Le nombre de photos que je shoote et stock ne fait que grandir bien sur.
Et en raw, ça prend même beaucoup de place! Même avec un "petit" 6MP.
Outre la sélection et passage à la poubelle des choses inintéressantes,
un autre moyen consiste à les sauvegarder dans un autre format. Ce
d'autant que je ne sais pas combien de temps je pourrai ouvrir un RAW!
La question est donc, quel est le meilleur format pour garder tout ça?
Sous-entendu, ce bon vieux jpeg n'est-il pas trop destructif? A l'oeil
comme ça, j'ai pas trop l'impression... Mais c'est mon oeil.
Je ne crois pas que le problème soit là. Je crois que les photographes ont tendance à vouloir appliquer les concepts qu'ils connaissent au domaine de l'informatique. C'est normal, c'est plus facile à comprendre.
MDR ! Ce ne serait pas plutôt l'inverse ? Des informaticiens qui veulent appliquer les concepts qu'ils connaissent à la photographie ? Et, au fait, on parle bien de photographie ? On ne parle pas de photographie, on parle de format de fichiers. On
entre dans le domaine du traitement de l'information. Vos simplifications sont sources d'erreur et d'incompréhension.
Oui, tu as raison, l'image, c'est ce qu'on voit. Avant, c'est de l'information qui permet de produire une image. Selon le forlat, RAW ou TIFF ou JPEG, l'algorithme est plus ou moins complexe, requiert éventuellement une intervention humaine pour faire des choix, mais ça ne change rien.
Ah ? Vous avez des choix à faire pour afficher une image JEPG ou TIFF ? C'est nouveau ça ! J'ai dit *éventuellement*. Votre image au format JPEG contient de
l'information qui peut être interprétée différemment si vous ajoutez de l'information. Par exemple, si vous signalez que votre photo est sous exposée, votre logiciel devra éclaircir l'image produite à l'écran pour la rendre conforme à ce qui a été photographié (je suppose ici que votre photo doit rendre compte exactement de ce qui a été vu, ce qui n'est pas toujours le cas). Il s'agit donc avant tout de quantité d'information. Un fichier au format RAW contient beaucoup plus d'information et permet donc d'afficher plusieurs images différentes.
Guillaume Vauvert
Je ne crois pas que le problème soit là. Je crois que les photographes
ont tendance à vouloir appliquer les concepts qu'ils connaissent au
domaine de l'informatique. C'est normal, c'est plus facile à comprendre.
MDR ! Ce ne serait pas plutôt l'inverse ? Des informaticiens qui veulent
appliquer les concepts qu'ils connaissent à la photographie ?
Et, au fait, on parle bien de photographie ?
On ne parle pas de photographie, on parle de format de fichiers. On
entre dans le domaine du traitement de l'information. Vos
simplifications sont sources d'erreur et d'incompréhension.
Oui, tu as raison, l'image, c'est ce qu'on voit. Avant, c'est de
l'information qui permet de produire une image. Selon le forlat, RAW ou
TIFF ou JPEG, l'algorithme est plus ou moins complexe, requiert
éventuellement une intervention humaine pour faire des choix, mais ça ne
change rien.
Ah ? Vous avez des choix à faire pour afficher une image JEPG ou TIFF ?
C'est nouveau ça !
J'ai dit *éventuellement*. Votre image au format JPEG contient de
l'information qui peut être interprétée différemment si vous ajoutez de
l'information. Par exemple, si vous signalez que votre photo est sous
exposée, votre logiciel devra éclaircir l'image produite à l'écran pour
la rendre conforme à ce qui a été photographié (je suppose ici que votre
photo doit rendre compte exactement de ce qui a été vu, ce qui n'est pas
toujours le cas). Il s'agit donc avant tout de quantité d'information.
Un fichier au format RAW contient beaucoup plus d'information et permet
donc d'afficher plusieurs images différentes.
Je ne crois pas que le problème soit là. Je crois que les photographes ont tendance à vouloir appliquer les concepts qu'ils connaissent au domaine de l'informatique. C'est normal, c'est plus facile à comprendre.
MDR ! Ce ne serait pas plutôt l'inverse ? Des informaticiens qui veulent appliquer les concepts qu'ils connaissent à la photographie ? Et, au fait, on parle bien de photographie ? On ne parle pas de photographie, on parle de format de fichiers. On
entre dans le domaine du traitement de l'information. Vos simplifications sont sources d'erreur et d'incompréhension.
Oui, tu as raison, l'image, c'est ce qu'on voit. Avant, c'est de l'information qui permet de produire une image. Selon le forlat, RAW ou TIFF ou JPEG, l'algorithme est plus ou moins complexe, requiert éventuellement une intervention humaine pour faire des choix, mais ça ne change rien.
Ah ? Vous avez des choix à faire pour afficher une image JEPG ou TIFF ? C'est nouveau ça ! J'ai dit *éventuellement*. Votre image au format JPEG contient de
l'information qui peut être interprétée différemment si vous ajoutez de l'information. Par exemple, si vous signalez que votre photo est sous exposée, votre logiciel devra éclaircir l'image produite à l'écran pour la rendre conforme à ce qui a été photographié (je suppose ici que votre photo doit rendre compte exactement de ce qui a été vu, ce qui n'est pas toujours le cas). Il s'agit donc avant tout de quantité d'information. Un fichier au format RAW contient beaucoup plus d'information et permet donc d'afficher plusieurs images différentes.
Guillaume Vauvert
Guillaume Vauvert
vous n'arrivez pas à comprendre le mien qui est plutôt un point de vue d'informaticien
Ca me semble une excellente conclusion ! Car en effet nous parlons de photo et pour nous l'informatique n'est qu'un moyen... Je pense toujours que vous vous fourvoyez. Lorsque votre photo est
stockée sous la forme d'un fichier, il ne s'agit plus de photo, mais de traitement de l'information. Tout comme le développement d'une photo argentique vous fait entrer dans le domaine de la chimie. L'informatique n'est donc pas qu'un moyen; c'est une passerelle obligatoire avec les APN. Il vous faut donc adopter les concepts qui en sont la base pour la comprendre.
Guillaume Vauvert
vous n'arrivez pas à comprendre le mien qui est plutôt un point de vue
d'informaticien
Ca me semble une excellente conclusion ! Car en effet nous parlons de
photo et pour nous l'informatique n'est qu'un moyen...
Je pense toujours que vous vous fourvoyez. Lorsque votre photo est
stockée sous la forme d'un fichier, il ne s'agit plus de photo, mais de
traitement de l'information. Tout comme le développement d'une photo
argentique vous fait entrer dans le domaine de la chimie.
L'informatique n'est donc pas qu'un moyen; c'est une passerelle
obligatoire avec les APN. Il vous faut donc adopter les concepts qui en
sont la base pour la comprendre.
vous n'arrivez pas à comprendre le mien qui est plutôt un point de vue d'informaticien
Ca me semble une excellente conclusion ! Car en effet nous parlons de photo et pour nous l'informatique n'est qu'un moyen... Je pense toujours que vous vous fourvoyez. Lorsque votre photo est
stockée sous la forme d'un fichier, il ne s'agit plus de photo, mais de traitement de l'information. Tout comme le développement d'une photo argentique vous fait entrer dans le domaine de la chimie. L'informatique n'est donc pas qu'un moyen; c'est une passerelle obligatoire avec les APN. Il vous faut donc adopter les concepts qui en sont la base pour la comprendre.
Guillaume Vauvert
Florent
Jean-Pierre Roche vient de nous annoncer :
pourquoi ? si le marché le permettait, qu'est-ce qui empêcherait un photographe de ne faire que des photos pour le web (même "grand format") ou autre finalité 100%¨numérique ?
Oui bien sûr le but final peut être des images pour l'écran mais là on se balade entre concepts et pratique ce qui donne des résultats parfoirs ambigus... Je parlais de l'écran en tant qu'affichage au sens de périphérique informatique.
ok :)
Jean-Pierre Roche vient de nous annoncer :
pourquoi ? si le marché le permettait, qu'est-ce qui empêcherait un
photographe de ne faire que des photos pour le web (même "grand format") ou
autre finalité 100%¨numérique ?
Oui bien sûr le but final peut être des images pour l'écran mais là on se
balade entre concepts et pratique ce qui donne des résultats parfoirs
ambigus... Je parlais de l'écran en tant qu'affichage au sens de périphérique
informatique.
pourquoi ? si le marché le permettait, qu'est-ce qui empêcherait un photographe de ne faire que des photos pour le web (même "grand format") ou autre finalité 100%¨numérique ?
Oui bien sûr le but final peut être des images pour l'écran mais là on se balade entre concepts et pratique ce qui donne des résultats parfoirs ambigus... Je parlais de l'écran en tant qu'affichage au sens de périphérique informatique.
ok :)
Didier Dalbera
a écrit Johann wrote:
Je savais pas que le png était si lourd! 5 fois le raw, c'est pas vraiment dans mon intérêt...
Le PNG, ce n'est pas vraiment optimisé pour les photos mais plutôt pour les dessins au trait! C'est une variante libre du GIF...
Erreur... Le PNG possède plusieurs casquettes, dont effectivement celle du dessin au trait remplaçant du Gif, en 256 couleurs. Mais il peut aussi enregistrer des images en 8bits par couches (images normale), ou 16Bits par couches, avec une (plusieurs ?) compression non destructives. Donc, le PNG peut être utilisé pour la photo.
-- Didier
<nikojorj_jaimepaslapub@yahoo.Fr> a écrit
Johann wrote:
Je savais pas que le png était si lourd! 5 fois le raw, c'est pas
vraiment dans mon intérêt...
Le PNG, ce n'est pas vraiment optimisé pour les photos mais plutôt
pour les dessins au trait! C'est une variante libre du GIF...
Erreur...
Le PNG possède plusieurs casquettes, dont effectivement celle du dessin au
trait remplaçant du Gif, en 256 couleurs. Mais il peut aussi enregistrer des
images en 8bits par couches (images normale), ou 16Bits par couches, avec
une (plusieurs ?) compression non destructives.
Donc, le PNG peut être utilisé pour la photo.
Je savais pas que le png était si lourd! 5 fois le raw, c'est pas vraiment dans mon intérêt...
Le PNG, ce n'est pas vraiment optimisé pour les photos mais plutôt pour les dessins au trait! C'est une variante libre du GIF...
Erreur... Le PNG possède plusieurs casquettes, dont effectivement celle du dessin au trait remplaçant du Gif, en 256 couleurs. Mais il peut aussi enregistrer des images en 8bits par couches (images normale), ou 16Bits par couches, avec une (plusieurs ?) compression non destructives. Donc, le PNG peut être utilisé pour la photo.
-- Didier
Jean-Pierre Roche
Non, on ne parle pas photo, on parle de format de fichier. C'est de l'information que l'on traite pour donner une image visible à l'écran.
Donc vous n'avez rien compris. Le format de fichier RAW est un abus de langage car il existe autant de formats de fichiers RAW que d'appareils susceptibles d'en produire... Donc je ne vois pas comment on peut parler de *format*
Vous pouvez tenter d'importer vos concepts issus de la photo pour mieux comprendre l'informatique, mais ces analogies ne vous donneront qu'une approximation de ce qui se passe dans l'ordinateur, ce qui risque de vous amener à de fausses conclusions.
Croyez moi, à ce niveau, je connais parfaitement l'informatique...
Oui, mais un fichier JPEG aussi doit être traité pour donner une image visible sur l'écran. Ce traitement vous semble peut-être moins complexe, mais il s'agit toujours d'un traitement, donc d'un calcul.
Dans un cas d'un calcul dont les opérations sont fixes et le résultat parfaitement prévisible. Dans l'autre d'un calcul où les opérations sont variables et le résultat au gré de celui qui mène le calcul. Si vous pensez que c'est comparable...
Comme toute compression destructrice. Je ne dis pas que c'est mieux de perdre de l'information, je dis qu'on peut le faire.
Vous changez la *nature* de l'information stockée.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Non, on ne parle pas photo, on parle de format de fichier. C'est de
l'information que l'on traite pour donner une image visible à l'écran.
Donc vous n'avez rien compris. Le format de fichier RAW est
un abus de langage car il existe autant de formats de
fichiers RAW que d'appareils susceptibles d'en produire...
Donc je ne vois pas comment on peut parler de *format*
Vous pouvez tenter d'importer vos concepts issus de la photo pour mieux
comprendre l'informatique, mais ces analogies ne vous donneront qu'une
approximation de ce qui se passe dans l'ordinateur, ce qui risque de
vous amener à de fausses conclusions.
Croyez moi, à ce niveau, je connais parfaitement
l'informatique...
Oui, mais un fichier JPEG aussi doit être traité pour donner une image
visible sur l'écran. Ce traitement vous semble peut-être moins complexe,
mais il s'agit toujours d'un traitement, donc d'un calcul.
Dans un cas d'un calcul dont les opérations sont fixes et le
résultat parfaitement prévisible. Dans l'autre d'un calcul
où les opérations sont variables et le résultat au gré de
celui qui mène le calcul. Si vous pensez que c'est comparable...
Comme toute compression destructrice. Je ne dis pas que c'est mieux de
perdre de l'information, je dis qu'on peut le faire.
Vous changez la *nature* de l'information stockée.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
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Non, on ne parle pas photo, on parle de format de fichier. C'est de l'information que l'on traite pour donner une image visible à l'écran.
Donc vous n'avez rien compris. Le format de fichier RAW est un abus de langage car il existe autant de formats de fichiers RAW que d'appareils susceptibles d'en produire... Donc je ne vois pas comment on peut parler de *format*
Vous pouvez tenter d'importer vos concepts issus de la photo pour mieux comprendre l'informatique, mais ces analogies ne vous donneront qu'une approximation de ce qui se passe dans l'ordinateur, ce qui risque de vous amener à de fausses conclusions.
Croyez moi, à ce niveau, je connais parfaitement l'informatique...
Oui, mais un fichier JPEG aussi doit être traité pour donner une image visible sur l'écran. Ce traitement vous semble peut-être moins complexe, mais il s'agit toujours d'un traitement, donc d'un calcul.
Dans un cas d'un calcul dont les opérations sont fixes et le résultat parfaitement prévisible. Dans l'autre d'un calcul où les opérations sont variables et le résultat au gré de celui qui mène le calcul. Si vous pensez que c'est comparable...
Comme toute compression destructrice. Je ne dis pas que c'est mieux de perdre de l'information, je dis qu'on peut le faire.
Vous changez la *nature* de l'information stockée.
-- Jean-Pierre Roche
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Jean-Pierre Gallou
Il ne s'en affiche pas une autre !
C'est bizarre, j'ai encore eu le cas ce matin avec un collègue d'un ordi où quand j'appuie sur "a", c'est "q" qui s'affiche!
-- Ceci est une signature automatique de MesNews. Site : http://www.mesnews.net
Il ne s'en affiche pas une autre !
C'est bizarre, j'ai encore eu le cas ce matin avec un collègue d'un
ordi où quand j'appuie sur "a", c'est "q" qui s'affiche!
--
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C'est bizarre, j'ai encore eu le cas ce matin avec un collègue d'un ordi où quand j'appuie sur "a", c'est "q" qui s'affiche!
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Jean-Pierre Roche
C'est bizarre, j'ai encore eu le cas ce matin avec un collègue d'un ordi où quand j'appuie sur "a", c'est "q" qui s'affiche!
Toutes les machines ont leurs faiblesses. On a même vu des appareils photo qui faisaient des photos floues. Voire pas de photos du tout. Et même des fichiers illisibles.
-- Jean-Pierre Roche
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http://jpierreroche.free.fr/
C'est bizarre, j'ai encore eu le cas ce matin avec un collègue d'un ordi
où quand j'appuie sur "a", c'est "q" qui s'affiche!
Toutes les machines ont leurs faiblesses. On a même vu des
appareils photo qui faisaient des photos floues. Voire pas
de photos du tout. Et même des fichiers illisibles.
--
Jean-Pierre Roche
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C'est bizarre, j'ai encore eu le cas ce matin avec un collègue d'un ordi où quand j'appuie sur "a", c'est "q" qui s'affiche!
Toutes les machines ont leurs faiblesses. On a même vu des appareils photo qui faisaient des photos floues. Voire pas de photos du tout. Et même des fichiers illisibles.
-- Jean-Pierre Roche
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Jean-Pierre Roche
Je pense toujours que vous vous fourvoyez. Lorsque votre photo est stockée sous la forme d'un fichier, il ne s'agit plus de photo, mais de traitement de l'information. Tout comme le développement d'une photo argentique vous fait entrer dans le domaine de la chimie. L'informatique n'est donc pas qu'un moyen; c'est une passerelle obligatoire avec les APN. Il vous faut donc adopter les concepts qui en sont la base pour la comprendre.
Je comprends parfaitement l'informatique (pour l'usage que j'en fais) que j'utilise depuis fort longtemps. Mais la photographie numérique utilise des concepts qui dépassent l'informatique (et y sont inconnus). Tout comme d'autres domaines d'application.
-- Jean-Pierre Roche
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Je pense toujours que vous vous fourvoyez. Lorsque votre photo est
stockée sous la forme d'un fichier, il ne s'agit plus de photo, mais de
traitement de l'information. Tout comme le développement d'une photo
argentique vous fait entrer dans le domaine de la chimie.
L'informatique n'est donc pas qu'un moyen; c'est une passerelle
obligatoire avec les APN. Il vous faut donc adopter les concepts qui en
sont la base pour la comprendre.
Je comprends parfaitement l'informatique (pour l'usage que
j'en fais) que j'utilise depuis fort longtemps. Mais la
photographie numérique utilise des concepts qui dépassent
l'informatique (et y sont inconnus). Tout comme d'autres
domaines d'application.
--
Jean-Pierre Roche
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Je pense toujours que vous vous fourvoyez. Lorsque votre photo est stockée sous la forme d'un fichier, il ne s'agit plus de photo, mais de traitement de l'information. Tout comme le développement d'une photo argentique vous fait entrer dans le domaine de la chimie. L'informatique n'est donc pas qu'un moyen; c'est une passerelle obligatoire avec les APN. Il vous faut donc adopter les concepts qui en sont la base pour la comprendre.
Je comprends parfaitement l'informatique (pour l'usage que j'en fais) que j'utilise depuis fort longtemps. Mais la photographie numérique utilise des concepts qui dépassent l'informatique (et y sont inconnus). Tout comme d'autres domaines d'application.
-- Jean-Pierre Roche
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Guillaume Vauvert
Pas du tout. Le but d'un photographe n'est pas de produire des images écran. L'écran n'est qu'un outil de travail. Et entre les 12 bits d'un raw et les 3X8 d'un jepg il y a évidemment tout un monde... Oui, mais sans médium de sortie (écran, imprimante), votre fichier ne
peut être interpété comme un image.
Ah... Comprendre la photo n'est pas instantané. Donc si vous éclaircissez une image vous répartissez différemment les données sur l'échelle des luminances et cette opération crée des "trous" dans cette échelle. Trous qui se traduisent par des zones sur l'image s'ils sont trop grands... Votre traitement est donc un traitement avec pertes. A la différence du travail sur les raw qui part des données originales et conserve donc la qualité optimale quel que soit le traitement effectué. Ce n'est pas forcément un traitement avec pertes. Un traitement avec
pertes est un traitement qui détruit de l'information, c'est-à-dire qui est un traitement irréversible. Si vous faites "+1" au rouge, au vert et bleu, et que vous ne sortez pas du domaine (vous ne "brulez" pas les couleurs), vous pouvez faire "-1" et vous retrouverez votre ancienne image. Il n'y a donc pas eu de perte. Par contre, il y a eu déformation, mais tout traitement est une déformation puisqu'il interprète les données d'une certaine façon. Le format RAW vous fournit toute l'information que votre appareil peut vous fournir. Mais on pourrait imaginer qu'il en fournisse plus (position et intensité des sources lumineuses, modélisation 3D de la scène, ...). La qualité du format RAW n'est donc pas optimal, elle est seulement maximale par rapport à ce que l'appareil peut fournir.
Oui mais il y a les traitements "mécaniques" (répondant à une norme) et les traitement résultants de la volonté de l'utilisateur. De même que quand vous lisez un CD Audio vous ne faites que lire des irrégularités dans une couche métallique. Mais au final vous avez toujours la même musique si votre lecteur fonctionne correctement. D'accord, on peut paramétrer les traitements du fichier RAW pour
produire différentes images. Et alors ? On peut aussi traiter un fichier JPEG pour produire différentes images (éclaircir, plus de rouge, ...). Quelle est la différence ? Existe-t-il une seule image qui corresponde à ce qui a été réellement photographié (d'ailleurs, est-ce qu'on cherche ?) ?
Guillaume Vauvert
Pas du tout. Le but d'un photographe n'est pas de produire des images
écran. L'écran n'est qu'un outil de travail. Et entre les 12 bits d'un
raw et les 3X8 d'un jepg il y a évidemment tout un monde...
Oui, mais sans médium de sortie (écran, imprimante), votre fichier ne
peut être interpété comme un image.
Ah... Comprendre la photo n'est pas instantané. Donc si vous
éclaircissez une image vous répartissez différemment les données sur
l'échelle des luminances et cette opération crée des "trous" dans cette
échelle. Trous qui se traduisent par des zones sur l'image s'ils sont
trop grands... Votre traitement est donc un traitement avec pertes. A la
différence du travail sur les raw qui part des données originales et
conserve donc la qualité optimale quel que soit le traitement effectué.
Ce n'est pas forcément un traitement avec pertes. Un traitement avec
pertes est un traitement qui détruit de l'information, c'est-à-dire qui
est un traitement irréversible. Si vous faites "+1" au rouge, au vert et
bleu, et que vous ne sortez pas du domaine (vous ne "brulez" pas les
couleurs), vous pouvez faire "-1" et vous retrouverez votre ancienne
image. Il n'y a donc pas eu de perte.
Par contre, il y a eu déformation, mais tout traitement est une
déformation puisqu'il interprète les données d'une certaine façon.
Le format RAW vous fournit toute l'information que votre appareil peut
vous fournir. Mais on pourrait imaginer qu'il en fournisse plus
(position et intensité des sources lumineuses, modélisation 3D de la
scène, ...). La qualité du format RAW n'est donc pas optimal, elle est
seulement maximale par rapport à ce que l'appareil peut fournir.
Oui mais il y a les traitements "mécaniques" (répondant à une norme) et
les traitement résultants de la volonté de l'utilisateur. De même que
quand vous lisez un CD Audio vous ne faites que lire des irrégularités
dans une couche métallique. Mais au final vous avez toujours la même
musique si votre lecteur fonctionne correctement.
D'accord, on peut paramétrer les traitements du fichier RAW pour
produire différentes images. Et alors ? On peut aussi traiter un fichier
JPEG pour produire différentes images (éclaircir, plus de rouge, ...).
Quelle est la différence ? Existe-t-il une seule image qui corresponde à
ce qui a été réellement photographié (d'ailleurs, est-ce qu'on cherche ?) ?
Pas du tout. Le but d'un photographe n'est pas de produire des images écran. L'écran n'est qu'un outil de travail. Et entre les 12 bits d'un raw et les 3X8 d'un jepg il y a évidemment tout un monde... Oui, mais sans médium de sortie (écran, imprimante), votre fichier ne
peut être interpété comme un image.
Ah... Comprendre la photo n'est pas instantané. Donc si vous éclaircissez une image vous répartissez différemment les données sur l'échelle des luminances et cette opération crée des "trous" dans cette échelle. Trous qui se traduisent par des zones sur l'image s'ils sont trop grands... Votre traitement est donc un traitement avec pertes. A la différence du travail sur les raw qui part des données originales et conserve donc la qualité optimale quel que soit le traitement effectué. Ce n'est pas forcément un traitement avec pertes. Un traitement avec
pertes est un traitement qui détruit de l'information, c'est-à-dire qui est un traitement irréversible. Si vous faites "+1" au rouge, au vert et bleu, et que vous ne sortez pas du domaine (vous ne "brulez" pas les couleurs), vous pouvez faire "-1" et vous retrouverez votre ancienne image. Il n'y a donc pas eu de perte. Par contre, il y a eu déformation, mais tout traitement est une déformation puisqu'il interprète les données d'une certaine façon. Le format RAW vous fournit toute l'information que votre appareil peut vous fournir. Mais on pourrait imaginer qu'il en fournisse plus (position et intensité des sources lumineuses, modélisation 3D de la scène, ...). La qualité du format RAW n'est donc pas optimal, elle est seulement maximale par rapport à ce que l'appareil peut fournir.
Oui mais il y a les traitements "mécaniques" (répondant à une norme) et les traitement résultants de la volonté de l'utilisateur. De même que quand vous lisez un CD Audio vous ne faites que lire des irrégularités dans une couche métallique. Mais au final vous avez toujours la même musique si votre lecteur fonctionne correctement. D'accord, on peut paramétrer les traitements du fichier RAW pour
produire différentes images. Et alors ? On peut aussi traiter un fichier JPEG pour produire différentes images (éclaircir, plus de rouge, ...). Quelle est la différence ? Existe-t-il une seule image qui corresponde à ce qui a été réellement photographié (d'ailleurs, est-ce qu'on cherche ?) ?
Guillaume Vauvert
Jean-Pierre Roche
Oui, mais sans médium de sortie (écran, imprimante), votre fichier ne peut être interpété comme un image.
Evidemment c'est un concept. Pour prendre un exemple pratique, à partir d'un fichier RAW, je crée une image JPEG, contrôlée sur mon écran calibré et je l'envoie ensuite par le net au service PAO d'une publication et cette image se retrouve ensuite imprimée à quelques dizaines de milliers d'exemplaires pour être visible par les gens qui vont acheter cette publication. L'interprêtation c'est à dire l'image JPEG c'est moi qui la fait. A ma guise à partir des données RAW. Tout le reste est entièrement prévisible si chacun fait bien son travail : le résultat imprimé et regardé par l'acheteur de la publication est raisonnablement conforme à mon image JPEG. Mais j'aurai pu interprêter totalement différemment le fichier RAW.
Ce n'est pas forcément un traitement avec pertes. Un traitement avec pertes est un traitement qui détruit de l'information, c'est-à-dire qui est un traitement irréversible. Si vous faites "+1" au rouge, au vert et bleu, et que vous ne sortez pas du domaine (vous ne "brulez" pas les couleurs), vous pouvez faire "-1" et vous retrouverez votre ancienne image. Il n'y a donc pas eu de perte.
Le problème est que l'échelle ne fait que 255 et si vous faites +20 à la valeur 240 vous sortez de l'échelle. Et ce sont là des exemples chiffrés tout à fait réalistes.
Le format RAW vous fournit toute l'information que votre appareil peut vous fournir. Mais on pourrait imaginer qu'il en fournisse plus (position et intensité des sources lumineuses, modélisation 3D de la scène, ...). La qualité du format RAW n'est donc pas optimal, elle est seulement maximale par rapport à ce que l'appareil peut fournir.
Elle est optimale par rapport une situation donnée évidemment. Mais je concois mal un autre optimal en pratique...
D'accord, on peut paramétrer les traitements du fichier RAW pour produire différentes images. Et alors ? On peut aussi traiter un fichier JPEG pour produire différentes images (éclaircir, plus de rouge, ...).
Non justement. Un fichier JPEG est sur 8 bits/couleur or l'utilisation est toujours sur 8 bits/couleur donc toute modification dégrade (au moins sur le plan théorique) l'image. Le RAW (actuel !) est sur 12 bits (4096 niveaux au lieu de 255...) et n'a pas encore été "mis en couleur". Donc les possibilités de traitement n'ont absolument rien de comparable. Ni la qualité finale de l'image 8 bits/couleur.
Existe-t-il une seule image qui corresponde à ce qui a été réellement photographié (d'ailleurs, est-ce qu'on cherche ?) ?
Là on va vers la philosophie. La réalité n'existe pas amha seule existe sa perception. Et donc le photographe en donne une interprétaton comme un musicien interprête une partition. D'où l'intérêt du RAW ! Ouf quel retour en charte !!!
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Oui, mais sans médium de sortie (écran, imprimante), votre fichier ne
peut être interpété comme un image.
Evidemment c'est un concept. Pour prendre un exemple
pratique, à partir d'un fichier RAW, je crée une image JPEG,
contrôlée sur mon écran calibré et je l'envoie ensuite par
le net au service PAO d'une publication et cette image se
retrouve ensuite imprimée à quelques dizaines de milliers
d'exemplaires pour être visible par les gens qui vont
acheter cette publication. L'interprêtation c'est à dire
l'image JPEG c'est moi qui la fait. A ma guise à partir des
données RAW. Tout le reste est entièrement prévisible si
chacun fait bien son travail : le résultat imprimé et
regardé par l'acheteur de la publication est raisonnablement
conforme à mon image JPEG. Mais j'aurai pu interprêter
totalement différemment le fichier RAW.
Ce n'est pas forcément un traitement avec pertes. Un traitement avec
pertes est un traitement qui détruit de l'information, c'est-à-dire qui
est un traitement irréversible. Si vous faites "+1" au rouge, au vert et
bleu, et que vous ne sortez pas du domaine (vous ne "brulez" pas les
couleurs), vous pouvez faire "-1" et vous retrouverez votre ancienne
image. Il n'y a donc pas eu de perte.
Le problème est que l'échelle ne fait que 255 et si vous
faites +20 à la valeur 240 vous sortez de l'échelle. Et ce
sont là des exemples chiffrés tout à fait réalistes.
Le format RAW vous fournit toute l'information que votre appareil peut
vous fournir. Mais on pourrait imaginer qu'il en fournisse plus
(position et intensité des sources lumineuses, modélisation 3D de la
scène, ...). La qualité du format RAW n'est donc pas optimal, elle est
seulement maximale par rapport à ce que l'appareil peut fournir.
Elle est optimale par rapport une situation donnée
évidemment. Mais je concois mal un autre optimal en pratique...
D'accord, on peut paramétrer les traitements du fichier RAW pour
produire différentes images. Et alors ? On peut aussi traiter un fichier
JPEG pour produire différentes images (éclaircir, plus de rouge, ...).
Non justement. Un fichier JPEG est sur 8 bits/couleur or
l'utilisation est toujours sur 8 bits/couleur donc toute
modification dégrade (au moins sur le plan théorique) l'image.
Le RAW (actuel !) est sur 12 bits (4096 niveaux au lieu de
255...) et n'a pas encore été "mis en couleur". Donc les
possibilités de traitement n'ont absolument rien de
comparable. Ni la qualité finale de l'image 8 bits/couleur.
Existe-t-il une seule image qui corresponde à
ce qui a été réellement photographié (d'ailleurs, est-ce qu'on cherche ?) ?
Là on va vers la philosophie. La réalité n'existe pas amha
seule existe sa perception. Et donc le photographe en donne
une interprétaton comme un musicien interprête une partition.
D'où l'intérêt du RAW ! Ouf quel retour en charte !!!
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Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
Oui, mais sans médium de sortie (écran, imprimante), votre fichier ne peut être interpété comme un image.
Evidemment c'est un concept. Pour prendre un exemple pratique, à partir d'un fichier RAW, je crée une image JPEG, contrôlée sur mon écran calibré et je l'envoie ensuite par le net au service PAO d'une publication et cette image se retrouve ensuite imprimée à quelques dizaines de milliers d'exemplaires pour être visible par les gens qui vont acheter cette publication. L'interprêtation c'est à dire l'image JPEG c'est moi qui la fait. A ma guise à partir des données RAW. Tout le reste est entièrement prévisible si chacun fait bien son travail : le résultat imprimé et regardé par l'acheteur de la publication est raisonnablement conforme à mon image JPEG. Mais j'aurai pu interprêter totalement différemment le fichier RAW.
Ce n'est pas forcément un traitement avec pertes. Un traitement avec pertes est un traitement qui détruit de l'information, c'est-à-dire qui est un traitement irréversible. Si vous faites "+1" au rouge, au vert et bleu, et que vous ne sortez pas du domaine (vous ne "brulez" pas les couleurs), vous pouvez faire "-1" et vous retrouverez votre ancienne image. Il n'y a donc pas eu de perte.
Le problème est que l'échelle ne fait que 255 et si vous faites +20 à la valeur 240 vous sortez de l'échelle. Et ce sont là des exemples chiffrés tout à fait réalistes.
Le format RAW vous fournit toute l'information que votre appareil peut vous fournir. Mais on pourrait imaginer qu'il en fournisse plus (position et intensité des sources lumineuses, modélisation 3D de la scène, ...). La qualité du format RAW n'est donc pas optimal, elle est seulement maximale par rapport à ce que l'appareil peut fournir.
Elle est optimale par rapport une situation donnée évidemment. Mais je concois mal un autre optimal en pratique...
D'accord, on peut paramétrer les traitements du fichier RAW pour produire différentes images. Et alors ? On peut aussi traiter un fichier JPEG pour produire différentes images (éclaircir, plus de rouge, ...).
Non justement. Un fichier JPEG est sur 8 bits/couleur or l'utilisation est toujours sur 8 bits/couleur donc toute modification dégrade (au moins sur le plan théorique) l'image. Le RAW (actuel !) est sur 12 bits (4096 niveaux au lieu de 255...) et n'a pas encore été "mis en couleur". Donc les possibilités de traitement n'ont absolument rien de comparable. Ni la qualité finale de l'image 8 bits/couleur.
Existe-t-il une seule image qui corresponde à ce qui a été réellement photographié (d'ailleurs, est-ce qu'on cherche ?) ?
Là on va vers la philosophie. La réalité n'existe pas amha seule existe sa perception. Et donc le photographe en donne une interprétaton comme un musicien interprête une partition. D'où l'intérêt du RAW ! Ouf quel retour en charte !!!