Tu avais un argument comme quoi on pouvait faire des choses
en informatique qui étaient impossibles dans la vraie vie, ce
qui rendait inadéquate l'usage de métaphores trop connectées
à cette vraie vie,
sous entendu : de telles métaphores seraient
par trop trompeuses.
Quand j'utilise le bureau, c'est bien pour ne pas avoir à passer
par une fenêtre
J'aimerais partager cette vision simple et claire où tout
est rangé en document, application, fenêtre etc. mais c'est
au dessus de mes forces. Je peux juste ressentir que ta vision
me paraî datée et que l'informatique personnelle me semble
s'éloigner chaque jour un peu plus de cette classification
"d'un côté des documents, de l'autre des applications".
Pas moi. Je crois que les progrès en termes d'interfaces sont à
rechercher dans la prise en compte du "contexte", de la "situation
de travail", de "l'historique".
A ce titre, que l'interface soit
basée sur une première dichotomie du type "appli vs doc" me semble
au mieux hors sujet, au pire une mauvaise direction.
Je me sert un peu du bureau façon "corbeille arrivée" :-)
"Petit drapeau"+M ==> le bureau
Shift+"Petit drapeau"+M ==> comme avant.
Ce n'est pas si pénible, que ça quand même.
Ce n'est pas mon argument. Mon argument est : les icônes sur le fond d'écran
sont malpratiques,
*donc* il faut éviter d'en mettre, mais quand on *peut* en
mettre c'est tentant (car le caractère malpratique est à long terme).
Mouais, bof.
Quand j'utilise le bureau, c'est bien pour ne pas avoir à passer
par une fenêtre
Qu'est-ce que tu entends pas « ne pas avoir à passer par une fenêtre » ? En
quoi est-ce un inconvénient d'avoir un rectangle autour de l'endroit où tu
veux faire ce que tu veux faire.
fenetres ou bureaux virtuels, quelle difference?
J'aimerais partager cette vision simple et claire où tout
est rangé en document, application, fenêtre etc. mais c'est
au dessus de mes forces. Je peux juste ressentir que ta vision
me paraî datée et que l'informatique personnelle me semble
s'éloigner chaque jour un peu plus de cette classification
"d'un côté des documents, de l'autre des applications".
Je ne trouve pas. En l'état, et à part pour les (proto-)développeurs, la
distinction est bien là. C'est une distinction qui m'a l'air fondamentale,
pas seulement en informatique, la distinction entre l'objet d'un travail et
l'outil qui permet de faire ce travail.
Et pourtant, combien de personnes ai-je entendu dire : "mon fichier
Ce n'est pas mon argument. Mon argument est : les icônes sur le fond d'écran
sont malpratiques,
*donc* il faut éviter d'en mettre, mais quand on *peut* en
mettre c'est tentant (car le caractère malpratique est à long terme).
Mouais, bof.
Quand j'utilise le bureau, c'est bien pour ne pas avoir à passer
par une fenêtre
Qu'est-ce que tu entends pas « ne pas avoir à passer par une fenêtre » ? En
quoi est-ce un inconvénient d'avoir un rectangle autour de l'endroit où tu
veux faire ce que tu veux faire.
fenetres ou bureaux virtuels, quelle difference?
J'aimerais partager cette vision simple et claire où tout
est rangé en document, application, fenêtre etc. mais c'est
au dessus de mes forces. Je peux juste ressentir que ta vision
me paraî datée et que l'informatique personnelle me semble
s'éloigner chaque jour un peu plus de cette classification
"d'un côté des documents, de l'autre des applications".
Je ne trouve pas. En l'état, et à part pour les (proto-)développeurs, la
distinction est bien là. C'est une distinction qui m'a l'air fondamentale,
pas seulement en informatique, la distinction entre l'objet d'un travail et
l'outil qui permet de faire ce travail.
Et pourtant, combien de personnes ai-je entendu dire : "mon fichier
Ce n'est pas mon argument. Mon argument est : les icônes sur le fond d'écran
sont malpratiques,
*donc* il faut éviter d'en mettre, mais quand on *peut* en
mettre c'est tentant (car le caractère malpratique est à long terme).
Mouais, bof.
Quand j'utilise le bureau, c'est bien pour ne pas avoir à passer
par une fenêtre
Qu'est-ce que tu entends pas « ne pas avoir à passer par une fenêtre » ? En
quoi est-ce un inconvénient d'avoir un rectangle autour de l'endroit où tu
veux faire ce que tu veux faire.
fenetres ou bureaux virtuels, quelle difference?
J'aimerais partager cette vision simple et claire où tout
est rangé en document, application, fenêtre etc. mais c'est
au dessus de mes forces. Je peux juste ressentir que ta vision
me paraî datée et que l'informatique personnelle me semble
s'éloigner chaque jour un peu plus de cette classification
"d'un côté des documents, de l'autre des applications".
Je ne trouve pas. En l'état, et à part pour les (proto-)développeurs, la
distinction est bien là. C'est une distinction qui m'a l'air fondamentale,
pas seulement en informatique, la distinction entre l'objet d'un travail et
l'outil qui permet de faire ce travail.
Et pourtant, combien de personnes ai-je entendu dire : "mon fichier
hop, c'est une verite incontestable?
Et pourtant, combien de personnes ai-je entendu dire : "mon fichier
est range dans Word; je le lance, je clique sur ouvrir et il est la;
par contre, mon image, elle est dans photoshop".
Le mode de rangement est a des antipodes de toute hierarchisation.
On choisit par artiste, album, nom, partie du nom, bibliotheque
pre-definie, etc..
hop, c'est une verite incontestable?
Et pourtant, combien de personnes ai-je entendu dire : "mon fichier
est range dans Word; je le lance, je clique sur ouvrir et il est la;
par contre, mon image, elle est dans photoshop".
Le mode de rangement est a des antipodes de toute hierarchisation.
On choisit par artiste, album, nom, partie du nom, bibliotheque
pre-definie, etc..
hop, c'est une verite incontestable?
Et pourtant, combien de personnes ai-je entendu dire : "mon fichier
est range dans Word; je le lance, je clique sur ouvrir et il est la;
par contre, mon image, elle est dans photoshop".
Le mode de rangement est a des antipodes de toute hierarchisation.
On choisit par artiste, album, nom, partie du nom, bibliotheque
pre-definie, etc..
Le mécanisme pour une cause commune est pourtant bien connu
de tout unixien : c'est ce pauvre 'luser'. Enlève le bureau
et remplace le par plusieurs autres endroits : tu y verra le
bordel s'installer.
Euh, non, ça ne marche pas. Que « luser » soit une cause de
« bordel », je suis d'accord, c'est évident. En revanche, je
vois mal comment on peut prétendre que « luser » soit une
cause de « icônes sur le fond d'écran » (en tant que
possibilité donnée par l'interface) : ce n'est pas le luser
qui programme son interface.
Si j'insistais sur la "notion fondamentale d'icône", ce
n'était pas par hasard. Il se trouve que les icônes, il y
en quand même un peu partout, y compris dans des endroits
que j'ai du mal à appeler des "fenêtres". L'icône fait sens
dés qu'il y a la place d'en mettre.
Je ne comprends pas ce que tu veux dire par « fait sens » :
pour moi, soit c'est pratique, soit ça ne l'est pas (avec toutes
les nuances entre les deux, évidemment). Évidemment, ça n'est pas
_absurde_ d'avoir des icônes sur le fond d'écran, ce que je défends,
c'est le fait que c'est, sur le long terme, malpratique.
Pour quelles raisons refuses tu le statut de "surface" au
bureau ?
Parce que dès qu'il y a surface, c'est à dire quelque chose de
vaguement « matériel », on a potentiellement envie d'en avoir
plusieurs et de les manipuler.
[...] malpratiques [...]
Non, pas trompeuses : partielles, et donc partiellement pertinentes.
Quand j'utilise le bureau, c'est bien pour ne pas avoir à passer
par une fenêtre
Qu'est-ce que tu entends pas « ne pas avoir à passer par une
fenêtre » ? En quoi est-ce un inconvénient d'avoir un rectangle
autour de l'endroit où tu veux faire ce que tu veux faire.
J'aimerais partager cette vision simple et claire où tout
est rangé en document, application, fenêtre etc. mais c'est
au dessus de mes forces. Je peux juste ressentir que ta vision
me paraît datée et que l'informatique personnelle me semble
s'éloigner chaque jour un peu plus de cette classification
"d'un côté des documents, de l'autre des applications".
Je ne trouve pas. En l'état, et à part pour les (proto-)développeurs,
la distinction est bien là. C'est une distinction qui m'a l'air
fondamentale, pas seulement en informatique, la distinction entre
l'objet d'un travail et l'outil qui permet de faire ce travail.
Pas moi. Je crois que les progrès en termes d'interfaces sont
à rechercher dans la prise en compte du "contexte", de la
"situation de travail", de "l'historique".
Pour le moment, tout ceci me semble plus être de la science-fiction
qu'autre chose. On parle, je rappelle, de l'opportunité pour une
interface qui existe aujourd'hui, ou éventuellement demain, mais
vraiment immédiatement, de mettre des icônes sur le fond d'écran.
A ce titre, que l'interface soit basée sur une première dichotomie
du type "appli vs doc" me semble au mieux hors sujet, au pire une
mauvaise direction.
Je n'ai pas dit que ce devait être la première distinction. Ce que je
dis, c'est qu'une telle distinction vaut mieux qu'un magma sans
aucune distinction. Dès qu'il y a un ordre, je ne dis rien, mais
s'il n'y en a aucun, et qu'il y a un moyen simple d'en ajouter,
c'est toujours bon à prendre.
Je me sert un peu du bureau façon "corbeille arrivée" :-)
"Petit drapeau"+M ==> le bureau
Shift+"Petit drapeau"+M ==> comme avant.
Ce n'est pas si pénible, que ça quand même.
Eh bien remplace ça par « petit drapeau »+M -> fenêtre TODO
en avant-plan, Shift+« petit drapeau »+M -> fermer la fenêtre
TODO : c'est exactement pareil, sauf que tu gagnes en prime la
possibilité de manipuler cette fenêtre TODO comme toutes les
fenêtres.
Le mécanisme pour une cause commune est pourtant bien connu
de tout unixien : c'est ce pauvre 'luser'. Enlève le bureau
et remplace le par plusieurs autres endroits : tu y verra le
bordel s'installer.
Euh, non, ça ne marche pas. Que « luser » soit une cause de
« bordel », je suis d'accord, c'est évident. En revanche, je
vois mal comment on peut prétendre que « luser » soit une
cause de « icônes sur le fond d'écran » (en tant que
possibilité donnée par l'interface) : ce n'est pas le luser
qui programme son interface.
Si j'insistais sur la "notion fondamentale d'icône", ce
n'était pas par hasard. Il se trouve que les icônes, il y
en quand même un peu partout, y compris dans des endroits
que j'ai du mal à appeler des "fenêtres". L'icône fait sens
dés qu'il y a la place d'en mettre.
Je ne comprends pas ce que tu veux dire par « fait sens » :
pour moi, soit c'est pratique, soit ça ne l'est pas (avec toutes
les nuances entre les deux, évidemment). Évidemment, ça n'est pas
_absurde_ d'avoir des icônes sur le fond d'écran, ce que je défends,
c'est le fait que c'est, sur le long terme, malpratique.
Pour quelles raisons refuses tu le statut de "surface" au
bureau ?
Parce que dès qu'il y a surface, c'est à dire quelque chose de
vaguement « matériel », on a potentiellement envie d'en avoir
plusieurs et de les manipuler.
[...] malpratiques [...]
Non, pas trompeuses : partielles, et donc partiellement pertinentes.
Quand j'utilise le bureau, c'est bien pour ne pas avoir à passer
par une fenêtre
Qu'est-ce que tu entends pas « ne pas avoir à passer par une
fenêtre » ? En quoi est-ce un inconvénient d'avoir un rectangle
autour de l'endroit où tu veux faire ce que tu veux faire.
J'aimerais partager cette vision simple et claire où tout
est rangé en document, application, fenêtre etc. mais c'est
au dessus de mes forces. Je peux juste ressentir que ta vision
me paraît datée et que l'informatique personnelle me semble
s'éloigner chaque jour un peu plus de cette classification
"d'un côté des documents, de l'autre des applications".
Je ne trouve pas. En l'état, et à part pour les (proto-)développeurs,
la distinction est bien là. C'est une distinction qui m'a l'air
fondamentale, pas seulement en informatique, la distinction entre
l'objet d'un travail et l'outil qui permet de faire ce travail.
Pas moi. Je crois que les progrès en termes d'interfaces sont
à rechercher dans la prise en compte du "contexte", de la
"situation de travail", de "l'historique".
Pour le moment, tout ceci me semble plus être de la science-fiction
qu'autre chose. On parle, je rappelle, de l'opportunité pour une
interface qui existe aujourd'hui, ou éventuellement demain, mais
vraiment immédiatement, de mettre des icônes sur le fond d'écran.
A ce titre, que l'interface soit basée sur une première dichotomie
du type "appli vs doc" me semble au mieux hors sujet, au pire une
mauvaise direction.
Je n'ai pas dit que ce devait être la première distinction. Ce que je
dis, c'est qu'une telle distinction vaut mieux qu'un magma sans
aucune distinction. Dès qu'il y a un ordre, je ne dis rien, mais
s'il n'y en a aucun, et qu'il y a un moyen simple d'en ajouter,
c'est toujours bon à prendre.
Je me sert un peu du bureau façon "corbeille arrivée" :-)
"Petit drapeau"+M ==> le bureau
Shift+"Petit drapeau"+M ==> comme avant.
Ce n'est pas si pénible, que ça quand même.
Eh bien remplace ça par « petit drapeau »+M -> fenêtre TODO
en avant-plan, Shift+« petit drapeau »+M -> fermer la fenêtre
TODO : c'est exactement pareil, sauf que tu gagnes en prime la
possibilité de manipuler cette fenêtre TODO comme toutes les
fenêtres.
Le mécanisme pour une cause commune est pourtant bien connu
de tout unixien : c'est ce pauvre 'luser'. Enlève le bureau
et remplace le par plusieurs autres endroits : tu y verra le
bordel s'installer.
Euh, non, ça ne marche pas. Que « luser » soit une cause de
« bordel », je suis d'accord, c'est évident. En revanche, je
vois mal comment on peut prétendre que « luser » soit une
cause de « icônes sur le fond d'écran » (en tant que
possibilité donnée par l'interface) : ce n'est pas le luser
qui programme son interface.
Si j'insistais sur la "notion fondamentale d'icône", ce
n'était pas par hasard. Il se trouve que les icônes, il y
en quand même un peu partout, y compris dans des endroits
que j'ai du mal à appeler des "fenêtres". L'icône fait sens
dés qu'il y a la place d'en mettre.
Je ne comprends pas ce que tu veux dire par « fait sens » :
pour moi, soit c'est pratique, soit ça ne l'est pas (avec toutes
les nuances entre les deux, évidemment). Évidemment, ça n'est pas
_absurde_ d'avoir des icônes sur le fond d'écran, ce que je défends,
c'est le fait que c'est, sur le long terme, malpratique.
Pour quelles raisons refuses tu le statut de "surface" au
bureau ?
Parce que dès qu'il y a surface, c'est à dire quelque chose de
vaguement « matériel », on a potentiellement envie d'en avoir
plusieurs et de les manipuler.
[...] malpratiques [...]
Non, pas trompeuses : partielles, et donc partiellement pertinentes.
Quand j'utilise le bureau, c'est bien pour ne pas avoir à passer
par une fenêtre
Qu'est-ce que tu entends pas « ne pas avoir à passer par une
fenêtre » ? En quoi est-ce un inconvénient d'avoir un rectangle
autour de l'endroit où tu veux faire ce que tu veux faire.
J'aimerais partager cette vision simple et claire où tout
est rangé en document, application, fenêtre etc. mais c'est
au dessus de mes forces. Je peux juste ressentir que ta vision
me paraît datée et que l'informatique personnelle me semble
s'éloigner chaque jour un peu plus de cette classification
"d'un côté des documents, de l'autre des applications".
Je ne trouve pas. En l'état, et à part pour les (proto-)développeurs,
la distinction est bien là. C'est une distinction qui m'a l'air
fondamentale, pas seulement en informatique, la distinction entre
l'objet d'un travail et l'outil qui permet de faire ce travail.
Pas moi. Je crois que les progrès en termes d'interfaces sont
à rechercher dans la prise en compte du "contexte", de la
"situation de travail", de "l'historique".
Pour le moment, tout ceci me semble plus être de la science-fiction
qu'autre chose. On parle, je rappelle, de l'opportunité pour une
interface qui existe aujourd'hui, ou éventuellement demain, mais
vraiment immédiatement, de mettre des icônes sur le fond d'écran.
A ce titre, que l'interface soit basée sur une première dichotomie
du type "appli vs doc" me semble au mieux hors sujet, au pire une
mauvaise direction.
Je n'ai pas dit que ce devait être la première distinction. Ce que je
dis, c'est qu'une telle distinction vaut mieux qu'un magma sans
aucune distinction. Dès qu'il y a un ordre, je ne dis rien, mais
s'il n'y en a aucun, et qu'il y a un moyen simple d'en ajouter,
c'est toujours bon à prendre.
Je me sert un peu du bureau façon "corbeille arrivée" :-)
"Petit drapeau"+M ==> le bureau
Shift+"Petit drapeau"+M ==> comme avant.
Ce n'est pas si pénible, que ça quand même.
Eh bien remplace ça par « petit drapeau »+M -> fenêtre TODO
en avant-plan, Shift+« petit drapeau »+M -> fermer la fenêtre
TODO : c'est exactement pareil, sauf que tu gagnes en prime la
possibilité de manipuler cette fenêtre TODO comme toutes les
fenêtres.